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France et politique française - Page 2695

  • David Rachline : "La Mère Patrie est désormais attaquée jusque dans sa chair par la barbarie ignoble et lâche de la vermine islamiste"

    A l'occasion de la célébration des combats de Bazeilles, fête des Troupes de Marine, dans les arènes de Fréjus vendredi 31 août au soir, David Rachline, sénateur-maire de la ville, a prononcé un discours devant les autorités politiques et militaires, discours vivement applaudi par le public. En voici de larges extraits :

    6a00d83451619c69e201bb09bf2052970d-320wi.jpg"Soldats de l’infanterie de Marine, Soldats de France,

    Fréjus est cette année encore honorée de vous accueillir entre ses murs romains ! Vous les officiers, sous-officiers, les caporaux, les marsouins et les bigors ; vous qui héritez, 147 ans après, de la gloire éternelle d’une division mythique et héroïque. Vous les héritiers de la Division bleue, la division Marine, qui ardeur au cœur et courage à la baïonnette, a tenu à 1 contre 10 la ligne que la patrie lui avait demandé de tenir.

    Je vois ici des soldats, des hommes solides, des frères d’armes qui du Mali à l’Afghanistan, du Kosovo aux rues de nos villes françaises, assurent et assument les missions qui sont les leurs. Protéger et servir, croche et tient ! Dans les déserts du Mali, dans les montagnes afghanes, au bord des routes kosovares ou en faction devant nos églises et nos monuments, vous démontrez au quotidien votre immense dignité et votre infaillible courage.

    Vous avez appris à prendre exemple sur ceux qui sont passés avant vous dans cet uniforme sacré. Vous avez appris les exploits du fier commandant Arsène Lambert et de ses hommes qui défendront leurs positions à Bazeilles jusqu’aux dernières cartouches, jusqu’aux derniers souffles ! Vous avez appris le martyr des soldats de Verdun, vous avez entendu le cri des héros du Chemin des Dames, vous avez perçu la hargne des engagés en Indochine, vous avez su le courage de nos hommes en Algérie Française, vous avez vu tombé pour la France vos camarades, vos frères d’armes.

    Vous avez vécu ce que peu d’hommes vivent, vous les sentinelles de la Mère Patrie désormais attaquée jusque dans sa chair par la barbarie ignoble et lâche de la vermine islamiste ! En patrouille ou en faction dans nos rues, vous assurez désormais la défense de nos familles, de nos enfants et de nos valeurs.

    Car la France est en guerre… Pas la même guerre qu’en 1870 lors des combats de Bazeilles mais elle est bel et bien en guerre.

    Nous, de là où nous sommes, élus de la République, citoyen français, nous vous voyons, nous vous saluons, nous vous rendons un hommage sincère et nécessaire. Nous vous voyons marcher côte à côte, dormir les uns contre les autres comme le furent avant vous ceux qui étaient entassés, dans tant de boue, de sang et de larmes.

    A Bazeilles, dans les tranchées de la Somme et de la Marne, dans les rizières de Dien Bien Phu, dans les rues de notre capitale, de Nice, de Saint-Étienne du Rouvray, de Magnanville, de Levallois Perret… Il pleuvait au dehors, et au dedans, la nuit était dangereuse, grise et rouge, les étoiles couvertes de larmes et d’obus. Et accotés les uns aux autres, les frères d’armes prennent leur tour de garde pour veiller sur la Nation, ils tirent pour protéger nos enfants.

    Plus que jamais, la France a confiance en son arméeFréjus a confiance en ses troupes de marine, les Français ont confiance en nos soldats.

    147 ans après, dans un contexte national et international totalement différent, les combats de Bazeilles résonnent plus fort que jamais ! Les combats qui ont fait notre nation résonnent plus fort que jamais, autant de grandes victoires et de défaites glorieuses :

    Que serait la France sans son indomptable armée de Terre, sans sa fière marine, sans son honorable armée de l’air ? Que serait la France sans son roi fondateur, Clovis et ses guerriers francs ? Que serait la France sans Charles Martel abattant l’envahisseur mahométan à Poitiers ? Que serait la France sans Saint-Louis, le roi croisé, juste parmi les justes, combattant parmi ses hommes, dînant aux côtes des plus humbles ? Que serait la France sans tous ses rois et ses héros anonymes qui ont de tout temps coopérer et combattu pour un bien commun inestimable qui se nomme « Patrie ».

