Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 2726

  • Des dizaines d’adhérents de La République en Marche dénoncent un manque de démocratie interne

    Une trentaine de militants ont déposé un recours en référé devant le tribunal de grande Instance de Créteil pour obtenir l’annulation du scrutin qui a démarré dimanche et se tient jusqu’au 30 juillet. L’audience de référé est fixée à 13 h 30 mardi.

    Ces militants dénoncent un manque de démocratie interne et estiment surtout que les nouveaux statuts ont été soumis au vote sans tenir compte du délai légal prévu par les propres textes du parti. Ce vice de forme devrait être, à leurs yeux, suffisant pour obtenir en justice le report du vote en décembre.

    « Nous avons alerté les instances du parti à maintes reprises sans jamais obtenir de réponses, hélas ! On se doit d’être exemplaire. » « On est heureux qu’Emmanuel Macron soit arrivé à l’Élysée, et maintenant que c’est fait on a En Marche ! qui décide de changer de statuts. On s’est retrouvé avec des statuts, en quelque sorte, imposés par le QG. On a essayé de les avertir, de leur dire qu’on aimerait débattre, c’est la démocratie, c’est participatif, et on a eu une fin de non-recevoir. »

    Le 8 juillet, lors de la convention nationale du mouvement, certains participants s’étaient étonnés de ne pouvoir consulter un exemplaire intégral des futurs statuts. « Ce manque de démocratie interne est d’autant plus dénoncé que les nouveaux statuts ont été rédigés dans la précipitation, sans consultation approfondie des militants et sont soumis à leur vote au cœur de l’été ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pierre JOVANOVIC reçoit L.FENDT LA REVU DE PRESSE JUILLET AOUT

  • Pierre de Villiers : l’honneur d’un général ?

    1200x768_general-pierre-villiers-chef-armees-francaises-14-juillet-2017-1200x660-810x446.jpg

    Yann Vallerie

    Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, vient de donner sa démission à Emmanuel Macron, ce mercredi.

    La raison ? Les coupes budgétaires drastiques prévues dans le budget des armées.

    Et la droite d’exulter, et d’ériger en nouvelle icône ce général, frère de Philippe de Villiers.

    Et la droite de vanter le mérite, le courage, l’honneur de celui qui a osé, pour la première fois dans la Ve République, dire non à un Président.

    Que d’hypocrisie, tout de même !

    Car le général Pierre de Villiers est dans l’armée depuis 1973 et il a passé sa carrière à obéir, y compris aux ordres et aux politiques les plus effroyables.

    Il n’a pas démissionné lorsque la France lui a ordonné d’entrer au Kosovo avec la KFOR (Kosovo Force/Force pour le Kosovo) et que l’on bombardait le peuple serbe, provoquant la création d’un état mafieux et islamiste au cœur de l’Europe.

    Il n’a pas démissionné de l’armée lorsque la France a contribué à détrôner et à assassiner Mouammar Kadhafi, provoquant la plus grande crise migratoire jamais connue à ce jour et un destin incertain pour notre civilisation.

    Il n’a pas démissionné, enfin, lorsque la France a décidé, à la botte des Américains, d’envoyer des jeunes mourir en Afghanistan, en Irak, en Afrique, pour combattre un islamisme que notre pays est, par ailleurs, incapable de combattre sur son propre sol.

    Qu’on arrête de se moquer du monde. Pierre de Villiers achève sa carrière débutée en 1973 par un coup médiatique lui assurant l’éternelle reconnaissance d’un peuple de droite décidément toujours aussi amnésique quant aux errances acceptées depuis trop d’années par le commandement de la grande muette.

    Breizh info cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 173 terroristes potentiels pouvant frapper en Europe

    L'organisation internationale de police Interpol a diffusé aux services de renseignements européens une liste de 173 combattants de Daesh, terroristes potentiels, soupçonnés de vouloir rejoindre l'Europe pour y mener des attaques suicides. Ces membres de l'organisation jihadiste auraient été formés à mener des attaques suicides de façon isolée, pour venger les récentes défaites de Daesh en Irak et en Syrie, où le groupe perd de plus en plus de terrain. Selon Interpol, cet effondrement du "califat" pourrait donc faire augmenter le risque d'actions kamikazes menées sur le continent européen.

