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France et politique française - Page 3200

  • FN : le duo Philippot-Montel à la manoeuvre

    Minute nous apprend que, lors du bureau politique ayant procédé aux sanctions à l'égard de ceux qui avaient osé assister à l'hommage de Jean-Marie Le Pen à Jeanne d'Arc, Sophie Montel, présidente du groupe FN au conseil régional Bourgogne-Franche-Comté, a de nouveau attaqué Marion Maréchal-Le Pen comme elle l’avait fait la veille dans son discours au banquet de Jeanne d’Arc. Elle lui a une nouvelle fois reproché ses prises de positions sur l’avortement et sur le Planning familial, qui, selon elle, nuisent à la progression du FN. Commentaire d’un membre du Bureau Politique :

    « Elle est de plus en plus dans la provocation. Il faudrait que Marine la recadre, ça ne va pas pouvoir durer comme ça. »

    Problème : le discours agressif de Sophie Montel contre Marion Maréchal a été prémédité avec Florian Philippot, lequel avait confié à des proches quelques jours auparavant que le discours de Sophie Montel allait rester dans les mémoires. 

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/fn-le-duo-philippot-montel-%C3%A0-la-manoeuvre.html

  • ZOOM - Alain de Benoist : Manifeste contre l'idéologie des droits de l'homme

  • Général Pinard-Legry : « Il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis »

    MINUTE-2770-Couv.jpegLe général Henry Pinard-Legry, interviewé par l’hebdomadaire Minute sur les attaques répétées contre les militaires français sur leur propre sol, estime qu’« il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis », et non pas comme des criminels de droit commun – quand ils ne sont pas déclarés « irresponsables au moment des faits » comme l’islamiste qui avait tenté d’égorger un militaire à La Défense.

    Extrait de cet entretien avec le président de l’Association de soutien à l’armée française (Asaf) :

    « Minute » : Les agressions contre des militaires se multiplient. Quelle est votre réaction ?

    Général Henri Pinard-Legry : Sur le fond, c’est logique qu’on s’en prenne aux soldats de l’opération Sentinelle. Certains partent en Syrie et en Irak, d’autres s’attaquent à des soldats français en mission sur le territoire national.

    Le vrai problème est le suivant. Les agresseurs de soldats seront jugés pour coups et blessures, comme n’importe quel voyou. Pourtant, il faut les traiter comme des ennemis, puisque nous sommes en guerre. Mais, comme il n’y a pas eu de déclaration de guerre, on ne peut pas les juger dans le cadre d’un tribunal spécial comme collaborateur, par exemple. On a en face de nous un ennemi qui agit en ennemi. Il faut donc un traitement et un cadre juridique adapté.

    Pour les soldats, quelle riposte est possible ?

    Cette question pose le problème des conditions d’emploi des armées sur le territoire national et des limites de l’utilité de la présence des militaires. Sur le moment, c’est toujours compliqué de riposter avec un Famas au milieu d’une foule. D’où la réflexion en cours : est-ce qu’on doit utiliser les militaires comme des vigiles ? Est-ce que ce n’est pas du « gaspillage » d’utiliser les militaires comme simples supplétifs des forces de sécurité ?

    Je crois, au contraire, qu’il faut identifier les domaines de compétences dans lesquelles les armées pourraient compléter le travail des forces de sécurité intérieure. C’est une question d’optimisation de la ressource.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Le Front National s’engage à combattre la GPA

    Communiqué du FN des Pays de la Loire :

    "Pascal GANNAT et Samuel POTIER, élus Front National de la région des Pays de la Loire, ont participé hier aux rassemblements anti-gestation pour autrui (GPA) dans les villes de Nantes et d’Angers.

    Le Front National rappelle sa ferme intention d’abroger la loi Taubira dite du « mariage et de l’adoption pour tous » qui est la première étape de la législation sur la procréation médicalement assistée (PMA) pour les partenaires de même sexe, et pour la GPA. Cette loi  institue en effet un droit à l’enfant, en faisant primer les désirs individuels des adultes sur le droit fondamental des enfants à être élevés par un père et une mère, dans la complémentarité véritable d’un homme et d’une femme. Par une jurisprudence incitative, la Cour européenne des droits de l’homme oblige les tribunaux français à reconnaître l’identité des enfants nés de mères porteuses à l’étranger, et contribue, par là-même, à un recul de civilisation.  Comment rester insensible à la réalité sordide de la GPA, responsable du développement « d’usines à bébés », surtout dans les pays pauvres, où de riches Occidentaux paient des femmes démunies pour produire un enfant off-shore ?

