Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 2693

  • LA TAVERNE DES PATRIOTES

    La Taverne des Patriotes est un serveur Discord qui permet de rassembler tous les patriotes, pour discuter, partager, débattre, faire des rencontres, tout ça dans la bonne entente et la compréhension de chacun. C’est un espace d’échanges et de projets basé sur la conceptualisation et la créativité que chacun peut venir proposer.

    Naturellement, ce serveur Discord n’est pas ouvert qu’aux patriotes. Tous les partis sont acceptés sous le titre « d’invité » du moment que le débat reste courtois.

    Discord est un service de messagerie instantanée et de communication vocale comparable à Skype.

    Ce service est totalement gratuit et ne nécessite aucune inscription payante. Il vous suffira de créer un compte et de le vérifier par mail. Vous pourrez alors personnaliser votre compte.

    Pour accéder à Discord, vous pouvez le faire simplement à partir de votre navigateur ou depuis l’application Windows. Si vous utilisez une tablette ou un smartphone, des applications sont disponibles sur l’Apple Store et Google Play.

    REJOINDRE LA TAVERNE

  • Changements en vue au FN

    6a00d83451619c69e201b7c91e4f00970b-250wi.jpgMarine Le Pen, la présidente du Front national, a fait sa rentrée politique ce samedi à Brachay en Haute-Marne. Lors de son discours (à écouter ici), elle a annoncé que le Front national aurait un nouveau nom à l'issue du Congrès du parti.

    "La nouvelle organisation portera un nouveau nom (…), que vous aurez choisi".

    Avant cela, elle aura mené une tournée des 95 fédérations, entamée dès la fin du mois de septembre. Devant ses partisans, elle a promis une "grande refondation" et un fonctionnement "renouvelé" et plus "décentralisé" du parti, dont le slogan affiché samedi était "En avant pour un nouveau front".

    Nouveau nom, nouveau fonctionnement, pourquoi pas, mais sur quels fondements ? Identité ou économisme ou un peu des deux ?

    Marine Le Pen a prononcé un discours résolument sécuritaire, axant la ligne de sa rentrée politique sur les thèmes du terrorisme et de l'immigration. Ces sujets ont été bien davantage traités que l'économie, abordée pendant quelques minutes pour vilipender Emmanuel Macron, rendu responsable de remplacer "les relations sociales par les relations économiques" avec ses ordonnances sur le code du travail.

    6a00d83451619c69e201bb09c186a2970d-200wi.pngElle a attaqué frontalement Emmanuel Macron, moqué en "Jupiter" qui n'aurait "pas fait tomber la foudre sur les fichés S".

    "Les islamistes nous agressent en raison de ce que nous sommes. (…) Je ne veux pas m'habituer au terrorisme".

    Et l'euro ? Marine Le Pen n'a pas du tout parlé de sortie de la monnaie unique, en passant très vite sur ce thème pour concentrer ses attaques sur Emmanuel Macron, Laurent Wauquiez, candidat à la présidence des Républicains, et Jean-Luc Mélenchon. Le dernier mènerait un mouvement "islamo-trotskiste" à la "bouillie idéologique" pour "agités", tandis que le second est implicitement accusé de faire "du sous-Sarkozy".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Infatigable Henry Coston !

    La chronique de Philippe Randa

    Les Journées chouannes des 2 et 3 septembre dernier ont rendu hommage aux soixante ans de Lectures françaises et à son fondateur, Henry Coston (1910-2001). Invité par Françis-Xavier d’Hautefeuille à prendre la parole pour cet hommage, mais n’ayant pu m’y rendre car j’avais promis à Pierre Cassen d’être présent à l’anniversaire de Riposte Laïque qui fêtait ses 10 ans d’existence, voici mon témoignage personnel sur le fondateur de Lectures françaises.

    En 1979, Henry Coston, qui préparait un nouveau tome de son Dictionnaire des pseudonymes, envoya à mon père un questionnaire. Il désirait obtenir quelques renseignements et précisions le concernant.

