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France et politique française - Page 2703

  • Le rejet de la nation, de gauche à droite

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    Cette tribune [13.08] - d'une pertinence toujours égale - est de celles que Mathieu Bock-Côté donne sur son blogue du Journal de Montréal. Il aura été, depuis quelque temps déjà, un observateur lucide non seulement des évolutions politiques des pays dits encore occidentaux mais aussi de leur situation sociétale qui n'est pas de moindre importance.  L'esprit de ces chroniques, comme de celles qu'il donne au Figaro, est, au sens de la littérature et de l'histoire des idées, celui d'un antimoderne, même s'il n'est pas sûr qu'il acquiescerait à cette classification. Il s'est en tout cas imposé, selon nous, comme un esprit de première importance. Mathieu Bock-Côté rappelle ici à propos de la nation et de l'enracinement quelques vérités essentielles lesquelles  sont, d'ailleurs le fond des doctrines qui sont les nôtres.  LFAR 

    1841033494.jpgLe refus de l’enracinement est certainement un des traits caractéristiques de l’idéologie dominante de notre temps. Il trouve des relais à gauche comme à droite. En fait, l'orgueil commun à la gauche radicale « altermondialiste » et à la droite néolibérale globaliste, c’est de regarder la patrie (et plus particulièrement sa patrie) avec condescendance et mépriser ouvertement ceux qui y tiennent, comme s’ils étaient des attardés enfermés dans une époque révolue, et résolus à ne pas en sortir. C’est une forme d’orgueil qui se veut progressiste. Ils sont nombreux à s’en réclamer chez ceux qui se veulent éclairés et à l’avant-garde.

    Lorsqu’ils sont pessimistes et du premier camp, ils spéculent sur une planète qui broierait les frontières et condamnerait les pays à l’insignifiance. C’est une forme de snobisme déguisé en lucidité catastrophiste. Ils prennent la pose, maudissent les étroits d’esprit et administrent leur catéchisme. Ils tonnent : comment peut-on penser à l’échelle nationale quand la solidarité doit être mondiale ?! C’est une phrase creuse mais ils la prennent pour une réflexion profonde. Ils ne comprennent manifestement pas que l'homme a besoin de médiations pour participer au monde. Ils en profitent aussi pour présenter le nationaliste ordinaire comme un petit être mesquin attaché à ses privilèges, sans noblesse, sans humanité. Ils résistent rarement à la tentation de l’accuser de racisme. Il faut dire que le grand pouvoir de la gauche radicale, c'est l'étiquetage idéologique, qui repose sur le pouvoir de l'injure publique.

    Lorsqu’ils sont optimistes et du deuxième camp, ils nous disent qu’un monde mondialisé est riche de tellement de possibles qu’il serait sot de se montrer exagérément attaché à sa patrie – ils n’y voient que la marque d’une psychologie obtuse. L’individu peut être citoyen du monde: n’est-ce pas la plus grande libération de l’histoire humaine ? Ils témoignent alors d’une fausse tendresse vraiment hautaine pour les hommes de « l’ancien monde », attachés à leurs certitudes, et incapables d’oser la liberté, comme s’ils appartenaient encore à l’âge infantile de l’humanité. L’appartenance, chez eux, est strictement contractuelle : elle ne saurait relever de l’héritage. À chaque génération, l’homme doit s’arracher au passé. La révolution technologique, qui est aussi celle des communications, liquiderait les vieilles nations. Au nom de la diversité et de l'ouverture au monde, ils nous invitent à tous nous convertir à l'anglais. Les langues nationales ne seront plus que des reliques.

    Dans les deux cas, ils ne désirent pas masquer leur sentiment de supériorité morale : ils paradent dans l’espace public en le revendiquant. Le cosmopolitisme, chez eux, ne consiste pas à transcender sa patrie mais à la nier, et à en nier le besoin. Ils se disent soucieux de l’avenir du genre humain mais celui qu’ils ne peuvent endurer, c’est l’homme ordinaire, qui aime son pays, qui veut transmettre le monde qu’il a reçu et qui ne voit pas pourquoi il devrait détester les siens pour aimer l’humanité. Ce qu’ils ne peuvent tolérer, c’est l’homme qui a besoin d’une demeure et qui n’a pas honte de vouloir être maître chez lui.  

