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France et politique française - Page 3489

  • On a trouvé où loger quelques "migrants"

    FH
    L'heureux propriétaire de la Sapinière, située à Mougins, "le Neuilly de la Côte d'Azur", étant actuellement locataire de l'Elysée, sa maison peut abriter une famille complète de "migrants" jusqu'à avril 2017. Bizarrement, l'on apprendqu'elle ne vaudrait "que" 800 000 €, alors que dans ce village très huppé,

    "on ne trouve pas une maison correcte à moins de 1,5 million d'euros. Et, dans les quartiers les plus cotés, comme le Redon, les Colles ou Saint-Barthélemy, les villas s'envolent à 10 millions, voire bien au-delà."

    Add : mais ce matin, pendant sa conférence de presse, François Hollande a été catégorique :

    "Je n'ai pas de résidence secondaire disponible. On attend d'un chef de l'État et du gouvernement qu'il puisse encourager ceux qui désirent le faire. Ce sera le travail des élus en coordination avec les préfets."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Aide aux « migrants » : compassion ou collaboration ?

     Par Pierre-Emile Blairon*

    bateau-immigres-300x224.jpgUn combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin.

    Un combat se gagne aussi avec des mots : un « migrant » n’est rien d’autre qu’un clandestin. L’une de ces officines venant en aide aux « migrants » édite un « annuaire des acteurs associatifs et institutionnels » de plusieurs centaines d’entrées regroupant cette nébuleuse d’organisations (dont la plupart des dirigeants sont issus de l’extrême gauche) mis à la disposition des clandestins.

    On connaît l’efficacité de ce réseau, d’autant plus qu’il est parrainé et subventionné par nos structures étatiques « républicaines ». On peut être surpris d’y trouver les mentions d’institutions vénérables comme la Croix-Rouge française (fondée par le maréchal Pétain le 4 août 1940 sous son appellation actuelle) ou le Secours catholique (fondé par l’abbé Rodhain, ouvertement pétainiste, décoré de l’ordre de la Francisque), dont la vocation initiale était de venir en aide aux Français en difficulté. Ces associations traditionnelles n’avaient d’autre but que compassionnel. Étrange pied de nez de l’Histoire : infiltrées par la gauche, elles se retrouvent à la pointe de la lutte antifrançaise, de la préférence étrangère, donnant tous les moyens légaux et surtout illégaux à ceux qui vont remplacer nos peuples européens, avec la bénédiction de nos gouvernants. On appelait ces gens, sous l’Occupation, des « collabos ».

     Ces militants illuminés n’ont plus de repères, de sol auquel se rattacher, ni de sang auquel appartenir, et se croient investis d’une mission universaliste ; ils vont affronter la saleté, les insultes, les violences (il y a quelques jours, en Italie, trois clandestins égyptiens ont frappé le responsable d’un centre d’accueil et violé son employée), en abandonnant délibérément nos pauvres qui souffrent. En effet, selon une enquête de 2012 effectuée par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), 40 % des SDF « francophones » ne reçoivent aucune aide, alors que la quasi-totalité des « migrants » sont pris en charge par l’armada des associations d’accueil des étrangers.

     C’est que nos bons samaritains sont persuadés d’être en charge de toute la misère du monde. Le prix de passage clandestin à bord d’un bateau s’élève en moyenne à 3.000 euros. Ou bien ces gens ne sont pas dans la misère, ou bien leur trajet est payé par des organismes privés ou étatiques ; lesquels ? Quel Français pourrait s’offrir un tel voyage ? Il faut aussi savoir que nombre de djihadistes pourraient être présents parmi les gentils demandeurs d’asile, selon Gilles de Kerchove, le coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme.

    Si le Grand Remplacement n’est pas une lubie, le Grand Suicide – l’ethnomasochisme – de nos populations européennes ne l’est pas non plus. Lorsque ces bénévoles inconscients auront parmi leurs proches une personne égorgée ou victime d’un attentat, ils ne pourront pas invoquer la clause de l’ignorance. Ils seront donc alors complices.

