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Le directeur de l’école Pierre-Brossolette, à Valence, est poursuivi pour détention et complicité de trafic de stupéfiants après avoir omis d’avertir la police que de la drogue avait été trouvée au sein de l’établissement, a confirmé vendredi 12 juillet le procureur de la République auprès de France Bleu Drôme Ardèche.
Le front républicain aurait-il atteint sa limite avec cette élection. En faisant barrage au RN, grâce à des artifices médiatiques et de purs calculs politiciens, le RN a été, malgré sa victoire en voix, déclassé à la troisième place. En cela les partisans de cette combine peuvent s’en régaler, comme ne se prive pas de le faire Larcher, l’indolent président du Sénat, cette chambre de la châtaigne et du seigle, qui brille par sa torpeur et son inutilité. Placée là pour soi-disant compenser la représentation nationale, qu’elle ne peut en réalité contrarier, elle se révèle inutile et coûteuse, mais lucrative pour toute une brochette de personnages qui sans elle, auraient disparu depuis longtemps. Ce barrage réussi n’a pour autant pas permis de dégager une majorité absolue, pire il a morcelé l’hémicycle en trois parts quasiment égales, avec un léger avantage pour le groupe de gauche. Tout excès secrète un autre abus. La chambre se trouve sur le papier, ingouvernable. Pas de panique, c’est ce que nous avions entendu en 2022 après la courte défaite de la macronie, on a vu le résultat.
Pour les intervenants politiques, les soirées électorales se suivent et ne se ressemblent pas. Il est facile d’être bon quand tout va bien. Plus difficile quand les résultats sont décevants. Pourtant, dimanche 7 juillet, Laure Lavalette, Laurent Jacobelli et Marion Maréchal, intervenant pour l’Union nationale, furent bons, mettant leur déception à la suite du second tour des élections législatives en perspective et rappelant l’évidence : une amélioration des résultats en nombre de voix comme en sièges ; 2 sièges en 2012, 8 en 2017, 89 en 2022, 143 en 2024. Curieusement, cette ligne a été abandonnée dès le lendemain pour se caler sur le discours des médias.
Après l'onde de choc des élections européennes le 9 juin dernier, plus rien ne va en république. La dissolution de l'Assemblée nationale ne faisant qu'ajouter une grosse dose de sel dans une soupe déjà bien indigeste. Pour sauver le potage, il suffit de laisser place à la combine électorale. Coup de chance, c'est exactement là où la machine démocratique est la plus forte, c'est là où le castor est le meilleur.
Flavien Termet, 22 ans, est le nouveau benjamin de l'Assemblée nationale dans cette 17ème législature. Délégué départemental du RN dans les Ardennes, il a emporté voilà une semaine la première circonscription avec 53% des voix au second tour, contre le député sortant du camp présidentiel. Le nouveau benjamin de l'Assemblée succède à un certain Louis Boyard et fait partie des trois plus jeunes députés de la Vème République. Ce 18 juillet, il sera donc à l'honneur lors de la première séance de la nouvelle législature présidée par le doyen de l’hémicycle, le député RN José Gonzalez, 81 ans. L'occasion de connaitre ce militant attachant, symbole de la génération qui monte au RN.
Comme le révèle le Progrès, la collectivité présidée par l’écologiste Bruno Bernard aurait demandé à ses équipes et aux travailleurs sociaux à ce que plus aucune entrée ne soit réalisée dans le dispositif des nuitées d’hôtel.A force de dépenses colossales, les Verts ont donc pris une décision forcément impopulaire dans leur propre camp.
Chronique de Paysan Savoyard (n° 324 – Juillet 2024)
Cette dissolution ratée, qui débouche sur une forte réduction du nombre des députés macronistes, démontre une première chose : E. Macron n’est pas le génie qu’il pense incarner. La difficulté de constituer une majorité relative de dimension suffisante, qu’elle soit dominée par la gauche ou par une coalition extrême centre-fausse droite LR, rendra probablement la situation instable jusqu’en 2027, à moins qu’une nouvelle dissolution n’intervienne d’ici là. Mais la conclusion essentielle qu’il convient de tirer de ces élections-surprise est d’un autre ordre : la majorité des Français se sont prononcés une fois de plus pour que la politique d’immigration massive, mise en œuvre par tous les gouvernements qui se succèdent depuis soixante ans, se poursuivre.
C’était il y a trois ans. Le 15 août 2021, les talibans étaient entrés dans Kaboul, la capitale de l’Afghanistan, et avaient repris aux forces occidentales le contrôle du pays.
Un échec cuisant pour les États-Unis et leurs alliés, mais surtout une catastrophe pour une partie de la population locale qui s’était peu à peu accommodée aux mœurs libérales de l’occupant.
Mais certains à gauche tentèrent de nous expliquer que la situation n’était pas si grave. Mediapart, notamment, nous assura que les talibans gagnaient à être connus (« On ignore tout des nouveaux maîtres du pays et de leurs intentions ») et l'ancien ministre de la défense sous Hollande, Jean-Yves Le Drian, voulut croire que le nouveau régime afghan serait « inclusif » à l’égard des minorités.
C'est un petit ange qui est reçu par Olivier Truchot. Là-haut, dans les nuages, saint Mélenchon regarde d'un oeil attendri son envoyé spécial sur BFM TV. Raphaël Arnault est descendu du ciel pour répondre à quelques questions du journaliste. Oh ! Avec grande délicatesse. Pour commencer, il tient à « reclarifier la situation ». Les deux ailes qu'il a dans le dos sont le signe qu'à gauche, ils « lutteront systématiquement contre tout antisémitisme ». Pas méchamment, mais fermement. Un coup de boule amical, peut-être la tête au carré mais avec gentillesse et puis...