    En ce jour de commémoration de l’esclavage, le Front National exprime son refus catégorique de la marchandisation du corps de la femme et des enfants. Faire de la procréation un objet de négoce, rappelle les horreurs du commerce triangulaire, où d’innombrables hommes furent vendus comme de vulgaires marchandises. En 1848, la France s’honorait d’abolir l'esclavage. En 2016, le Front National s’engage plus que jamais à combattre la GPA, ainsi que toutes les dérives marchandes de l’ultra-libéralisme, qui nient la dignité de chaque être humain."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/le-front-national-sengage-%C3%A0-combattre-la-gpa.html

  • Loi Travail : pas de nuit debout pour les députés

    Le gouvernement a recours au 49-3 pour faire voter le texte de force par les députés de la majorité. Le député Poisson écrit dans Le Figarovox :

    "[...] Cette loi aurait dû procurer de la stabilité et une vision de long terme aux entreprises: ses versions successives démontrent une instabilité incompatible avec le besoin des employeurs. Elle aurait dû s'engager à simplifier un code que plus personne ne comprend: elle ne fait qu'ajouter de la complexité à la complexité.

    Elle aurait dû faciliter le climat de confiance sans lequel la reprise économique est inenvisageable: la méfiance véhiculée par la méthode de travail (ou plutôt l'absence totale de méthode) du gouvernement a produit l'effet inverse.

    A la fin du compte, elle aurait dû marquer le retour de l'autorité de l'Etat dans le champ social, faite à la fois d'une grande fermeté de principes et d'une tout aussi grande confiance dans les acteurs:du fait que le premier ministre a cédé aux chantages de tous ordres, nous aboutirons à l'inverse.

    La France apaisée de F. Hollande était un slogan de campagne: ce n'est plus, au mieux, qu'un lointain souvenir. Il est affreusement dommageable que le travail pâtisse de cette trahison supplémentaire.

    En décidant, à l'entame des débats dans l'hémicycle lundi soir, de bloquer les votes sur les amendements et les articles faute de majorité, le gouvernement a définitivement scellé son incapacité à rassembler sa propre majorité. Le mépris affiché à l'égard de la représentation nationale à cette occasion est sans précédent, sur un texte de cette importance.

    Nous irons donc au 49-3, preuve surnuméraire du fait que la majorité n'existe plus. Dans n'importe quelle autre circonstance, le premier ministre en tirerait toutes les conséquences: il remettrait son mandat au chef de l'Etat. Ou bien le chef de l'Etat en tirerait lui-même toutes les conséquences: il dissoudrait l'Assemblée nationale. Nous n'aurons sans doute rien de tout cela, les gouvernants ayant perdu de vue le sens et le poids de leur responsabilité.

    Au lieu de cela, nous assisterons à un rafistolage de plus. Son but n'a rien a voir avec la santé de nos entreprises, et de nos emplois. Il n'a de sens que pour préserver la capacité de François Hollande à être de nouveau candidat à l'élection présidentielle, dans les conditions les moins pires possibles.Pour lui, pas pour la France. Personne n'avait à ce point instrumentalisé les institutions de notre pays. Personne n'avait été jusqu'ici animé d'un tel aveuglement, d'un tel égoïsme, et d'un tel mépris pour le peuple français. Aujourd'hui, la situation de notre pays est gravissime, et peut être résumée ainsi: pour notre malheur à tous, la présidence française est en jachère, et le Premier ministre en dépôt de bilan. Décidément, le rétablissement de l'autorité de l'Etat et de la force de nos institutions est le seul vrai problème des échéances électorales à venir: le reste est de la littérature."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Déjà 1000 inscrits pour Le Rendez-Vous de Béziers de Robert Ménard

     « Nous sommes déjà 1 000 inscrits au Rendez-vous de Béziers des 27, 28 et 29 mai organisé par Boulevard Voltaire et Valeurs actuelles », se réjouit Robert Ménard, parlant d’une affluence qui « confirme, s’il en était besoin, l’urgence ressentie par un nombre grandissant de patriotes et d’électeurs de droite à se retrouver et à se rassembler pour peser dans la campagne de 2017 ».

    A la liste déjà publiée d’une quarantaine d’intervenants vient de s’ajouter le nom d’Oskar Freysinger, l’homme qui incarne en Suisse la résistance à l’islamisation et par ailleurs spécialiste des questions de sécurité et de formation. Oskar Freysinger, conseiller d’État, sera présent à la table ronde sur l’Europe. « Un Suisse qui parle de l’Europe ?, interroge Robert Ménard. Oui, car l’Europe ne commence pas et ne s’arrête pas à l’Union européenne, elle est un continent et une civilisation. »

    Nouvel invité également, Axel Rokvam, fondateur des Veilleurs, qui vient de confirmer sa présence à la table ronde sur la famille.

