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France et politique française - Page 3064

  • Editorial de L’AF 2940 : CALAIS POUR TOUS

    Alors que la situation générale, économique (Alstom, notamment), sociale (le chômage qui n’en finit pas de grimper) et internationale (la Syrie, la Libye) s’aggrave chaque jour, c’est donc à l’heure des différentes primaires qu’il nous faut désormais vivre : « Républicaines », socialistes, écologistes...

    Comme si le pays pouvait perdre quasiment une année en la consacrant à la précampagne des élections présidentielle et législatives puis à la campagne elle-même début 2017. Chez les Républicains, Juppé, qui s’appuie sur le centre gauche, voire une partie de l’électorat socialiste (ainsi que, sur sa droite, sur Mariton qui a échangé ses électeurs virtuels contre un plat de lentilles tout aussi virtuelles) est donné vainqueur contre Sarkozy, tandis qu’au parti socialiste, c’est Montebourg qui devancerait Hollande, si celui-ci se représentait et acceptait de participer au pré-scrutin organisé par la rue de Solferino.

    Ce qui en dit long sur l’affaiblissement de la fonction présidentielle, qui s’est accéléré depuis 2012, mais auquel les mandats de Chirac et de Sarkozy avaient largement concouru du fait de l’incapacité des deux prédécesseurs d’Hollande d’habiter pleinement leur fonction — une fonction que Mitterrand, il est vrai, avait cyniquement déjà affaiblie par le traité de Maëstrichit. Mais comment en serait-il autrement, alors que les media de l’oligarchie nous présentent les primaires, du moins du côté de l’ex-UMP, comme devant désigner le futur président de la république s’il est vrai que le second tour de l’élection elle-même devrait se gagner, plus ou moins facilement, mais sûrement, contre Marine Le Pen ?

    LE CAS POISSON

    Alors que la gauche n’a jamais été aussi affaiblie dans le pays, à tel point qu’elle est donnée perdante dès le premier tour, le plus étrange est que nous ayons affaire à une droite toujours aussi dépourvue de personnalité et d’audace, qui ne cesse de surenchérir sur des principes qui ne sont pas les siens, ou qui ne devraient pas l’être si, du moins elle en avait encore, que ce soit en matière sociétale ou d’identité plus ou moins béatement heureuse. On dira que Sarkozy la joue, au contraire, encore plus « identitaire » qu’en 2007 ? Mais qui peut le croire alors qu’il n’a cessé, le plus souvent avec un cynisme éhonté, de trahir ceux qui avaient pris au sérieux par le passé ses rodomontades patriotiques, souverainistes ou sécuritaires ? Je ne perdrai ni mon temps, ni celui de mes lecteurs, à rappeler pourquoi il me sera de toute façon impossible, à aucun moment, d’appeler à voter Sarkozy au nom d’une politique du « moindre mal » qui, dans ce cas, serait celle du mensonge — ces mensonges qui nous ont déjà fait tant de mal dans notre histoire.

    Des primaires de l’UMP, l’Action française ne saurait être partie prenante, tout simplement parce qu’elle ignore ce que sont ces étranges « valeurs républicaines de la droite et du centre » qu’il faudrait partager pour choisir entre Jean-Frédéric Poisson et Nathalie Kosciusko-Morizet — auraient-ils donc des « valeurs » en commun ? Quant à « s’engager pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France », que cette « alternance » ne soit pas qualifiée en fait un OPNI — objet politique non identifié — du plus haut comique. Car passer de Hollande à Montebourg ou à Marine Le Pen représenterait une alternance bien plus significative que de passer de Hollande à Juppé, voire à Sarkozy. 

    Ce qui ne signifie pas que nous nous désintéressions du résultat de ces primaires, en raison même de leur impact sur la teneur du débat politique. Plus Jean-Frédéric Poisson fera de voix, plus les questions anthropologiques, qui ne sont pas les seules à être essentielles « pour le redressement de la France » mais le sont, elles aussi, seront au centre des préoccupations de tous les candidats à la présidentielle, y compris Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan. Toutes les voix sont bonnes à séduire. Autant que ce soit pour la bonne cause.

