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France et politique française - Page 3067

  • 3 questions à Guillaume de Prémare sur le colloque Catholiques en action

    Week-end action

    Questions à Guillaume de Prémare, délégué général d’Ichtus, sur le colloque Catholiques en action

    Quel sera le contenu du prochain colloque Catholiques en action ?

    Le premier contenu, ce sont les participants car c’est d’abord un lieu de rencontres et d’échanges entre catholiques engagés ou désirant s’engager. Le forum des catholiques en action rassemblera le samedi après-midi une trentaine d’associations et initiatives et leurs leaders dont LMPT, Alliance Vita, Fondation Lejeune, AFC, Fondation pour l’école, Fondation Espérance Banlieue, Les Gavroches, Les Veilleurs, Les Sentinelles, AED, SOS Chrétiens d’Orient, Les Alternatives catholiques, Parents pour l’école, La Boussole, Limite, etc.,. Nous recevrons également une vingtaine d’auteurs pour une séance de dédicaces[1]. Ensuite, le colloque est un lieu réflexion. Nous avons choisi comme thème « Refaire le politique » parce que la faillite de la chose publique montre l’importance de l’engagement des catholiques pour contribuer à un renouveau civique.

    Quels seront les intervenants ?

    Avec Mathieu Detchessahar, professeur agrégé à l’Université de Nantes, nous verrons l’importance de traiter la question des structures économiques pour redonner toute sa place au politique. Alexandre Dianine-Havard, conseiller auprès de chefs d’Etats et de chefs d’entreprises, nous parlera dimanche matin des hommes et de la magnanimité qui fait les leaders. Réflexions inspirantes en période électorale quand la France a besoin de grandeur. Enfin, Ludovine de la Rochère reviendra sur l’importance des enjeux familiaux, à la veille de la grande manifestation nationale du 16 octobre pour ne Rien Lâcher !

    Il sera donc possible de participer au colloque et à la manifestation…

    En effet, nous avons adapté l’agenda du colloque, pour permettre à tous de battre le pavé parisien le dimanche après-midi. Nous nous retrouverons donc le samedi de 14h30 à 22h, puis le dimanche matin à 9h pour une messe pour la France, célébrée par Mgr Eric de Moulins-Beaufort. Nous écouterons ensuite Alexandre Dianine-Havard avant de partir pour la manifestation en fin de matinée. Il est possible de commander un pique-nique pour le dimanche et il y a une garderie pour les enfants le samedi et le dimanche.

    Inscriptions

    [1] Jean Sévillia, Tugdual Derville, Jean-Marie Le Méné, Erwan Le Morhedec, Patrice de Plunkett, Louis Manaranche, Charles Beigbeder, Mathieu Detchessahar, Alexandre Dianine-Havard, Pierre de Lauzun, Henri Hude, Annie Laurent, Jacques Trémolet de Villers, Natalia Trouiller, Ivan Rioufol, Nicolas Diat, etc.

    Michel Janva

  • La « Justice » dans la France hollando-vallsienne

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    Philippe Vardon, élu de PACA, agressé... et condamné

    Bernard Plouvier

    Dans Les Nuées de l’antique Aristophane, l’on trouve ce vers cynique : « La Justice, je l’affirme, ça n’a même pas une ombre d’existence ». Désabusée ou pas, l’affirmation du poète comique, ancêtre spirituel (avec moins de grossièreté et davantage de subtilité) de Louis-Ferdinand Destouches, dit « Céline », illustre parfaitement la comédie judiciaire de la VeRépublique, entrée dans sa phase d’agonie et de pourriture terminale.

    Deux affaires judiciaires tombent de façon quasi-simultanée, diffusées sur le Net, car il ne faut pas attendre grand-chose des media collaborateurs du globalo-mondialisme et de l’immigration-invasion. Dans les deux cas, la « Justice » déraille, comme le font d’ailleurs une partie des commentateurs débiles qui s’expriment sur le Net.

    Un tribunal du Sud-Est condamne une victime d’agression ! Un homme, Philippe Vardon, attaqué en même temps que sa femme et sa fille, par trois lascars issus de l’immigration maghrébine (dont deux repris de justice), a osé se défendre et protéger sa famille. Au fait, avec quoi s’est-il défendu ? Avec ses clés de voiture (une arme de première catégorie, c’est bien connu) et une bombe lacrymogène, tandis que ses honorables agresseurs l’ont blessé d’un coup de couteau (d’où une incapacité de travail de plusieurs jours pour l’agressé).

    Oui, mais voilà : les honorables agresseurs l’accusent d’avoir proféré des « mots racistes » (dire « rouaacistes », par respect pour le défaut de prononciation d’une langue étrangère par d’honnêtes maghrébins) et, circonstance éminemment aggravante, ce citoyen européen de souche est un élu local du Front National, de la tendance identitaire, pas la version centre-droit de l’actuelle direction invertie.

    Agressé – donc couvert par le principe d’antique jurisprudence de la légitime défense -, blessé par arme blanche, l’élu est condamné à six mois de prison FERME !!! Aurait-il mieux valu qu’il se laisse tabasser et larder de coups de couteaux par ses estimables agresseurs maghrébins, sans préjudice des sévices sexuels infligés à son épouse et à sa fille ? Au vu de la décision de première instance judiciaire, c’est probable. L’affaire sera rejugée en appel… et l’on se demande où passe l’argent du contribuable !

    La leçon à tirer de cette première histoire, c’est que les honnêtes citoyens n’ont rien à attendre de juges carriéristes, perturbés soit par leurs idées politiques, soit par des suggestions « venues d’en-haut ».

    Plutôt que de se faire massacrer, violenter, blesser sans réagir, il peut paraître préférable, aux Français de souche européenne, d’organiser ces milices citoyennes. Il est illusoire de faire confiance aux « forces de l’ordre » et bien plus encore à une « Justice » de plus en plus bizarre dans ses jugements. Si l’on ne s’organise pas, l’on risque un jour ou l’autre de voir des « vengeurs » s’arroger le droit de nettoyer nos cités des racailles qui les polluent.         

    La seconde histoire est pire encore, car elle touche à la vie de famille et à l’éducation qui est un Droit absolu des parents, sauf s’ils sont indignes ou imbéciles. Une mère de famille de la Réunion bat son délinquant de fils à coups de ceinture en filmant la chose puis en diffusant la correction sur le Net. Plus intelligente que nombre de magistrats et d’agents d’encadrement de la jeunesse, elle croit au caractère dissuasif du châtiment : de fait, durant des siècles, ce fut l’un des fondements tant de l’organisation judiciaire que de la théologie morale.

    Cette mère aurait dû être blâmée pour avoir mal éduqué son rejeton qui est entré, encore mineur d’âge, dans la délinquance, et félicitée pour avoir – peut-être un peu tard – tenté d’inculquer de sains principes à son fils. C’est bien sûr l’inverse que l’on observe. La mère est déférée à la « Justice » et le petit chéri plaint par des centaines de crétins de blogueurs… ce qui réalise les conditions expérimentales pour transformer ce délinquant en psychopathe assoiffé de publicité.

    Notre France va mal. Plus exactement, elle marche sur la tête depuis que des gosses de riches ont, en 1968 et ensuite, déversé des tombereaux d’âneries freudiennes et marxistes à propos d’une société dont ils ne connaissaient rien que les voitures de sport, le haschich et le LSD, les amants de maman et les poules de luxe de papa.

    Il est temps de réaliser une authentique révolution culturelle. En l’occurrence d’en revenir aux fondamentaux : le Code Napoléon, dans toute sa rigueur ; l’adéquation entre race et continent ; une instruction dépolitisée, technique et humaniste, dépourvue de toute référence religieuse, mais insistant sur les notions d’honneur, de travail, de famille et d’appartenance au continent européen et à sa race.

    Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Relaxé par la justice, le général Piquemal est radié des cadres de l'armée française

    L'affaire avait fait grand bruit en février 2016. Relaxé par la justice en mai 2016 après un rétro pédalage politiquement correct, le ministre de la défense a eu ce qu'il voulait : la radiation des cadres du général (2S) Piquemal :

    6a00d83451619c69e201b7c89bd829970b-320wi.jpg"Le général de corps d'armée Christian Piquemal, qui avait participé à une manifestation non autorisée contre la politique migratoire à Calais le 6 février dernier, est, selon nos informations, radié des cadres. Cette mesure disciplinaire très forte intervient comme une surprise, cinq mois après sa comparution devant le tribunal de Boulogne-sur-mer, d'autant que l'institution judiciaire l'avait finalement relaxé le 26 mai (...)

    Depuis sa relaxe, le général Piquemal s'estimait «totalement blanchi», le Parquet n'ayant pas fait appel de ce jugement. Mais sur le plan administratif, une procédure disciplinaire, lancée en mars par le ministre de la Défense, vient d'aboutir à sa radiation des cadres, le devoir de réserve du militaire étant au cœur du dossier. Le général, qui l'a seulement appris mi-septembre par un courrier recommandé, avait été entendu le 14 juin par le Conseil Supérieur de l'Armée de Terre (CSAT), siégeant disciplinairement à l'Hôtel des Invalides à Paris. L'instance avait transmis son avis consultatif - non communiqué au général ni à ses deux avocats - au ministère de la Défense, et la radiation avait ensuite été prise par un décret du 23 août signé par le président de la République, le premier ministre et le ministre de la Défense (...)

    «Profondément indigné par cette décision injuste et injustifiée, excessive et disproportionnée», réagit-il. Le général quatre étoiles entreprend aujourd'hui une procédure de recours devant le Conseil d'État, confie-t-il au Figaro, «avant d'aller devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), si besoin». «Cette sanction est un hiatus, une anomalie grave, en totale contradiction avec ma relaxe, se scandalise-t-il. C'est le désaveu du pouvoir judiciaire par le pouvoir administratif, cela bouleverse la hiérarchie des normes juridictionnelles, c'est tout simplement du jamais-vu!» (...) Si son grade ne peut lui être retiré, le port de son uniforme lui est en revanche interdit, tout comme sa carte d'identité militaire d'officier général - en principe accordée à vie. C'est l'atteinte à ces symboles forts et ce retour forcé au statut civil qui lui «font le plus mal», plus que les autres attributs, notamment financiers, liés à son statut. «Le plus inacceptable pour moi, c'est d'être mis au ban de cette manière après avoir donné quarante années au service de la France, d'être rayé comme ça et traité comme un paria» (...)

    Pour beaucoup de ses soutiens, cette sanction disciplinaire n'est rien d'autre qu'«un règlement de compte politique», dit l'un d'eux. «Si l'administration estime que j'ai transgressé mon devoir de réserve (...) en usant de ma liberté d'expression, analyse le général, cela veut dire une chose: c'est que ma liberté d'expression ne peut être que celle de la pensée dominante. Et si elle n'est pas conforme à la bien-pensance politique, alors elle est sanctionnée. La vérité, c'est que mon cas sert d'instrument pour faire taire la Grande Muette, car les officiers généraux s'expriment aujourd'hui beaucoup plus qu'avant. Ils veulent faire de moi un exemple pour imposer le silence dans les rangs».

    Philippe Carhon

  • Le projet de loi « Préférence étrangère et tyrannie gauchiste » en discussion au Parlement

    Le 6 juillet dernier l’Assemblée nationale a adopté en première lecture le projet de loi « Egalité et citoyenneté » dans l’indifférence complète de l’opposition et de l’opinion.

    Ce texte, hétéroclite au premier abord, est en fait particulièrement dangereux pour notre liberté et pour notre identité. Il a pour objectif de nous contraindre d’accepter, au nom de l’égalité et des « valeurs de la République » socialiste, l’installation définitive des allogènes qui déferlent sur notre pays depuis des décennies, grâce à un service civique généralisé et à la mixité ethnique dans le logement.