    Des entrailles de la France sont sorties les plus belles épopées jamais racontées par l’Histoire !

    Des entrailles de notre armée sont issues les plus belles légendes héroïques : Jean Bart et Surcouf, précurseurs de notre Marine victorieuse, René Fonck et Guynemer, les as de notre aviation ou encore Turenne, Condé, Bigeard, Foch, Gallieni, Lyautey… Tous ces noms résonnent pour l’éternité et constituent le plus bel héritage qu’il soit pour former nos générations futures, pour enseigner notre art militaire et notre savoir faire séculier, pour tracer une route sure et fière pour l’avenir de la Maison France.

    6a00d83451619c69e201b7c91be15c970b-320wi.jpgFort de cet héritage et parce que ce soir nous honorons encore et toujours nos troupes de marine, nos héros de Bazeilles, nous devons ensemble retrouver cet esprit de loyauté infaillible, cet esprit de communion nationale.

    Bazeilles n’est pas seulement le récit du sacrifice ultime et de la belle mort… Bazeilles c’est une page du roman national français ; ce sont des lignes de sang versé qui racontent comment des français, debout les armes à la main ont résisté jusqu’à la mort pour défendre l’honneur de la France.

    C’est l’histoire de 2655 fils de France tombés au champ d’honneur ; 2655 officiers de carrière, paysans, commerçants, engagés et volontaires tombés au seuil d’une maison, car ici était la Porte de la France et ici… personne ne passe !

    L’esprit de Bazeilles, c’est une Nation attaquée, meurtrie, bafouée qui se relève au cri de Vive la France ! L’esprit de Bazeilles retentit et doit retentir à chaque période de doute et d’obscurité qui recouvre la France.

    Cet esprit s’est insufflé dans les cœurs des poilus, des résistants mais pas seulement, il était déjà là, inconscient, mais bien prégnant dans le cœur des Du Guesclin, des Jeanne d’Arc, des Bayard ou encore des soldats de Vendée, des grognards de la Vieille garde ou des chevaliers de l’Ost royal !

    Les marsouins et les bigors, gradés ou non, ont cet héritage dans le sang et dans le cœur. Ils se rappellent de leurs glorieux aïeux de Bazeilles : brulés vifs, fauchés par les balles ennemis, amputés par les obus prussiens, suffoquant dans la fumée noire de la mort et pourtant toujours debout au nom de l’honneur et du courage pour défendre coûte que coûte et vaille que vaille la Mère Patrie en danger ! Aucun n’a renoncé dans la nuit chaude du 31 aout, aucun n’a abandonné dans le petit matin du 1er septembre. Tous ensemble, frères d’armes, pères, maris, frères et fils de France ne cèdent pas (...) Faisant écho sans le savoir à la barbarie de l’Islamisme qui frappe désormais aveuglément la France et ses citoyens (...)

    Ainsi, les combats de Bazeilles ont révélé les héros, sacrifiés sur l’autel du patriotisme, ils reposent à jamais au panthéon des braves, de ceux qui ont fait le choix un jour de défendre jusqu’à la mort, l’éternité de la France.L’éternité de la France, voilà notre projet à tous : citoyens, élus, soldats, officiers ! Sa grandeur, son témoignage, sa gloire.

    Ce projet passe par plus de volonté, de loyauté, de courage et de coopération.

    Plus de volonté pour rendre hommage à ceux qui nous ont précédé, plus de loyauté envers notre histoire deux fois millénaire, plus de courage pour défendre nos valeurs immuables et plus de coopération pour aider les nations et les peuples qui nous entourent et qui partagent les mêmes objectifs.

    Les aider chez eux et non accueillir les misères et les reproches,

    Les former chez eux et non se repentir de ce que nous sommes,

    Les respecter et les entendre et non les reléguer à des aspects économiques ou sociaux !

    Entendons la voix de nos aïeux, de ceux qui nous ont fait, de ceux qui nous ont légué les vastes bocages normands, les garrigues de Provence, les côtes insubmersibles de Bretagne, les forets landaises, les contreforts du Jura, les plaines de Bourgogne, les cimes des Alpes ou les iles de Polynésie !

    Entendons le souvenir du soldat inconnu, le souvenir de cette flamme ardente sans cesse ranimée. Entendons les tirs et les coups de Bazeilles, ce sont les bruits et les râles de la France éternelle. Celle qui ne concède pas, celle qui mène les autres, celle qui ne se laisse pas faire, celle qui hisse 2000 ans d’ordre romain, de bonté chrétienne, d’immenses rois et de victoires glorieuses aux cimes de la pensée !