    (*) Pierre-Emile Blairon est journaliste et écrivain

    http://lejournalduchaos.hautetfort.com/archive/2015/08/17/aide-aux-migrants-compassion-ou-collaboration-5671500.html

  • Migrants, réfugiés, clandestins, envahisseurs : la guerre des mots

    Source : OJIM

    Devant l’ampleur de la crise migratoire, devant les files de centaines de milliers de candidats à l’immigration quel vocable adopter ? L’analyse d’un éditorial de Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles de Libération, dans l’édition papier des 5 et 6 septembre cerne quelques enjeux d’un vocable qui dépasse les querelles sémantiques.

    L’article semble ouvrir le débat. Mais le titre le referme de suite : « Ne dites plus migrant ». Il manque le point d’exclamation mais le mode impératif et performatif est de mise. Pour commencer Quatremer éreinte ses confrères français (il oublie Le Monde) qui « ont été les seuls en Europe à ne pas publier en une la photo d’Aylan ce petit garçon syrien noyé ». Ce manque de (bonne) conscience réside dans le mal français : « La crise humanitaire actuelle est traitée comme une aggravation… d’une vague migratoire, qui depuis des années vient s’échouer sur les côtes européennes … ». Le mot migrant renvoie lui-même à « immigrant » connoté négativement en France, « un cache-sexe sémantique qui permet de nier la spécificité du drame humain qui se joue à nos frontières ». Diable ! Quelles frontières ? Celles de l’Eldorado fantasmé européen ou celles de tous les conflits de tous les pays. Les frontières de l’Europe iraient jusqu’à l’Irak, la Syrie, voire l’Erythrée ou la Somalie ? Il est vrai que l’Union Européenne ne considère pas l’Europe comme un ensemble historique, géographique et culturel mais comme un agglomérat rassemblé par « les droits humains » et que les frontières morales ont l’avantage de pouvoir se passer plus facilement, première étape en attendant la suppression des frontières physiques si malvenues.

    Allons plus loin dans l’article « Parler de migrants, c’est nier leurs souffrances, c’est interdire aux citoyens de penser le drame qui se joue, c’est anesthésier l’opinion publique… » . Les arguments compassionnels peuvent se retourner comme un gant : parler de « réfugiés » c’est interdire aux citoyens de penser les conséquences à court, long et moyen terme de ce premier mouvement massif de population, c’est anesthésier l’opinion publique sur la réalité des kosovars, albanais, indiens, sri-lankais, pakistanais qui ne viennent pas de zones de guerre. C’est privilégier l’émotion – le cadavre du petit garçon – pour nier toute réflexion sur les responsables véritables des noyades, c’est oublier le rôle de la France dans le chaos libyen, celui des États-Unis dans le chaos irakien, celui des islamistes dans le chaos syrien, celui de tous ceux qui encouragent les passeurs en souhaitant la fin de tout contrôle.

     

     

    Le meilleur de l’éditorial est pour la fin : la reductio ad Lepenem. Employer le mot de « réfugié… c’est refuser cette lepénisation rampante des esprits ». Alors que les « “migrants” ne peuvent qu’être renvoyés vers la misère des camps de transit ou vers la mort ». Si vous parlez de migrant vous êtes coupable de la misère et de la mort de ceux qui veulent s’installer chez vous. Tous coupables sauf les Allemands qui en redemandent, mais pour combien de temps ?

    http://fr.novopress.info/191966/migrants-refugies-clandestins-envahisseurs-guerre-mots/

  • 3e université d'été de LMPT : La famille, patrimoine mondial de l’humanité

    RDV les 19 & 20 septembre à Quiberon

    pour lancer la 4ème saison de mobilisation pour la famille et l’enfant

    L

    5 raisons pour vous inscrire dès aujourd’hui !

    1. C’est une occasion privilégiée de se former avec des intervenants exceptionnels et d’identifier comment ces enjeux (mariage, filiation, famille, éducation…) sont fondamentalement ceux de l’écologie de l’Homme versus le transhumanisme, c’est-à-dire des enjeux d’avenir pour notre humanité.
    2. En complément des séances plénières, de nombreux ateliers pratiquesvous seront proposés pour améliorer notre efficacité sur le terrain (si, si : c’est encore possible !) : communication, réseaux sociaux, relations presse, organisation d’événements, actions en entreprises, travail en réseau, relations élus, actions culturelles…
    3. C’est un week-end de rencontres et d’amitié avec « la grande famille de La Manif Pour Tous » : les équipes centrales, les responsables de tous les départements, les porte-paroles, les associations amies et les partenaires, les militants…
    4. C’est un événement entièrement organisé par nos bénévoles : tout est compris dans l’inscription : hébergement, restauration, accès aux conférences et ateliers, soirée…
    5. De nombreuses formules sont proposées pour répondre à vos besoins (WE complet, samedi ou dimanche seul, offres famille, jeune…). La Manif Pour Tous prend en charge les 2/3 des frais pour permettre au plus grand nombre de participer. En cas de difficultés, n’hésitez pas à nous contacter pour trouver une solution. 
    • Quand ?

    Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2015 (possibilité d’arriver dès le vendredi soir)

    • Où ?

    Camping de l’Océan (7 Avenue de Groix, 56510 Saint-Pierre-Quiberon)

    • Qui ?

    Sympathisants, volontaires et militants de La Manif Pour Tous

    • Quoi ?

    2 journées de rencontres, de formation, d'échanges et de convivialité dans l'esprit de notre mouvement

    - Comment ?

    Inscriptions -Cliquez Ici

    Michel Janva

  • Gattaz et Macron : « Je t’aime, moi non plus »

     

    L’Université d’été du MEDEF à Jouy-en-Josas nous a offert un jeu de rôles divertissant, mais qui nécessite un décryptage, tant la présentation qui en a été faite par la coterie politico-médiatique était conçue, comme il se doit, pour occulter les vrais enjeux.

    Lorsque le patron des patrons appelle à « colmater le bateau France », en diminuant l’impôt, en réduisant la dépense publique et en simplifiant les formalités administratives et singulièrement la législation du travail, on est enclin à l’approuver sans réserve. Sur le dernier point notamment, chacun s’accorde sur le fait que le Code du Travail est un monstre juridique qui entrave le bon fonctionnement du marché de l’emploi, une autre sorte de mammouth qui nécessiterait un sérieux dégraissage.

    Et toute la presse conformiste de mettre l’accent sur la « conjonction astrale » qui s’offrirait pour donner plus de flexibilité au marché du travail. Pierre Gattaz aurait déclaré à ses troupes : « Je suis heureux de constater qu’un certain consensus est en train d’apparaître parmi les responsables politiques ainsi que d’éminents juristes, de droite comme de gauche », avant de confirmer devant les journalistes l’existence d’un véritable « consensus historique ».

    L’idée de détricoter le Code du Travail et de privilégier le dialogue social au sein de l’entreprise est loin d’être absurde. Pour autant, faut-il voir comme un signe que le sens des réalités serait venu aux socialistes le fait que cette idée a le soutien de Manuel Valls, de Robert Badinter, du juriste Antoine Lyon-Caen, de la CFDT ou de l’ancien directeur général du Travail Jean-Denis Combrexelle, chargé par le premier ministre de remettre en septembre un rapport sur « la place donnée à l’accord collectif par rapport à la loi dans le droit du travail » ? En fait, il n’y a rien dans toute cette agitation qu’une illustration supplémentaire de l’abandon par le PS du terrain économique et social au profit du « tout-marché », et sa focalisation sur le terrain sociétal, pour converger dans un libéralisme libertaire dont Emmanuel Macron – version costume-cravate – est une incarnation parfaite.

    Il ne faut donc pas se leurrer : ce n’est pas parce qu’il a critiqué les 35 heures, dans une petite phrase qui a fait le buzz pendant deux jours et qui a suscité le courroux des « frondeurs » du PS et de l’extrême gauche, que M. Macron est « de droite », comme les médias l’insinuent.

    La vérité est que les socialistes laissent le champ libre au libéralisme économique le plus débridé, celui du sans-frontiérisme et des entreprises transnationales, dont le MEDEF et son dirigeant, comme ce fut le cas avant lui de Laurence Parisot, sont les défenseurs acharnés. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si M. Gattaz, évoquant le profil souhaitable du successeur de Pierre Rebsamen au ministère du Travail, a indiqué voir plutôt quelqu’un qui « connaisse l’entreprise, l’économie de marché et la mondialisation ». Il s’est même offert le luxe de laisser entendre que le ministre de l’Economie et des Finances pourrait correspondre à ce profil, même s’il n’est pas le seul dans ce cas. Dont acte.