    Surchargé de travail, mon père voulait remettre à plus tard sa réponse et c’est moi qui pris l’initiative de remplir le jour même ce questionnaire. Une question concernait ses opinions politiques. Elle était, bien sûr, facultative. Je précisais, en accord avec lui, celles de mon père, notamment qu’il avait été membre, pour les Deux-Sèvres où nous habitions, du comité de soutien à la liste de l’Eurodroite pour les élections européennes de cette année-là.

    Par retour du courrier, nous reçûmes le dernier livre d’Henry Coston dédicacé et une longue lettre chaleureuse dans laquelle le fondateur de Lectures françaises ne cachait pas sa surprise de découvrir parmi les auteurs du Fleuve Noir quelqu’un qui partageait une très grande partie de ses convictions. Henry Coston lui signalait d’ailleurs, ce qui ne surprendra pas leurs lecteurs, qu’il correspondait régulièrement avec deux autres auteurs vedettes de cette maison d’éditions : Claude Rank et Jean-Pierre Conty, ce dernier étant même un de ses abonnés.

    Lorsqu’en 1996, j’écrivais à mon tour à Henry Coston pour lui demander de relire la notice qui lui était consacrée dans mon Dictionnaire commenté de la Collaboration française, il me promit immédiatement de faire tout ce qui serait en son pouvoir pour faire connaître mon travail. Ce qu’il fit. Amplement. Je lui dois ainsi une grande part du succès que rencontra cet ouvrage. Idem pour le lancement de ma revue Dualpha. La caution d’Henry Coston, pour des milliers de lecteurs, est quelque chose qui compte.

    On a déjà écrit beaucoup – et l’on écrira encore énormément – sur l’ancien directeur de La Libre Parole, de Lectures françaises ou de Nous, les Françaises. Que ce soit sur ses qualités incontestables (son œuvre incontournable, son labeur de bénédictin, son extrême gentillesse, etc.), tout autant que sur ses obsessions parfois irritantes. Mais ce qui le définira toujours au plus juste sera son militantisme de chaque instant.

    Il est bon de rappeler qu’il lança une pratique essentielle, poursuivie par ceux qui ont succédé aux rênes de Lectures françaises : pas un livre, pas un journal, pas une association, un mouvement ou un parti – peu ou prou comme lui ennemi du régime – dont il ne signalait à ses lecteurs l’existence et l’action, sans oublier d’indiquer l’adresse où l’on pouvait se procurer les uns ou joindre les autres. Cela peut paraître dérisoire à certains, vulgaire à nombre de journalistes qui se font grande idée de leur talent (ils sont souvent les seuls d’ailleurs), mais combien de journaux – surtout les plus modestes – ont-ils vu ainsi, grâce à Henry Coston, leurs lecteurs augmenter, nombre de mouvements nationalistes leurs adhérents décupler, nombre d’éditeurs leurs ouvrages s’épuiser ?

    À la fin de sa vie, Henry Coston cherchait obstinément un successeur. Cette question le hantait littéralement. Je lui ai alors fait remarquer qu’il en avait eu bien davantage que tout autre. Lectures françaisesperdurait, alors que nombre de revues mouraient souvent avec leur fondateur, quand elles n’étaient pas rachetées par des gens aux convictions totalement étrangères… La Librairie française avait longtemps été dirigée par le nationaliste Jean-Gilles Malliarakis avant de fermer certes, mais de renaître, dans le même esprit militant, avec L’Æncre ou ensuite avec La Licorne bleue, Primatice, Facta, La (nouvelle) Librairie Française sans parler de la plus ancienne, la Librairie Duquesne.

    Oubliait-il aussi Yann Moncomble dont il avait mis le pied à l’étrier et qui publia une bonne dizaine de livres capitaux, dans la droite ligne de ses propres ouvrages ? Et Emmanuel Ratier avec lequel il avait cosigné certains livres et qui a poursuivi son œuvre avec sa lettre Faits & Documents et sa précieuse Encyclopédie politique française ?