    Compagnons inconnus, vieux frères d’armes, chers visages forgés par la sueur et le sang, vous êtes les héros de toute une Nation, une nation libre et fière… qui prie pour vous.

    Gloire et honneur aux troupes de marineGloire et honneur aux soldats de France : Debout les morts, croche et tient"

    Et Au nom de Dieu, vive la Coloniale !!!

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/09/soldats-de-linfanterie-de-marine-soldats-de-france-a-loccasion-de-la-c%C3%A9l%C3%A9bration-des-combats-de-bazeilles-f%C3%AAte-des.html

  • Islamisation de l’école: les (tardives) vérités d’un ex-principal de collège

    « Le cri d’alarme d’un ancien principal de Marseille », titrait La Provence du samedi 26 août, rendant compte du livre de Bernard Ravet, tout récemment paru (éd. Kero). Et le reste de la presse, du Figaro à l’Express en passant par Valeurs actuelles, a fait chorus (et il est invité sur BFM TV à l’instant même où je mets en ligne cet article, mercredi 30, 19h et des broutilles) Curieusement (non, je blague), je n’ai rien trouvé dans les journaux de gauche, ce qui doit peiner l’auteur, qui n’a guère de sympathies pour la Droite — sans doute sans l’étonner. La Gauche serait-elle dans le déni ? Je ne peux le croire.

  • 15-17 septembre : séminaire de formation de l'Institut de Formation Politique

    6a00d83451619c69e201b7c91b0c03970b-250wi.pngCréé en 2004, l’Institut de Formation Politique s’adresse aux jeunes de 18 à 30 ans attachés à la primauté de la personne humaine et aux valeurs de liberté et de responsabilité. L’Institut propose ainsi des formations (le week-end) qui permettent de renforcer les convictions de ses auditeurs, de leur faire acquérir les méthodes de base d’une action efficace, en vue de favoriser l’engagement et l’action dans la Cité.

    Le prochain séminaire a lieu les 15, 16 et 17 septembre prochains, à Paris. Inscrivez-vous vite ! 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pourquoi « le chef » Macron est déjà mort

    Ce qui a fait élire Macron est précisément ce qui va le détruire… C’est ce que nous révèle J.H. d’Avirac en pénétrant dans les coulisses du pouvoir et en décryptant les stratégies mises en œuvre. Jusqu’où et jusqu’à quand le marketing politique pourra-t-il vendre du vide ?… Une analyse sans concession.
    Polémia

    « Je suis le chef »

    N’est-il pas singulier de voir le président de la République se hisser sur la pointe des pieds à la veille du 14 juillet pour déclarer au général de Villiers, à l’armée et à la terre tout entière : « Je suis le chef » ? « Chef », il l’est assurément et incontestablement : chef de l’Etat, chef des armées… Mais cette déclaration sonne comme un aveu de faiblesse. Devoir ainsi rappeler une telle évidence n’est pas, c’est le moins qu’on puisse dire, une marque d’assurance personnelle et d’autorité politique.

    Capricieux, véhément, cet homme ne semble plus accepter la contradiction en voyant, dépité, s’effriter autour de lui un état de grâce dont la fragilité était pourtant bien prévisible. Emmanuel Macron est déjà mort mais il ne le sait pas encore. Le champion de Rothschild, LVMH, Niel, Drahi et Parisot, le chouchou de BFM, du Monde et de France Info, fut lancé très exactement comme une nouvelle savonnette ou un paquet de biscuits. Un « fast moving consumer good », diraient les marketeurs américains, c’est-à-dire un produit de grande consommation à rotation rapide et durée de vie limitée.

    Courbe de vie et bons génies

    Ils sont tous issus de sciences-po, HEC, Havas Worlwide et de la Fondation Jean-Jaurès. Ils ont puisé dans leur double culture (politique et marketing) les ressorts de la machine à faire élire dans un système néophile où règne en maître l’obsolescence programmée. Ils ont mis au point une stratégie implacable, sondé au cœur des cibles qualifiées, monitoré la démocratie participative, packagé le candidat, ajusté les thèmes de campagne et les éléments de langage.

    Ils maîtrisent réseaux sociaux, communication d’influence, e-militantisme, porte-à-porte digital, études socio-comportementales, mail-marketing et networking.

