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France et politique française - Page 3567

  • La mixité sociale, pour quoi faire ?

    Pourquoi obliger des personnes qui ne le souhaitent pas à vivre ensemble ?

    Le gouvernement vient d’annoncer des mesures visant à contraindre les communes réfractaires qui ne respectent pas les règles d’urbanisme en vigueur, en particulier la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain), à construire des logements de type HLM dans le but de renforcer la mixité sociale.

    Dans le même temps, des mères de famille d’origine étrangère, issues notamment d’Afrique du Nord, déplorent l’absence d’élèves français de souche dans les écoles de leurs quartiers, réclamant la présence de quelques « têtes blondes » afin que leurs enfants aient le sentiment de vivre en France et, accessoirement, pour que ces jeunes Gaulois les aident à se familiariser avec notre langue et notre culture.

    Mais qu’est-ce que la mixité sociale, cette panacée propre à résoudre tous les problèmes rencontrés dans les « territoires perdus de la République » ? Au sens traditionnel, elle désigne des lieux où cohabitent des personnes de catégories ou de classes sociales différentes, comme il en existait jadis lorsque, dans les mêmes immeubles, les familles bourgeoises vivaient aux étages nobles tandis que leurs domestiques se logeaient sous les combles.

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  • La désétatisation de la sécurité

    Si la défaillance stato-nationale ne se décline pas dans les mêmes termes, l’État se vide néanmoins de sa substance (selon une dialectique empire/république). De nos jours en effet, les armées occidentales, plutôt anorexiques, sont désormais entièrement tournées vers les opérations extérieures – le maintien de la paix de type néolocolonial – tandis que la sécurité intérieure des sociétés européennes est confiée à des forces de police de plus en plus militarisées, dotées de moyens importants. En ce sens, la défaillance stato-nationale est devenue une réalité « proche » (au sens heideggerien) qui nous contraint aujourd’hui à raisonner également sur le monde de la suppléance et de la substitution. 
         En Occident à cet égard, on observe que les formes d’organisation se substituant peu à peu ou agissant en suppléance des armées régulières ressortent du secteur privé (SMP, SSP). Or au-delà du cliché des sociétés américaines véhiculé par les médias (Blackwater, Dyncorps, etc.) et de l’image du mercenariat entrepreneurial, la notion de secteur privé recèle une autre réalité souvent méconnue et beaucoup plus en adéquation avec une conception civique de la citoyenneté : c’est la notion de sécurité conçue comme un bien appartenant en commun à ces copropriétaires que sont les citoyens. Cette idée de « copropriété » n’est pas nouvelle et se trouve appliquée depuis le milieu du 19ème siècle dans les grandes villes comme San Francisco. Dès 1847, les commerçants de la ville s’organisent entre eux pour créer un corps de police privée afin de se protéger des hors-la-loi des bas quartiers. Depuis lors, les habitants d’une rue, en accord avec la police municipale, peuvent se constituer en une sorte de coopérative pour financer, recruter et entretenir une petite force de police locale chargée de garantir la sécurité de leur quartier : on appelle ces unités les Patriot Special Police. Le modèle a été repris plus récemment avec succès dans certaines favelas au Brésil pour éradiquer les narco-trafiquants terrorisant la population. L’Europe a également connu des expériences similaires. Ainsi dans les dernières années de la guerre froide, le Portugal a mis en place un système de défense territorial basé sur les communautés locales : un ou plusieurs villages étaient chargés d’organiser un contingent de garde local encadré et entraîné ensuite par des membres des forces spéciales de l’armée portugaise. 
         On le voit, cette conception « privée » de la sécurité se révèle d’une grande flexibilité : d’une part, elle redonne au citoyen la responsabilité de veiller à sa propre sécurité et, d’autre part, elle permet de répondre au changement d’échelle de l’équilibre de la terreur. Ce dernier en effet, à l’instar de la guerre et des autres formes de violence, s’insinue désormais à l’intérieur même du corps social : ce sont donc les individus eux-mêmes, et non plus les États, qui doivent pouvoir disposer des moyens de « dissuasion » nécessaires à assurer leur défense. De même, ce changement d’échelle de l’équilibre de la terreur et les conséquences qu’il entraîne, vient rendre à la légitime défense sa signification première, c’est-à-dire le droit fondamental de l’individu de garantir sa vie, ses biens et sa propriété en cas défaillance de l’État. 
         Par conséquent, et compte tenu des transformations macro-historiques évoquées, la réponse à notre question (gagner la guerre) pourrait bien se situer dans une telle optique – désétatisation de la sécurité, privatisation et re-légitimation de la défense en en confiant la responsabilité aux citoyens eux-mêmes. 
         C’est ce que nous dénommons en l’occurrence le concept « Swissbollah » visant la recherche d’une nouvelle légitimité pour agir et, de là, une opportunité de reconstruire l’action stratégique. Car, l’État moderne n’a plus la capacité de « faire la guerre » précisément parce qu’on ne lui en reconnaît plus la légitimité : aujourd’hui, par définition, « l’État a tort ! ». Ce concept recouvre ainsi une triple dimension – un projet collectif, un discours et un système d’arme. 

