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« Je ne suis pas un journaliste de gauche : je n’ai jamais dénoncé personne », disait Guy Debord. À « Libération », on a décidé de donner raison à l’auteur de « La Société du spectacle », la calomnie en plus. Le 13 avril, « Libération » publiait un papier écœurant et calomnieux contre notre collaborateur David L’Épée, également rédacteur en chef de la revue « Krisis », dans l’intention manifeste de lui nuire. David L’Épée explique pourquoi il a décidé de porter plainte contre le journal.
Cette officine de gauche, s’est totalement fourvoyée avec le totalitarisme le plus mortifère du XXe siècle, le communisme léniniste puis stalinien, et elle aurait dû être remisée « dansles poubelles de l’Histoire », selon la bonne vieille formule léniniste qu’employa Trotski à l’égard des menchéviks.
Imaginons un seul instant, une association qui aurait eu pour but de promouvoir « les droits de l’homme », et qui aurait justifié les camps de concentration et le régime hitlérien, elle aurait à juste titre été vouée aux gémonies. C’est mutatis mutandis ce que fit la LDH tout au long du XXe siècle vis à vis du totalitarisme communiste.
Des proches de Nicolas Sarkozy ont révélé que l'ancien Président se verrait bien prendre la place d'Élisabeth Borne à Matignon, rapporte L’Obs, le mercredi 19 avril.
L'ancien président de la République serait prêt à prendre la suite d'Élisabeth Borne en tant que Premier ministre. « Il en rêve. Ça transpire de partout », a déclaré un membre de son entourage.
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En 2001, Sorj Chalandon, journaliste à Libération, revenait sur la manière dont son journal avait traité la question de la pédophilie, ne réfutant rien du passé, et tentant de l’expliquer. Voici des passages édifiants de sa justification, vous épargnant des descriptions pornographiques :
« Liquidation », écrivait Frédéric Rouvillois dans son livre sur Macron comme définition de son projet (Liquidation – Emmanuel Macron et le saint-simonisme, Cerf, 2020). Le projet de Macron, c’est cela : liquider tout ce qui restait solide dans la société française, certains habitus et mœurs, certaines structures, certains projets (devenir propriétaire d’une maison, la léguer, avoir un métier dont on est fier et pas seulement un « job »), rendre tout liquide, tout réversible, tout jetable (notamment les traces de notre histoire), tout interchangeable (les peuples, les gens, les sexes, les métiers, les territoires, etc.). Éparpillé façon puzzle : cela veut dire que notre pays et notre peuple ont été mis en morceaux. Dispersés et hachés menu. Éparpillé : c’est le résultat de la politique de Macron. Un peuple dispersé, affaibli, atomisé. Loin de n’avoir « rien fait », comme on l’entend parfois, Macron a presque tout réalisé de son programme. Vendre l’industrie française : c’est le capitalisme de connivence. Conforter l’oligarchie : c’est le pacte de corruption lié au covid, c’est-à-dire à l’interdiction de traiter les malades du covid hors utilisation de vaccins (ceux permettant des superprofits aux membres de la caste – ceux qui ont propulsé Macron et qui attendaient leur retour sur investissement).
Cette défense de la rédactrice en chef « Idées » de L'Express, dans les colonnes d'un magazine en ligne qui incarne la fachosphère nauséabonde (le bruit des bottes, etc.), ne risque pas d'arranger son cas ! Ainsi va le débat d'idées en 2023. Il n'empêche : quelque chose doit être dit pour rendre hommage au courage de Laetitia Strauch-Bonart, qui a commis un crime odieux, cette semaine. Rendez-vous compte : elle a renvoyé dos à dos l'extrême gauche et l'extrême droite. Dans l'émission « C ce soir », interrogée pour savoir s'il était bien raisonnable de débattre chez Valeurs actuelles (magazine du Reich, si vous l'ignoriez !) quand on s'appelait Hugo Clément, elle a eu l'intelligence (et, redisons-le, le courage) de retourner la question vers l'extrême gauche. Tempête sur le plateau. La journaliste s'est donc demandé innocemment, puisqu'aller débattre avec les gens de droite, c'est cautionner le fascisme, pourquoi aller débattre à la Fête de l'Huma, ce ne serait pas cautionner les millions de morts du communisme. Stupeur. Haine, un peu masquée mais pas trop, de Laure Adler, qui n'aurait pas imaginé ça sous Mitterrand. Moche, de vieillir.
Deux bandes rivales se sont affrontées esplanade François-Mitterrand, dimanche 16 avril. Une rixe entre des jeunes de Tours-Nord et de Saint-Pierre-des-Corps, sous le regard apeuré des habitants du quartier.
Arrivés très vite sur place, les forces de l’ordre ont tenté de disperser la foule à l’aide de gyrophares et coups de klaxon.
Le ministre de l’Économie et des Finances, vient de mettre les pieds dans le plat. A-t-il été frappé d’un éclair de lucidité ? Toujours est-il qu’il a déclaré : « Nos compatriotes en ont raz le bol de la fraude et de voir que des personnes envoient illégalement l’argent du contribuable au Maghreb ou ailleurs ».