    Mathieu Bock-Côté

    XVM1ee2f1d6-5507-11e7-a55a-1181ae6a8cf3-100x155.jpgMathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • AMIS ET ENNEMIS

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    Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

    Depuis toujours nos Anciens le savaient : dans la vie des sociétés humaines s’opposent, pour différentes raisons que les vrais historiens s’efforcent d’analyser objectivement, librement, des gens qui n’ont rien en commun : ni origines, ni convictions, ni intérêts. C’est une réalité que certains veulent nier. Mais elle existe et ils n’y peuvent rien. C’était le cas hier, c’est le cas aujourd’hui, ce sera le cas demain. Tant qu’il y aura des hommes… Les sages l’admettent et en tirent les conclusions qui s’imposent, à savoir qu’il est vital de savoir distinguer amis et ennemis pour agir en conséquence, en traitant les ennemis comme tels, sans hésitation ni scrupule. Les autres se condamnent à ne rien comprendre et à payer le prix de leur incompréhension.

    Chaque jour l’actualité nous apporte des illustrations de cette évidence.  

    Etats-Unis : les apôtres d’une société multiraciale, censée apporter la paix et le bonheur universels, entendent éradiquer, au nom de leur catéchisme, la mémoire d’un peuple resté attaché à son histoire et à son identité. Ils font donc du chantage auprès des notables – aussi lâches aux Etats-Unis que partout ailleurs – pour faire disparaître statues et drapeaux rappelant les sacrifices des Confédérés pendant et après la guerre de Sécession (voir Dominique Venner, Le blanc soleil des vaincus (La Table Ronde, 1975) et Gettysburg, (Editions du Rocher, 1995) ainsi que Terre et Peuple Magazine n° 57 « L’ennemi yankee »). Mais ces gens auront beau dire et beau faire, l’identité sudiste survivra et elle s’inscrit dans un combat qui motive beaucoup de femmes et d’hommes à l’échelle de la planète, comme l’a dit avec talent Maurice Bardèche dans l’un de ses meilleurs livres, Sparte et les Sudistes (Les Sept Couleurs, 1969).

    Allemagne : les agressions sexuelles contre des Allemandes par des « migrants » continuent à se multiplier. Avec la lâche complicité des « autorités » ( ?) politiques, religieuses, culturelles, Merkel en tête. 

    Finlande : deux femmes, dont l’une avait un enfant dans un landau, sont tuées et huit blessés frappés à coups de poignard par un Marocain de 18 ans, « demandeur d’asile ». Silence des défenseurs habituels des « migrants ».

    Russie : à Sourgout, ville de Sibérie occidentale, un « combattant de l’Etat islamique » a blessé sept personnes – dont l’une est entre la vie et la mort – à coups de couteau.

    Catalogne : les attentats de Barcelone et Cambrils, qui ont fait 14 morts et 130 blessés, ont été revendiqués par l’Etat islamiste. Leurs auteurs, dont un imam, étaient d’origine marocaine. Les islamistes n’ont jamais fait mystère de leur volonté de reconquérir l’Espagne, pour effacer la Reconquista qui les avait chassés au Moyen Age. Invoquant bien entendu le désormais sacro-saint « vivre ensemble », cette tartufferie pondue par une gauche et une droite aussi méprisables l’une que l’autre pour justifier l’invasion de notre terre, le recteur de la Grande Mosquée de Paris Dalil Boubakeur, faux-cul habitué à ce genre de singerie, dénonce « l’ignoble acte terroriste » commis en Catalogne… sans utiliser une seule fois le mot « islam ».