    Bernard Wicht, Europe MadMax ? Retour à la défense citoyenne

    http://www.oragesdacier.info/

  • Appel à la dissidence pour suppléer aux carences étatiques

    Anne Coffinier est interrogée par L'Homme Nouveau sur ce même sujet de Polis parallèle. Extraits :

    Une-blog-1593"[...] Dans La Polis parallèle de 1978, le Tchèque Václav Benda invite à une forme de dissidence qui ne consiste ni en une opposition radicale ni en un réformisme à l’égard des institutions publiques, mais en l’érection d’une polis parallèle dans les champs philosophique, scientifique, culturel, économique et éducatif, libre de l’oppression des décisions publiques et régie par ses valeurs propres. Il ne s’agit pas de construire un paradis sur terre dans une perspective communautariste mais bien de fonder des institutions à visée universaliste qui sauront suppléer les carences des institutions étatiques puis, progressivement, prendre le pas sur elles. Ces institutions parallèles procèdent du refus de vivre plus longtemps dans le mensonge. En raison de la puissance inhérente de la vérité, visage de Dieu, nul doute que cette polis parallèle, « manifestation la plus articulée de la vie dans la vérité » (Václav Havel), prévaudra de plus en plus sur la cité fondée sur le mensonge, cette « dissociété » qui porte en elle-même sa propre condamnation.

    En matière éducative, cessons de nous évertuer à réformer l’Éducation nationale pour dénoncer publiquement ses méfaits et montrer en quoi ils sont non pas accidentels mais consubstantiels à sa nature. Ainsi, l’école publique, volontairement détachée de tout fondement religieux comme de la loi naturelle, se condamne à un relativisme qui sape fatalement sa propre autorité. Comme le dit Benda, « le fait de crier “le roi est nu” peut avoir des conséquences totalement imprévues et incontrôlables, transformer de fond en comble le statu quo. » [...]"

    Michel Janva

  • Le dhimmi du jour est… Gérald Darmanin, maire de Tourcoing

    Gérald Darmanin est le député maire des Républicains de Tourcoing. C’est aussi un des proches conseillers de Nicolas Sarkozy. Le même Nicolas Sarkozy qui a engagé des réunions avec les représentants musulmans de France pour construire le fameux « Islam de France ».
    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles nous apprend que la ville de M. Darmanin financera d’un montant de 200 000 € le déménagement de l’antenne de l’Institut du monde arabe dans sa ville.
    La ville de Tourcoing est d’ores et déjà en bonne partie islamisée sur le plan démographique. Le maire de la ville semble vouloir donner un coup de pouce supplémentaire à l’islam, pour que Tourcoing soit également islamisée sur le plan culturel.

    http://fr.novopress.info/

  • Christiane Taubira prend ses directeurs de cabinet pour des esclaves

    Le JDD livre quelques explications sur le fait que Christiane Taubira ait usé trois directeurs de cabinet en trois ans alors qu'un quatrième devrait prendre ses fonctions cette semaine : 

    "Depuis deux mois, une grosse demi-douzaine de candidats auraient refusé le poste. "Pas jouable", confie l'un d'eux au JDD, persuadé que "travailler avec elle est impossible"… "Christiane Taubira use ses 'dircabs', elle les appelle à 3 heures du matin et leur fait mener un rythme infernal", glisse un magistrat en poste à la chancellerie. Pas tout à fait faux. La ministre, qui "dort quelques heures par nuit, et certaines nuits pas du tout", admet un proche, travaille ses dossiers 24 heures sur 24.

