
Management défaillant, droit de grève contesté ou accusations de harcèlement : au sein de Bangumi, la dynamique société de production créée par Yann Barthès et Laurent Bon, de nombreux salariés décrivent un cadre de travail peu réjouissant. Enquête.
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Management défaillant, droit de grève contesté ou accusations de harcèlement : au sein de Bangumi, la dynamique société de production créée par Yann Barthès et Laurent Bon, de nombreux salariés décrivent un cadre de travail peu réjouissant. Enquête.
Synthèse nationale
Nous l’avons déjà écrit sur ce blog à deux reprises : le gouvernement que Michel Barnier vient de dévoiler ne peut, pour reprendre un propos d’Henri Guaino, qu’« assurer la continuité de l’État », c’est-à-dire expédier les affaires courantes, faute de majorité, de mandat et de véritable légitimité. Il n’y a donc pas grand-chose à en attendre, si ce n’est le service minimum.
De fait, le nouveau Premier ministre se trouve dans une situation impossible. Il va lui falloir tenir fermement à la fois le fouet et la barre afin de maintenir la discipline au sein de la chiourme gouvernementale et d’éviter les nombreux écueils qui ne vont pas manquer de jalonner sa route. Il va devoir louvoyer, composer, ruser, avec un objectif premier : durer.
Communiqué de l’ISSEP :
Malgré les menaces, les dégradations, et même un incendie criminel, la conférence de Marguerite Stern s’est tenue [jeudi] soir à l’ISSEP, sous la protection de près de 200 policiers.
Trois personnes ont été interpellées pour les nouvelles dégradations survenues dans la nuit de mercredi à jeudi. Cependant, l’acte le plus grave et inacceptable demeure l’incendie criminel qui a privé d’électricité et d’eau de nombreux habitants de l’immeuble ainsi que notre établissement. Les images de télésurveillance montrent clairement une personne fuyant les lieux après le déclenchement de l’incendie.
Le gouvernement Barnier est enfin composé, Macron peut se réjouir d’avoir réussi à former un gouvernement de perdants. C’est unique en son genre, ne cherchez pas ailleurs dans le monde, même une dictature pur jus se débrouille pour masquer cette forfaiture. Macron, non, Barnier non plus d’ailleurs! Car il n’aura pas pu échapper à notre nouveau premier ministre, que nommer des Macronistes c’était aller contre l’avis du peuple qui n’en voulait plus et qui l’a clairement signifié par trois fois ! Comme le faisait remarquer Henri Guaino : « c’est la première fois dans l’histoire de notre République qu’un gouvernement n’a aucune légitimité démocratique ». Normal puisque notre régime n’est plus celui d’une démocratie. Songez donc, sur 17 ministres de plein exercice, nous avons un socialiste, cinq LR, six Renaissance, un Horizon, deux Modem et un UDI, soit environ 215 députés représentés sur 577. Ce serait donc ça le front républicain ou mieux la concorde capable de rassembler les Français derrière ce tandem infernal ? Voilà le socle majoritaire de ce gouvernement.
22/09/24
Avec Macron et Barnier, le nouvel élément de langage, avec consigne de le distiller dans les médias, c’est qu’on aurait un problème de recettes, le tout avec le soutien de la gauche inepte. On ne voit pas trop comment, avec le taux de prélèvement actuel en France, qui tourne autour de 50 %, on pourrait avoir le moindre problème de recettes ? Les autres pays prélèvent moins que nous et s’en sortent mieux.
Alors sénatrice, Agnès Canayer fait partie des parlementaires ayant eu le courage de voter contre cette proposition. Elle a même dirigé le rapport parlementaire, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale sur le projet de loi constitutionnelle, adopté par l’Assemblée nationale, relatif à la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse.