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La Macronie est une grande famille ; ou un jeu des sept familles. Il y a celles des battus décorés que vous a présentée Thomas Bertin. Il y a celle, fort nombreuse, des conseillers qui sont allés discrètement pantoufler dans le privé. Il y a aussi celle - comme si cela commençait à sentir le roussi - des macronistes honteux ou semi-repentis, comme l'inénarrable Roselyne Bachelot. Et puis il y a ceux qui sont au turbin, au charbon, et , surtout, dans le pétrin. Sans mauvais jeu de mots pour nos amis boulangers. Je veux parler des macronistes de service, des ministres chargés de gérer les conséquences de leur inconséquence.
Une fois de plus, Natacha Polony frappe juste. La sonnette d’alarme des boulangers au sujet de leur facture d’électricité n’est que le début des conséquences engendrées par l’irresponsable politique européenne menée par Bruxelles concernant les sanctions votées contre la Russie. Alors que l’Europe était en position de négociateur entre la Russie et l’Ukraine, la Commission de Bruxelles a renforcé notre vassalité à l’égard des Américains. Les conséquences de cet aveuglement impacte toute la politique d’Emmaneul Macron.
La victime, employée du magasin, aurait été transportée dans un état grave à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon.
“Océane a été victime d’un acte odieux, le fait d’une personne isolée.” Employée polyvalente depuis mai 2022, Océane a été, selon Lahcene Lamaouche, “au mauvais endroit, au mauvais moment”. Il ajoute : “J’ai une pensée à toute l’équipe du supermarché du Luc, nous faisons corps face à cet acte odieux. Nous pensons aussi à Océane et à sa famille.”
Il est presque touchant, notre Président. Naïf ou juvénile ? On ne sait trop.
Tout à coup alarmé par la galère des artisans qui risquent de fermer boutique à cause des coûts de l’énergie, malheureux que ses services renvoient au labyrinthe de l’administration, il a voulu se confronter au monde réel. Et a tenté d’appeler l’un de ces miraculeux Numéros Verts… Et là, horreur et putréfaction : il s’est aperçu que… « ça ne marche pas ! »
“Mon souhait, c’est qu’il soit puni sévèrement et expulsé, afin qu’il ne nous fasse plus de mal, et que nous ne soyons plus en danger”, poursuit Rahnouch. Le père de l’enfant, âgé de 34 ans et originaire d’Algérie, vit en France en situation irrégulière. Il a demandé un délai pour préparer sa défense et sera jugé le 2 février pour violences sur ascendant avec ITT de moins de 8 jours.
Par Gérard Dussouy, professeur émérite des universités, essayiste ♦ La parution récente et opportune du Grand Vieillissement de Maxime Sbaihi (Ed. de l’Observatoire) met en relief un phénomène prévisible depuis longtemps, mais écarté du débat public, qui menace notre civilisation et qui va, au minimum, poser des problèmes socio-économiques considérables.
Bien documenté, le livre expose ces derniers avec clarté et pertinence, et il montre que la marge de manœuvre de leur résolution est plus qu’étroite. Dans cette perspective sombre, l’auteur suggère qu’en parallèle le Grand Remplacement, dont l’opinion publique fait trop grand cas selon lui (ce qu’il réitère lors d’une interview qu’il a accordée au Figaro), pourrait en être la contrepartie positive. Ce qui n’est pas démontré sur le plan économique déjà, étant donné que les entrants sont en immense majorité des gens sans instruction et sans aucune qualification.
La nouvelle est tombée cette semaine dans la presse : il paraît que la France, et pas n'importe laquelle, celle d'Emmanuel Macron, va livrer à l'Ukraine des « chars légers » - à roues, donc. Renseignements pris, il s'agit du modèle AMX-10 RC (RC pour roues-canon), en service dans certains régiments de cavalerie blindée, des chars qui doivent apparemment être remplacés par un nouveau modèle, le Jaguar, dans les années à venir. Normalement, donc, pas de problème : on rend service, on donne de vieux équipements qui ne servaient plus. C'est, déférence gardée envers l'armée ukrainienne, une sorte de bourse aux équipements, une manière d'Emmaüs militaire. On pourrait considérer que c'est comme ça, que ce n'est pas si grave et que c'est même plutôt sympa, et s'arrêter là.
A la une de cette édition, le président Macron tente de calmer la colère du monde médical. Lors des vœux au secteur, il a tenté de donner des gages à des professions qui lui semblent de plus en plus hostiles.
Nous reviendrons ensuite sur la situation inquiétante des boulangers en France.
Et enfin, plus de légèreté avec les députés de la majorité de la précédente législature au chômage.
Notre cher gouvernement est dirigé, au moins nominalement, par Mme Borne. Son équipe patauge ces temps-ci autour de la question des retouches nécessaires à l'équilibre comptable de l'assurance vieillesse. Promises dès 2016 par Macron, à l'occasion de sa première campagne présidentielle, les premières mesures attendent encore, 7 ans plus tard, 7 mois après la réélection de ce personnage de plus en plus démonétisé.
On doit en effet constater, dans cet exercice digne d'un concours hippique, que les obstacles n'ont pas varié. Et le cavalier Macron n'a jusqu'ici guère brillé. Il imagine certes toujours mériter la confiance, de plus en plus réticente, de la finance internationale et de la technocratie européenne. Mais il se trouve flanqué, de la part de sa collaboratrice à la tête de son gouvernement d'une objection permanente : celle-ci maintient mordicus sa prétention de s'appuyer sur les bureaucraties syndicales.
Or, la CFDT, seule organisation théoriquement majoritaire désormais dans le secteur privé, refuse toujours ce qu'elle appelle une "réforme paramétrique" qui consisterait à porter à 65 ou même à 64 ans l'âge légal. Laurent Berger son secrétaire général fait plus que bouder : il se braque.
Aux abords du phare touristique de la capitale, l’amoncellement de piles usagées est la conséquence directe de la vente à la sauvette de tours Eiffel lumineuses et autres chiens en peluche animés.