    Comme toujours, les irresponsables censés assumer le pouvoir, en France comme ailleurs (sauf en Russie…), se dépêchent de nous servir le refrain « pas d’amalgame » (c’est évident : l’islam n’a rien à voir avec les gens qui assassinent en son nom…) et, pour lutter contre le terrorisme, allument courageusement de petites bougies, déposent des bouquets de fleurs et vont à la messe…  

    Les terroristes, tout comme les niais bisounours qui ne savent que pleurnicher devant les victimes du djihâd, ont en fait leur utilité : ils suscitent des vocations de nouveaux résistants chez de paisibles Européens qui découvrent qu’une guerre à facettes multiples est engagée… qui n’épargnera personne. La seule question qui se pose : subir ou se battre. Que chacun fasse son choix.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Immigration : la sécurité nationale est le plus sûr rempart de la sécurité personnelle

    Le Pape François a publié son message pour la 104ème Journée mondiale du Migrant et du Réfugié 2018. Dans Le Figarovox, Laurent Dandrieu réagit :

    "[...]  Quand, dans ce nouveau message, François écrit que «le principe de la centralité de la personne humaine (…) nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale», il donne en quelque sorte une version plus théorique de cette précédente déclaration. La question est de savoir si, ce faisant, il ne cède pas à un certain idéalisme, potentiellement désastreux: car c'est oublier que la sécurité nationale est le plus sûr rempart de la sécurité personnelle, et qu'il n'existe aucune sécurité personnelle qui puisse exister en dehors de cadres politiques, juridiques et légaux qui en sont le rempart.Aucune sécurité personnelle ne peut exister si les nations occidentales, par exemple, du fait du terrorisme ou d'une immigration incontrôlée et ingérable, basculent dans l'anarchie.

    Par ailleurs, le principe de la centralité de la personne humaine oblige à considérer, aussi, que les citoyens des nations occidentales ont un droit évident à la sécurité nationale. On attend vainement, tout au long de ce texte, une prise en considération des intérêts des populations des pays d'accueil, qui ont droit, eux aussi, à la sollicitude de l'Église, et dont une partie de plus en plus importante vit, elle aussi, des situations de grande détresse et de grande précarité, matérielle, spirituelle et morale.

    Deuxième élément important et pour le coup très novateur de ce texte: le pape prend position pour «la défense des droits et de la dignité des migrants ainsi que des réfugiés, indépendamment de leur statut migratoire»: ce qui veut dire qu'il réclame des droits égaux pour les clandestins et pour les immigrants légaux, pour les demandeurs d'asile et pour les immigrés économiques. Parmi ces droits figurent «la liberté de mouvement dans le pays d'accueil, la possibilité de travailler et l'accès aux moyens de télécommunication»: ce qui veut dire, concrètement, que le pape réclame un droit d'installation préalable pour tous les migrants, avant même que soit étudié leur cas. Ce qui revient à donner une prime à l'illégalité d'autant plus forte qu'il est évident qu'un clandestin qui, entre-temps, aura trouvé un moyen de subsistance, aura d'autant moins de chance de voir son dossier rejetéCette prime à l'illégalité me paraît une seconde atteinte, très forte, contre les droits des nations et la citoyenneté: car la nation, la citoyenneté n'existent que par un consensus sur la légitimité de la loi. Si on postule que la loi est faite pour être contournée, il n'y a plus de bien commun possible.

    [...] Dernière clarification: en stipulant que les migrants doivent être mis en situation de se réaliser y compris dans leur dimension religieuse, le pape François donne une sorte de blanc-seing à l'entrée massive de populations de religion musulmane et à l'acclimatation de la religion musulmane sur le continent européen, en semblant indifférent aux innombrables problèmes identitaires et sécuritaires que cela pose.

    [...] Le discours de l'Église, en son Catéchisme, reconnaît à la fois le droit de migrer quand la nécessité s'en fait sentir, et le droit des États de limiter les flux quand ils l'estiment nécessaire. Mais, dans les faits, le discours des papes oublie fréquemment ce second aspect. [...]"

