
« Changeons le système, pas le climat. » C’était le slogan écolo inscrit sur le capot des petites voitures grises, ces électriques en libre-service qui devaient nous changer la vie : les Autolib’.
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Je reçois régulièrement des e-mails provenant d’organisations et de sites patriotes, comme pas mal d’entre vous je suppose. Et ce matin, l’un d’eux a particulièrement attiré mon attention par son contenu dévoilant la couardise homicide de l’ultragauche. J’avoue être passé à côté de cette nouvelle qui dit combien notre pays doit se débarrasser de l’ultragauche terroriste.
ENTRETIEN. La maire de Romans-sur-Isère dénonce la « réécriture » de l’attaque de Crépol et avertit contre le communautarisme religieux qui « gangrène progressivement notre pays ».
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les dernières déclarations de notre ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet en se demandant si elle raison de dire qu’en France, « on n’a pas assez de gens qui travaillent » ?
Le problème, selon la ministre, ne proviendrait pas des individus en emploi, qui « eux travaillent beaucoup, si ce n’est plus que les Allemands et les Britanniques », mais plutôt du nombre de personnes qui travaillent.
Terje Tvedt, professeur, historien et écrivain, connu pour son analyse critique de la politique d’aide et du rôle des ONG humanitaires dans les structures de pouvoir internationales, a été interrogé dans Conflits suite attaques de l’administration Trump contre USAID. Il déclare notamment :
« Honte à ce ramassis de conneries », dénonce l’association des victimes du bal de Crépol ce mercredi 19 mars, jour de sortie du livre-enquête Une nuit en France, anatomie du fait divers qui a déchiré le pays.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je ne suis pas un petit lapin de six semaines. Je connais la dureté des relations internationales. Bien évidemment qu’il faut être fort.
Bien évidemment qu’il faut avoir quelques armements pour assurer sa sécurité et sa… souveraineté !
Ce n’est pas à moi qu’il faut venir dire cela. Cela fait des années que j’écris sur les abandons et les renoncements si coupables de ceux qui nous dirigent et vendent nos intérêts, nos souverainetés au monde entier.
Cette France pitoyable qui ne veut pas d’une « épreuve de force » avec l’Algérie et qui fait semblant de croire qu’on peut discuter avec ce pays radical, qui hait la France jusque dans son hymne national… Discuter avec l’Algérie, c’est baisser éternellement sa culotte, ce dont la France est coutumière avec ce pays qui ne nous est d’aucune utilité, diplomatiquement et économiquement. Ainsi, nous ne réclamons pas les ardoises dues en matière de frais de santé, nous continuons à payer des retraites à des gens morts depuis longtemps, nous versons des aides au développement à un pays qui non seulement ne se développe pas mais véhicule des valeurs totalement opposées à celles de l’Occident. La réalité est que Paris a peur des réactions des gens de la diaspora algérienne en France, des émeutes… et Paris croit quoi, qu’en baissant éternellement sa culotte, il s’assurera de la paix et de l’amour avec une partie non négligeable de ces gens biberonnés à la haine de la France ? L’épreuve de force, il la faudra, tôt ou tard. A s’y prendre comme cela, Macron, toujours lui, dont le soutien à l’islam, y compris radical, est ouvertement affiché, fait penser à cette puissante maxime de Churchill : nous choisissons le déshonneur pour ne pas avoir la guerre et nous aurons les deux. Nous avions listé, au RPF, une série de mesures à prendre contre ce pays avec lequel, quelles que soient les concessions faites, nous n’aurons jamais la paix : les voici : L’Algérie et sa guerre contre la France – Rassemblement du Peuple Français
Le service public de l’électricité a été pendant des décennies une force de notre pays, nous assurant l’accès à une énergie abondante et bon marché, aussi qu’une vraie indépendance nationale. Las, tout le bloc central, du PS et des Verts à LR, ont accepté de saboter cet actif majeur en créant un pseudo marché, qui n’est que la constitution de rentes juteuses, comme le montrent les comptes d’EDF…