    Quant à Richard Haddad, à la tête des éditions Godefroy de Bouillon, Roland Hélie à celles des édition Synthèse nationale, moi-même à celles des éditions Dualpha, L’Æncre et Déterna, ne permettons-nous pas à un public intéressé de se procurer les livres de nombre d’auteurs bannis de la grande distribution…

    — C’est vrai, il faut continuer, admettait-il.

    Si un jour l’un de nous se laissait gagner un instant par la lassitude, puissions-nous tous penser à l’infatigable Henry Coston.

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • JEAN-MARIE LE PEN : JE SERAIS MARINE LE PEN, JE FERAIS CELA À L’AMÉRICAINE - JE ME SUIS TROMPÉE, MAIS JE VAIS RECTIFIER !

    Jean-Marie Le Pen s’apprête à publier ses mémoires. À cette occasion, celui qui a animé la scène politique française durant tant d’années se confie au micro de Boulevard Voltaire, répondant sans se dérober et avec l’éloquence qu’on lui connaît aux questions qui fâchent : le FN de 2017 a-t-il encore quelque chose à voir avec le FN de 1972 ? Un FN sans les Le Pen est-il possible ? Le FN pourra-t-il arriver au pouvoir seul ? Le FN doit-il revenir à ses combats originels pour gagner ? Quel est votre plus grand ennemi politique ? Votre pire souvenir ? Et bien d’autres encore…

    http://www.bvoltaire.fr/serais-ferais-a-lamericaine-me-suis-trompee-vais-rectifier/

  • ANTI-CLERICAUX HIER, PRO-ISLAMISTES AUJOURD’HUI.

    59834_loi-laicite-separation-eglises-etat-islam-religion.jpg

    Pieter Kerstens

    Ces 40 dernières années, nous avons vécu une réelle « colonisation » de notre continent par des individus issus de terres lointaines, entreprise imaginée, planifiée, organisée et qui nous est imposée par des lobbies aux mains des mondialistes, souvent issus du capitalisme apatride.

    Par des études ou des rapports aussi vagues que sectaires, diverses organisations internationales nous matraquent épisodiquement de l’inéluctable obligation de recevoir des dizaines de millions d’immigrés du tiers-monde, au prétexte que ce « sang nouveau » nous sauverait de la décadence démographique, du vieillissement des peuples d’Europe et assurerait la survie de nos caisses de retraites…

    - Nul ne propose l’accroissement et le rajeunissement des populations de nos pays par une politique nataliste et des aides à la famille ou à la mère au foyer.

    - Nul ne s’élève contre le constat de 25 millions de chômeurs européens qui pourraient être mis au travail, sans l’aide d’un afflux de nouveaux immigrants extra-européens !

    - Nul n’envisage le rapatriement de millions de clandestins vivant sur notre sol en réels hors-la-loi, source d’innombrables conflits, de délits divers et de crimes crapuleux.

    - Nul ne songe à la fermeture de l’espace Schengen, véritable passoire au trafic d’êtres humains qui, au lieu de voyages périlleux, devraient se réfugier dans les pays voisins de leur patrie respective.

    Que dire de la désacralisation de nos églises et de la construction de milliers de mosquées en Europe ?

    Depuis plus d’un siècle, les laïcards, les libres penseurs, les francs-maçons et les socialauds-humanistes ont combattu la chrétienté, interdit la soutane dans les lieux publics (de même que les uniformes ou les tenues de pompiers), invectivé les religieuses en cornette et ont mis tout en œuvre pour vider les églises. Cela, décennies après décennies, urbi et orbi, de l’école maternelle jusqu’aux universités, en se servant de leurs dogmes laïcs pour combattre le clergé, partout, encore et toujours anti-chrétiens d’abord !

    Mais qu’attendent-ils donc maintenant pour brandir leur idéologie chérie et s’opposer à l’invasion islamique ?

    Pourquoi ne manifestent-ils pas avec autant de virulence envers les musulmans qu’ils ne le faisaient hier avec leur haine de la chrétienté ?

    Pourquoi tolèrent-ils effectivement la généralisation des sacrifices rituels -barbarie moyenâgeuse- quand ils combattaient les processions chrétiennes ?

