France et politique française - Page 3568
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POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Hugues Bouchu
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Immigration : 5 CRS en mission à Calais atteints de tuberculose
Parmi les nombreux « bienfaits » de l’immigration massive, il y a le retour ou l’apparition de maladies graves, venues d’ailleurs…
Ainsi, plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s’est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l’épidémie.
Selon France Bleu Limousin, la hiérarchie policière ne dément pas ces cas de tuberculose mais affirme qu’il s’agit d’un problème de santé personnel.
Mais elle oublie de dire qu’actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de clandestins venus d’Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s’introduire au Royaume-Uni. -
POUR UNE ÉCOLE ENRACINÉE...
La réforme du collège portée par la ministre de l'éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, est une entorse sévère à la transmission de l'héritage culturel de notre civilisation européenne. L'enseignement du grec et du latin est anéanti tandis que l'enseignement de l'histoire met de côté l'essentiel des périodes glorieuses passées de la France et de l'Europe dans un but totalement idéologique (les titres des thèmes devant être enseignés sont révélateurs : "la longue histoire de l'humanité et des migrations" ; "Une seule humanité" ;...).
Mais ce déracinement des enfants par le biais de l'école est-il vraiment étonnant ? Maurice Barrès, dans le Roman de l'énergie nationale, analysait déjà tristement le déracinement opéré par l'instruction publique imposant, dans les établissements scolaires du "désert français" (Jean-François Gravier), des maîtres ayant pour mission de détacher les élèves de leur terre. Dans Les Déracinés, Maurice Barrès évoque le cas d'un instituteur, M. Bouteiller, parachuté par la haute administration parisienne dans une petite classe scolaire de Lorraine, province chérie par Maurice Barrès mais méprisée par le personnage de son roman, M.Bouteiller. Il pose alors d'emblée le problème : «Déraciner ces enfants, les détacher du sol et du groupe social où tout les relie, pour les placer hors de leurs préjugés dans la raison abstraite, comment cela le gênerait-il, lui qui n'a pas de sol, ni de société, ni, pense-t-il, de préjugés ?» [Les Déracinés de Maurice Barrès édité pour la première fois en 1897 ; p.503 aux éditions Robert Laffont ; 1994.].
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Le toujours plus du pouvoir socialiste au profit de l’islam
Après avoir vanté "la vertu de la laïcité" et "la neutralité religieuse de l'Etat", le ministre de l'Intérieur a annoncé exactement l'inverse.
Devant un parterre de représentants de l’islam, Bernard Cazeneuve a clôturé la journée d’instance de dialogue par un discours fleuve et dithyrambique. « L’islam est en France pour y rester » a dit Valls. Le ministre de l’Intérieur – avec les projets annoncés – lui remet en quelque sorte, à terme, les clefs de la maison.
Après avoir vanté « la vertu de la laïcité » et « la neutralité religieuse de l’Etat », le ministre de l’Intérieur a annoncé exactement l’inverse.
D’abord, « l’Etat doit naturellement assurer la protection des mosquées » (…), raison pour laquelle, face au « fléau » des actes antimusulmans, s’il veille déjà sur 1000 mosquées, il a décidé de consacrer neuf millions d’euros sur les trois prochaines années au financement d’équipements de sécurité, en particulier des caméras de vidéo surveillance.
Concernant leur financement « Vous n’ignorez pas que la loi de 1905 impose à l’Etat une abstention rigoureuse »(…) … mais les représentants des musulmans n’ont pas dû beaucoup s’inquiéter, « ce principe n’exclut pas, comme vous le savez également, que les collectivités locales puissent faciliter l’aboutissement de certains projets de construction » (…)
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Complémentaires : le traitement de choc du Medef pour les retraites
Départ à 65 ans, pensions baissées... le texte présenté demain par le Medef pour sauver l'Agirc-Arrco est explosif.
Douche froide en vue pour les futurs retraités ! A compter du 1er janvier 2019, un véritable serrage de vis est envisagé sur les retraites complémentaires pour les générations nées à partir de 1957. La potion proposée dans le projet d'accord du Medef que nous nous sommes procuré, pour redresser les comptes des caisses Agirc (cadres) et Arrco, risque d'être amère.
Si le patronat a lâché un peu de lest, l'objectif est toujours de reculer l'âge des départs : à 65 ans, contre 67 ans dans la dernière version.
Création d'un malus jusqu'à 65 ans. Selon la dernière mouture du texte, qui doit être examinée demain par les partenaires sociaux, il s'agit de mettre en place des « mesures d'incitation à décaler l'âge effectif de départ à la retraite ».