    Robert Ménard affirme en outre que « de nombreuses personnalités politiques seront présentes à Béziers ». Leurs noms ? « Nous les révélerons à quelques jours de l’ouverture. Préparez-vous à des surprises ! »

    Pour s’inscrire, c’est ici.

  • Journal du Mardi 10 Mai 2016 : Terrorisme / L’Allemagne récolte la tempête

  • Bibliothéque du militant

    Le choix d’un livre est toujours délicat. Comment intéresser sans ennuyer ? De nos jours, avec les nouvelles technologies, il est peut-être encore plus compliqué de trouver le temps de lire. Prendre un livre, le peser, le parcourir, tourner quelques pages, c’est déjà un acte. Gavé souvent par la littérature scolaire où le temps s’est arrêté sur quelques “illustres” incontournables, souvent par la contrainte et l’obligation, l’étudiant croit perdre son temps. Or, c’est par l’esprit que se forge l’âme et la volonté. Chacun doit prendre conscience de la haute culture civilisationnelle et de l’enseignement qui en découle. Je ne parle pas ici de l’érudition universaliste jacobine des institutions, mais bien au contraire de ce qui peut inspirer le militant. Comment le rendre plus fort, plus érudit, plus compétitif, plus dialecticien, plus ouvert sur les réalités de son siècle. Lire, lire, lire. Tout militant défend une cause. Quelle soit juste ou non, c’est à chacun de trouver les arguments afin de faire valoir son choix. Sans étude, sans recherche, il n’y a que la loi du bâton et la tension du pavé. Or, ce que l’on pense, ce que l’on évoque, ce que l’on impose doit être le reflet d’un savoir compétent et maîtrisé. Le politique, de par ses convictions, sait de quoi il parle. C’est ce qu’il a compris d’une doctrine qui le différencie, comme le grain de l’ivraie. D’autant que l’on se bat toujours mieux lorsque l’on sait pourquoi. La lecture est une arme ! Le dialogue un combat ! La victoire est celle de l’intelligence et de l’érudition, du discernement et du pragmatisme ! Les quatre vont ensemble de manière indissociable.

    C’est par la lecture que l’on se forge un idéal. L’héroïsme, le charisme et la droiture sont les atouts du héros ! Les mythes fondateurs sont l’expression du destin des hommes. L’action héroïque est l’accomplissement du devoir, transcendé par le courage, la vitalité, la vaillance. Mythes et héros sont les racines culturelles qui unissent fraternellement les dieux et les hommes, les archétypes et les prototypes. Elles sont entretenues depuis l’aube des temps comme notre bien civilisationnel le plus précieux : l’exemple. En tant qu’idéaliste, c’est à chacun de tirer les leçons de cette tension exigeante.

    Le politique est homme de son époque, vivant dans l’actualité du quotidien, soumis aux lois de la société. Il incarne la droiture de ses propos, de ses faits et gestes par le juste combat politique et civilisationnel qu’il a choisi et déterminé. Il préfigure toujours l’intelligence, l’enthousiasme et l’énergie de la jeunesse. Le militant est un rebelle. Ce n’est ni un pirate dévoyé, ni un lansquenet à la solde.

    Cela n’est pas incompatible bien au contraire.

    Nous ne naissons pas communiste ou fasciste. Ces deux idéologies sont d’un autre siècle. Les enjeux historiques et politiques sont différents. Mais après les premières pulsions viriles, chacun doit chercher les raisons qui font de lui quelqu’un à l’esprit différent dans un monde toujours en transformation. Si une bonne condition physique est indispensable à tout militant, sa tête doit être bien pleine ! Et bien sûr, sélective, car chacun a le devoir de savoir de quoi il parle, afin argumenter son discours. Cette culture spécifique lui permettra de rester en contact permanent avec l’Histoire, la politique et la spiritualité. Pour savoir de quoi l’on parle, il faut d’abord croire en son propre discours. La parole est une arme qui, bien maniée, permet de faire admettre une opinion soit complémentaire, soit contradictoire. Nous sommes d’un pays, peut-être aussi d’une nation ou d’une région particulière. Notre propre famille est aussi le réceptacle et l’alchimie qui ont engendré notre propre vie. Nous sommes d’ici et pas d’ailleurs, ça c’est la réalité. Voilà notre premier héritage culturel. En fait, nous pourrions dire aussi que l’on n’échappe pas à son destin, puisque celui-ci est en relation direct avec l’ a.d.n. qui est en bout de chaîne de notre arbre généalogique.

