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France et politique française - Page 561

  • Loin du confort, se préparer à des temps troublés…

    Loin du confort, se préparer à des temps troublés…

    Par Lionel Rondouin. Colloque du samedi 15 avril 2023.

    Voilà un sujet pour un survivaliste ! « Comment survivre à l’effondrement ? » Les survivalistes ont mauvaise presse en France: on les présente comme des paranoïaques, obsédés par la fin du monde, affairés à la constitution de stocks de boîtes de conserves, d’armes et de lampes de poche.

    J’ai bien dit en France, car le gouvernement suédois recommande que chaque ménage dispose de réserves de nourriture, d’eau potable, etc… pour faire face à des désastres de toute nature. J’ai bien dit en France, car sur la Californie plane le spectre du « big one », ce séisme géant qui coupera l’eau, l’acheminement des vivres et des secours pendant des jours entiers, provoquera des incendies monstrueux et livrera la population aux violences de bandes criminelles d’autant plus déchaînées qu’il n’y aura plus d’État. À Los Angeles et à San Francisco, environ 20% des « gens normaux » partent le matin à leur travail avec un petit sac à dos qui contient au minimum : de l’eau, des vivres énergétiques de survie, un couteau, une lampe, un pistolet automatique avec des chargeurs de réserve. Et ce sont des « gens normaux », pas des épaves sociales, pas des racailles. Ces gens ont une famille, un logement et un emploi. C’est vous, c’est moi… Mais ce n’est pas mon sujet du jour.

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  • Double féminicide dans le Gard, un Marocain sous OQTF en garde à vue

    Un Marocain d'une quarantaine d'années a été placé en garde à vue après la mort, vendredi 5 mai, de sa compagne et sa belle-sœur, tuées à coups de couteau dans le Gard, informe l’AFP.

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  • Mayotte en ébullition

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    La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

    Située au nord-est du canal du Mozambique entre Madagascar et le continent africain, à l’ouest de l’océan Indien, l’île de Mayotte bénéficie depuis quelques semaines d’une attention médiatique soutenue. La raison de ce regain d’intérêt se nomme l’opération Wuambushu, ce qui signifie en mahorais « reprise », voire « reprise en main ».

    Approuvée lors d’un conseil de défense tenu à l’Élysée, cette opération doit démanteler plusieurs bidonvilles, appelés « bangas », restaurer l’ordre public et contenir les ravages d’une immigration illégale incontrôlée. L’île tropicale cumule toutes les pathologies sociales du moment. Les statistiques de l’INSEE expliquent que la moitié de la population mahoraise a moins de 17 ans, que 77 % des habitants de Mayotte vivent en dessous du seuil de pauvreté, que 67 % des 15 – 64 ans n’ont pas d’emplois, que 30 % des ménages ne disposent pas de l’eau courante et que 40 % des 60 000 logements sont indignes et sans électricité domestique. Désert médical, le territoire se sent abandonné de Paris. Ces conditions difficiles font de Mayotte le département le plus pauvre de France. Elles n’arrêtent pas les flots incessants d’immigrés clandestins plus pauvres encore. 48 % des 310 000 habitants sont d’origine étrangère. De nombreuses migrantes font exprès d’accoucher à Mayotte en sachant qu’elles seront ensuite non expulsables parce que leurs progénitures seront supposées françaises. Si de nombreuses maternités ferment dans la France périphérique, ce n’est pas le cas à Mayotte où elles sont complètes. Le système scolaire est lui aussi saturé avec des élèves étrangers illettrés qui ignorent tout d’une journée d’élève français. Il est fréquent que les classes de l’enseignement primaire accueillent des adolescents de 15 – 16 ans… L’INSEE estime par ailleurs que 55 % de la population de Mayotte parvient à maîtriser le français. S’ajoute enfin une tension permanente avec le voisin comorien.

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  • « Vous n’avez pas de nom à consonance étrangère, vous n’avez pas 4 enfants, donc vous n’êtes pas prioritaire pour un HLM » : La députée RN Julie Lechanteux raconte son passé de mère isolée, discriminée malgré une situation très difficile

  • La France disloquée, terreau d’une possible guerre civile, par Ivan Rioufol

    La guerre civile : la perspective s’installe dans les esprits, face à la nation disloquée et à la généralisation de la violence. A Mayotte, 101 ème département français, c’est la députée Estelle Youssouffa qui prévient : « On va basculer dans la guerre civile si le travail n’est pas fait ». Mardi, dans La parole aux Français (CNews), Jean-Christophe Couvy, secrétaire national unité SGP-Police, a mis en garde contre les casseurs « rompus à la guerre civile », qui se sont acharnés contre les forces de l’ordre (406 blessés) en marge des défilés du 1 er mai. Dans un prochain Appel à « sauver la France », d’anciens militaires conduits par Jean-Pierre Fabre-Bernadac vont réitérer leurs craintes exprimées il y a deux ans dans la « Lettre des généraux ».

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  • Les dessous de la crise diplomatique : Darmanin parle, Meloni agit

    Gérald Darmanin, le matamore de Tourcoing, vient de nous offrir une des plus grossières diversions politiques qui soient, une bourde de classe internationale qui provoque - excusez du peu - une crise politique violente et soudaine avec l’Italie. Impuissant à résoudre la crise migratoire à Mayotte comme en France métropolitaine (au fait, où en est-on, du nombre d’OQTF exécutées ?), il a tenté de détourner le regard des Français. Espérant masquer son inefficacité par une attaque en règle contre Giorgia Meloni, il l’accuse de ne pas savoir gérer une gigantesque crise migratoire dont on peut craindre qu’elle soit comparable à celle de 2015.

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  • Montpellier : une Montpelliéraine de 55 ans qui quittait son domicile pour aller travailler, agressée par deux migrants sénégalais et malien, pour lui voler son sac à main

    L’agression a eu lieu à 5 h 20 du matin dans la nuit de mardi 2 à mercredi 3 mai, à deux pas de la place de la Comédie, alors que la victime se rendait à son travail.

    Dans la nuit de mardi 2 au mercredi 3 mai, à 5 h 20 du matin, après avoir pris en filature une Montpelliéraine âgée de 55 ans qui quittait son domicile pour aller travailler, un Sénégalais âgé de 17 ans s’en est pris physiquement à elle.

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