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Selon les dernières données, le salaire brut moyen mensuel est de 3543 €. Après déduction des charges salariales et impôts, le revenu moyen mensuel net est d’environ 2565 €.
Pour l’employeur, pour le même salaire net, le coût mensuel brut est de 4811 €, soit 57.732 € annuel.
Cette semaine, Olga Givernet, Marine Tondelier, Xavier Bertrand, Emmanuel Macron et Anne Hidalgo.
Cette semaine, dans Mieux vaut en rire, Marine Tondelier assume la justice politique, Emmanuel Macron se parfume et Anne Hidalgo ne reconnaît aucune erreur.
Le moins que l’on puisse dire est que Trump affole les commentateurs économiques avec ses mesures douanières, mais on a du mal à cerner les raisons des oppositions que se manifestent en Europe, à commencer par notre éternel Macron, qui ne rate jamais une occasion de proférer des commentaires qui sont en général contredits par les réalités qui suivent. Macron qui a foiré à peu près tout ce qu’il a entrepris, explique que les mesures de Trump sont brutales et inappropriées. On se rappelle que ses mesures à lui, concernant le Covid, la guerre en Ukraine et l’économie nationale, ont été encore plus brutales et encore plus inappropriées, l’état de la France le démontre largement. On peut compter sur cet homme comme boussole pour indiquer le sud. Le voilà qui évoque les « bases » de l’économie pour expliquer que Trump se trompe de chemin, sans préciser quelles bases, et pour cause, les bases de nos économies occidentales sont keynésiennes et consistent en une économie régulée et équitable en lieu et place du capitalisme sauvage qui nous étreint actuellement, fait de dumping social et de spéculation internationale. Le même explique que les Américains sortiront de cette aventure plus pauvres qu’avant, qu’en sait-il ? Encore une fois, il se passe toujours le contraire de ce qu’il raconte. Et en France, nous sommes nous enrichis sous ses présidences ? A l’évidence, non.
A la une de cette édition, Emmanuel Macron en Calimero. Le président de la désindustrialisation déplore les nouveaux tarifs douaniers américains et n’a plus que ses yeux pour pleurer.
Selon Le Figaro, le tribunal administratif de Nantes a suspendu une note de service qui imposait aux policiers de Loire-Atlantique de remplir une fiche navette sur les étrangers en situation régulière placés en garde à vue. Cette fiche, qui alimentait un « tableau informatisé », devait être transmise à la préfecture et comprenait des données personnelles comme le signalement dans le fichier des antécédents judiciaires, les motifs d’interpellation et les suites judiciaires.
Dans un élan martial et patriotique quelque peu grandiloquent, le gouvernement, la totalité de la classe dirigeante et leurs médias viennent déclarer solennellement que la Russie constitue une menace pour la France et pour les autres pays européens. « Menace existentielle » a même osé E. Macron. Il s’agit là bien entendu d’un grossier mensonge. La Russie n’a aucune raison de s’en prendre aux pays européens, en tout cas à la partie occidentale de l’Europe, et elle n’en a de toute façon pas les moyens. La réalité est exactement inverse, c’est la France qui mène depuis trois ans une guerre à la Russie : avec les autres européens, elle arme et aide financièrement l’Ukraine ; avec eux elle a décidé de différentes sanctions à l’égard de la Russie et se proposait même, on s’en souvient, de la « mettre à genoux » économiquement ; elle a saisi les avoirs russes en France ; elle multiplie les injures et les menaces pénales contre les dirigeants russes. Aujourd’hui elle annonce sa volonté de donner à l’Ukraine les moyens de poursuivre la guerre en dépit du désengagement américain.
Marine a été prise la main dans le pot de confiture et elle est condamnée. Jusque-là, rien de plus normal, le FN de Jean-Marie comme le RN de Marine ont toujours été borderlines concernant leur financement. Je me souviens d’une époque où un ami qui faisait campagne pour le FN était obligé d’acheter les kits de campagne imprimés par une filiale du FN et s’il voulait passer par un de ses amis imprimeurs, c’était très mal vu. Moi-même, j’ai loué durant 2 ans un local au FN pour faire leur siège à Lille, j’avais la caution de Wallerand de Saint-Just et de Marine, mais j’ai quand même été contraint d’avoir recours à la justice pour me faire payer les arriérés de loyer, Marine comme Wallerand faisant fi des recommandés qu’on leur envoyait. Quand ils allaient les chercher !
L’onde de choc concernant le verdict et surtout la peine d’inéligibilité avec exécution provisoire contre Marine Le Pen a été telle qu’il nous faut y revenir.
Non pas pour jouer dans les vagues de l’eau boueuse de la mare aux canards qu’est notre landerneau politique, mais pour nous pencher, (puisque l’occasion nous en est donnée), sur cette Justice qui fonctionne décidément mal. En même temps, me direz-vous, comment voulez-vous qu’un truc dirigé par l’extrême-gauche fonctionne.
Dans un contexte marqué par la condamnation de Marine Le Pen à une peine d’inéligibilité, qui suscite de vives critiques sur l’étendue du pouvoir judiciaire, une majorité de Français s’inquiète de l’état de la démocratie.
« Notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté », assène Donald Trump. Pour certains, ces mots sont excessifs. Pour d’autres, ils sonnent comme une douloureuse vérité. Car le XXe siècle finissant et le XXIe naissant ont vu l’Occident — États-Unis en tête — sacrifier ses classes moyennes, ses ouvriers, son tissu industriel, sur l’autel d’un libre-échange absolu, dérégulé et aveugle. Aujourd’hui, Trump réagit. Il frappe fort. Il referme les frontières douanières. Et il a raison.