    Il ne faut donc pas se bercer d’illusions : il est possible que le MEDEF parvienne à faire adopter par un gouvernement complaisant la réforme qu’il appelle de ses vœux, à savoir le démantèlement du Code du Travail et son remplacement par une cinquantaine de « principes fondamentaux », ou, au pire, par un maintien du Code assorti d’un renversement de la hiérarchie des normes qui donnerait aux accords de branche et d’entreprise primauté sur la loi. M. Macron a montré, à l’occasion du vote de la loi qui porte son nom, son habileté dans la manipulation du 49-3, et de toute façon il se trouvera probablement une bonne partie des parlementaires LR et centristes, qui communient dans la même idéologie, pour compenser l’éventuelle carence des « frondeurs ».

    Selon M. Gattaz, le gouvernement qui réglera le problème « entrera dans l’Histoire » : s’il advient que le gouvernement socialiste mette en œuvre cette réforme, il n’aura fait rien d’autre qu’ajouter une contribution à l’abaissement de la fonction souveraine en livrant un peu plus la France aux intérêts de la super-classe mondiale cosmopolite et de l’hyper-puissance américaine.

    Merci pour vos bienfaits, MM. Gatton, Macraz, Holls et Vallande. Le Peuple vous les rendra !

    Bernard Mazin, 1/09/2015

    http://www.polemia.com/gattaz-et-macron-je-taime-moi-non-plus/

  • Hollande : renouvellement de (fausses) promesses

    Qu’il est commode de faire des promesses, et de ne point les tenir, dans une République qui n’exige rien du président élu que de bien conserver le code nucléaire, passé en catimini par son prédécesseur...

    Après ses multiples promesses de campagne et celle, réitérée chaque année, de baisse du chômage, voici que François Hollande surgit de son antre estival secret avec éclat et surprise. Une vraie bombe à fragmentation des opinions : il déclare baisser de façon irrévocable l’impôt en 2016 ! L’année prochaine, n’est-ce-pas celle qui précède la suivante, terme de son mandat et très hypothétique début du suivant ?

    Qu’il est commode de faire des promesses, et de ne point les tenir, dans une République qui n’exige rien du président élu que de bien conserver le code nucléaire, passé en catimini par son prédécesseur…

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  • Les migrants : une folie ordinaire

    On me dira ce que l’on voudra mais c’est invariable : les mêmes causes produisent les mêmes résultats.

    L’Histoire se répète… Inlassablement !

    N’oubliez pas que cette banalisation n’est qu’une des facettes de la désinformation outrancière que nous subissons.
    Après l’immigration est une chance pour la France, après l’islam religion d’amour, voici le temps de « migrants » bienvenue chez nous.

    Nos dirigeants, apprentis sorciers mais vrais fossoyeurs, nous concoctent une guerre civile imminente. Je ne comprends pas comment, même avec ce bourrage de crânes permanent, les Européens ne se rendent pas compte de ce danger mortel pour eux.
    Ma question est peut-on être stupide à vie ? la réponse est OUI bien entendu !

    Ainsi lorsque l’Empire Romain qui rayonnait a commencé sa chute, c’était pour des raisons déjà de flux migratoire et de laisser-aller. La décadence a entrainé la chute et les Barbares, on les appelait ainsi à cette époque, ont détruit l’Empire en commençant par s’y infiltrer.
    Les Romains avaient été laxistes et comme ils étaient riches et opulents avaient acheté les Barbares, les employant à protéger l’Empire et ainsi les Barbares avaient sans aucune contrainte pénétrer l’Empire. Le reste coula de source et l’Empire fut détruit après de nombreux massacres perpétrés par les Barbares.

    Aujourd’hui nous avons en plus la télévision qui possède un savoir-faire en désinformation et un pouvoir de nuisance extraordinaires. Il aura suffit de montrer une image d’un enfant mort sur un rivage européen pour retourner l’opinion publique qui raffole de drames en tous genres et surtout venus d’ailleurs.
    Les enfants égorgés par les islamistes n’ont, si j’ose dire, pas eu droit à ce traitement médiatique de faveur.
    Il est clair que la cause n’est pas la même… Il y morts et morts !
    La repentance a fait le reste et nos politiciens s’y entendent sur ce sujet de gauche à droite et de droite à gauche.
    Ainsi cela leur évite de fâcher nos immigrés et d’espérer leurs voix au bon moment.
    Là où l’Europe devait adopter une politique de fermeté absolue en matière d’immigration sauvage, la propagande aura permis le contraire.