    Comme Google, ils savaient déjà hier ce que vous désirerez demain.

    « Ils », ce sont ces hommes de l’ombre qui ont remisé au musée des conseillers en tout genre les Seguelas et autres Saussez. Faiseurs de roi, mi-publicitaires mi-conseillers politiques, ils règnent en maîtres sur les codes, les médias et l’opinion. Il y a quelques années les Gilles Finchelstein et autre Stéphane Fouks avaient déjà le dessein de propulser DSK en haut de l’affiche en utilisant recettes et techniques de la campagne d’Obama. Mais ceci c’était avant le drame !… avant que le président du FMI ne se prenne les pieds dans sa braguette.

    Leur fils spirituel Ismael Emelien est aujourd’hui à la manœuvre. Il fut, sous le regard bienveillant de ses mentors, le marketeur de « En Marche ». Même parcours (de sciences-po à Havas), même recettes… Un cocktail qui se révèlera gagnant et pour lequel il se verra grassement récompensé par « le chef » : une nomination en qualité de conseiller spécial du président de la République. A peine trentenaire, le voici donc dans le costume d’un Jacques Attali ou d’un Henri Guaino, c’est dire le poids de cet ancien disciple du directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, également directeur des études de Havas Worldwide (ex-Agence de communication euro RSCG).

    Dès l’automne 2015 notre jeune loup est sur le pont et probablement le premier « marcheur ». « Il faut que t’aies à chaque fois la caresse et la claque, sinon t’es pas audible », conseille-t-il déjà au futur candidat qu’il dote d’une potion magique, subtile mixture de singularité rassurante, d’innovation apparemment radicale et de détermination sereine. A la manière d’un industriel de l’agro-alimentaire il dose au maximum le taux de sucre afin de créer plaisir et accoutumance sans franchir le « bliss point », point limite au-delà duquel se développent écœurement et rejet. Il comprend très vite que son nouveau produit de grande consommation n’a pas vraiment besoin d’exprimer un programme qui pourrait être par essence clivant. Lorsqu’une marque lance une nouvelle tablette de chocolat sous un packaging appétant, vous ne cherchez pas nécessairement à décortiquer la liste des ingrédients !… Achat d’impulsion, achat plaisir, votre cerveau limbique est à la manœuvre et rien d’autre.

    Le jeune Ismael savait sans doute déjà que ce qui ferait élire son candidat serait un jour précisément ce qui le tuerait. En bon marketeur, il savait qu’un produit lancé sur une promesse purement néophile, répondant à une demande pré-identifiée, obéit à la logique du cycle de vie du produit… La fameuse courbe de Gauss, cette courbe en cloche sur laquelle tout brand manager qui se respecte essaie de retarder le plus possible la phase descendante.

    « Représidentialisation » de façade et gadgets politiques

    Pour retarder cette chute inéluctable, « le chef » pourra ainsi compter sur une artillerie lourde à double détente :

    • « une représidentialisation » du discours politique devenu plus rare et « Jupitérien ». Diffusant, chez ce pur produit des lumières et du business, un parfum très Ancien Régime ;
    • mais surtout une multiplication de gadgets politiques donnant l’illusion d’un changement profond, multipliant les postures nouvelles (sans pour autant inscrire de nouveaux positionnements), afin de remobiliser l’attention de l’opinion et des médias.

    Nous aurons donc à vivre d’autres « Poutine à Versailles » et d’autres « Trump à la Concorde »… Jusqu’à quand ce Jupiter en plastique recyclé fera-t-il vibrer nos chaumières et les cougars du monde occidental ? La forme est un fond qui remonte à la surface ; s’il n’y a plus de fond, les vernis se craquellent, le rimmel coule, les silicones migrent. Aussi lissée et apprêtée soit-elle, l’enveloppe s’effondre sur un vide abyssal.

    Après 2020, nos concitoyens en transit entre deux écrans publicitaires, en transat entre deux cures minceur, tétanisés entre deux attentats islamistes, lessivés entre deux pornos en réalité virtuelle, auront à choisir de nouveaux candidats comme on choisit entre une voiture hybride, une voiture électrique ou un dinosaure diesel. Leur dépendance à la nouveauté et son corollaire, la pléonexie (addiction au « toujours plus » et à l’insatisfaction permanente) devraient atteindre des sommets car nous sommes bien là sur la problèmatique d’une drogue dure et d’une pathologie dominante infiniment plus redoutable que les idéologies dominantes.

