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France et politique française - Page 3058

  • Philippe de Villiers : « L’islam est incompatible avec la civilisation française »

    Philippe-de-Villiers-Cloches-252x350.jpg« L’islam est incompatible avec la civilisation française », a affirmé Philippe de Villiers, invité ce matin de RTL à l’occasion de la parution aujourd’hui de son ouvrage, Les cloches sonneront-elles encore demain ? (Albin Michel), cri d’alarme contre l’islamisation de la France.

    Une génération politique, a-t-il expliqué, celle de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, « a du sang sur les mains », notamment « parce qu’ils ont installé au cœur de notre nation une super-nation qui s’appelle l’oumma, c’est-à-dire la communauté des croyants de l’islam », et que nous devons maintenant faire face à « une contre-société islamique qui nous pose évidemment les plus grands problèmes ». Des « populations de plus en plus nombreuses sont en train de faire sécession », elles sont « un peuple dans le peuple ».

    Pour Philippe de Villiers, « l’islam est incompatible avec la République, incompatible avec la civilisation française », incompatible avec l’égalité entre les hommes et les femmes, incompatible avec la liberté – celle de changer de religion par exemple, et incompatible avec la fraternité, « puisque, dans l’islam, la fraternité s’arrête à la communauté des croyants, c’est-à-dire aux musulmans ».

    « Nous sommes devant une conquête démographique », a poursuivi Philippe de Villiers, évoquant un plan des Nations Unies (« le plan secret des élites »), qui est celui de la « migration de remplacement ».

    « Il n’y a pas de compromis possible avec l’islam », a-t-il asséné, appelant à « défendre notre civilisation », sinon « le vide sera rempli par les islamistes ». Et Philippe de Villiers d’enfoncer le clou : « Il y a des musulmans modérés, il n’y a pas d’islam modéré. » 

    http://fr.novopress.info/200996/philippe-de-villiers-lislam-est-incompatible-avec-la-civilisation-francaise/

  • Nicolas Sarkozy a vidé de leur substance les dispositions constitutionnelles sur le référendum

    Ce qui ne l'empêche pas, campagne oblige, de plaider le recours au référendum. Antoine Vouillazère analyse dans Minute :

    "Gonflé, le Sarko ! Gonflé d’avoir, vendredi dernier face à Laurent Delahousse qui le recevait au « 20 heures » de France 2, expliqué avec la mine sérieuse et la parole maîtrisée de celui qui a mûrement réfléchi à la question, que, s’il était élu à la présidence de la République, il organiserait deux référendums qui se tiendraient pas plus tard que le mois suivant, lors du second tour des élections législatives, qui, coup de bol, tombe un 18-Juin. Car voyez-vous, monsieur Delahousse, « la démocratie, c’est tout de même la souveraineté populaire ». Chapeau l’artiste. Et bluffant, de la part de ce lui qui, après le non de ladite souveraineté populaire au référendum sur le traité constitutionnel de 2005 (non à 54,68 %), fit l’économie subreptice d’un nouveau référendum pour, une fois élu à l’Elysée, faire ratifier le traité de Lisbonne, sa copie conforme, par l’Assemblée nationale et le Sénat réunis en Congrès. [...]

    Entre les deux tours de la présidentielle de 2012, Patrick Buisson avait proposé à Nicolas Sarkozy d’annoncer que, s’il était réélu, il organiserait deux référendums lors des élections législatives qui suivraient ! L’un aurait porté sur l’immigration, l’autre sur les syndicats. Sa note ne rencontra pas d’écho. Il lui proposa ensuite – il le relate dans son ouvrage – d’en organiser un sur l’introduction d’une dose de proportionnelle aux élections législatives. Refus. Est-ce ces notes que Nicolas Sarkozy a ressorties en même temps qu’elles lui revenaient à l’esprit à l’occasion de la sortie de La Cause du peuple ? [...]

    En 2008, Nicolas Sarkozy a fait procéder à l’une des plus importantes révisions de la Constitution de la Ve République, qui en avait déjà connues beaucoup. Les articles 11 et 88, qui concernent la pratique référendaire, furent tous deux modifiés. Et pas dans le sens de renforcer la parole du peuple… Depuis trois ans seulement, l’article 88 disposait, en son alinéa 5, que « tout projet de loi autorisant la ratification d’un traité relatif à l’adhésion d’un Etat à l’Union européenne [devait être] soumis au référendum par le président de la République ». On avait parlé, à juste titre, de « verrou référendaire » qui avait pour but principal d’empêcher que la Turquie n’entre dans l’Union européenne, le peuple y étant opposé de longue date. Or la réforme de 2008 fit adjonction d’un « toutefois », qui fit sauter ce verrou. Depuis lors, « le vote d’une motion adoptée en termes identiques par chaque assemblée à la majorité des trois cinquièmes » peut suffire à valider l’adhésion sans passer par la case « souveraineté populaire ». [...] Quant à l’article 11, qui était supposé s’ouvrir au référendum d’initiative populaire, sur le modèle suisse, Nicolas Sarkozy fit en sorte que celui-ci soit vidé de toute substance et que la procédure soit soumise à l’initiative des représentants du peuple – un cinquième des membres du Parlement ! – et non du peuple lui-même. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Yvan Benedetti devant les tribunaux :