    Surtout, faisant suite aux textes liberticides imposés aux Français : Pleven et Fabius-Gayssot, il plante des clous supplémentaires dans le cercueil de la Loi de 1881 sur la liberté de la presse. En cela il valide juridiquement le « Plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme » de l’occupant de Matignon.


    Les motivations affichées : égalité réelle et fraternité, mais la liberté est piétinée

    Le texte de loi se veut la traduction des propos indignes tenus par Valls qui avait évoqué un « apartheid territorial, social et ethnique » quelques jours après les attentats de janvier 2015.

    Il veut répondre à l’ambition d’une «  France engagée, au service des valeurs de la République », c’est-à-dire de celles de la gauche et de l’extrême gauche. Il est symptomatique de constater que ces idéologues mettent la France, notre patrie bimillénaire, au service de ce que, eux, ils appellent la République.

    Avec ce projet de loi, les gauchistes veulent un pays plus fraternel qui tendrait vers plus d’égalité réelle et ils sont déterminés à brimer les libertés qui pourraient constituer un obstacle.

    L’enterrement de la liberté de la presse/ Un « Plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme » liberticide

    La lettre d’information Faits & Documents a enquêté sur le « Plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme 2015-2017 » mis en œuvre par un préfet, Gilles Clavreul, véritable commissaire politique. Celui-ci a été nommé en novembre 2014 à la tête de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Dilcra) placée directement sous l’autorité du premier ministre.

    Ce plan constitue une machine de guerre idéologique et répressive déclinée en 40 « actions » et dotée de 100M€ (l’argent de nos impôts) sur 3 ans. C’est la Dilcra qui a lancé en mars dernier l’indigne campagne de propagande en boucle à la télévision « TousUnisContrelaHaine ».

    Mesure phare, l’ « Action 31 » vise à modifier la loi sur la liberté de la presse par une « intégration de la répression des discours de haine au droit pénal » et a été introduite discrètement dans le projet de loi « Egalité et citoyenneté » (voir F&D n°418).

    Egalité réelle et tyrannie

    L’article 37 durcit la répression des délits de provocation, de diffamation et d’injures racistes ou discriminatoires (orientation sexuelle) figurant dans la loi de 1881, en ajoutant pour ces délits une peine complémentaire de stage de citoyenneté désormais nommé « stage d’apprentissage des valeurs de la République et des devoirs de citoyen », en doublant la peine des injures racistes ou discriminatoires et en excluant l’excuse de la provocation. Un quidam qui se ferait traiter de sale Français, a intérêt à peser avec soin les termes de sa réponse !

    L’article 38 modifie le Code pénal afin d’alourdir et de généraliser les circonstances aggravantes de racisme et d’homophobie à l’ensemble des crimes et délits. En l’occurrence les textes ne mentionnent plus la race mais des raisons racistes puisque la notion de race ne peut pas s’appliquer à des êtres humains.

    Le Monde indique que d’autres amendements ont été proposés en cours d’examen comme celui porté par l’ex-ministre et élu socialiste de la Guadeloupe Victorin Lurel qui a fait voter l’élargissement des sanctions prévues en cas de propos négationnistes (un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende) aux propos niant ou faisant l’apologie de la traite négrière et de l’esclavage. On ne sait pas si ces sanctions s’appliqueront à ceux qui rappelleront l’esclavage pratiqué par les Barbaresques dans le monde méditerranéen pendant des centaines d’années.

    Les constitutions de partie civile du chef d’apologie de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité sont étendues à toutes les associations de victimes de crimes de guerre ou contre l’humanité.

    Enfin rien n’est prévu contre toute parole ou acte de haine à l’égard de la France et des Français. Mais qu’attendre d’autre d’un donneur de leçons naturalisé de fraîche date ?

    Le volet citoyenneté et émancipation de la jeunesse : un embrigadement ?