    Sous la pression de l'immigration de masse et de l'idéologie multiculturaliste, les sociétés occidentales se réduisent de plus en plus à une juxtaposition de communautés d'origines, de cultures et de religions différentes, qui se regardent en chiens de faïence faute d'avoir de référence commune, autre que de très vagues principes abstraits, tels que cette «culture de la rencontre» à laquelle le pape François tend à réduire l'identité européenne. Le bien commun, faute de valeurs partagées, se réduit ainsi à un vivre ensemble qui, de plus en plus, tourne dans la réalité à un apartheid de fait. Soit le contraire du but recherché, et une catastrophe civilisationnelle majeure en germe tant pour les peuples européens que pour les populations immigrées."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/immigration-la-s%C3%A9curit%C3%A9-nationale-est-le-plus-s%C3%BBr-rempart-de-la-s%C3%A9curit%C3%A9-personnelle.html

  • "GPA reconnu en France" Ludovine de La Rochère s'exprime sur CNews le 5 juillet 2017

  • ON REGARDE BARCELONE… ET ON OUBLIE SAINT-DENIS !

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    1 lance-roquettes anti-char, 3 pains d’explosif, 2 fusils à pompe, des munitions de 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, des gyrophares et des gilets pare-balles.

    C’était jeudi dernier, le 17 août, le jour où le fascisme islamiste a frappé sur les Ramblas de Barcelone et à Cambrils, monopolisant totalement l’attention et les médias.

    L’horreur une fois encore, la folie criminelle, la guerre civilisationnelle, mais surtout les images qui font vendre, l’immédiateté des reportages qui n’en sont pas, « l’information en continu » qui ne s’attache qu’au spectaculaire, à l’émotion qui fouaille les ventres et les cœurs mais se garde bien de parler à la tête.

    En réalité, dans ces moments de pseudo-communion, l’information n’existe simplement plus. La réflexion encore moins. Ça évite d’établir entre les faits des liens qu’on pourrait juger « dérangeants ». Ainsi a-t-on passé sous silence ou presque la saisie qui a eu lieu ce jeudi 17 août à Saint-Denis, en banlieue parisienne, dans la cité Jacques-Duclos qu’on dit gangrenée par le trafic de drogue, en omettant que celui-ci est aussi le terreau où prospèrent les islamo-délinquants.

    Ont donc été saisis, nous dit Le Parisien : un lance-roquettes antichar et trois pains d’explosif tolite, deux fusils à pompe, des munitions de calibre 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, de l’argent liquide, des gyrophares de police et des gilets pare-balles. Deux hommes de 30 et 40 ans ont été mis en examen et écroués pour trafic d’armes et de stupéfiants.

    Le bailleur, Plaine Commune Habitat, qui gère cette cité (et plus de 18.000 logements sur le département), écrit dans un communiqué avoir « à maintes reprises » alerté la préfecture sur « la situation grave » de cette cité, loin d’être un cas isolé à Saint-Denis. L’un de ses gardiens, récemment embauché, a été entendu dans cette affaire et l’on rappellera qu’un camion en provenance d’Espagne et transportant 500 kg de cannabis avait été intercepté par les douanes en novembre dernier alors qu’il entrait dans un local municipal de Saint-Denis…

    On peut, certes, se rassurer en feignant de croire que crime organisé et terrorisme sont des univers distincts, mais tout démontre le contraire. Nos terroristes « français » sont, sans exception aucune, des individus passés par la délinquance et le banditisme, et les jeunes qui se radicalisent en prison n’y sont pas arrivés en se trompant de porte avec les cours du soir.

    L’arsenal saisi jeudi n’était peut-être destiné qu’à attaquer des fourgons blindés ou faire exploser des guichets bancaires, mais rien n’est moins sûr. Et même dans cette hypothèse, on sait que l’argent des trafics finance le terrorisme de par le monde.

    Saint-Denis, l’une de ces cités radieuses de la France communiste d’après-guerre, est aujourd’hui un véritable abcès, un membre gangrené de la République française. C’est là que s’est achevée la cavale de Chakib Akrouh et d’Abdelhamid Abaaoud après les tueries des terrasses et du Bataclan en novembre 2015. Là où Salah Abdeslam, l’organisateur et dernier survivant du commando, avait déposé ses troupes à l’entrée du Stade de France.

