Plongez au cœur des enjeux sécuritaires qui préoccupent la France et les Français à l'approche des Jeux olympiques de Paris. Avec Xavier Raufer, criminologue, directeur d’études au pôle sécurité défense du CNAM, également professeur aux États-Unis, en Chine, nous analysons la situation actuelle, marquée par une série d'événements violents et une menace terroriste persistante, le tout dans une forme de déni du gouvernement et d'Emmanuel Macron.
France et politique française - Page 392
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Xavier Raufer - Macron et les JO du chaos ?
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Le réveil d'une campagne
Ce 13 mai, votre chroniqueur s'est vu tirer de sa torpeur d'écriture et de ses travaux de jardinage.
Ainsi, en ce clair matin, la petite Mégère gauchiste Manon Aubry était invitée sur Europe N° 1. Et, sans le vouloir, elle m'a opportunément rappelé à mon devoir civique. Courtoisement interrogée par Laurence Ferrari, la tête de liste de LFI a pu librement submerger son hôte, qu'elle autorisait à peine à la questionner, et assommer les auditeurs de son insupportable rhétorique.
Faut-il remercier Manon Aubry ?
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Meurice, Bardella-Hayer le carnage, Drag-queen olympique, Matisse et autres news…
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Guerre : des mots en l’air ou une vraie menace ?
Macron a dit et répété qu’il était possible que la France envoie des troupes au sol en Ukraine ; parce qu’il ne fallait pas que la Russie gagne la guerre là-bas. Alors, faut-il vraiment craindre la guerre ? Et si une telle guerre commençait, d’abord avec l’armée de métier, ne risque-t-on pas de voir appelés à la mobilisation, toute une génération d’hommes valides ? 1 750 000 Français avaient été envoyés se battre en Algérie entre 1954 et 1962 de cette façon.
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La Nouvelle-Calédonie s’embrase car les indépendantistes kanaks refusent que le droit de vote s’étende aux habitants arrivés sur l’île depuis 1998, ils craignent de se retrouver minoritaires
DÉCRYPTAGE – Les exactions commises dans la nuit de lundi à mardi, sur fond de réforme contestée par les indépendantistes, font craindre au gouvernement un cycle de violences.
Des maisons brûlées, des voitures calcinées, des tirs à la carabine de chasse contre des gendarmes, des pillages… La Nouvelle-Calédonie s’est réveillée sonnée, mardi, par une nuit de violentes émeutes dans l’agglomération de Nouméa. Au point qu’un couvre-feu la nuit suivante a été décrété et que le gouvernement local a lancé un appel au calme, au moment où l’Assemblée nationale examine, à Paris, une réforme de la Constitution contestée par les indépendantistes. Explications en cinq questions-réponses.
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La France qui dégringole
Vincent Trémolet de Villers
Choose France, deux mots anglais pour camoufler, dans le décor somptueux d’un pays qui fut grand, un triste rétrécissement. Débat Attal-Bardella et peut-être Macron-Le Pen pour faire oublier, dans la fièvre des slogans, la passion du jeu médiatique, le vide des caricatures, une situation économique et sociale proche de l’auto- destruction. En 2003, Nicolas Baverez publiait La France qui tombe, constat accablant sur notre dette, nos déficits, notre bureaucratie. Aujourd’hui, Jérôme Fourquet, dans une note pour Le Figaro qui fera date, décrit la France qui a dégringolé. Il y a vingt et un an, le poids de la dette publique, ramené au PIB, atteignait 63 %, aujourd’hui nous en sommes à près de 110 %.
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Et on recommence ! Dette : « On ne pourra pas faire l’économie d’un nouveau débat sur les retraites »
Pour l’économiste Shahin Vallée chercheur au Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik (Conseil allemand des relations étrangères, un institut de recherche), dans le cadre du débat sur la dette française : « On ne pourra pas faire l’économie d’un nouveau débat sur les retraites » ! (Source ici)
Et il a raison !
Non pas que je sois en train de dire qu’il est normal et moral de faire baisser les retraites, notamment celles des fonctionnaires (plus de 62 milliards payés chaque année par le gouvernement directement), mais que quand les caisses de l’Etat sont vides, elles sont vides.
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Humour noir : comment Macron prétend relancer la natalité française
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Les Frères musulmans sont-ils installés dans les murs de Sciences Po ?
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Hassan, 17 condamnations, menace de mort des gendarmes à Nîmes en apprenant qu’un nouveau membre de sa famille va en détention. Fin de cavale à Ruffec (16) où il a… violenté une amie chez qui il avait pourtant trouvé refuge. 18 mois de prison
(…) Il devait quitter Nîmes. Il venait d’y sortir de prison, il y a un mois. Quand il a appris que son père, en garde-à-vue, allait rejoindre son frère jumeau en détention, L’Hassan Benaïssa n’a pas résisté. Il a fallu qu’il injurie les gendarmes, qu’il les menace de mort parce que « la loi c’est moi et je t’emmerde ». Ils voulaient l’entendre. Il a décliné. Ils ont lancé un mandat de recherche et L’Hassan Benaïssa a pris le train, après avoir aussi menacé de mort l’ex de son père et ses enfants.