    Pourquoi ne s’opposent-ils pas au port du voile islamiste, signe de soumission de la femme ?

    Pourquoi ces laïcistes gauchisants ne réclament-ils pas la fermeture des mosquées et le contrôle des imams prêchant contre les « valeurs de la République », sans parler de terrorisme ?

    L’heure n’est plus à la complaisance ni aux atermoiements : il faut réagir avec fermeté sous peine de disparaître ou d’accepter la servitude …(ou encore la dimmhitude).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/09/07/anti-clericaux-hier-pro-islamistes-aujourd-hui-5977719.html

  • Le Conseil Constitutionnel censure les dispositions prévoyant de rendre inéligibles les personnes condamnées pour racisme, homophobie...

    Il reste des juristes au Conseil constitutionnel. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur la loi organique et la loi ordinaire pour la confiance dans la vie politique, dont il avait été saisi respectivement, d'une part, par le Premier ministre et, d'autre part, par plus de soixante députés. Ces deux lois comprennent plusieurs séries de mesures visant à renforcer la transparence de la vie politique, l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants et à moderniser le financement de la vie politique.

    Outre la totalité des 27 articles de la loi organique qu'il lui revenait d'examiner en application de la Constitution, le Conseil constitutionnel a examiné les 13 articles de la loi ordinaire qui étaient contestés par le recours des députés. Il s'est également saisi d'office de deux articles de cette loi.

    Le Conseil constitutionnel juge que ne méconnaît ni le principe de légalité des délits et des peines, ni le principe d'individualisation des peines, l'article 1er de la loi ordinaire instituant une peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité à l'encontre de toute personne coupable de crime ou de l'un des délits énumérés par le même article. Il admet que cette disposition est nécessaire au regard de l'objectif du législateur visant à renforcer l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants. Il juge cependant que ces dispositions ne sauraient être interprétées comme entraînant de plein droit, en matière délictuelle, l'interdiction ou l'incapacité d'exercer une fonction publique. En outre, il censure comme portant une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression les dispositions de cet article prévoyant que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement.

    Le 13° du paragraphe II de l'article 131-26-2 du code pénal introduit par l'article 1er prévoit que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement. Or, la liberté d'expression revêt une importance particulière dans le débat politique et dans les campagnes électorales. Dès lors, pour condamnables que soient les abus dans la liberté d'expression visés par ces dispositions, en prévoyant l'inéligibilité obligatoire de leur auteur, le législateur a porté à la liberté d'expression une atteinte disproportionnée. Par conséquent, le dix-huitième alinéa du paragraphe I de l'article 1er est contraire à la Constitution.

    La LICRA est furieuse.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Terreur iconoclaste

    dessin-konk-non-a-la-haine-300x251.jpgDans sa récente  émission de décryptage,  I-Media  sur TVLibertés,  présentée conjointement avec Hervé Grandchamp, Jean-Yves Le Gallou s’arrêtait sur la stratégie mise en place  par les journalistes de gauche (tendance hégémonique)  pour  inciter  à ne pas acheter   le livre  de Airy Routier et Nadia Le Brun «  Notre-Drame de Paris » (Albin Michel). Une enquête fouillée, étayée  qui met en lumière à travers l’analyse d’un certain nombre de dossiers, la calamiteuse gestion de la capitale par la très sectaire Anne Hidalgo. Or, hormis principalement les organes, les  sites de  la réinfosphère patriotique et Le Figaro Magazine qui a publié quelques bonnes feuillesles médias se sont très globalement déchaînés contre ce livre. Leurs auteurs ont été accusés de toutes les turpitudes politiquement incorrectes, au nombre desquelles le racisme et l‘homophobie n’étaient pas les moindres… Une campagne de diabolisation-diffamation affirme à notre avis avec raison M. Le Gallou,  qui a pour but principal  de dissuader les libraires de commander le livre pour le mettre en pile dans leur librairie. Et ce,  selon la même méthode a-t-il rappelé, que celle qui  avait été  appliquée pour casser la diffusion du livre de Jean-Paul Gourevitch, « L’immigration pour les nuls ».  Attitude vis-à-vis de l’immigration qui reste la ligne de démarcation principale entre  les partis et les personnalités adoubés par la bien-pensance, le cercle de la raison progressiste, et les autres, les proscrits. 