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    Un communiqué du CLAN :

    Depuis plusieurs années Yvan BENEDETTI fait l’objet d’une persécution judiciaire particulièrement virulente à son encontre.

    Après la dissolution de l’Œuvre Française qu’il présidait, la justice aux ordres le poursuit à titre individuel chaque fois qu’elle le peut. En effet, il a fait l’objet d’une quinzaine de procès déjà et a actuellement 6 procès en cours.

    Juste pour le mois de novembre il fait l’objet de 3 comparutions à Paris :

    – le 17 novembre, devant la Cour d’Appel, pour diffamation envers le procureur Charmatz, suite à un article de Jeune Nation le qualifiant » de tristement célèbre procureur » pour avoir nié le caractère anti-chrétien de la profanation du cimetière de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse. Il avait été condamné en 1ère instance.

    – le 17 novembre, toujours devant la Cour d’Appel, pour les délits tarte à la crème de provocation à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, blablabla, blablabla… Condamné en première instance avec entre autres des dommages pour SOS Racisme et la Licra qui étaient parties civiles.

    – le 22 novembre, devant la 17e Chambre correctionnelle, pour un article de Jeune Nation dénonçant la fabrication par Gilbert Spazner des couteaux de marque Laguiole… au Pakistan.

    Concernant le procès touchant à la dissolution de l’Œuvre Française il sera très probablement courant 2017. La peine encourue est de 10 ans de prison…

    Le CLAN le soutien et vous appelle à faire bloc derrière lui afin de rendre coup pour coup. D’abord pour ceux qui le peuvent en se rendant aux procès, et ensuite en participant à hauteur de vos moyens à notre collecte.

    La justice est peut être une arme efficace pour le système mais nous avons des ressources et une armée d’avocats aussi déterminés que notre ami à ne pas plier.

    Afin de nous aider à faire face aux frais de justice et de pouvoir entreprendre la contre-attaque nous faisons appel à votre générosité.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • François Hollande: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain"

    Dans Un président ne devrait pas dire ça..., un livre enquête de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, les auteurs rapportent des propos tenus par François Hollande. Même si l'explication donnée est un peu tordue, cette citation évoque un peu le Grand remplacement (qui n'existe pas), non ?

    "(...) Alors que chacun sait que ce n'est pas la conception de la laïcité, reprend-il. Je pense que, le sujet, il est par rapport aux Français : qu'est-ce qui fait que nous sommes, en France, même si nous habitons des territoires différents, liés par quelque chose qui nous dépasse ?" [...] Il ose une formule choc: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain." 

    "Parce que, développe-t-il, d'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal. Finalement, quel est le pari que l'on fait ? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement. Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société."

    Il y a une autre manière de comprendre cette citation :

    Immigrationinvasion    VAIslam5

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Action française présente à la Manif pour tous

    La Manif Pour Tous appelle les familles à manifester le 16 octobre à Paris contre les nouvelles offensives du gouvernement contre la famille, la filiation et l’éducation et aussi contre toutes formes d’enseignement du genre à l’école. Il faut mettre un terme à la remise en cause de l’identité sexuelle des enfants.

    À nos amis qui souhaitent manifester ensemble, la Fédération Île-de-France de l’Action française donne rendez-vous à 13h au croisement du boulevard Lannes et de l’avenue de Pologne.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Action-francaise-presente-a-la

  • Viry-Châtillon, suite...

    Ce mardi 11 septembre, l'écoute de la matinale de France info, et plus particulièrement du 7-9 de Fabienne Sintès, s'est révélée extrêmement instructive.

    Pour les pessimistes, les défaitistes, les dépressifs et tous ceux qui ont mal au foie, c'était mi-hallucinant, mi-terrifiant d'entendre ces personnes qui parlaient de la « prison à ciel ouvert » qu'était cette monstruosité de Cité de la Grande Borne (au passage, quel architecte et quel gouvernement insensés ont-il pu concevoir, et laisser construire, une horreur criminogène pareille ?)

