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religion - Page 141

  • Ils sont “Charlie” ? Ils sont déjà morts – par Ulysse

    Charlie Hebdo représentait la pire forme de l’idéologie libertaire qui, sous couvert de contestation et de transgression, était sanctuarisée par le pouvoir actuellement en place dont elle était l’insigne agent symbolique et moral. En une image, Charlie Hebdo, c’était le « beauf » de Cabu : ce sale franchouillard raciste moustachu dont on cherchait à faire croire qu’il était la lie de l’humanité et sur lequel on tapait sans fin comme s’il était le tortionnaire malfaisant des gentilles populations immigrées venues enrichir la France. Oui mais voilà, le moustachu cachait un barbu, et le beauf consumériste, un fanatique impitoyable. Le xénophobe d’apparat cachait un fondamentaliste et s’il arrivait à Charlie Hebdo de brocarder le second, c’était en le mettant sur le même plan que le premier ; ainsi d’une couverture à l’autre, une Marine le Pen nazifiée pouvait-elle croiser un Pape pédophile sodomite suivi d’un Mahomet explosif…

    Sale beauf, sale babtou

    Les prétendus défenseurs de la « liberté d’expression » n’étaient en vérité rien d’autre que les défenseurs sectaires de l’expression libertaire, et ils étaient prêts à toutes les vilénies dès lors qu’il s’agissait de conspuer ce qui contrevenait à leur propre idéologie. Ce faisant, ils ne se rendaient même pas compte, ou si peu et si mal, qu’ils entretenaient précisément les clichés racistes mêmes qu’ils prétendaient par ailleurs combattre. Car enfin, quelle différence y a-t-il entre le « sale beauf » de Cabu et le « sale babtou » des réseaux sociaux et des banlieues? Les deux, dans les yeux de leurs adversaires, n’étaient somme toute rien d’autre que des « gros porcs »…

    Les prétendus défenseurs de la « liberté d’expression » n’étaient en vérité rien d’autre que les défenseurs sectaires de l’expression libertaire, et ils étaient prêts à toutes les vilénies dès lors qu’il s’agissait de conspuer ce qui contrevenait à leur propre idéologie. Ce faisant, ils ne se rendaient même pas compte, ou si peu et si mal, qu’ils entretenaient précisément les clichés racistes mêmes qu’ils prétendaient par ailleurs combattre.

    Le premier était seulement l’archétype matriciel du second dont il a (entre autres facteurs) favorisé l’apparition. Ainsi, les clichés anti-racistes de Charlie Hebdo ont accompagné et avalisé les clichés racistes des « cités », qui, on expliquera pourquoi plus loin, le lui ont bien rendu.

    Crachoir de la gauche cléricale

    Charlie Hebdo, c’était donc cela : une grande soupe relativiste où tout ce qui ne ressemblait pas à une exigence compassionnelle humanitariste très vaguement étayée par des postulats marxistes devenait immédiatement fasciste ; où tout ce qui ne s’apparentait pas aux mouvements du cœur de belles âmes nihilistes boboïsées apparaissait alors comme les prémisses d’une dictature… En vérité, cette contestation anarcho-nihiliste de tous les ordres en cachait bien un d’ordre : celui d’un pouvoir qui subventionnait le journal et sans lequel il aurait déjà eu disparu depuis beau temps. C’est qu’au fond, Charlie Hebdo incarnait les aspirations morales (moralement anti-morales devrait-on dire) de la génération 68 qui, embourgeoisée jusqu’à l’overdose, gardait comme un animal de compagnie attendrissant cette sorte de souvenir de sa fougue transgressive de jeunesse ; une « potiche » du pouvoir, ponctuellement utile pour victimiser le patriotisme, utile parfois aussi pour servir de caution de « tolérance » universaliste lorsqu’il s’agissait de prétendre défendre un humanisme dont on se demandait bien ce qu’il avait encore à voir avec celui de Pic de la Mirandole.

     

    C’est qu’au fond, Charlie Hebdo incarnait les aspirations morales (moralement anti-morales devrait-on dire) de la génération 68 qui, embourgeoisée jusqu’à l’overdose, gardait comme un animal de compagnie attendrissant cette sorte de souvenir de sa fougue transgressive de jeunesse ; une « potiche » du pouvoir, ponctuellement utile pour victimiser le patriotisme, utile parfois aussi pour servir de caution de « tolérance » universaliste lorsqu’il s’agissait de prétendre défendre un humanisme dont on se demandait bien ce qu’il avait encore à voir avec celui de Pic de la Mirandole.

    Ce qui a été tué, c’est donc l’animal de compagnie du système. Son caniche. Son fétiche aussi, son objet magique, une de ses innombrables cautions libertaires progressistes. Pas étonnant donc que le glas (l’ironie symbolique cache une évidence littérale) ait pu résonner pour lui. C’est qu’en effet Charlie Hebdo était bien le seuil d’une Eglise, ou du moins sa crypte : le lieu où la gauche cléricale entreposait ses trésors obscènes et vulgairement conformistes, l’auge où elle lançait ses crachats fatigués de vieux soixante-huitards lassés de vivre. Ils crachaient sur tout ce qui ressemble à de l’ordre, mais ce faisant promouvaient réellement un ordre : celui de l’individu détaché de tout et donc ré-ingurgité immédiatement par le dispositif technico-financier qui flatte ses intentions et ses projets.