    La liste décrit précisément ces hommes comme des individus pouvant avoir été "formés pour construire et positionner des engins explosifs improvisés afin de causer de décès et de graves blessures". Cette liste a été établie par le renseignement américain, sur la base de centaines de documents retrouvés dans les cachettes des jihadistes, lors d'opérations militaires contre des positions de Daesh. Les documents ont ensuite été donnés au FBI, qui a, à son tour, transmis la liste à Interpol. La liste constitue une véritable base de données, puisqu'elle mentionne le nom des 173 suspects, mais aussi leur date de recrutement par Daesh, leur dernière adresse connue, la mosquée dans laquelle ils avaient leurs habitudes, le nom de leur mère, ainsi que des photos. Pour chaque combattant, un numéro d'identification a été créé afin que tous les pays membres d'Interpol puissent croiser ces nouvelles données avec celles déjà disponibles dans les bases de données locales.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Emmanuel Macron, le petit caporal épinglé

    macron-4.jpg

    Tous les médias, depuis deux semaines, parlent de malaise dans l’armée sans en désigner les données spécifiques, seul Paris Matcha tenté d’approfondir celles-ci. Voici, pour moi, les cinq maux qui touchent aujourd’hui la Défense.

    1) Coupe dans le budget et départ du général Pierre de Villiers. Mercredi 19 juillet, en fin d’après-midi, de très longs applaudissements du personnel de l’état-major saluaient, à Balard, le départ du CEMA. Ce n’est pas simplement ses subordonnés qui lui rendaient hommage, derrière, c’est toute l’armée qui honorait ce général pour son geste courageux. Il est peu fréquent, dans le milieu militaire, qu’un chef mette ses actes en conformité avec ses idées, créant ainsi un vaste élan de reconnaissance.

    2) L’inexistence de l’actuel ministre de la Défense. Je suis sûr que vous n’avez pas retenu son nom : Florence Parly est la patronne de la Défense – patronne est un bien grand mot. Cette énarque, successivement secrétaire d’État au Budget puis, en 2016, directrice générale de SNCF Voyageurs n’a rien dans son CV pour rassurer les personnels de la Défense. Pour elle, le domaine militaire, c’est le néant et son silence est là pour le confirmer. Silence doublé d’une absence inqualifiable lors de la passation de pouvoir entre les deux chefs d’état-major des armées à l’hôtel de Brienne. 

    3) Le général François Lecointre, homme du Président. Cet ancien de la « Coloniale », qui a commandé le 3e régiment d’infanterie de marine (RIMa) de Vannes, a été présenté par les journalistes comme un héros. Pourtant, il n’a pas laissé une image aussi unanime après son dernier passage à Matignon où il était, depuis 2016, le chef de cabinet militaire de Valls. On le dit proche de Macron et de l’actuel Premier ministre Édouard Philippe. Il l’est moins de différentes personnalités, figures reconnues de l’institution militaire. Loin d’éteindre la grogne, la nomination du général Lecointre exacerbe les tensions. Les trois chefs d’état-major Jean-Pierre Bosser (Terre), Christophe Prazuck (Mer) et André Lanata (Air), pour ne citer qu’eux, pourraient réserver un accueil glacial au nouveau CEMA. « Confiance rompue »« institution militaire choquée, stupéfaite » : l’ancien général de l’armée de terre Vincent Desportes n’a pas mâché ses mots contre l’État sur Europe 1. D’ailleurs, des officiers auraient été approchés et auraient refusé, par loyauté, de prendre la place du général de Villiers. Ce serait peut-être même le cas du général Bosser, para avéré, qui fit une grande partie de sa carrière au 8e RPIMa.

