![Michel Onfray sur l’insécurité : « Ce sont toujours les mêmes qui agressent et toujours les mêmes qui sont agressés. Je crois qu’il y a une guerre civile à bas bruit, qui est menée que par un seul camp. »](https://tvl.fr/upload/media/article/0001/21/thumb_20103_article_sliderBig.jpg)
Michel Onfray au sujet de l’insécurité : « Ce sont toujours les mêmes qui agressent et toujours les mêmes qui sont agressés. Je crois qu’il y a une guerre civile à bas bruit, qui est menée que par un seul camp. » (Fdesouche)
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Michel Onfray au sujet de l’insécurité : « Ce sont toujours les mêmes qui agressent et toujours les mêmes qui sont agressés. Je crois qu’il y a une guerre civile à bas bruit, qui est menée que par un seul camp. » (Fdesouche)
La rentrée scolaire est faite, et déjà les premiers cours font oublier les vacances quand, dans le même temps, l’actualité fait entendre sa petite musique lancinante et que les inquiétudes, pour certains jamais complètement écartées, remontent à la surface : « Aurons-nous des professeurs devant tous les élèves cette année ? » ; « Pourrons-nous nous chauffer convenablement ? » ; « Que restera-t-il de l’économie française au printemps ? » ; etc. Il est vrai que la guerre en Ukraine, la menace d’une nouvelle vague de Covid et la crainte d’une dégradation climatique accélérée, sont autant de motifs de souci et, parfois, de désespérance.
Le défunt “est un Tunisien d’une trentaine d’années, installé dans notre région depuis un an” a précisé l’élu à l’AFP. La voiture signalée volée, qu’il conduisait, est immatriculée dans le Var.
Selon la direction départementale de la sécurité publique des Alpes-Maritimes, le conducteur du véhicule qui avait refusé d’obtempérer ce mercredi après-midi, 11 avenue Henri-Matisse, est mort.
… en Italie, avec l’accord qui réunit la Lega, Forza Italia et Fratelli d’Italia, plus une galaxie de petites formations centristes. Professeur d’histoire et de sociologie politique à Sciences Po et président de la School of Government de l’université Luiss à Rome, Marc Lazar répond au Figaro :
Ces partis s’allient parce qu’ils y sont contraints par le mode de scrutin. Ils ont de profondes différences, par exemple sur la Russie et la guerre en Ukraine, et il y a une compétition pour le leadership entre Silvio Berlusconi, Matteo Salvini et Giorgia Meloni. Cette dernière cherche à affirmer sa prééminence et à imposer que le parti recueillant le plus de suffrages ait un candidat naturel, en l’occurrence elle, à la présidence du Conseil, bien que ce soit le président de la République qui nomme le président du Conseil.
Depuis près d’un an, les riverains de la porte de la Villette (19e) continuent de dénoncer les agressions physiques et verbales qu’ils subissent, victimes des toxicomanes installés là. Aujourd’hui, ils déplorent une «hausse inquiétante» de ces faits visant «les jeunes femmes et les mineurs».
L’étude de Fondapol conduite par M. Dominique Reynié sur les mutations politiques en cours, d’un intérêt exceptionnel, comporte des enseignements que les responsables politiques de ce pays seraient bien avisés de prendre en compte. Elle établit que lors des dernières élections nationales – les législatives – le comportement de rejet du système en additionnant le vote protestataire (RN, LFI, extr gauche), vote blanc et abstentionnisme, atteignait presque 80% du corps électoral. Ce qui signifie que le vote d’adhésion aux partis prétendus de gouvernement, les fréquentables avec lesquels il est permis de dialoguer, selon les plus hautes autorités de l’Etat (PR et PM), dépassait à peine un cinquième de l’électorat.