    LE GRAND REMPLACEMENT VALIDÉ PAR L’INSEE

    Une bonne cause que la gauche, avec son arrogance coutumière, continue a contrariode définir en diabolisant ses adversaires, ce qui en dit long sur la résilience du gène stalinien, même chez des socialistes qu’on dit passés au libéralisme. Pour Taubira, « le vote FN, chez les jeunes, c’est une déviance » (sic) (déclaration à Sciences-Po Nancy le 29 septembre dernier). La Croix, le quotidien des cathos de gauche, a, quant à lui, décidé d’inviter « les catholiques séduits par le FN » — qui sont de plus en plus nombreux — « à réfléchir ». Devront-ils aller à confess s’ils votent « mal » ? Et promettre de se rendre en pénitents à genoux rue de Solférino ? Car La Croix, en revanche, ne voit aucun mal à ce que des catholiques votent pour un PS qui, non seulement, a légalisé la parodie de mariage et la validation en France des GPA réalisées à l’étranger, mais s’apprête, de plus, par une proposition de loi après l’échec de Laurence Rossignol, ministre des familles (sic) sur le même sujet au Sénat, à créer un nouveau délit d’opinion, celui d’entrave numérique à l’infanticide, en vue d’interdire, sur la Toile, toute information politiquement incorrecte sur l’avortement.

    Quant à Cazeneuve, ce qu’il a décidé, lui, c’est d’interdire tout référendum local sur sa politique migratoire, qu’il veut imposer au pays contre la volonté des maires, pourtant seuls vrais élus d’un pays réel condamné à rester muet devant la submersion. Une politique qui ne manquera pas de disséminer partout en France les joies vécues par les Calésiens depuis tant d’années — merci Chirac, merci Sarkozy ! Car les faux réfugiés seront bientôt remplacés à Calais par d’autres, qu’il faudra, évidemment, de nouveau disséminer dans tout le pays. Cette « politique de peuplement », voulue par Valls, et reposant sur des appels d’air successifs, ne vise qu’à accélérer un grand remplacement dont l’INSEE, institut démographique d’ordinaire pourtant très docile, reconnaît dans son dernier rapport la terrifiante réalité [1] — un grand remplacement qui s’est accéléré selon l’institut, depuis 2011, consécutivement aux politiques migratoires de Sarkozy et de Hollande.

    LE SALUT DANS LE RÉFÉRENDUM ?

    Toutefois, ceux qui croient que le salut se trouverait dans un quelconque référendum national devrait méditer la leçon hongroise. Car seuls les thuriféraires de Viktor Orban crient à son triomphe parce que, dimanche 2 octobre, 98,5 % des Hongrois ont refusé le diktat européen sur les quotas de migrants. Certes, la légalité bruxelloise ne saurait prévaloir sur la légitimité du pays réel hongrois. Toutefois, au regard même de la constitution hongroise, ce référendum n’a aucune valeur, le quota... des électeurs (50%) n’ayant pas été atteint. Orban a péché par une trop grande assurance, entre ceux qui, croyant la victoire certaine, ne se sont pas déplacés, les abstentionnistes professionnels et les opposants qui savaient que s’abstenir était le seul moyen d’invalider un scrutin sinon perdu d’avance. Certes le peuple hongrois est majoritairement derrière son premier ministre pour défendre sa liberté et refuser, soixante ans après les « événements » de Budapest, que sa politique soit dictée par Bruxelles et Berlin comme hier par Moscou. Mais même si un tel quota n’existe pas en France — sinon ni le bradage programmé de la Nouvelle-Calédonie ni le quinquennat n’auraient été adoptés —, toutefois, jouer l’avenir de son pays, comme l’envisage certain, à la roulette référendaire, pourrait se révéler contre-productif. L’Europe est désormais morte dans les cœurs. Ne prenons pas le risque de la relégitimer par la voie des réflexes conditionnés.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2940

    [1] A lire ici : http://www.insee.fr/fr/themes/detai...

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-AF-2940-CALAIS-POUR

  • Zemmour attaqué pour apologie du terrorisme…

    Le raisonnement de Zemmour est pourtant le bon : nous sommes attaqués par des ennemis prêts à mourir pour leur cause, contrairement à nous.

    Éric Zemmour est encore dans la tourmente puisque ses propos dans Causeuront provoqué une réaction de l’avocat des victimes du 11 novembre, Samia Maktouf, qui a saisi le procureur de Paris. La raison : « apologie du terrorisme »… Zemmour « ne pense pas que les djihadistes sont des fous » et il « respecte les djihadistes prêts à mourir pour ce en quoi ils croient – ce dont nous ne sommes plus capables ».

