
Vous aviez fait partie des rares voix à avoir refusé le discours « vous n’aurez pas ma haine ». Que reprochez-vous à cette dialectique ?
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Vous aviez fait partie des rares voix à avoir refusé le discours « vous n’aurez pas ma haine ». Que reprochez-vous à cette dialectique ?
LA FAUTE
En cherchant à interdire coup sur coup deux commémorations traditionnelles de l’Action française, celle de la Toussaint et celle du 11 novembre 1940, le gouvernement d’Emmanuel Macron a commis une faute gravissime. On se rappelle qu’au printemps dernier, ce même gouvernement avait déjà voulu interdire deux autres manifestations de l’Action française autour de la fête nationale de Jeanne d’Arc : notre colloque du samedi et notre défilé traditionnel du dimanche. La justice administrative avait alors suspendu ces deux interdictions. Malheureusement, elle ne le fit pas pour la Toussaint : il est vrai que nous fûmes prévenus au dernier moment, ce qui nous interdit d’agir efficacement en référé. Nous pensions que Nunez, sur l’ordre de Darmanin, ferait de même pour notre commémoration du 11 novembre 1940 : sommée par nous le jeudi, la préfecture nous a prévenus le vendredi, à savoir la veille. De nouveau, la justice administrative a défendu les deux libertés constitutionnelles de manifestation et d’expression que voulait, de nouveau, bafouer le gouvernement.
Michel Festivi
A l’image de la société française, la communauté juive est également fracturée, divisée. A l’instar de nos élites sclérosées qui se refusent à voir le réel et de nommer les choses telles qu’elles existent, les élites de la communauté juive française, se partagent entre l’aveuglement et la clairvoyance.
Ainsi, Gilles-William Goldnadel vient de déclarer dans une tribune du Figaro Vox du 13 novembre : « A quoi bon manifester si l’on s’interdit de nommer les responsables de l’antisémitisme ? ». Présent à la manifestation de dimanche dernier, et ce malgré beaucoup d’hésitations, à cause dit-il de son écœurement sur « la polémique surréaliste sur le RN » et par le mot d’ordre niais et hors sol de cette manifestation : « contre l’antisémitisme et pour la République », il a finalement, et au dernier moment, opté pour sa participation.
Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.
C’est devenu une habitude. Ce mardi 14 novembre, comme ce fut le cas lors de l’édition précédente, Gérald Darmanin inaugure le salon Milipol, au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Consacré à la sécurité intérieure des États, ce salon est une vitrine mondiale pour des entreprises souvent inconnues du grand public. C’est le cas de Briefcam, une société israélienne spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique (VSA). Grâce à l’intelligence artificielle, cette technologie permet d’analyser des images captées par des caméras ou des drones et de détecter des situations jugées « anormales ».
13/11/2023
(…) Celle-ci a été gravement blessée par plusieurs coups de «cutter» au niveau de la gorge, indique la police. Elle a été prise en charge par les pompiers et transportée à l’hôpital Pasteur. Son pronostic vital n’est cependant pas engagé.
Sur Europe 1, ce lundi matin 13 novembre, Yaël Braun-Pivet était l’invitée de Sonia Mabrouk.
Puisque la présidente de l’Assemblée était à l’initiative de la manifestation contre l’antisémitisme de la veille, Sonia Mabrouk lui pose naturellement la question : « Quel est le carburant principal de l’antisémitisme aujourd’hui ? » La réponse est stupéfiante : « Je ne sais pas. » À quoi sert de manifester contre un ennemi que l’on n’a pas identifié ? C’était donc une protestation dans le vide, contre une idée mauvaise, comme ces marches blanches cathartiques, une rose à la main, qui s’élèvent contre les meurtres des petits enfants dont on ne connaît pas l’assassin ?
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que notre Jupiter aux petits pieds se couche une nouvelle fois devant le politiquement correct !
En effet, nous venons d’apprendre, par l’ambassadeur de France au Maroc, que la fin des restrictions de délivrance de visas par Paris pour ce pays du Maghreb est effectif à compter de ce jour.
C’est en tant que Francis Evrard qu’il a été condamné en 2009 à 30 ans de prison pour l’enlèvement et le viol du petit Enis, 5 ans, à Roubaix. C’était sa 8e condamnation pour des viols sur mineur. À chaque fois qu’il est sorti de prison, l’homme désormais âgé de 77 ans, a récidivé.