    4) Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers. Ses interventions successives contre le général de Villiers et sa nomination de Lecointre dénotent un ego surdimensionné. Notre caméléon de vestiaire a cru qu’il allait amadouer l’armée en s’habillant tantôt en sous-marinier de la « Royale » tantôt en combinaison Top Gun de l’armée de l’air. C’est l’inverse qui se produit, les cadres qui ont pu l’approcher se gaussent de ce Président qui n’a jamais servi dans un corps militaire mais qui aime jouer au petit soldat. Surtout, ils se méfient d’un chef qui, inféodé à Merkel et au 3 % de déficit de l’Union européenne, n’a pas son libre arbitre et aime manipuler ses interlocuteurs en expliquant tout et son contraire.

    5) Enfin, sur le terrain, la situation se détériore. Ainsi dans le Sahel, où l’essentiel de nos forces est mobilisé, des pans entiers du territoire malien sont laissés à la coalition terroriste menée par le chef touareg Iyad Ag Ghali. Des raids meurtriers et une embuscade ont été menés ces derniers jours contre l’armée malienne, obligeant les militaires de l’opération Barkhane à gérer une nouvelle fois en urgence une situation d’autant plus difficile que notre matériel est à bout de souffle.

    Macron se prend pour le « petit caporal ». Un petit caporal qui ne tardera pas d’être épinglé par les Français…

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-petit-caporal-epingle/

  • La vérité sur le Nazisme et l’extrême droite de nos jours. Une escroquerie dénoncée !!!

  • Leçon d’histoire politique par Roger Holeindre

    E&R Aquitaine a reçu Roger Holeindre le 18 juin 2017 à Escos (Pyrénées-Atlantiques) pour une conférence intitulée : « Du communautarisme à la réconciliation ».

    Roger Holeindre, ancien combattant, journaliste, écrivain et ancien député, a notamment présenté son dernier livre : La Réconciliation nationale.

  • D.RACHLINE 23/07 Après la sécurité MACRON frappe le logement des Français. Une politique violente !

  • Front national : Philippot veut renommer le parti et « en finir » avec les accusations de racisme

    Le funeste Philippot a entrepris dans les faits sa sécession du Front national : quoique celui-ci soit devenu un véhicule politique obsolète incompétent et trop chargé, il est d’une importance électorale symbolique (beaucoup de Français ne voient pas au-delà) et sa subversion constitue un frein au développement nationaliste du pays.

    Dans ce contexte, le détournement du parti réalisé par Philippot et ses amis du Bataillon de Thèbes a pour visée principale la transformation du parti sur une ligne souverainiste et chevènementiste de gauche, où les sujets démographiques et sociétaux disparaîtraient.

    C’est dans cet esprit que peut se lire la contribution qu’il a faite aux assises organisées par le parti pour décider de ses nouvelles orientations après la défaite.

    RT :

    À usage privé, mais à vocation publique : c’est ainsi que l’on pourrait définir le courrier qu’a adressé Florian Philippot, vice-président du Front national, à plusieurs de ses collègues de la direction du parti. Dans le cadre du débat qu’a lancé cette dernière après le relatif échec du FN aux élections législatives, le numéro deux du parti souhaite jouer franc-jeu par cette « Contribution de Florian Philippot à la refondation du Front national », dont Le Figaro s’est procuré le contenu.
    […]
    S’il revient sur l’épineuse question du débat télévisé opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen et sur la prestation jugée décevante de la candidate, Florian Philippot se garde de faire dépendre une future transformation du FN de ce seul point. « Si ce débat n’a pas été optimal, ainsi que Marine Le Pen a eu elle-même le courage de le reconnaître, faire porter toute la responsabilité des résultats électoraux n’aurait pas de sens », écrit-il, sans doute également animé par le souci d’atténuer les tensions récentes entre Marine Le Pen et lui.