Ainsi les générations nées à partir de 1957 se verront appliquer des malus, ou abattements dégressifs et temporaires (d'une durée maximale de trois ans), sur le montant de leur retraite complémentaire, calculés en fonction de l'âge. Exemple : si le futur retraité a 62 ans, sa retraite complémentaire serait amputée de 30 % la première année, de 20 % la seconde, 10 % la troisième année et puis plus rien. Les salariés ayant commencé à travailler à 16 ou 17 ans pourront, eux, toujours partir à 60 ans, ou 61 ans, mais avec des abattements (de 30 %, 20 % et 10 % entre 60 et 62 ans). Les retraités les plus modestes, non assujettis à la CSG, seront épargnés (voir ci-contre). On atteindrait 1,8 Md€ d'économies en 2020.
Sous-indexation des pensions de 1,5 point par rapport à l'inflation. Autre mesure choc sur la table, la valeur des points des régimes Agirc et Arrco qui servent au calcul du montant de la pension, revalorisée chaque année en fonction des augmentations de salaires, sera « indexée sur les prix à la consommation et diminuée de 1,5 point ». Ce qui revient à une baisse du rendement des points... donc du montant des pensions. Une mesure d'économie prévue de 2016 à 2018. Enfin, la date de revalorisation sera décalée de six mois, et fixée au 1er novembre. En ce qui concerne les pensions de réversion, versées aux conjoints de retraités décédés, elles seront conditionnées au fait que le conjoint survivant ait atteint 55 ans au lieu de 60 dans la proposition précédente. Le montant sera calculé au prorata des années de mariage et ne sera donc plus illimité jusqu'au décès du survivant. On atteindrait 4,4 Mds€ d'économies en 2020. Parmi les autres mesures envisagées, il est prévu de fusionner les régimes Agirc et Arrco. De quoi faire bondir le syndicat de l'encadrement CFE-CGC, qui redoute la fin du statut des cadres. Au total, le patronat estime que les mesures proposées permettront 6,9 Mds€ d'économies d'ici à 2020 et 10,8 Mds€ d'euros en 2030 pour un besoin de financement évalué entre 8,4 et 11,2 Mds€ selon les scénarios.
Les négociateurs ne devraient pas accorder leurs violons demain. Une nouvelle séance de négociation est d'ailleurs prévue... en septembre, pour une signature finale en octobre. L'été ne sera pas de trop pour tenter de faire passer la pilule auprès des salariés !
Catherine Gasté
source : Le Parisien lien
http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuFulyVZpypKrfJkHQ.shtml
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Cambadélis dévoile le nouveau gouvernement du PS
Cambadélis 1 est sur les rails. Le patron du Parti socialiste, Jean Christophe Cambadélis, vient en effet de dévoiler son premier gouvernement lors d’un conseil ce samedi à l’Assemblée nationale.
A charge pour ce nouveau secrétariat national, issu du dernier congrès de Poitiers (Vienne), d’animer le principal parti de la majorité pendant deux ans et notamment de faire gagner François Hollande, si celui-ci se représente, lors des élections présidentielles de 2017.
Dans cet objectif, Jean Christophe Cambadélis entend brasser large : son nouveau gouvernement comprend pas moins de 53 « ministres » (secrétaires nationaux), 22 « secrétaires d’Eta t » (ou secrétaires nationaux adjoints), sept conseillers, trois porte-paroles... A noter que les principaux postes de direction sont entre les mains de fidèles du gouvernement et de la politique de François Hollande. Chargé de l’animation, le député Guillaume Bachelay s’affiche comme un véritable numéro 2 tandis que l’élu de Haute-Garonne Christophe Borgel, proche du Premier ministre Manuel Valls, garde la main sur le secteur clef des élections. Lieutenant de Martine Aubry, l’ancien ministre François Lamy est lui en charge des relations avec les autres partis et mouvements de gauche alors que Julien Dray, fidèle du chef de l’Etat, a la responsabilité de créer « une alliance populaire » pour 2017. Au total, la nouvelle direction du PS comprend 38 hommes et 40 femmes et près de 15% de cadres issus de la diversité. Moyenne d'âge : 42 ans.Le nouveau gouvernement du PS publié par redacweb6352Eric HacquemandLe Parisien :: lien -
POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Roland Hélie
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Sondage: FN - droite - PS, tiercé gagnant du 1er tour des régionales
Les Verts ont commandé un sondage auprès de l’IFOP sur le premier tour des régionales : sans surprise, le FN, option Marine Le Pen, est en tête, Xavier Bertrand deuxième. Le PS, seul, est dans les choux. Moins en cas d’union de la gauche, où le PS se voit contester son leadership par les Verts.
Il se murmurait depuis plusieurs mois déjà que des sondages sur les élections régionales existaient. Des chiffres filtraient, mais rien d’officiel ou de sérieux n’était confirmé.