    Un Salah Abdeslam qui conserve son mutisme face à la justice et dont le retour dans l’actualité n’intéresse curieusement pas les médias français, à l’exception du journal Ouest-France qui a rapporté l’information publiée par le quotidien hongrois Magyar Idök. On savait, à ce jour, qu’Abdeslam avait rapatrié depuis Budapest les trois auteurs de la tuerie du Bataclan qui arrivaient de Syrie. On apprend, aujourd’hui, qu’il aurait en fait rapatrié treize personnes en tout, des terroristes « infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants ». Mais le plus gênant, qui explique sans doute ce silence pudique des médias, c’est que « le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire ».

    Mais, chut ! En France, on ne critique pas les ONG.

    http://www.bvoltaire.fr/on-regarde-barcelone-on-oublie-saint-denis/

  • Lutte contre l'immigration : les ONG déchantent face aux succès des Identitaires

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    Médecins sans frontière (MSF) vient de suspendre ses opérations de sauvetage des immigrés en mer Méditerranée suite à une circulaire des autorités libyennes qui veulent restreindre l'accès à leurs eaux internationales aux navires étrangers. Ce document crée une très vaste zone maritime dans laquelle les bateaux étrangers n'ont plus le droit de naviguer sans autorisation. Les ONG qui collaborent à l'invasion de l'Europe sont donc particulièrement touchées par cette circulaire.
    Dans le même temps, le C-Star, navire affrété par des militants identitaires luttant contre l'immigration en Méditerranée, est reparti après cinq jours de blocage en face de la Tunisie. Il avait simplement arrêté ses moteurs pour résoudre un problème technique.
    Bloqués depuis dimanche dernier au large de la Tunisie, où des pêcheurs et un puissant syndicat s'opposaient à leur ravitaillement, les militants du C-Star étaient sortis jeudi soir de leur silence. "Notre bateau à été ravitaillé, tout va bien, il retourne sur zone", a lancé Clément Galand, militant français à bord. 
    Le C-Star navigue au large de Zouara, dans l'ouest de la Libye. Le C-Star, un navire de 40 mètres qui bat pavillon mongol, a été loué à Djibouti par le groupe "Génération identitaire". A bord, des militants allemands, français, italien et autrichien, financés grâce à un appel aux dons sur internet qui a récolté plus de 215 000 dollars depuis mi-mai, entendent s'assurer que les immigrés secourus dans les eaux internationales au large de la Libye soient reconduits en Afrique. Ils révèlent aussi les pratiques scandaleuses des ONG, qui collaborent au trafic d'êtres humains
    La semaine dernière, ils ont appelé deux navires d'ONG présents au large de la Libye à quitter la zone. "Vous agissez comme un facteur incitatif pour les trafiquants d'êtres humains", ont-ils dénoncé par radio. 
    Cette initiative est baptisée "Defend Europe". Dans un communiqué, l'association indique : 
    "Defend Europe fait actuellement la Une des médias italiens : reportage dans les journaux télévisés, émissions de radios, articles dans la presse écrite… Notre impact est énorme dans un pays frappé de plein fouet par les activités des ONG et des passeurs d’immigrés clandestins. 
    Dans le même temps, une partie de la gauche activiste italienne nous accuse d’avoir joué un rôle dans l’immobilisation du Juventa, ce navire de l’ONG Juggend Rettet’s, pris la main dans le sac il y a une semaine, en train d’échanger des informations avec des passeurs tout en embarquant des clandestins. Hier, nous avons intercepté un échange radio entre le Golfo Azzuro de l’ONG Open Arms et la marine italienne. Cette dernière ayant remarqué que le Golfo Azzuro était entré dans les eaux libyennes pour récupérer des clandestins lui interdisait de remonter vers les ports italiens. Suite à quoi, nous nous sommes mêlés à la conversation pour dire à l’équipage du Golfo Azzuro qu’il n’était plus le bienvenu au large des côtes de Libye
    Enfin, une autre bonne nouvelle ! Médecins sans frontières qui refuse de signer la charte proposée par l’Italie aux ONG prévoyant notamment la présence d’un policier à bord, lance un cri d’alarme : les campagnes engagées récemment contre les ONG portent un coup très dur à ses finances. MSF parle d’une « chute verticale des dons, une véritable catastrophe sur le plan financier qui risque d’entraver notre action ». Moins d’actions des ONG, c’est moins de clandestins, et donc en bout de chaîne une baisse du chiffre d’affaires des réseaux de passeurs." 
  • Derrière l’islamisation rampante de la France, ne pas oublier la fracture raciale [rediffusion]

