On connaît l'adage : partir c'est mourir un peu. Votre chroniqueur aujourd'hui ressent à vrai dire exactement le contraire de ce poème un peu désuet, et qui dit en ritournelle "c'est mourir à ce qu'on aime".
D'un cœur léger, au contraire, après avoir été bloqué depuis juillet dans cette capitale en déliquescence, mon seul regret de partir pour une courte semaine sans ordinateur, est la coupure du contact avec les passions de l'actualité, que je m'efforce de retracer, trop irrégulièrement.