    Dans ce contexte, la tête de gondole Macron aura-t-elle suffisamment renouvelé son offre pour séduire à nouveau et engranger un nouveau quinquennat ? Il est vraiment permis d’en douter ! Mais il est aussi permis d’espérer que sous les gifles de l’histoire les peuples dépassent ce bien médiocre statut de consommateur.

    Nous crierons ainsi avec Nietzsche que « accepter d’autrui qu’il subvienne à des besoins nombreux et même superflus, et aussi parfaitement que possible, finit par vous réduire à un état de dépendance »… Et que crèvent donc ces dealers du système qui ont toujours à leurs lèvres le mot «  Liberté » pour mieux nous enchaîner !

    Et que cessent donc ces qualificatifs « Jupitériens » qui estampillent de simples mortels prétentieux sans vision ni projet !

    Jean-Henri d’Avirac 23/07/2017

    https://www.polemia.com/pourquoi-le-chef-macron-est-deja-mort/

  • Que pensent les Français de l'affaire Cédric Herrou à Paris et à Breil-sur-Roya ?

  • EMMANUEL MACRON, LE KERENSKI FRANÇAIS D’UNE RÉVOLUTION CONSERVATRICE À VENIR

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    Marc Rousset

    L’histoire est imprévisible, mais le Système explosera suite à un krach économique et financier ou suite à un problème lié à l’invasion migratoire, toujours en cours en France, de 300.000 personnes par an, et plus vraisemblablement suite à de nouveaux actes terroristes musulmans du style Bataclan. Il y a une contradiction évidente entre la situation objectivement prérévolutionnaire que nous vivons et le calme apparent qui règne en France, pour deux raisons : « encore un petit moment, Monsieur le Bourreau », et « cachez ce sein que je ne saurais voir ».

    Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire pour les raisons suivantes :

    – Nous vivons une crise décadente des valeurs traditionnelles, morales et éthiques remettant même en question les lois de la nature (théorie du genre). L’Histoire, la patrie, la famille, l’éducation sérieuse et autoritaire des enfants, les hommes et monuments historiques ne correspondant pas à la pensée unique sont rejetés par une élite politique « UMPS » libertaire en marche, laxiste, repentante, ne pensant qu’à l’argent. Macron en est le symbole vivant.

    – Macron n’a obtenu le soutien que de 24 % des suffrages exprimés aux élections présidentielles. Sa descente abyssale dans les derniers sondages de popularité le confirme.

    – La délinquance entre 1968 et nos jours a triplé, pour atteindre 4,5 millions de délits par an.

    – Le chômage concerne 10 % de la population française et 25 % des jeunes de moins de 25 ans.

    – 69 % des Français estiment qu’il y a trop d’assistanat et rejettent la démagogie de gauche.

    – 68 % des Français pensent que la majorité des immigrés n’est pas intégrée, 65 % qu’il y a trop d’étrangers en France et 60 % que l’islam est incompatible avec les valeurs de la République. 81 % pensent que l’intégrisme islamique est une grave menace. La France et l’Europe pratiquent la politique de l’autruche et n’ont pas le courage de regrouper, dans des zones de rétention gardées, les migrants clandestins avant de les expulser en faisant pression sur leurs pays d’origine.

    – Les forces de police et les forces armées sont excédées par le laxisme des pseudo-élites politiques et par le manque de moyens, de nombreuses voitures de police ayant plus de 300.000 km au compteur.

    – 75 % des Français n’ont pas confiance dans les médias. 84 % font confiance à l’armée, 77 % à la police. 88 % demandent plus d’autorité et 85 % souhaitent un vrai chef.

    Sur le plan économique, les perspectives sont effrayantes, même si Macron veut obliger les Français à investir dans les actions et obligations pour se trouver un jour totalement ruinés :

    – La dette mondiale de 225.000 milliards de dollars ne sera jamais remboursée, tout comme la dette publique de la France.

    – Il y a une bulle sur les obligations, actions et l’immobilier tout à fait semblable à celle de 1929.

    – Les banques centrales sont en quasi-faillite avec, à leur actif, des dettes publiques, des actions d’entreprises et des obligations privées, ce qui est ahurissant et n’était pas le cas en 1929.

    – Le système bancaire fera défaut car ses actifs sont surévalués et les capitaux propres sont insuffisants.