    Le projet de loi veut mettre les jeunes au service de l’intérêt général :

    –Généralisation de la réserve citoyenne devenue réserve civique tout au long de la vie qui permettra à tout citoyen de s’engager ponctuellement au service de l’intérêt général. La réserve civique peut comporter des sections spécialisées ;

    –Extension du service civique dans d’autres domaines, par exemple les services d’incendie et de secours et les organismes HLM. Le texte ouvre la possibilité à l’Etat d’autoriser à titre expérimental la création d’un service civique universel d’une durée de neuf mois répartie en deux périodes distinctes ;

    –Création d’un congé d’engagement qui permettra à tout dirigeant associatif de prendre un congé non rémunéré de six jours maximum par an.

    L’espoir des socialistes est de faire coup double : lutter contre le désœuvrement du chômage que leur politique favorise et mettre la masse des jeunes, notamment allogène, de leur côté. La réserve citoyenne avait pour objet de fournir à l’armée de métier des renforts en cas de coup dur. Dans le cadre du projet de loi, toutes les dérives, en particulier celle d’une milice politique, sont envisageables, d’autant plus que le texte prévoit que les réfugiés pourront y accéder, dans une «  première marche vers l’insertion ». Enfin, il faut noter la faveur dont jouissent les associations dont certaines fournissent un appui décisif en faveur de la grande mutation biologique.

    Le volet mixité sociale et égalité des chances : vers la mixité ethnique

    Ce volet se tourne résolument, si besoin était, vers le logement pour satisfaire les fantasmes des socialistes du vivre-ensemble.

    –Principe fondamental : toutes les catégories de ménages demandeurs d’un logement social doivent bénéficier d’une « égalité de chances » pour accéder à tous les secteurs géographiques dans lesquels ce parc est présent. Cela laissera peut-être une chance aux ménages des Français de souche ;

    –Mixité favorisée par l’occupation du parc social, et plus spécialement par les attributions de logements sociaux pour lesquelles le niveau intercommunal sera privilégié au détriment des maires des communes ;

    –Renforcement des contraintes de la loi SRU et obligation pour les collectivités territoriales de consacrer au moins 25% des logements sociaux qui leur sont réservés aux ménages prioritaires ;

    –25% des attributions réalisées hors quartiers prioritaires de la politique de la ville devront bénéficier à des ménages appartenant aux 25% des demandeurs ayant les ressources les plus basses. Cela veut dire imposer la présence de familles fraîchement immigrées à la population française au détriment de sa liberté fondamentale de choix de son cadre de vie ;

    –Possibilité pour les bailleurs sociaux de différencier les loyers selon les secteurs ou au sein des immeubles pour favoriser la mixité sociale. C’est proprement monstrueux. Concrètement, les loyers seront modulés pour favoriser l’implantation de familles allogènes à très faible revenu, à côté de Français qui paieront le loyer plein ;

    –Possibilité pour le préfet de délivrer des autorisations d’urbanisme dans les communes qui ne respecteraient pas les critères de la loi SRU en matière de logements sociaux ;

    –Ah, n’oublions pas ! Le projet de loi donne la possibilité au premier ministre de légiférer par ordonnances pour modifier comme il l’entend le Code de la construction et de l’habitat.

    Ainsi l’idéologie gauchiste, l’arbitraire, la dépossession des pouvoirs des maires, le mépris du cadre de vie des Français et l’autoritarisme constituent les principes de ce volet dédié au logement et destiné à imposer la mixité ethnique et le métissage.

    L’égalité réelle : élargir et pérenniser la préférence étrangère

    Selon le texte de loi, la fonction publique doit s’ouvrir à une plus grande diversité de profils et de compétences. A ce titre, il ouvre plus largement la voie d’accès dite du troisième concours pour les candidats ayant acquis une expérience dans le cadre d’une activité professionnelle ou associative ou d’un mandat d’élu local.