    Par Jean Dutreuil, journaliste ♦

    Notre communauté de la ré-information patriote, si faible numériquement soit-elle, n’en témoigne pas moins d’un extrême dynamisme. Néanmoins, ce foisonnement d’idées, de livres et d’initiatives émanant de la « réinfosphère », pèche par une insuffisante prise en compte de la fracture raciale de notre pays. On doit cette lacune au fait que la majorité des blogs de la réinfosphère sont animés par des catholiques imprégnés d’universalisme chrétien voyant l’Autre comme un frère et concentrant principalement leur lutte contre l’islam politique.

    Ainsi, par exemple, le charismatique François Billot de Lochner, directeur du collectif France Audace, ne propose pour résoudre le malaise identitaire, dans son dernier ouvrage Échapper à la mort de la France, que le tarissement des flux migratoires, alors même que les naissances extra-européennes sur notre territoire dépasseront dans 10 ans celles des autochtones.

    Son site, Liberté Politique, souhaite convertir les musulmans au christianisme afin de les assimiler. Mais ce désir se bloque à plusieurs problèmes concrets. D’une part, il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’un peuple en train de devenir démographiquement minoritaire puisse intégrer à sa culture et à sa religion des minorités en passe de le dominer par le nombre. D’autre part, si la conversion avait lieu, elle serait minée par des différences identitaires. En effet, l’universalisme des grandes religions planétaires butte systématiquement sur la diversité ethnique qui a tendance à modifier le dogme originel en fonction des spécificités ethno-culturelles. Pour pouvoir divulguer leur foi à l’humanité, le christianisme et l’islam postulent que les êtres humains sont identiques. Or ce paradigme est faux. Les distinctions culturelles et sociologiques ont pour source des différences biologiques irréfragables.

    Exemple chrétien : le dogme de l’incarnation du Christ a été défini non pas à l’aube du christianisme mais plusieurs siècles plus tard au travers des conciles œcuméniques organisés par une élite impériale européenne dont les aïeux vénéraient des dieux et héros païens incarnés, engendrés de vierges. Mais ce dogme fut majoritairement rejeté par les chrétiens sémites d’Afrique du Nord et du Moyen Orient qui adoraient dans leur passé pré-chrétien des dieux purement spirituels. Aujourd’hui comme hier, 90% d’entre eux sont donc monophysites (voir Le dictionnaire de l’Histoire, monophysisme, monothélisme, orthodoxie), excluant pour certains la nature humaine et pour d’autres la nature divine du Christ.

    Ces fractures existent aussi dans l’islam, même radical. Celui-ci émane des bédouins de la pureté du désert de la péninsule arabique et considère qu’on ne doit rendre un culte qu’à un Dieu absolu et uniquement spirituel. Toute vénération des saints est donc totalement prohibée. Or l’islam radical qui gagne toujours plus d’Africains subsahariens ne parvient guère à les extraire de leur culture animiste ancestrale. La secte islamiste nigérienne Boko Haram qui souhaite étendre l’islam radical dans tout l’arc saharo-sahélien a eu beaucoup de mal à conclure une alliance avec l’organisation Daesh implantée en Libye, répugnée par ses pratiques animistes jugées infâmes. Comme l’a exprimé avec justesse le romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’islam ».

    Pour finir, quand bien même tous les extra-Européens seraient de fervents cathos-tradis, la France resterait un enfer. Il suffit simplement de voir ce que sont devenues les Amériques, dont l’écrasante majorité des populations est chrétienne. Comme nous pouvons le constater sur la carte Sécurité voyageurs de notre ministère des Affaires étrangères, les pays d’Amérique latine les plus sûrs sont ceux où l’homogénéité raciale à dominance européenne est la plus forte, comme par exemple l’Argentine (87% de blancs) et le Chili (58% de blancs). Plus la société est diverse et plus elle est dangereuse à l’instar de la Colombie (37% de blancs, 49% de métis 10,6% de noirs et 3,4% d’amérindiens) ou du Mexique (15% blancs, 70% métis, 12% indigènes, 3% autres).

