
Alors que le texte arrive le 28 mars au Sénat, le directeur de l’Ofii, Didier Leschi, a assuré que l’échec à l’examen de français ne sera pas synonyme d’expulsion pour les ressortissants étrangers. L’essayiste et ancien membre du Haut Conseil à l’intégration y voit un recul du gouvernement et critique plus largement un projet de loi qui accorde, selon elle, «une prime à l’illégalité» puisqu’il prévoit de créer un titre de séjour pour les étrangers en situation irrégulière.