    Pour nous, qui ne sommes pas « optimistes » mais, plus sérieusement, hommes et femmes de foi et d'espérance en l'avenir de notre pays - qui en a vu d'autres - la tentative d'assassinat perpétrée contre les policiers ne fait que nous donner raison, et montrer la justesse de notre analyse.

    Une analyse que, d'ailleurs, le précédent roi du Maroc, Hassan II, avait faite, en nous prévenant, lui qui était - comme aujourd'hui son fils, Mohammed VI - « Amir-el-Moumini », « Commandeur des Croyants », et qui savait donc de quoi il parlait lorsqu'il parlait de l'Islam et des musulmans : vous n'intégrerez pas les marocains, peut-être la première génération, mais la deuxième, la troisième, vous n'y arriverez pas, dit-il en substance dans les deux très courtes vidéos* que nous vous suggérons d'écouter (2'41 et 0'57) ...

    L'erreur première vient de 1975, du regroupement familial, et de l'erreur-folie initiale de Chirac Premier ministre et de Giscard président. Dès ces sinistres "Décrets Chirac", plus de 700.000 étrangers sont entrés en une seule année, leur nombre grimpant à 200.000 puis, maintenant, 300.000 par an. Sans compter, bien sûr, les clandestins. Il y a 31 ans entre 1975 et 2016 : le compte d'étrangers reçus est facile à faire.  Mais, pourquoi les reçoit-on, pour « quoi faire », puisque, dans les cités où ils vivent, le chômage - notamment des jeunes - dépasse les 60% ? Sauf dans les activités très lucratives des divers trafics (drogue, armes, oeuvres d'art, autos-motos, prostitution...), qui génèrent - à la cité  La Castellane de Marseille par exemple - mais partout en France aussi - un chiffre d'affaires de 90.000 euros PAR JOUR : les immigrationnistes vont-ils nous dire encore longtemps que ces étrangers-là - à qui on a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que cela  en faisait des Français - sont « venus faire les travaux que les Français ne veulent pas faire » et que ce sont eux qui « vont payer nos retraites » ? Si tel était le cas, à 90.000 euros de gain par jour dans chaque cité de Marseille et de France, ni le gouvernement ni plus personne ne devrait avoir la moindre inquiétude sur l'état de nos finances, de nos Caisse de Retraites, de Sécu et autres...

    Il n'y a qu'une seule chose à faire : traiter la cause du mal, et pas seulement, dans l'urgence,  ses conséquences; remonter aux sources, et reconnaître que l'on s'est dramatiquement trompé en 1975; que Chirac et Giscard ont mené le pays sur une voie qui conduit à sa désintégration; arrêter toute nouvelle importation d'étrangers, à qui l'on n'a de toute façon rien à offrir; changer nos lois et entamer, sans délai, une politique de déchéance massive de nationalité pour tout acte de délinquance, quel qu'il soit, commis par une personne dont l'acquisition de la nationalité s'est faite à partir de 1975; déchéance suivie d'une expulsion immédiate, et bien sûr définitive, du territoire.

    Cela videra nos prisons et règlera le problème de la sur-population carcérale; cela mettra fin à l'explosion exponentielle de toute sorte de trafics évoqués plus haut : ils continueront, certes, jusqu'à la fin du monde, mais avec une intensité et une ampleur qui auront tellement diminué que les forces de police « normales » et les moyens de justice « normaux » suffiront à les « traiter »; cela fera également diminuer d'intensité le risque terroriste, qui ne disparaîtra pas, lui non plus, comme par enchantement, mais qui redeviendra moins difficile à combattre, alors que, si l'on continue comme cela, dans peu de temps, l'état d'urgence deviendra la norme et la « vie normale » ne sera plus qu'un lointain souvenir. 

    * Hassan II donne les raisons de son opposition à l'intégration

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/10/12/viry-chatillon-suite-5859140.html

  • Hollande menace Poutine !, par Guy Rouvrais

    Hollande, en Hamlet corrézien, s’est interrogé à haute voix devant des journalistes dans son ancien fief : être ou ne pas être pour la visite de Poutine en France ? Ce qui se traduit par ses questions lancées à la cantonade : « Est-ce que c’est utile ? Est-ce que c’est nécessaire ? » Il a oublié qu’on ne demande pas à un président de la République d’avoir des états d’âme, mais des états des services. Vladimir Poutine a mis fin à ses interrogations existentielles en tranchant pour lui : il a annulé sa visite à Paris, où il devait inaugurer la cathédrale orthodoxe en présence de François Hollande. Il a répondu avec ironie et désinvolture, évoquant non pas une rencontre au sommet mais une « visite à Paris », plus touristique que politique, qu’il effectuera peut-être lorsque le président français se sentira « à l’aise », ce qu’on peut traduire par « quand il ira mieux ».