    Cette porte ouverte à toutes les dérives de la préférence étrangère s’étend aux domaines de l’emploi, de l’éducation, de la protection sociale et de l’accès aux biens et services au nom de la lutte contre les discriminations. Mieux : le CSA doit veiller à ce que la « diversité » de la société française soit représentée dans les médias audiovisuels.

    En définitive

    Les buts électoralistes de la loi « préférence étrangère et tyrannie gauchiste » sont évidents et même Le Monde n’est pas dupe :

    « A moins d’un an de l’élection présidentielle, ce projet de loi est aussi la dernière occasion pour les parlementaires socialistes d’envoyer un signal marqué à gauche et de rassembler toute la majorité pour clore une législature minée par les divisions et l’amertume. »

    Mais les objectifs de fond ne sont pas là. Tout le monde pense que Hollande et son gouvernement en place sont désemparés face aux sondages dus à leur échec en termes d’économie, de finances et de sécurité. En réalité, ils s’en moquent et leur refus de lutter efficacement contre le terrorisme comme l’arrogance de Cazeneuve face à la commission d’enquête sur les attentats le montrent clairement.

    Dans leur esprit, le quinquennat constitue une réussite car les véritables objectifs pourraient avoir été largement atteints en 2017 : détruire la nation et la société françaises, les dissoudre dans une grande mutation démographique et imposer leur « République » mondialiste, libertaire, multiculturelle et tyrannique au sein de laquelle la liberté d’expression, déjà bien atteinte, aura disparu. Le projet de loi en cours de discussion constitue une étape décisive de cette marche vers un totalitarisme gauchiste.

    André Posokhow Consultant pour Polémia 2/08/2016

    http://www.polemia.com/le-projet-de-loi-preference-etrangere-et-tyrannie-gauchiste-en-discussion-au-parlement-2/

  • Journal du Mercredi 5 octobre 2016 - Insécurité / Contrôle au faciès : vrai/faux problème

  • Après Estrosi et Bertrand, Juppé sera-t-il, demain, un Président « de droite » élu par la gauche ?

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     La Une de Libération, le 22.12.2014... Déjà ! 

    Le « Front républicain » est la tendance actuelle du Système; lequel, comme les virus, mute en permanence : non pas pour perdre sa nocivité, bien au contraire, mais pour mieux la et se conserver. Aujourd'hui, pour « barrer la route » à ce qu'ils appellent « extrême droite » (alors qu'ils disent, curieusement, « la gauche de la gauche »), les politiciens de tous bords, intellos et « médiacrates » de tout poil, ont imaginé de faire bloc contre l'extrémisme; et de baptiser ce bloc - ou prétendu tel - « Front Républicain». C'est ce danger extrême, qui prétend se lever contre l'extrémisme, qu'il faut dénoncer et combattre aujourd'hui, comme le premier et le plus grand de tous les dangers immédiats.
    Ce Front Républicain a marché aux dernières Régionales, où - dans le Nord et en Provence - Xavier Bertrand et Christian Estrosi ont été élus par une alliance contre nature et ont réussi à fausser le jeu normal d'une élection qui aurait, sinon, porté les deux candidates Front national aux commandes de ces deux Régions.
    Aujourd'hui, pour la Présidentielle, « on » s'apprête à refaire le coup, mais avec Alain Juppé, cette fois. Il fallait l'entendre et le voir, sur RTL, lancer un appel jubilatoire à la gauche pour venir voter pour lui à la primaire... de la droite ! N'importe qui voit dans ces tactiques douteuses le dévoiement illégitime d'une saine représentation de la réalité vraie de l'opinion publique. N'importe qui, mais pas la classe politique. Dérouter ainsi les gens, fausser ainsi la représentation nationale, cela ne gêne pas nos grandes consciences, promptes à donner par ailleurs des leçons de morale à la terre entière.
    Ces basses manoeuvres politiciennes s'exercent, aujourd'hui en faveur d'Alain Juppé. Que l'on peut clairement désigner comme le candidat de l'Islam en France. « Dhimmi volontaire » - comme l'a appelé un de nos lecteurs/commentateurs - Juppé n'a-t-il pas offert à l'imam de Bordeaux, Tarek Oubbrou - dont certains disent qu'il en ferait un ministre - un vaste terrain pour la construction d'un gigantesque centre « culturel » (bien entendu, avec mosquée, puisque, en Islam, culturel et cultuel ne font qu'un). Si ce n'est pas une violation flagrante de la loi de 1905...
    Voilà l'homme que, demain, le Front Républicain, cette dégénérescence dans laquelle est tombé le Système, voudrait placer à la tête de l'Etat. Au moins, hier, il ne s'agissait que - si l'on peut dire - de deux Régions... 
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Attentat de Nice : les gendarmes étaient à Avignon pour protéger Hollande