    Dans cette folie ordinaire, il se trouve même des gens qui sont prêts à accueillir des « migrants » peu importe ce que cela pourra donner. Cela permet d’être le héros d’un jour et de risquer de passer à la télévision. Grandiose et funeste à la fois !

    Tout notre système médiatico-politique est dans le déni !!!
    C’est ainsi que toute logique n’existe plus remplacée par l’émotion du moment et la langue de bois.
    Ce flux migratoire gravissime qui va emporter l’Occident est une réalité tellement évidente que de ne pas la voir est criminel.
    L’appel d’air donné aux clandestins par des mesures autant stupides que dangereuses à court terme est une hérésie. les clandestins de tous pays entendent une berceuse qui les invite à se précipiter vers l’Europe, ce nouvel Eldorado. La folie fera le reste…
    Alors que nos politiciens devraient se battre contre cet afflux, ils encouragent cet afflux.
    C’est un suicide sociétal programmé auquel nous assistons passivement.
    On nous ressert les vieilles recettes éculées de l’antiracisme et de la misère.

    Il est vrai que poser ainsi ce drame, drame qui ne sera au final que le notre, est facile et émeut la population.

    Quid des personnes âgées qui n’ont plus rien ?
    Quid de l’insécurité et du chômage ?
    On évacue tous les problèmes réels et désastreux de la société au profit d’une fausse cause humanitaire qui n’est qu’une invasion sournoise au profit d’une guerre religieuse annoncée pourtant depuis quelques années déjà. J’ai envie de dire à nos dirigeants ou qui se posent comme tels : réapprenez à lire et à écouter. L’État Islamique que pudiquement vous appelez Daesh a pourtant clairement écrit et annoncé son but qui est bien d’asservir l’Europe.
    On fait pleurer les bobos, les gogos et les veaux avec un sujet sur la détresse humaine et cela fonctionne toujours aussi bien.

    Pendant ce temps on ne parle plus des exactions terribles commises par les islamistes ici et là. De ceux qui, entre autres, ont égorgé des enfants dans un silence mystérieux au vu du tintamarre actuel pour soutenir les migrants, ces nouveaux envahisseurs. Et de grâce, que l’on ne vienne pas nous emmerder avec le traditionnel « vous êtes raciste » parce qu’il ne s’agit en fait que d’être réaliste.
    C’est surnaturel !
    D’un côté les barbares égorgent et décapitent des êtres humains sans vergogne et de l’autre l’Europe munichoise accueille la misère du monde avec force larmes à l‘œil, genre : on va noyer le poisson donc les vrais problèmes des gens sous ce déluge de repentance et fausse charité. Cette compassion est depuis longtemps l’apanage d’une gauche qui partout a échoué économiquement.

    Le parallèle avec cet Empire Romain est saisissant avec le fameux « du pain et des jeux » ou jeux du Cirque organisés afin de distraire la population.
    On retrouve d’ailleurs dans l’Histoire toujours ce phénomène qui consiste à masquer totalement la réalité au profit d’un dogme.
    Bien que le discours de la gauche soit éculé, son côté émotionnel fonctionne toujours.
    Là les gens ne pensent plus mais ils laissent l’émotion les submerger sans mesurer les cons séquences quelques inévitables qu’ils devront subir.

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  • Plus de 4000 islamistes ont pénétré en Europe en tant que réfugiés

    Selon le Sunday Express citant une source de l'Etat islamique (article en v.o.) :

    I"Les combattants s'intègrent aux flux de réfugiés dans les ports turcs d'Izmir et de Mersin pour arriver en Italie via la mer Méditerranée. Ensuite, ils se dirigent vers d'autres pays européens notamment la Suède et l'Allemagne.

    Deux passeurs ont confirmé cette information. L'un d'eux a confié avoir aidé une dizaine de terroristes à pénétrer en Europe. Certains prétendaient vouloir rendre visite à leurs familles, d'autres voulaient juste y aller pour "se tenir prêt".

    L'envoi de combattants est le début d'une action de représailles pour les frappes aériennes de la coalition internationale en Irak et en Syrie dirigée par les Etats-Unis, selon la source du Sunday Express au sein de l'EI.

    "Nous voulons établir le califat non seulement en Syrie mais aussi dans le monde entier", a-t-elle souligné."

    Michel Janva

  • Hollande repart en guerre ?

