20/04/24
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20/04/24
Communiqué de l'Oriflamme cliquez là :
En octobre dernier, un de nos militants était condamne a 4 mois de prison ferme, 2 900 euros d'amende et à 3 ans d'interdiction de détenir une arme. Son crime ? Avoir été le porte-parole de notre action pacifique contre la lecture réalisée par des drags queens auprès d'enfants de trois a six ans dans la médiatheque de Saint-Senoux au mois de mai 2023. Sous la pression politique, médiatique et gauchiste, le tribunal avait jugé qu'un tel affront méritait d'être puni de prison ferme.
Quand les juges reviennent à la raison. Ils balayent d'un revers de main les condamnations iniques pour délit d'opinion. Car en première instance. Rien n'était motivé en droit mais tout n'était qu'idéologie et soumission au pouvoir.
Elle s’appelle Pauline Condomines. Elle est journaliste, et fait également partie de cette catégorie de femmes particulièrement courageuses qui n’entendent pas plier face au politiquement correct, face aux censeurs, face à ceux qui entendent détruire notre société de fond en combles.
Elle vient de livrer une enquête, modèle de journalisme, pour la revue Livre Noir. Une enquête après avoir infiltré des milieux dont vous allez voir la porosité, si vous vous procurez ce magazine en kiosque (ou sur abonnement, ici).
Depuis plusieurs années maintenant, l’extrême gauche s’enhardit dans le silence. Les antifas les plus violents, les éco-activistes les plus virulents et les pro-Palestine flirtant avec l’apologie du Hamas sont encore trop méconnus, trop peu médiatisés : il s’agit de changer la situation. Alors, durant plusieurs mois, Pauline Condomines a infiltré cette galaxie, s’est rendue aux réunions, a participé aux actions, s’est rendue dans des ZAD ou au milieu des manifestations pour gagner la confiance des membres de ces associations. Ce qu’elle a découvert doit être su, doit être lu.
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L’université de Nantes est accusée par le mouvement Génération Z de fournir au groupe d’extrême-gauche “Grève Nantes” un bâtiment (campus Tertre) dans lequel ils organisent chaque semaine des réunions visant à se préparer à une “révolution violente”.
MÉDIA LIBRE INVESTIGATION @MDIALIBREVRIFI1
Patrick Strzoda, directeur de cabinet d’Emmanuel Macron de 2017 à 2023, mais aussi préfet de Corse du sud entre 2012 et 2017, était en cheville avec le "Petit Bar", le plus puissant des groupes criminels corses, à l'influence politique et économique digne d'une mafia, dont "l'intendant", Johann Carta, échangeait de nombreux textos avec lui jusqu'en 2018 (source judiciaire "Email Diamant").