    Le rapport de la police des polices a passé sous silence le motif-clé de l'absence de gendarmes et CRS à Nice pour le 14-Juillet : ils avaient été mobilisés à Avignon pour le "dîner privé" de François Hollande. 
    Lors du procès de l'affaire de pédophilie d'Outreau, les chaînes de télévision avaient pu -fait exceptionnel- retransmettre en direct les audiences. 
    À propos de l'attentat de Nice qui a causé la mort de 86 personnes, aucun média audiovisuel n'a souhaité diffusé le seul débat de fond qui s'est tenu sur le sujet à l'Assemblée nationale. 
    Dans l'après-midi du 6 septembre, la commission des lois a auditionné la patronne de l'IGPN, police des polices, à propos de son rapport relatif à la sécurisation de la Promenade des Anglais au soir du 14 juillet. 
    Dans la soirée du 6 septembre, Panamza avait déjà souligné que l'IGPN n'avait pas voulu et pu accéder aux images pourtant cruciales de la vidéosurveillance de Nice. 
    Aujourd'hui, mercredi 28 septembre, un nouvel élément d'information nécessite d'être souligné. Membres de la commission des lois, les députés de l'opposition (LR) se sont étonnés (à 1h40 et 1h42) que le rapport de l'IGPN -qui indique que 5 villes de la "zone de défense et sécurité sud" (Marseille, Toulouse, Montpellier, Carcassone, Avignon) ont bénéficié ce soir-là de la protection de forces mobiles (CRS et gendarmes)- passe sous silence le motif de l'affectation pour Avignon : la présence non annoncée de François Hollande (en compagnie d'Audrey Azoulay, ministre de la Culture) pour un "dîner privé" suivi de sa venue au Festival pour assister à la dernière représentation locale des "Damnés", curieuse pièce de théâtre sur la montée du nazisme (qu'il ira finalement voir le 24 septembre à La Comédie Française). 
    Précisément : une unité de force mobile avait donc été refusée à Nice pour être affectée à Avignon et protéger le président de la République. 
    Eric Ciotti a notamment insisté (à 1h02 et 1h38) sur le fait que, "pour la première fois", Nice n'ait pas disposé de telles forces de protection pour le 14-Juillet, contrairement aux éditions de 2015 (60 gendarmes) et 2014 (37 CRS). En cette année 2016, seuls des policiers municipaux (42) et nationaux (64) étaient présents pour encadrer la fête de la "Prom'Party".

  • Tribune Libre – La disparition du monde rural, par Vincent Revel

    Malgré le choc des deux guerres mondiales, pouvant aussi ressembler pour les Européens à une longue, dramatique et coûteuse guerre civile, le choc majeur du XXe siècle pour notre continent aura probablement été la mort de notre paysannerie. Sous les coups d’une oligarchie mondialisée, l’ancien monde rural, enraciné dans un territoire, a laissé place à l’ère des villes mondes sans frontière.