    Le raisonnement de Zemmour est pourtant le bon : nous sommes attaqués par des ennemis prêts à mourir pour leur cause, contrairement à nous. Mourir pour ses convictions, c’est une qualité en soi. Sauf que notre propagande médiatique s’est évertuée à nous faire passer les soldats de Daech pour de pauvres petites personnes perdues, rejetées ou ostracisées. Suite à un lavage de cerveau, ils sont devenus terroristes et fous. C’est bien mal comprendre les choix qui traversent toute vie humaine et, plus que les facteurs aggravants qui viennent influer sur ce choix, il n’en demeure pas moins un acte conscient et délibéré de l’islamiste. Il n’est ni fou ni perdu : au contraire, il n’a jamais été aussi proche de la « vérité » et des « bienfaits » de sa cause. Il peut mourir pour elle.

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  • Débat Robert Ménard / Alain Juppé sur l’immigration

    Avant-hier soir :

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I-MEDIA S03E34 Théorie du genre ? « Fantasme » pour les médias

  • Dimanche dernier, à Rungis, Marc Rousset présentait son nouveau livre : "Adieu l'argent-roi ! Place aux héros européens !"

    Titre et dessin couverture du livre.jpgAprès son livre "La nouvelle Europe, Paris-Berlin-Moscou" sorti en 2010, l'auteur se livre ici à un vraie critique de la civilisation de l'argent et nous fait une apologie de l'héroïsme
    Cet ouvrage est la suite, à un siècle de distance, de « Händler und Helden » (Commerçants et Héros) écrit à Leipzig en 1915, mais jamais traduit en français, par le sociologue allemand Werner Sombart, à la lumière des réflexions sur l’héroïsme grec du regretté Dominique Venner.
    L’héroïsme n’est plus une valeur directrice dans l’imaginaire européen alors que pendant quinze siècles, la pire des choses en Europe était de « préférer la vie à l’honneur et pour garder la vie de perdre la raison de vivre ». Nous vivons l’époque de la civilisation individualiste de l’argent, de la civilisation hédoniste matérialiste sans idéal, sans âme, sans courage, sans héroïsme.

    Selon le philosophe allemand Peter Sloterdijk, la France, comme la plupart des autres pays européens a cru bon après Mai 1968 de « sortir de l’héroïsme par le consumérisme ». Aujourd’hui la seule discrimination tolérée entre les hommes est celle de l’argent. Toutes les autres formes de discrimination nationale, ethnique, religieuse, culturelle sont devenues illégitimes.
    Le carriérisme sans âme et la consommation matérialiste effrénée en guise de bonheur ont remplacé dans l’esprit de nos contemporains l’idéal, la vocation, le sens de la transcendance, du sacré, le courage, le goût de l’effort, du dépassement, du don de soi, de donner un sens plus élevé à son existence
    L’homme ne peut accepter de donner sa vie que pour sa famille, une collectivité, une nation, une culture, une civilisation, une foi, une croyance. On ne meurt pas pour une société individualiste et matérialiste qui n’a rien d’autre à offrir à sa jeunesse que le sexe et l’argent.

    L’esprit est plus fort que la matière : c’est parce qu’elle l’a oublié que la civilisation européenne est sur le déclin. L’Europe du XXIe siècle retrouvera son âme ou disparaitra. Pour y parvenir et permettre le renouveau de la civilisation européenne, un seul moyen : une révolution conservatrice des mentalités, des valeurs et de l’éducation.
    Tout au long du XXe siècle, les Européens n’ont cessé de répéter aux Américains que l’argent n’était pas tout. C’est maintenant au Vieux Continent de retrouver ses valeurs structurantes fondamentales et de mettre son ancien conseil en pratique.

    Selon Antoine de Saint Exupéry « Le bonheur est une récompense et non un but ». Etre heureux ne signifie pas être riche et posséder. Ce n’est pas l’argent, mais le sens que l’on donne à sa vie qui rend heureux.
    Un livre de référence sur l’antinomie argent/héroïsme encore plus important à l’heure du terrorisme islamiste !

    Marc Rousset, diplômé H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, MBA Columbia University, AMP Harvard Business School, a occupé pendant 20 ans des fonctions de Directeur Général dans des groupes multinationaux. Marc Rousset collabore régulièrement à la revue Synthèse nationale.

    "Adieu l’Argent-roi! Place aux Héros européens !" Critique de la civilisation de l’Argent et Apologie de l’héroïsme, Editions Godefroy de Bouillon, septembre 2016, 500 pages, 37 euros.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Journal du Vendredi 7 octobre 2016 - Société / Bernard de La Villardière, lynchage entre ami

  • Le quotidien Présent apporte son soutien à Philippe Vardon

    Présent-Vardon-600x322.jpg

    Dans son édition datée du 7 octobre, lequotidien Présent apporte son soutien à Philippe Vardon, conseiller régional (FN) de Provence-Alpes-Côte d’Azur, condamné à six mois de prison pour s’être défendu d’une agression, et publie un entretien avec celui-ci. Nous le reproduisons ci-dessous.