    Comment aimer un peuple quand on ne sait pas comprendre et accepter les siens ? La cellule familiale est le premier maillon de la chaîne.

    Nous savons tous que les idées des parents ne sont pas, voire, rarement celles des enfants. Pourtant, il n’en demeure pas moins vrai que le prisme par lequel nous pensons, créons, vivons, est en rapport direct avec notre éducation au sein même de la cellule familiale. Rejet ou harmonie de la famille sera l’expression contrariée ou en accord avec l’idéal du futur militant. C’est ce rapport étroit qui relie les éléments d’une famille. Négative ou positive, la cellule familiale est dans tous les cas le moule de notre pensée, le ferment de notre idéal. Mais, de gré ou de force, dans les deux cas, nous devenons ce que nous sommes par, ou à cause de la famille. Alors, quel rapport y a-t-il entre le militant et ce discours ? C’est notre réflexion et notre intelligence qui vont permettre de faire la différence entre tous ces éléments épars. Ainsi que le soutenait Benito Mussolini à Paris, en 1933 : « le fascisme, c’est une conception historique dans laquelle l’homme n’est ce qu’il est qu’en fonction du processus spirituel auquel il concourt, dans le groupe familial et social, dans la nation, et dans l’histoire à laquelle toutes les nations collaborent. »

    Nous vivons dans une communauté. Famille, nation et patrie charnelle, éducation et religion des ancêtres sont intimement liées afin de définir ce que nous sommes. C’est ainsi ! En revanche, une prise de conscience engendre une perception particulière face à la masse non-différenciée du peuple. Celle-ci forgera la personnalisation d’un individu. Ce n’est pas inné, il faut un déclencheur : chacun, jouissant d’un libre arbitre, se différenciera, ou non, de la communauté qui l’entoure. C’est le pouvoir d’approuver ou de refuser les conditions particulières. Un politique doit s’affirmer dans ses convictions. Il en va ainsi de l’être différencié dont parle Julius Evola dans un contexte que Nietzsche ne contredirait sûrement pas. Le politique et le religieux ne sont pas des individus tout à fait comme les autres. Cet homme ou cette femme est engagé dans un processus particulier. Il se définit par sa qualité critique, contestataire, mais aussi par un attachement quasi spirituel avec l’idéal qu’il a choisi, défini et interprété.

    Comment définir une pensée par la lecture. En fait, il y a quatre directions complémentaires : La mythologie – l’Histoire – la politique – la religion. Cette anthropologie est intimement liée et indissociable.

    1°) La mythologie et les cycles légendaires sont à la source de notre culture plusieurs fois millénaires. Ce sont les archétypes sacrés de la sagesse et de la folie qui inspirent le héros. C’est une perception métaphysique du monde. L’Occident mais aussi les autres civilisations n’auraient pas de repère sans le passé légendaire de ses peuples. 1 Dès notre plus jeune enfance nous sommes bercés par des rêves chevaleresques de combats épiques et picaresques. L’acte du héros ! Les natures angéliques et féeriques donnent à l’ensemble une construction mentale qui nous rapproche de l’idéal que l’on porte en soit, à la fois guerrier et spirituel. Droit, justice, beauté, amour. L’esprit du militant n’est pas obscur et revanchard, il est lumineux et noble tant dans ses paroles que dans ses actes. Il est un homme différencié.

    2°) L’Histoire inclut notre Culture, nos racines, nos combats, nos victoires et nos défaites… et les compromissions qui font partie des lois inexorables de l’existence des pays réels. La patrie ne vit pas seule à l’écart des autres nations. Elle s’inclut dans une dynamique qui est une tension permanente entre elles. Action – réaction, c’est le lot de l’Histoire de l’Humanité. L’unité d’un peuple se crée dans sa capacité à comprendre et à aimer les complémentarités ethniques2 et régionales qui le compose, sans jamais faire valoir leurs particularités. Être Français, devrait déjà être en soi un honneur. Notre Histoire nous prouve à chaque moment les difficultés de créer un État, de mener un peuple, de l’aimer et de le sauvegarder parfois même contre son gré, ses particularités, ses jalousies, son ignorance ou sa bêtise. C’est le lot qui accompagnent toujours le fardeau du chef, et du militant… L’un comme l’autre prêche par amour du peuple et pour le peuple.