    Car Hollande voulait le convoquer à l’Elysée pour le sermonner sur la Syrie, et non plus l’accompagner à l’inauguration. Il pensait sans doute que le maître du Kremlin allait obtempérer, comme si notre chef d’Etat pesait encore de quelque poids sur la scène internationale. Il y a un moment déjà, hélas ! que notre pays ne compte plus parmi les grandes puissances. Les USA et la Russie débattent du sort de la Syrie entre eux, Poutine et Obama discutent, s’affrontent, décident par-dessus la tête de François Hollande. Notre contribution militaire sur le théâtre des opérations est une force d’appoint sans commune mesure avec celle des deux grands. On a cru, après les attentats qui nous ont frappés, que François Hollande, promettant que tout serait fait pour abattre Daesh, avait renoncé à vouloir chasser le chef d’Etat syrien lequel, non seulement n’agresse pas notre pays, mais combat aussi les terroristes islamistes. Manifestement, l’adage « les ennemis de nos ennemis sont nos amis » n’a pas cours à l’Elysée, contrairement au Kremlin.

    Le président croit encore qu’il peut intimider Poutine pour le faire reculer sur le front d’Alep : il l’a menacé de le déférer devant un tribunal international pour « crimes de guerre ». Il est évidemment délicat de traiter son hôte de criminel et de maintenir une invitation. Certes, les bombardements à Alep touchent cruellement les habitants mais, malheureusement, dans tous les conflits contemporains, ce sont les civils qui paient le prix le plus lourd tribut. Crimes de guerre ? Dans ce cas, c’est le fait aussi des autres belligérants, les rebelles, mais la communauté internationale qui les soutient en parle moins. Le propos de Hollande n’est qu’une gesticulation : jamais un dirigeant en exercice d’un grand pays n’a été traduit devant un tribunal international, seuls les déchus et les vaincus le sont.

    Les forces alliées, en février 1945, bombardèrent Dresde, réduite en cendres, il y eut 25 000 morts parmi les habitants victimes des bombes à fragmentation et incendiaires. Pour ces crimes-là, il n’y eut aucun Nuremberg, aucun procès. Pas plus que pour Hiroshima et Nagasaki, où les bombes atomiques y firent au moins 210 000 victimes. Comment Hollande, dont la voix ne va pas au-delà du portail de l’Elysée, pourrait-il déférer Poutine devant un tribunal ? Hamlet porte en sous-titre « un songe ». Hollande rêve tout éveillé…

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 13 octobre 2016

  • Journal du Mercredi 12 octobre 2016 - Politique / Les confidences gênantes de F. Hollande

  • Dehors!

    L’Express publie aujourd’hui des extraits  du  livre des journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Un président ne devrait pas dire ça, condensé de leurs conversations avec François Hollande. Le président de la république, est-il rapporté, affirme qu’en cas d’affrontement  Marine Le Pen-Nicolas Sarkozy au second  tour de la présidentielle, en mai 2017, il voterait Sarkozy sans hésiter. « Oui, moi je le ferais. J’irais, pour voter contre Le Pen. Il faut se rappeler, c’était déjà très dur pour moi d’appeler à voter Chirac en 2002 (…). S’il fallait appeler à voter Sarkozy, on le ferait ». Une solidarité antinationale qui ne fait que confirmer que le vrai clivage en ce début de millénaire est bien entre défenseurs des identités et des souverainetés nationales d’un côté et euro mondialistes, atlantistes de l’autre. Faut-il s’étonner de la même façon du refus, puis de la valse-hésitation de M. Hollande sur l’opportunité de recevoir Vladimir Poutine – sa visite à Paris pour l’inauguration d’un centre orthodoxe était prévue le 19 octobre -  au motif qu’il n’entend pas desserrer l’étau militaire sur les milices islamistes anti Assad, à Alep comme ailleurs?