    Vardon-300x268.jpg— Philippe Vardon, vous venez d’être condamné à six mois de prison ferme par le Tribunal correctionnel de Draguignan (voir Présent d’hier), sur quels motifs ?

    — Concrètement ? Pour m’être défendu et avoir défendu ma famille.

    — Quels sont les faits ?

    — Ils sont édifiants ! Le 30 mars 2014, après une journée passée en famille et avec des amis à Port-Fréjus et alors que nous allions nous enquérir des résultats des élections municipales, j’ai été agressé sur un parking, devant ma femme et mes enfants (sept mois et trois ans au moment des faits) par trois délinquants multirécidivistes. Ceux-ci m’ont clairement agressé pour mon engagement politique, puisqu’on a pu les entendre dire, avant de venir au contact, « c’est le type des mosquées » et qu’ils ont par ailleurs déclaré lors de leurs auditions qu’ils me connaissaient et m’avaient « vu à la télé ».

    Selon une technique éculée, ceux-ci se posent bien sûr désormais en victimes, prétendant que c’est moi qui les aurais insultés et provoqués (cela avec mon fils de trois ans à mes côtés et ma femme en train d’allaiter celui de sept mois dans la voiture) alors qu’ils passaient tranquillement par là… La suite ? Un enchaînement de violences : le plus virulent arrive en trombe en m’invectivant, tente de m’asséner un coup de poing, je le repousse, il retourne à son véhicule où lui et ses amis vont « s’outiller » (manivelle, démonte-pneu, etc.) avant de revenir à la charge, je parviens à les tenir à distance de mes enfants et ma femme en utilisant la bombe lacrymogène de cette dernière puis ils me poursuivent dans de petites rues. C’est là que j’ai été blessé, coupé à la main par un outil tranchant (je précise que je suis le seul dans cette affaire à avoir présenté au tribunal des blessures constatées par un médecin légiste). Des policiers sont ensuite arrivés et ont eux-mêmes été contraints de faire usage de gaz lacrymogène pour me protéger des agresseurs, tentant de m’attaquer à nouveau et rejoints par d’autres. Un des assaillants a même sorti un couteau devant les policiers et un agent de police s’est blessé en repoussant la meute. Tout ce que je vous décris ici est dans les auditions et procès-verbaux…

    — Vous avez décidé de faire appel, pourquoi ?

    — Parce qu’au-delà de mon cas personnel on ne peut décemment laisser passer une telle injustice. Si on s’en tient à cette décision, alors plus rien n’a de sens. Un responsable politique, agressé pour son engagement, devant sa femme et ses enfants, se défendant, devrait être jugé de la même façon que ses trois agresseurs, armés et délinquants multirécidivistes ? Evoquons tout de même le profil de mes agresseurs : le seul parmi eux qui ait daigné se présenter à l’audience n’avait pas le choix puisqu’il est déjà emprisonné pour une autre affaire ! Il a déjà été condamné à 12 reprises (vols, violences, etc.). Les deux autres ont aussi des casiers chargés, et l’un d’eux est actuellement sous bracelet électronique, sortant récemment de prison lui aussi.

    Un journaliste de Marianne a écrit – commentant ma condamnation – « Rappelons à toutes fins utiles que se faire justice soi-même n’est toujours pas autorisé par le code pénal. » Je me permets aussi de rappeler, « à toutes fins utiles », que se laisser agresser sans réagir n’est pas encore une obligation légale non plus ! Je crois que l’on devrait postuler que la défense est toujours légitime.

    — Les soutiens se font très nombreux, qu’ils viennent d’officiels ou de simples compatriotes. Cet élan vous a-t-il surpris ?

    — Je tiens à remercier tous ceux – Niçois rencontrés dans la rue, cadres et élus de notre mouvement, compagnons de lutte passés, actuels ou futurs – qui ont témoigné à ma famille leur soutien et leur amitié. Je ne m’attendais pas à un tel élan, mais au fond je crois qu’il est à la hauteur de l’injustice. Une injustice qui fait écho à celle ressentie par de nombreuses victimes confrontées à un système judiciaire sans boussole.

    — Un tel jugement démontre – s’il le fallait – que de nombreux magistrats se servent de leur position contre l’intérêt du peuple français. Il faut donc certes reprendre la main politiquement, mais n’est-il pas également temps pour les patriotes d’investir la magistrature pour inverser le rapport de force ?