    3°) La politique, c’est l’instant particulier de l’idéal contrarié par la réalité des faits historiques. C’est un combat permanent. Une tension particulièrement exigeante. Les passions et les réactions qu’elle engendre nous ramènent souvent à une fatalité que le militant tente de contrecarrer. Ce dernier cherchera dans la littérature les exemples historiques de ses chefs en prenant bien conscience des échecs et des succès dans le processus du combat politique. Il se doit d’en tirer la quintessence pour le profit de son parti, en ne perdant jamais de vue son amour inconditionnel du peuple.

    4°) La religion, le sacré et les mythes fondateurs : c’est l’espace providentiel où s’exécute le rite et l’ésotérisme qui lient spirituellement le politique à l’éthique de son peuple. Le destin d’une nation est de croire ! L’athéisme est niveleur. L’athéisme tue toute forme d’espoir. L’athéisme rend individualiste et égoïste. Le communisme est un avatar de l’athéisme. La Révolution Française de 1789 et le jacobinisme sont l’expression d’épouvante qu’inspire cette pensée néfaste. Il importe peu de partager une religion précise et unique. Mais il est indispensable à toute tête bien pleine, d’avoir des convictions étroites avec les Puissances ou les Dieux qu’il s’est choisi philosophiquement. Ce n’est pas toujours un but, mais c’est une direction, un cap, une référence.

    Ces quatre ingrédients sont indispensables. Fondus mais jamais confondus. Ils sont complémentaires. Si l’un des éléments vient à manquer l’œuvre ne sera pas complète.

    A 16 ans, mon frère aîné me tendit un livre en me disant virilement : « lis ! » Il est difficile de revenir sur les raisons individuelles qui amène à tel ou tel choix… Quoi qu’il en soit, voici une liste possible de lectures :

    • L’Histoire de France. Jacques BAINVILLE
    • Ma Doctrine. Adolf HITLER
    • Les carnets de Turner. Andrew MACDONALD.
    • Orientation. Julius ÉVOLA
    • Les indo-européens. Jean HAUDRY
    • Révolte contre le monde moderne. Julius EVOLA
    • Pensées corsaires. Gabriele ADINOLFI
    • Les Waffen ss . Henri LANDEMER
    • Le soldat oublié. Guy SAJER
    • Combat pour Berlin. Joseph GOEBBELS
    • Le cœur rebelle. Dominique VENNER
    • Persiste et signe. Léon DEGRELLE
    • Réponse à l’Espagne José Antonio PRIMO de RIVERA
    • La garde de Fer. Corneliu-Z-CODREANU

    Bien sûr cette liste n’est pas exhaustive. Elle va à l’essentiel. Mais, il est aussi d’autres considérations comme nous l’avons évoqué plus haut. Cela ne peut être qu’un avant-goût d’une longue bibliothèque à parcourir. Comme vous avez pu le constater cette sélection reprend certains rêves politiques contrariés… Mais ce qui est passionnant, au-delà des performances ou contre-performances de ces exemples du XXe siècle, c’est leur enracinement dans leur valeur respective, leur entêtement politique qui les mènent au sacrifice ultime. Vision nationaliste dépendante de la culture historique du pays réel. Ainsi, la France a son destin, comme les autres Nations… Mais il y a équations. Comment ne pas retomber dans les mêmes pièges. Tout l’avenir politique d’un mouvement se doit de s’interroger, de répondre et de trouver les parades à ce qui semble à priori être une fatalité. Les enjeux contemporains ne sont plus ceux d’hier, et ceux de demain se profilent à peine….

    L’avenir d’un peuple n’est pas de subir. C’est aux militants de lui rappeler !

    Texte de C.R. pour la communauté National Social Radical.

    https://nationalsocialradical.wordpress.com/

  • Katell Mautin : "Défendre nos familles, nos traditions, notre héritage chrétien"

    Katell Mautin est âgée de 34 ans. Elle est mariée et mère de 7 enfants. Elle a commencé à militer pour la vie dès l’âge de 15 ans. En 2013, lors des Manifs pour Tous, elle est passée par la case arrestation arbitraire pour délit d'opinion, violences policières à son encontre, garde à vue, condamnation... Après avoir milité avec son mari au sein du FN et soutenu la candidature de Bruno Gollnisch à la présidence de ce parti, elle a fini par rejoindre le Parti de la France où elle est désormais membre du Conseil national du PDF. Voici le discours qu’elle a tenu sur la famille et les valeurs traditionnelles à l’occasion du IIIème congrès du PdF. Un discours comme on aimerait en entendre plus souvent :