    Les Etats-Unis n’échappent pas à la règle. Ces fractures se montrent au grand jour lors des élections. Les Blancs qui seront minoritaires en 2060 votent à plus de 60% pour le parti républicain, alors que les Noirs donnent 90% de leurs voix et les Latinos 70% des leurs au parti démocrate. Au sein de ces populations, il y a une ethnicisation du christianisme : les Latinos pratiquant un catholicisme quasi-identitaire, aux côtés de protestants divisés, si l’on schématise, entre baptistes afro-américains et méthodistes anglo-américains. Dans ce pays multiracial dont nous avons une image tronquée par les réussites de Facebook, Google et de l’industrie hollywoodienne, le reporter Michel Floquet nous rappelle qu’un enfant sur quatre mange à la soupe populaire alors que 50% du budget annuel sont consacrés à une armée qui perd toutes ses guerres, que 30 personnes environ meurent quotidiennement sous les balles d’armes à feu et qu’un quart des jeunes noirs est dans des prisons contenant la plus grande population carcérale, dépassant proportionnellement celle de la Chine et de la Corée du Nord !

    Comme chez nous, l’écrasante majorité des extra-Européens s’est implantée à partir des années 1970 grâce à la loi du Président Johnson libéralisant l’immigration. Les Afro-américains issus de cette nouvelle vague récente sont beaucoup plus nombreux que les descendants d’esclaves et de la ségrégation. De mémoire, il y a 50 millions d’hispaniques dont 11 millions d’illégaux. Un flux continu d’immigrés se déverse du Mexique charriant un grand nombre de criminels et de trafiquants de drogues. Ils émanent des cartels mexicains qui ont en 2015, torturé et tué, à proportion égale, deux fois plus de victimes que Daesh, selon le géopolitologue Alexandre Del Valle. Un grand nombre de Latinos ne s’intègre pas, refusant de parler l’anglais et souhaitant rattacher les Etats du sud au Mexique qui les avaient perdus lors de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). En ayant ces données en tête, on comprend la popularité d’un Trump !

    Par conséquent, au côté d’une lutte implacable contre l’islam radical, le redressement de la France – puisque c’est elle qui nous intéresse au premier chef – nécessitera la mise en place, sur une période de 40 ans, d’une remigration de tous les extra-Européens ne pouvant ou ne voulant s’intégrer économiquement et culturellement. Au côté de cette remigration, notre diplomatie devra favoriser l’émergence de pouvoirs forts et durables en Afrique afin qu’ils mettent en place des politiques de régulation des naissances à l’instar de la Chine afin d’enrayer une démographie suicidaire, principale cause de la paupérisation et de la radicalisation islamique du continent noir et du déferlement migratoire sur l’Europe.

    Jean Dutreuil 12/04/2016

    Sources bibliographiques :
    – Triste Amérique de Michel Floquet
    – Osons dire la vérité à l’Afrique de Bernard Lugan
    – Immigration : la catastrophe. Que faire ? de Jean-Yves Le Gallou
    – Pour les statistiques ethniques de l’Amérique latine : Wikipédia

    Source : ndf.fr

    https://www.polemia.com/derriere-lislamisation-rampante-de-la-france-ne-pas-oublier-la-fracture-raciale/

  • Action Française • Pour saluer l'ouverture du Camp Maxime Real del Sarte, aujourd'hui : la parole aux militantes !

    Une sympathique façon de présenter le Camp Maxime Real del Sarte et de saluer son ouverture, aujourd'hui. 

    Les militantes de l'AF Provence donnent leurs impressions sur le CMRDS - Université d'été d'Action Française de l'année dernière.

    Rendez-vous du 20 au 27 aout pour l'édition 2017 !

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    (Cliquer pour regarder) 
  • Deux ans après la disparition d'Emmanuel Ratier, l'IER s'organise

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    Présent soutient l'initiative.

    Il en va bien sûr de même pour Synthèse nationale...