    "Elle nous envoie des e-mails ou des SMS à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, souvent à 3 ou 4 heures du matin, mais rien n'oblige à y répondre", réagit un de ses collaborateurs. Tous l'admettent, la ministre de la Justice est "exigeante"(...) Le cabinet a compté depuis 2012 une valse de départs, et au moins un burn-out. "Deux", disent certains. "C'est dur, on ne le cache pas."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 21 juin 1973, premier meeting contre l'immigration organisé par Ordre nouveau à Paris


    Meeting Ordre Nouveau par ina
    Au printemps 1973, Ordre nouveau lance une campagne contre « l’immigration sauvage » et annonce la tenue d’un meeting à Paris, sur ce thème, le 21 juin, à la Mutualité. Aussitôt, chez les gauchistes, c’est le branle-bas de combat. Des tracts préviennent le gouvernement : s’il n’interdit pas la réunion d’ON, il « portera seul la responsabilité de ce qui se passera ».
    Le 21 juin 1973, plusieurs centaines de militants de la Ligue communiste d’Alain Krivine, casqués et armés de manches de pioche, de barres de fer, de pierres, de cocktail Molotov, passent à l’attaque. Les affrontements violents qui les opposent aux forces de l’ordre font 71 blessés du côté policier…
    A aucun moment, ON n’est partie prenante dans ces violences. Pourtant, le 28 juin, le mouvement est dissout, en Conseil des ministres, en même temps que celui de Krivine…

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  • Valls à la présidentielle ? 9 Français sur 10 contre !

    “Vallsgate” à l’occasionne son voyage privé à Berlin aux frais de la République, passage en force de la loi Macron à coups de 49-3, déclaration de patrimoine légale, mais en revanche, tout sauf sincère ou loyale. Manuel Valls finit par agacer aussi bien à droite qu’à gauche. une chose est sûre, les Français n’en veulent pas ! un sondage JDD le montre. Il est encore temps de participer !

    http://fr.novopress.info/

  • La pensée libérée : les intellectuels entre réveil et lâcheté

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent.

    La pensée unique a volé en éclats et les fatwas des puritains ne terrorisent plus personne. Il n’est plus une semaine sans que le gouvernement ne reçoive sa volée de bois vert de la part d’intellectuels en appelant à la défense des chrétiens d’Orient, à l’interdiction de la GPA, à l’annulation de la réforme du collège ou, comme dans le dernier numéro (mai-août 2015) de la revue Le Débat, en remettant les points sur les i à propos de la laïcité et de la manipulation Charlie.

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent et que les thuriféraires de l’idéologie antiraciste et autres épigones de l’œuvre dépassée de Foucault et Bourdieu dominaient les médias et l’université.

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  • ÉPINAL : RENCONTRE MILITANTE DE LORRAINE NATIONALISTE

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    À l’occasion des feux de la Saint Jean, Lorraine Nationaliste organise le samedi 27 juin 2015 à 16h une rencontre militante à Épinal.

    Projets d’avenir, grillades et camaraderie seront au rendez-vous !

    Entrée : 7€ par personne
    Contact et inscription : 06.47.96.52.03 / lorrainenatio@gmail.com

    – Covoiturages possibles depuis plusieurs départements –

  • CONTRE L’IMMIGRATION : SUCCÈS DE LA CONTRE-MANIFESTATION DE SAUVONS CALAIS

    Ce samedi était placé par l’extrême gauche sous le signe de l’aide à l’invasion de l’Europe, pour une prétendue « journée mondiale des réfugiés ». Plusieurs manifestations étaient organisées à travers le monde mêlant colons et extrémistes, unis dans un même désir de satisfaire aux ordres du mondialisme destructeur des nations et des identités.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    À Calais, le collectif citoyen Sauvons Calais a appelé les Calaisiens à contre-manifester, alors que plusieurs groupes d’extrême gauche et antifrançais organisaient une marche. Or, une manifestation de Sauvons Calais a été scandaleusement interdite il y a quelques jours sans raison par le gouvernement d’occupation.

    Malgré la présence d’environ 5 000 colons africains dans le secteur, l’extrême gauche n’a réussi à mobiliser qu’environ 500 d’entre eux, formant la quasi-totalité du cortège. Les Blancs y étaient très minoritaires, et les Calaisiens quasi inexistants.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    La contre-manifestation, organisée en hâte, a, elle, été un succès : une centaine de patriotes se sont rassemblés devant la mairie de la ville.

    « Pour une action prévue seulement quelques jours avant la date butoir et sans réelle organisation digne d’une manifestation, nous pouvons être satisfaits de la mobilisation »,

    s’est réjoui Sauvons Calais.

    « Bien avant notre arrivée, la place était déjà surveillée de très près par les forces de l’ordre. Le cortège de pro-clandestins et clandestins s’est dérouté, pour “esquiver” notre contre-manifestation, sous les ordres de la sous-préfecture de Calais. Tout s’est déroulé dans la bonne humeur, avec la présence de nombreux médias tels que TF1, Radio6, La Voix du Nord, France Télévision et bien d’autres. Nous avons également eu la fierté d’essuyer quelques insultes d’extrémistes de gauche, rapidement contrées par nos slogans très… pointus. Notre message est passé »,

    précise Sauvons Calais dans un communiqué.