    Plus généralement, Florian Philippot juge irrecevables les critiques reprochant au FN des choix stratégiques rebutants pour des électeurs frileux ou hésitants, comme celui de l’abandon de l’euro : « On ne rassemblera pas une majorité de Français en se repliant sur une base programmatique restreinte… on n’ira pas vers l’avenir avec des recettes du passé », plaide l’eurodéputé frontiste. Régulièrement accusé, notamment parmi la frange la plus identitaire du parti incarnée par les proches de Jean-Marie Le Pen, de vouloir tiédir le programme du FN, voire de lui insuffler une dynamique « de gauche », Florian Philippot se pose en défenseur d’un programme plus ambitieux que celui de ses détracteurs, qui promouvraient selon lui une logique de moins-disant.

    Face à cette tendance qui met selon lui en avant le plus petit dénominateur commun pour mieux dissimuler les divisions, Florian Philippot souhaite que le FN assume des choix clarifiés. « Sommes-nous vraiment aussi clairs et précis qu’on le croit sur l’immigration ? Pourquoi tant de nos compatriotes sont-ils encore persuadés que ce discours est  »raciste » ? », s’interroge-t-il. Et le vice-président du FN de citer l’exemple du droit à l’IVG et à la contraception pour souligner le flou qui régnerait au sein de son parti : « Ces éléments sont dans notre programme depuis longtemps, essentiellement sous l’impulsion de Marine Le Pen, mais pourquoi hésiter à le dire aussi clairement ? »

    Favorable à un changement de nom du parti, estimant que l’appellation Front national « fait peur », Florian Philippot se défend cependant de ne proposer qu’un changement de façade et assure vouloir porter un projet « positif ». Il ne prend néanmoins pas le risque de formuler de nouvelles propositions et préfère vanter les mesures « réfléchies, travaillées et concrètes » dont « regorge » déjà, selon lui, le FN. « A nous de savoir les mettre en perspective », conclut-il, laissant clairement entendre que le problème principal du Front national est avant tout une affaire de communication.

    Après donc avoir souligné l’éloignement du parti des principales notions d’un nationalisme élémentaire, l’antiphysique* Philippot réclame que ce qui, dans le mouvement, pouvait encore laisser croire ou penser que le FN serait nationaliste (en l’occurrence son nom, trait majeur d’identification et auquel une forte charge sociale est associée) disparaisse.

    On peut trouver que c’est une erreur ou un éclaircissement, sans que ces deux visions s’opposent. Marine Le Pen, depuis 2012, a fait tout son possible pour qu’on parle d’elle et non du « FN », percevant fort bien quelle réputation néfaste entraînait mécaniquement la mention de ce dernier. Bien que le nom de Le Pen lui-même possédât une charge négative similaire, la féminité de Marine Le Pen et sa rupture d’avec son père pouvaient le compenser relativement ; ces questions sont obsolètes après la campagne présidentielle de 2017.

    Simultanément, tout en étant un repoussoir instinctif pour beaucoup de Français, ces noms de Le Pen et de Front national sont le point de ralliement d’énormément d’autres, qui cesseraient immédiatement d’accorder au parti leur vote si on leur présentait son programme actuel. Le lien inconscient que fait l’opinion entre « FN » et « Les Arabes dehors » joue donc tant pour ledit FN que contre lui. Si Philippot abandonne le nom du FN, et qu’il supplante Marine Le Pen ou non, il risque fort de perdre une masse énorme d’électeurs à qui le groupement « Les Patriotes » de l’inverti Philippot ne dit rien.

    Une tel changement politique offrirait cependant, c’est sûr, un créneau inédit à une véritable extrême-droite, créneau inédit mais bref, car on ne juge jamais qu’à l’aune de la réalité connue, et la gauchisation du Front national gauchise d’autant la frontière de l’extrémisme de la pensée à droite, plaçant ce qui est au-dehors dans le champ du quasi-pénal.

    http://www.blancheurope.com/2017/07/19/front-national-philippot-veut-renommer-le-parti-et-en-finir-avec-les-accusations-de-racisme/