La discussion du projet gouvernemental de rafistolage des retraites d'État, dites par répartition, a donc commencé à l'Assemblée nationale ce 6 février. La date vit trembler le régime, il y a près d'un siècle de cela, en 1934. Cette évocation symboliquement désuète résume à elle seule les limites de l'épure, comme un hommage rétrospectif à la nostalgie des ligues antiparlementaires de la troisième république.
France et politique française - Page 675
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Les idiots utiles de la technocratie
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Le gestionnaire d’une mosquée condamné pour fraude et ouverture d’une école clandestine
Vivant de prestations sociales et familiales, il avait acquis deux biens immobiliers
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Un pouvoir face à sa propre nullité
La semaine qui s'ouvre pourrait se révéler décisive dans la bataille des retraites. Elle couvrira la journée de ce mardi 7 février et, plus encore peut-être celle du 11, un samedi. Cette dernière date a été choisie pour permettre aux syndicalistes du secteur privé de chercher à mobiliser dans les entreprises.
Rappelons à ce sujet la seule disposition notable des trois gouvernements successifs dirigés entre 2002 et 2005 par le misérable Raffarin : elle consista, en la suppression du remboursement des jours de grève... En semaine donc, en dehors certes des lycéens, des [trop nombreux] fonctionnaires de la ville de Paris ou ceux des municipalités communistes, les grévistes manifestent au détriment de leur fiche de paye ou aux frais de la caisse éventuelle de leur syndicat.
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L’INSEE montre que les Français sont encore plus angoissés qu’en 2009 !
Et si la réaction virulente au projet de réforme des retraites s’expliquait d’abord et avant tout (outre l’aversion au monopole jacobin et à la préférence très française pour l’émiettement girondin que nous avons beaucoup commenté) par une détresse profonde du pays réel vis-à-vis de la dégradation de ses conditions de vie ? L’INSEE vient en tout cas de publier une note de conjoncture qui en dit long sur le malaise qui étreint les Français, au jour le jour, sur la peur du lendemain qui est probablement devenue une donnée première de l’opinion, que la caste n’a pas identifié, malgré la pléthore d’études d’opinion qu’elle commande chaque jour à des officines grassement rétribuées.
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Cenon (33) : un adolescent empêche le viol en pleine rue d’une collégienne par un individu, né en Algérie, déjà condamné onze fois, qui venait de purger une peine de réclusion criminelle
Déjà condamné onze fois, un individu a tenté de violer à Cenon (Gironde) une collégienne de 13 ans qui en a été empêché par un adolescent. à Cenon a été placé en détention provisoire dimanche. Il a blessé trois policiers durant sa garde à vue.
Sans profession, au RSA et fumeur de cannabis, le suspect, né en Algérie, nie les faits et a prétendu durant ses auditions «ne se souvenir de rien». Les témoins également entendus confirment pourtant le déroulé de l’agression.
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Politis, le journal qui exploitait les clandestins, en croisade contre CNews
Le média d’extrême gauche Politis s’est lancé dans un exercice périlleux de critiques à l’encontre des journalistes et animateurs des chaînes de Vincent Bolloré. Hanouna, Praud, Kelly, Delormeau, Morandini, … : les cibles sont triées sur le volet. La litanie de critiques transpire les obsessions du journal, qui en a fait la une de sa version papier. Un journal qui oublie ses frasques passées quand son rédacteur en chef exploitait des migrants, leur promettant régularisation contre de fortes sommes.
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Motion référendaire du RN : Marine Le Pen dénonce une « méthode lamentable » après des messages d'intimidation reçus par des députées du Rassemblement National
Des menaces en marge de la motion référendaire du RN
La présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale a dénoncé lundi 6 février des « manœuvres » pour « distraire » des députées avec des messages vocaux d'intimidation pendant un scrutin sur la réforme des retraites, et a indiqué vouloir déposer une plainte.
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Rats, migrants, insécurité, loyers fous : le Paris d’Hidalgo se vide, selon l’Insee
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Les retraités, proies faciles de délinquants invulnérables
© capture d'ecran BFMTVSamedi 1er février, le petit-fils de Jean et Mireille retrouvait ses grands-parents dans leur propriété située à Salon-de-Provence.
L’homme de 84 ans et sa femme de 81 ans avaient perdu la vie, assassinés.
Un crime d’une « extrême violence », pour reprendre les mots du procureur d’Aix-en-Provence. Jean a été retrouvé dans son garage, le corps inerte de Mireille, dénudé, gisait dans le salon. Les deux victimes ont été martyrisées à coups d’objets tranchants portés sur le visage, la tête et le cou. Le 4 février, un homme se présentait au commissariat de Noailles, à Marseille, pour s’accuser du meurtre des deux octogénaires.
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Michel Gay : « Aucune raison technique ne justifie aujourd’hui l’explosion du coût de l’électricité en France » [Interview]