    Notre inénarrable président, tout juste auréolé des médailles décernées aux héros du Thalys veut reprendre cette croisade névrotique et compulsive en Syrie. Oubliant sa dernière déconvenue belliciste contre Bachar Al-Assad, Hollande rappelle au monde que la crise syrienne ne peut être circonvenue que par le départ du président alaouite.

    Déjà, après la crise du 21 août 2013 concernant l’usage de l’arme chimique, il avait failli engager la France dans une attaque directe contre le régime syrien alors que le parlement britannique avait infligé un camouflet à David Cameron en refusant d’intervenir. Malgré ce désistement, il se disait prêt à passer outre le conseil de sécurité de l’ONU et même à engager la France en vertu de l’article 35 de la Constitution sur sa seule détermination. Quand on connait l’état de nos armées et la considération que nos politiques ont pour eux, il y a de fortes chances que l’on assiste avec « guimauve le conquérant » au même spectacle affligeant que nous avait offert Sarkoléon 1er devant les cercueils de nos militaires, morts pour… on ne sait pas qui !

    Nos chers amis terroristes

    Il n’aura échappé à personne que toutes les attaques terroristes survenues en France, depuis l’affaire Merah, ont été le fait de personnages nébuleux mais qui sont tous allés faire du « tourisme » chez ces gentils révolutionnaires qui mettent actuellement le Moyen-Orient à feux et à sang ; largement soutenus par tous les services secrets occidentaux, nos trafiquants d’armes, nos généreux donateurs, à la sauce Soros, harangués par le non moins brillant philosophe BHL. Sans aucun parti pris, heureusement que le président Al-Assad tient encore sa place et occupe ces « gentils terroristes » sous peine de voir la Syrie subir le même sort que les Libyens qui sont les acteurs d’un drame encore jamais vu en Méditerranée. Même du temps des grandes invasions vandales en Afrique du nord, au Ve siècle, jamais les autochtones ne se jetèrent de désespoir à la mer ainsi.

    L’effet Thalys

    Pourquoi la première personne qui se soit jeté sur Ayoub El-Khazzani n’a pas eu droit aux éloges planétaires ? Pourquoi la presse a tout juste évoqué cette personne ? Pourquoi dans son discours de remise de médaille, Hollande l’a discrètement occulté ? Peut-être parce qu’il était français et qu’il a préféré garder l’anonymat.

    François Hollande a salué le courage et l’héroïsme des trois Américains et du Britannique, qui incarnent « le bien » de « l’humanité » face au « mal qui est le terrorisme » lors de la cérémonie de remise de légion d’honneur. Ils « ont, par leur courage, permis d’éviter un carnage » a estimé François Hollande. « Face au mal du terrorisme, il y a un bien, vous l’incarnez ».

    Ce discours, digne d’un George W Bush Jr, résume à lui seul la dépendance idéologique, ainsi que ses conséquences, à la diplomatie américaine. Il ne faut pas s’étonner que dans la droite ligne de ses propos soit évoquée de nouveau une intervention française en Syrie au nom des « forces du bien ».

    Cette hyper dépendance de nos « zélites » aux doctrines économiques étatsuniennes comme le démontre la loi Macron, transfrontalières comme le traité transatlantique que nos « zélus » nous imposeront sans aucun moratoire et belliciste qui ne nous a rapporté que des déboires depuis l’accession au pouvoir d’un certain Sarkozy, ne s’explique que dans cette France américaine qui se renie et nous détruit.

    Ces destructeurs de l’identité française se retrouvent de droite comme de gauche dans ces cercles discrets, mais ô combien puissants et consanguins que sont les Young Leaders et la Franc-maçonnerie. Quoi qu’ils en disent, ils forment l’ossature de nos gouvernements et de nos parlements. Certains bien connus en arrivent même, comme Louis Sarkozy, à déclarer « Je suis plus fier d’être un patriote américain et pas français  ». Malheureusement pour le vrai héros de cette aventure, il avait le mauvais goût d’être français et humble car le vrai courage c’est de passer devant, comme le signalait Henri IV. Dans cette affaire, Hollande avait besoin de héros « pipolisés » pour redorer son blason et rappeler combien nous sommes éternellement redevable à nos chers amis américains.

    Cpt Anderson Administrateur du site d’information www.agenceinfolibre.fr 26/08/2015

    Source : Agoravox

    http://www.polemia.com/hollande-repart-en-guerre/