    Un clivage qui  explique  que le frontiste Jean Messiha ait été écarté de l’émission de Christophe Hondelatte  sur Europe 1,   remplacé au final  par le journaliste  Thomas Guénolé,   proche de Jean- Luc Mélenchon  et de La France Insoumise,  qui attaque régulièrement les Français qu’il  décrit comme «  lourdement racistes. »  Jean-Yves Le Gallou en tire la conclusion  que  « le système aujourd’hui est beaucoup moins gêné par ce qui vient de son extrême gauche  que par  ce qui vient à droite et qui est contre l’immigration. Si vous êtes pour l’immigration vous êtes de toute façon accepté par le systèmeSi vous êtes suspect d’être contre l’immigration, ce qui est le cas du Front National et bien dans ce cas vous n’êtes pas accepté, même s’agissant d’un homme comme Jean Messiha qui est lui même un Français d’origine étrangère, assimilé, patriote, national, souverainiste, identitaire.  Mais n’empêche que cela ne suffit pas et le fait qu’il soit Français d’origine étrangère assimilé ne suffit pas à lui ouvrir les portes,  à partir du moment ou il est apparu comme ayant la casaque du Front National qui  est un peu  en l’occurrence  comme une tunique de Nessus. »  Bref affirme-t-il, « le FN restera diabolisé (dans les médias) tant qu’il n’aura renoncé à tout ce qui fait sa différence par rapport aux autres (partis). »

    Une différence qui s’explique aussi par le rapport à l’Histoire de France qui est celui du FN, qui assume toutes les pages de celles-ci, les plus sombres comme les plus glorieuses, et qui refuse une repentance qui entend entretenir le masochisme antinational pour mieux préparer les esprits à la  dilution-disparition de la France  dans le multiculturalisme. Une offensive est ainsi en cours en France pour éradiquer de l’espace public les esclavagistes, les racistes ou décrits comme tels comme le ministre Colbert. Une  manœuvre s’inspirant de l’agitation gauchiste aux Etats-Unis visant à  supprimer des écrans le film sudiste «  Autant en emporte le vent » et à  déboulonner les statuts du général Lee .

    Louis-George Tin, à la tête de l’association communautaire dite Conseil représentatif  des associations noires (Cran), s’est vu offrir une tribune dans Libération sur ce sujet. Une manière de  ballon d’essai pour tester la résistance des Français (et des pouvoirs publics progressistes) aux revendications et exigences des minorités  opprimées : « Nous demandons à Emmanuel Macron écrit-il,  d’être aussi aux côtés de ceux qui combattent le racisme et la xénophobie en France et de lancer une réflexion nationale sur la nécessité de remplacer ces noms et statues de la honte par des figures de personnalités noires, blanches ou autres ayant lutté contre l’esclavage et contre le racisme. Bien sûr, cette décision relève de l’autorité des élus locaux, mais un débat national et collectif doit être engagé. On ne peut pas être dans l’indignation face à Charlottesville et dans l’indifférence par rapport à la France par rapport à toutes statues, toutes ces rues, qui défigurent nos villes. Il faut décoloniser l’espace, il faut décoloniser les esprits...».

    Sur le site de l’hebdomadaire MarianneHadrien Mathoux  s’arrête sur cette demande  et cite avec à propos « Dimitri Casali, historien et essayiste, qui défend une vision radicalement différente de la mémoire.  Cette polémique est l’illustration de la vague d’ignorance qui submerge notre société au nom de la repentance et du politiquement correct  (…) le bannissement de toute complexité historique. Pour lui, l’histoire de Colbert et du Code noir doit avant tout être replacée dans le contexte de l’époque, le XVIIe siècle . Et selon lui, il serait tout aussi absurde de démonter la statue de Colbert au nom de la lutte contre l’esclavage, que de détruire le château de Versailles pour tourner la page de la monarchie absolue.  Si on ne comprend pas l’histoire dans sa globalité et sa complexité, on ne comprend rien à rien.  »