    Il est regrettable que le FN de Marine Le Pen et de Philippot, comme l’a remarqué Robert Ménard dans sa courageuse et clairvoyante tribune, ait choisi ces moments prérévolutionnaires tout à fait comparables à ceux de 1789 pour se recentrer, au lieu de rester fidèle aux valeurs fondatrices du parti de Jean-Marie Le Pen, d’où son échec aux dernières élections, au-delà des insuffisances de Marine Le Pen et de l’erreur stratégique de Philippot.

    NDLR : Alexandre Kerenski était le chef du gouvernement provisoire en Russie avant d’être renversé en 1917 par Lénine et le parti bolchevique, lors de la révolution d’Octobre.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Spectacle pro-migrants à Breil-sur-Roya : à quoi joue André Ipert ?

    Communiqué de Génération Identitaire Nice du 29 août 2017

    Depuis notre communiqué du 23 aoûtles nombreux appels à la mairie de Breil-sur-Roya au sujet du spectacle pro-migrants du 2 septembre sont systématiquement basculés vers l’office du tourisme, qui renvoie à son tour vers la mairie, laquelle finit par botter en touche, le maire André Ipert étant indisponible pour répondre aux interrogations des Breillois et habitants de la région.

    Ce mutisme est étonnant.
    Le 22 novembre dernier, à l’antenne de France Bleu Azur, André Ipert se plaignait d’avoir dû « accueillir de manière un petit peu forcée des migrants mineurs ».
    Il précisait alors que l’accueil des migrants par des associations crée un « appel d’air » vers la France et la vallée de la Roya, l’information passant « très facilement » aux autres migrants massés à la frontière franco-italienne, de sorte que les associations elles-mêmes et la commune se trouvent « rapidement débordées » (extrait ci-dessous).

    Le maire divers gauche reconnaissait ainsi le rôle néfaste de ces organisations faussement « humanitaires » mais véritablement immigrationnistes.
    Rappelons également que le plus célèbre de ces individus sans-frontiéristes, Cédric Herrou, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis par la cour d’appel d’Aix-en-Provence pour ses activités de passeurs de clandestins.

    Alors pourquoi André Ipert accepte-t-il aujourd’hui de louer le chapiteau de la commune pour un spectacle de soutien – sans oublier d’en faire la promotion sur sa propre page Facebook ! – dont les bénéfices ne feront qu’alimenter les agissements de ces associations et créer de nouveaux appels d’air ?

    Avec courtoisie mais fermeté, posons la question directement à Monsieur Ipert et mettons-le face à ses contradictions :

    > Sur sa page Facebook
    > Par courriel : monsieurlemaire@villedebreil.fr
    tourismebreilsurroya@wanadoo.fr (office du tourisme)
    > Par fax : 04 93 04 99 70 
    > Par téléphone : 04 93 04 99 99

    Aucune aide ni soutien aux complices de l’immigration clandestine !
    —————————————————-
    Écoutez le maire de Breil évoquer « l’appel d’air » créé par les associations qui accueillent les migrants (France Bleu Azur, novembre 2016).

    http://www.medias-presse.info/spectacle-pro-migrants-a-breil-sur-roya-a-quoi-joue-andre-ipert/79493/

  • Réforme, quelles réformes ?

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    Patrick Parment

    En France, c’est toujours la même litanie : tout un chacun a bien conscience que notre pays fonctionne mal et qu’il est grand temps d’opérer des changements.

    Mais voilà, dès que l’on prononce le mot « réforme », ce sont des hurlements, syndicalistes en tête, relayé illico par le Medef. On a les syndicats les plus conservateurs et le patronat le plus borné du monde. Si vous additionnez les revendications syndicales d’un côté, celles du Medef de l’autre, c’est le blocage assuré.

    Pour ne rien arranger, on a la classe politique la moins aventureuse et la plus inculte qui soit et qui s’imagine que tout mouvement risquerait de remettre en cause son statut et ses conforts. Raison pour laquelle nos élus se gargarisent de grands mots mais refusent de passer à l’acte.

    Ajoutez à cela la frilosité de nos gouvernants que le moindre mouvement de rue fait automatiquement reculer et vous aurez une photo grandeur nature de la société française.

    Pour toutes ces raisons, on attend Emmanuel Macron au tournant. Car la grande nouveauté, c’est qu’entre le président de la République et le peuple français, il n’y a plus d’obstacles. Qu’une illusoire République en marche ! 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/