    Travaux-des-champs-228x350.jpgDans son merveilleux livre Travaux des champs (éd. du Rocher, 2009), Alain Leygonie écrivait avec justesse que « le basculement dans la modernité » des populations rurales avait été l’événement le plus important des cent dernières années. Depuis les années 1960, nombreux furent nos hommes politiques à trahir la confiance de leurs électeurs habitant les zones rurales en leur laissant croire en un avenir meilleur. En 1945, près de 10 millions de Français travaillaient encore dans l’agriculture ! Aujourd’hui, la population active dans le monde agricole représente moins de 4 % des travailleurs !

    Le chiffre ne cesse de baisser au profit de gros exploitants, vivant de subventions, devenus pour certains « les jardiniers d’une nature sans hommes ». A la place des villages respirant la vie et l’activité, un désert rural s’est installé, transformé parfois, pour les régions les plus ensoleillées, en décor pour touristes et retraités fortunés. Le mal est profond et notre élite, profondément urbaine, ne cesse de se désintéresser de cette ruralité qui lui renvoie l’image d’un passé riche de sens.

    L’histoire de l’agriculture occidentale, basée sur l’exploitation familiale, a connu un bouleversement radical lorsque nos paysans sont devenus uniquement des exploitants, chefs d’entreprises, soucieux de productivisme avec un outil de travail complètement intégré à l’économie de marché. Dans cette agriculture moderne, les solidarités volent en éclat, le nombre de suicide augmente et les petites exploitations, à taille humaine, tendent, en règle générale, à disparaître.

    Bientôt, si nous continuons à suivre aveuglément les conseils de nos technocrates, la France, au passé agricole millénaire, connaîtra « l’aire du vide ». Seules les plus grosses exploitations subsisteront. Avec un désir accru de posséder le maximum de terrains agricoles, les nouveaux grands propriétaires mettront en place aveuglément les nouvelles méthodes de travail, basées sur l’extensification de la production, et de la ferme de nos anciens restera un lointain souvenir remplacé par les exploitations-usines chères à nos dirigeants européens.

    Le malaise est bien présent. L’endettement, parfois appuyé par des syndicats irresponsables, trop proches de lobbies puissants, pousse de nombreux agriculteurs à la faillite. Riches en terre mais pauvres socialement, de nombreux paysans travaillent à perte dans le seul but de ne pas tout perdre. Ceux pour qui le mot racine éveille encore quelque chose savent à quel point notre élite apatride est responsable de ce résultat catastrophique.

    Face à ce terrible constat, nous assistons à présent, impuissants, à la naissance des métropoles. Contribuant à déconstruire le socle identitaire des provinciaux, cette folie urbaine de nos élus-notables locaux pousse de plus en plus les zones rurales dans l’ombre, comme un encombrant héritage que l’on voudrait oublier.

    Avec la prochaine élection présidentielle, nous devrions tous avoir à cœur de reconstruire cette ruralité en nous détournant des faiseurs de rêves et de leurs grandes idées qui nous ont conduits la misère.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • La Xe Journée de Synthèse nationale en photos (deuxième série) :

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  • Quand l’INSEE valide le Grand remplacement

    Le “fantasme” est bien une réalité chiffrée

    Grand Remplacement : il convient de mettre des majuscules, non par goût du sensationnel, mais parce qu’il s’agit d’un événement historique singulier, un changement important dans la population française qui se déroule sous nos yeux.

    C’est donc un nom propre. On a d’abord cru qu’il s’agissait d’un fantasme d’extrême droite. Un ami professeur en Sorbonne me disait : « Le Grand Remplacement, je connais la théorie, mais je n’y crois pas ». On disait aussi que cette hypothèse était “trop logique” pour se produire. Objection bien curieuse : si la récolte de blé est mauvaise, faudra-t-il s’attendre à ce que le prix du pain baisse, parce que le contraire serait “trop logique” ? À moi, l’intuition me suggérait, en voyageant dans les RER parisiens, en voyant les nombreux Comoriens implantés en Dordogne par le conseil général socialiste précédemment aux manettes, que cette théorie se transformait en réalité. Mais il faut se méfier de l’intuition comme de la peste. […]

    Alain Nueil - La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-l-INSEE-valide-le-Grand