    Une attitude pusillanime, de soumission à Washington, humiliante pour notre pays, qui n’a bien sûr pas échappé à M. Poutine qui, cruellement, a déclaré qu’il restait « disposé à visiter Paris lorsque le président Hollande se sentira à l’aise »… MM. Hollande, Ayrault parlent de crimes de guerre pour définir les frappes aériennes russes. Toutes choses dont ils ne soufflent mot quand leurs amis saoudiens notamment soutiennent les égorgeurs, bombardent les populations au Yémen, exécutent à tour de bras…

    Même hypocrisie, même faux-semblant dans l’annonce de Manuel Valls hier, réagissant à la dramatique agression au cocktail Molotov, faite pour tuer, de policiers par des racailles, des coupeurs de route à l’africaine,  de la cité plurielle de la Grande Borne samedi dans l’Essonne. Le Premier ministre a évoqué la généralisation de tenues ignifugées pour les forces de l’ordre, de dispositifs anti-caillassage et/ou de blindages sur les voitures de police évoluant dans les quartiers babélisés. Les Français attendent autre chose d’un gouvernement confronté aux violences des bandes ethniques sur fond d’un terrorisme se nourrissant de la même haine de la France et des Français.

    On l’a appris ces dernières heures par un article du Parisien, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, était visé « pour le symbole » par un projet d’attentat qui devrait être commis par une jeune convertie à l’islamisme, Sarah Hervouët. Celle-ci a été interpellée le 8 septembre en compagnie d'Amel Sakaou et Inès Madani par l’antiterrorisme, pour leur lien avec le djihadiste «français» Rachid Kassim opérant en Syrie, dans le cadre de la préparation supposée d’une attaque aux bonbonnes de gaz.

    Toutes vérités qui ne sont pas bonnes à dire ? Ainsi  Marie-Christine Arnautu, chef de l’opposition FN au conseil municipal de Nice s’est vu refuser sa tribune qu’elle dans le Journal des quartiers: « Nous avions décidé de consacrer cet espace à la dénonciation des propos de l’imam d’une des mosquées du quartier, Abdelkader Sadouni, ainsi qu’aux rapports que Christian Estrosi entretient avec celui-ci » a précisé Marie-Christine.

    L’imam Sadouni est au cœur d’une polémique depuis la publication d’un entretien  accordé par cet imam algérien vivant à Nice dans le journal italien Il Giornale, le 21 juillet 2016. Un entretien ou les propos suivants ont été notamment rapportés: « S’il y a des attentats, c’est la faute de la laïcité des Français» « La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de l’utilisation publique de symboles religieux sont les motifs qui poussent ces jeunes à se sentir exclus de la communauté nationale et à décider de partir pour s’unir à qui ils retiennent être comme eux. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse beaucoup de jeunes au combat. Tant que les mosquées seront si peu nombreuses, tant que leur construction causera des protestations, tant que les musulmans seront discriminés, alors ces réactions existeront. »

    A suivre ce « raisonnement » ce serait donc par une immigrations-islamisation accrue que les musulmans pourraient s’intégrer dans une France…islamisée. Précisons que M. Sadouni a déclaré avoir  été « piégé » par le journaliste et que ses propos avaient été « déformés ». Il aurait porté plainte contre ce journal, propriété du frère de Silvio Berlusconi.

    Pour autant, le Niçois et Conseiller régional FN Philippe Vardon, à l’origine d’une pétition d’environ 10 000 signatures en faveur de la fermeture de la mosquée d’Abdelkader Sadouni, garde en sa possession certains posts Facebook de cet imam datant d’il y a deux ans (et aujourd’hui supprimées…) qui, déjà, « expliquent le djihad par l’absence de construction de mosquées en France et par l’islamophobie ambiante » et « émettent des doutes sur la réalité des vidéos d’égorgements deDaech » .

    Bruno Gollnisch l’affirme, tous les Français d’origine musulmane ne se reconnaissent pas dans les propos des propagandistes islamistes, et exigent eux aussi la fin d’un laxisme et d’un immigrationnisme criminels qui conduisent à la guerre civile, au chaos multiconflictuel et multiculturel. Une très grande majorité des Français partagent, parfois sans le savoir, les analyses et les vœux de l’opposition nationale sur ces questions. La lutte contre le fléau du terrorisme et de la délinquance-guérilla antifrançaise passe par l’application du programme du FN: démantèlement des mosquées et autres centres culturels salafistes, expulsions des  immigrés radicalisés et  délinquants, peines lourdes  et exemplaires contre les voyous agissant (ou non) au nom du djihad… Et plus largement refonte du Code de la nationalité, fin du regroupement familial, inversion des flux migratoires dont la poursuite interdit mécaniquement toute assimilation, fin de la repentance et de l’enseignement de la haine de la France jusque dans les manuels de l’Education nationale, interdiction des ingérences étrangères dans nos banlieues, sur fond de complaisances coupables, contaminant  jusqu’au sommet  de l’Etat, avec certaines pétromonarchies prosélytes…

    http://gollnisch.com/2016/10/12/dehors/