Voilà donc le premier vrai sondage, commandé par Europe-Écologie - Les Verts (EELV) à l’IFOP. Il a été réalisé sur un échantillon de 876 personnes interrogées par téléphone dans la grande région Nord - Pas-de-Calais - Picardie entre le 4 et le 8 juin.
Le FN en tête
Sans surprise, le FN est en tête, quels que soient les cas de figure présentés aux électeurs. Notons que les variations ne portent que sur les différentes combinaisons à gauche. Logique vu le commanditaire de cette étude. Mais très intéressant objectivement puisque la stratégie à gauche reste la grande incertitude de ce scrutin, avec le nom du candidat FN. Le nom de Marine Le Pen revient de manière insistante et c’est d’ailleurs celui qu’a retenu l’IFOP. À ce sujet, contrairement aux dernières rumeurs, il n’y aura pas d’annonce dans un sens ou un autre la semaine prochaine, a démenti hier soir Bruno Bilde, son conseiller spécial.
Dans toutes les hypothèses, le FN arrive en tête, mais en léger repli par rapport aux départementales où ses scores atteignaient 35 %.
28 % pour Xavier Bertrand
Pour la droite, Xavier Bertrand récolterait 28 % des voix dans tous les cas, à la tête d’une liste d’union Les Républicains-UDI quasiment garantie. Mais le réservoir de voix du MoDem pourrait être capital. Or, étant donné la personnalité centro-compatible de Bertrand et les dernières déclarations de Bayrou, le chef de file et ex-maire d’Arras Jean-Marie Vanlerenberghe devrait peu résister.
Moins de 20 % pour le PS
À gauche, le PS seul, emmené par Pierre de Saintignon, est loin derrière : à 18 % quand la gauche est dispersée, 17 % quand Front de gauche et EELV font alliance. Et ensemble, PS et EELV font cinq points de plus à 23 %, et ce qu’importe qui mène la liste d’union. Ce qui donne l’occasion à Sandrine Rousseau, chef de file EELV, de convoiter sa tête. Quant à l’hypothèse d’une grande union de la gauche incluant le Front de gauche, elle n’a pas été testée. À savoir que le nom de la tête de liste du Front de gauche est le seul manquant, mais que depuis, Fabien Roussel a été désigné.
La gauche, ensemble, peut donc encore rêver de victoire au second tour. Avec le bémol dans l’addition qu’une petite partie des voix du Front de gauche peut se reporter sur le FN. Mais, juge à raison en off un responsable du PS régional : « Si la gauche est à cinq points derrière Bertrand au premier tour, celui-ci va faire pression pour que nous nous retirions au nom du front républicain. » Le premier tour et les stratégies seront donc déterminants.
notes
Réactions
Bruno Bilde (FN), conseiller spécial de Marine Le Pen : « IFOP a presque toujours sous-estimé le FN. Nous ferions moins qu’aux départementales alors qu’on considère ici Marine Le Pen candidate ? »
Xavier Bertrand (LR) : « J’ai bien conscience d’être le challenger. Je suis en conquête. Ça me convient. Le résultat des régionales sera très serré. Il peut se jouer à quelques milliers de voix. »
Pierre de Saintignon (PS) : « Un sondage n’est pas un résultat. Mais il ne fait que renforcer ma détermination d’être l’homme du rassemblement à gauche. »
source
lavoixdunord : lien
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28 juin: fête de la Ligue du Midi
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Le vrai coût du baccalauréat
Le coût affiché chaque année par le ministère de l’Éducation nationale se limite à la seule organisation des épreuves, soit quelque 57 millions d’euros. Or en juin 2013, le syndicat national des personnels de direction de l’Éducation nationale (SNPDEN) avait jeté un gros pavé dans la mare, faisant remarquer qu’il convient d’intégrer à ces coûts ceux qui résultent de la suppression de trois semaines de cours en juin, soit quelque 1,5 milliard d’euros, très loin des 57 millions affichés par le ministère. S’interrogeant sur l’utilité pratique d’un examen donné à quasiment tous les élèves, puisque sur les 685 000 candidats, moins de 60 000 se verront recalés, le SNPDEN ironisait 1,5 milliard pour refuser l’accès à l’enseignement supérieur à 60 000 élèves, c’est 25 000 € par candidat recalé, soit plus du double de ce qu’aura coûté son année en terminale.
« À quoi le bac sert-il encore ? » s’interroge cette semaine Le Point en ligne, proposant aux internautes plusieurs réponses, certaines positives, d’autres franchement dubitatives. La réponse « Pas à grand-chose. Ne pas l’obtenir est un drame, être reçu ne mène à rien » a obtenu 47 % des suffrages.