    — Au-delà des nécessaires et utiles initiatives personnelles, je ne vous étonnerai pas en vous disant que la clef se situe pour moi dans un changement politique de fond que seule l’élection de Marine Le Pen, et à sa suite d’une majorité parlementaire bleu marine, peut permettre. Alors chacun pourra retrouver sa juste place dans les tribunaux, victimes et agresseurs.

    propos recueillis par Pierre Saint-Servan

    http://fr.novopress.info/

  • [Annonce de Vexilla Galliae ] Quand on se bat pour ses idées, …

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    Chers amis,

    Vexilla Galliae existe depuis maintenant quatre ans, et c’est aujourd’hui une équipe de plus de 30 personnes qui contribue à la visibilité et au rayonnement du principe que nous défendons tous et de l’homme qui incarne ce principe, le prince Louis de Bourbon.

    Vous aussi, vous pouvez participer au combat que nous menons. Oui, vous pouvez vous lever, résister et combattre avec nous en participant au développement de Vexilla Galliae.

    Rejoignez notre équipe ! Nous recherchons :

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    Intégrez l’équipe Vexilla Galliae en devenant aussi chroniqueur !  

    Vous aimez rebondir sur l’actualité ?  Vous avez du talent ? Un domaine d’expertise ?

    Ça vous dit d'essayer ?

    Vous pouvez être publié. Vexilla Galliae est toujours preneur de bons papiers.

    Contactez-moi en me communiquant votre adresse courriel et téléphone. Je vous informerai de nos conditions et conseils pour la publication de vos articles.

    Et surtout, vive le roi !

    Dominique Hamel

    Directeur de publication
    d.hamel@vexilla-galliae.fr

    Vexilla Galliae : Qui sommes-nous ?

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    http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/vie-des-royalistes/2180-annonce-quand-on-se-bat-pour-ses-idees

  • Contre l’école du "genre" : tous à Paris le 16 octobre !

    Communiqué des Enseignants pour l'enfance :

    6a00d83451619c69e201b7c89c7508970b-200wi.png"La polémique sur la présence de l’idéologie du genre à l’école française a mis chacun face à ses responsabilités. A ce titre, les « Enseignants pour l’Enfance » affirment, en dépit des réfutations de Madame Vallaud-Belkacem, que cette doctrine est présente à tous les niveaux de l’institution scolaire.

    Des ressources en ligne, à la disposition des enseignants, proposent des documents qui au nom de la déconstruction des stéréotypes incitent à la mise en question des identités. Des sites ouverts aux élèves offrent des supports fictionnels qui relèvent de la même démarche. Des syndicats enseignants proposent sur le sujet une prose éloquente. Des associations luttant contre l’ « homophobie » et la « transphobie » s’appuient sur le concept de genre pour entrer dans les établissements scolaires. La formation universitaire enfin, adressée à tous les étudiants et donc à de futurs enseignants, intègre ce paramètre dans certains modules. La présence du genre à l’école est donc incontestable, globale et permise par la passivité d’une institution complice.

    Or cette doctrine, qui se refuse elle-même le nom de théorie, n’a rien de scientifique et ne relève que de la conviction individuelle. A ce titre, le genre est contraire à l’article 11 de la « Charte de la laïcité » qui stipule que « les personnels ont un devoir de stricte neutralité » à l’école. De même, l’imposition de ce point de vue à de jeunes personnes est une entrave à la responsabilité des parents qui sont les premiers éducateurs de leurs enfants.

    Pour toutes ces raisons, les « Enseignants pour l’Enfance » appellent les professeurs, les parents et les étudiants à rejoindrela grande manifestation qui aura lieu à Paris, le 16 octobre 2016. Nous refusons l’éducation au genre et demandons l’abrogation de la loi Taubira, qui en est la caution institutionnelle. Nous ne voulons pas être les agents d’une propagande imposée. L’école ne peut devenir le lieu des idéologies inculquées. Les enfants ne sauraient être les cibles d’un endoctrinement institué.

    Cette école du genre ne sera jamais notre genre d’école. Nous réclamons la transparence d’un Ministère qui doit être capable de dire ce qu’il fait comme de faire ce qu’il dit. Oui aux partage des responsabilités, confiant aux parents l’éducation, aux maîtres l’instruction. Oui à une école du savoir, de la confiance et de l’exigence. Oui à une école au service des enfants. Oui à l’école des familles !"

    Michel Janva