    Et c’est ouvrir la boîte de Pandore des exigences et des conflits partisans, communautaires,  des querelles en cascade et à des procès sans fin, la mise en place encore plus avant d’un  climat de guerre civile.  Climat  déjà dénoncé il y a quelques années par Bruno Gollnisch quand  partis et association appartenant à la nébuleuse  d’extrême gauche avaient mené l’agitation  pour débaptiser les voies et bâtiments publics portant le nom du prix Nobel de Médecine Alexis Carrel; un homme de droite qui pour son malheur fut pétainiste comme d’autres lyonnais célèbres, Louis et Auguste LumièreRaoul Follereau, ou encore Antoine de Saint-Exupéry.

    Sur TVLibertés, Jean-Yves Le Gallou faisait aussi part de ses craintes: « nous sommes en  train de  de revivre une période iconoclaste  on le voit,  pas  encore  tout à fait en France mais ça va venir,  aux Etats-unis on on abat de statues.  L’iconoclasme c’est le mal absolu par ce que  notre civilisation c’est la représentation de la figure humaine et de la figure divine et c’est le respect de l’Histoire dans ce qu’elle peut avoir de diversité. »

    Sur ce même média, l’éditeur et écrivain Philippe Randa, un des sociétaires de  l’excellente émission Bistro Libertés  , se livrait à une comparaison très pertinente: «Au temps du communisme dominant (…) on avait l’habitude de se moquer (quand un régime soviétique) rééditait des livres ou des photos,  de voir des dirigeants à la tribune (qui)  disparaissaient car ils avaient été épurés. Et là évidemment on se gaussait en disant voilà ce que c’est que  la dictature, le totalitarisme qui efface des gens qui existaient qui ont fait l’Histoire de leur mouvement , du communisme mais comme ils ont eu l’heur de déplaire on les efface. Et tous les gens qui se voulaient pour la liberté trouvaient cela anormal (…). Ce sont en gros les mêmes  ou leurs descendants qui aujourd’hui, pour des raisons différentes, vont trouver normal qu’on enlève les statues ou les noms de rues de gens qui brusquement après avoir été admirés, adulés, reconnus, sont effacés ». 

    Absence de cohérence, bêtise ou réelle perversité intellectuelle, l’attitude de l’intelligentsia décrite par M. Randa  apparaît aberrante pour toutes celles et ceux  qui ont encore une pensée droite, une colonne vertébrale,  un élémentaire bon sens. Fidèle à sa vocation de rassemblement de tous les Français et  de réconciliation nationale, le FN continuera à dénoncer et à mettre en garde nos compatriotes contre les forces à l’oeuvre visant à jeter l’opprobre sur nos ancêtres, notre Histoire et au final,  à  dresser nos compatriotes les uns contre les autres.

    https://gollnisch.com/2017/09/06/terreur-iconoclaste/

  • Le curé est enragé et se lance sur Youtube

    L'abbé Drillon, juge ecclésiastique et chancelier du diocèse de Nice, a lancé sa chaîne Youtube. Cigarette à la main et la bouteille de pastis à portée de l'autre, il n'a pas sa langue dans sa poche. A travers cette chaîne, il compte dire ce que personne ou peu disent, et souhaite tirer profit de la réinfosphère afin d'avoir une parole libre et personnelle, non magistérielle... sur la manipulation des cervelles, la régression routière, l'Inquisition, la mal-bouffe, des vrais fondements d'un dialogue avec les musulmans, du féminisme castrateur...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DIMANCHE 1er OCTOBRE, À RUNGIS, INTERVENTION DE STEVEN BISSUEL, PORTE-PAROLE DU GUD ET DU BASTION SOCIAL (LYON) LORS DE LA XIe JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

    1101097576.jpg

    En savoir plus cliquez ici

    Steven Bissuel invité sur Radio Libertés cliquez ici