    Ce qui a été pulvérisé, c’est le temple-crachoir d’une gauche dont la revendication de liberté n’était que le cache-misère du mondialisme le plus aliénant.

    Libéralisme du sens contre littéralisme du sens : le retour du négatif 

    En attaquant Charlie Hebdo, les djihadistes n’ont donc pas attaqué la liberté d’expression. Ils ont attaqué par ordre sémantique d’importance : des personnes (les victimes objectives),  l’Etat – ou plutôt les derniers restes d’un Etat presqu’entièrement dominé par les forces internationales de la finance et du numérique (mais il s’agit tout de même d’une attaque contre les institutions de Justice et de Police) -, et enfin la théologie implicite qui sous-tend cet Etat moribond et le projet universaliste du progressisme libertaire : l’idée que l’individu n’est libre que lorsqu’il a la licence de vomir tout ce qui n’est pas lui, au point d’ailleurs de se faire, quand il le juge utile, le censeur de ses contradicteurs (Charlie Hebdo avait demandé l’interdiction du Front national).

    Charlie Hebdo qui meurt dans une explosion de contradictions, c’est la revanche de l’Histoire contre tous ceux qui pensaient en être sortis pour flotter sans but dans le non-lieu de leur quant-à-soi hédonisto-technoïde. Il est tragique que cette revanche passe ici par la vengeance d’une secte mahométane malfaisante et cruelle. Il était cependant inéluctable qu’un jour ou l’autre, ce nihilisme de l’individu rendu fou sans Dieu, rencontrât ce nihilisme de la secte des fous de Dieu…

    Que signifie donc la mort de Charlie Hebdo ?

    Que l’idéologie progressiste libertaire, alibi de l’ordre prométhéen mondialisé, est morte. Qu’à vouloir évacuer du réel tout ce qui nous dérange en lui, c’est le réel qui finit par nous évacuer. Que celui qui croit qu’il peut chasser de l’expérience, par simple décret arbitraire, tout ce qui contrarie ses desseins, se retrouve bientôt ravalé par ce que l’expérience contient de plus irréductible : la violence brute, aveugle, injuste. Charlie Hebdo voulait une vie de jouissance, sans attaches à quoi que ce soit d’autre que soi-même, Charlie Hebdo a été détruit de manière immanente par ce négatif qu’il s’efforçait à tout prix de nier : le littéralisme mahométan, soit la forme la plus brutale et la plus bête de la détermination historique. Ils ont moqué le beauf moustachu, ils ont eu le fanatique barbu. Ils ont promu la liberté en criminalisant tout ce qui n’était pas conforme à leur propre licence, ils ont eu l’aliénation effrayante et cruelle d’un jugement théocratique. Ils ont méprisé le patriotisme, leur mort révèle un mouvement du peuple français. Ils ont conchié l’Eglise, et c’est le glas de Notre-Dame de Paris qui a résonné pour eux. Bref, Charlie Hebdo qui meurt dans une explosion de contradictions, c’est la revanche de l’Histoire contre tous ceux qui pensaient en être sortis pour flotter sans but dans le non-lieu de leur quant-à-soi hédonisto-technoïde. Il est tragique que cette revanche passe ici par la vengeance d’une secte mahométane malfaisante et cruelle. Il était cependant inéluctable qu’un jour ou l’autre, ce nihilisme de l’individu rendu fou sans Dieu, rencontrât ce nihilisme de la secte des fous de Dieu…

    Le littéralisme religieux le plus fou est la réponse la plus simple qu’a donné l’Histoire au libéralisme moral le plus bête.

    Crise identitaire : ils sont Charlie et ils sont morts

    Ce que révèle enfin cette défaite idéologique transparaît aussi dans la prolifération écœurante des « Je suis » (Charlie, Kouachi, Charles Martel, juif etc.). Cette inflation revendicatrice a au moins un mérite objectif : révéler que dans ce conflit interne au nihilisme, c’est bien l’identité qui est en jeu et rien d’autre. C’est bien d’être dont il s’agit dans l’élément de l’Histoire, toujours, tout le temps, partout. D’être, personnel, familial, collectif, national, civilisationnel. Ceux qui manifesteront dimanche, eux, ont choisi leur camp. Ils sont Charlie ? Ils excluent les patriotes et préviennent des dangers de l’islamophobie et du racisme au moment même où l’islam les détruit et déploie sa haine anti-occidentale ? Alors oui, cela est bien clair, ils sont Charlie, c’est-à-dire qu’ils sont déjà morts.

    Ce qui sauve de l’affrontement de Charlie et de la charia, ce n’est pas Charlie. Lui a déjà perdu la bataille. L’imposture soixante-huitarde a pris fin il y a trois jours.

    Ils n’ont rien compris, ils n’ont tiré aucune leçon, pas saisi que le libéralisme-libertaire et le fanatisme littéraliste sont les deux faces d’une même pièce : une culture de mort, morale, par l’atomisation individualiste, une culture de mort, physique, par le massacre aveugle. En proclamant qu’ils sont Charlie, ils prolongent la nuit de cette obscurité progressiste qui n’est que le contrepoint de l’obscurantisme mahométan. Ils contribuent, encore et toujours, à favoriser les conditions de développement du négatif qui pourtant les a presque déjà complètement détruits.

    Notre être à nous, lui, est bien vivant, parce qu’il est français. Qu’il ne croit pas à la fable du progrès, au multiculturalisme, à la République abstraite, au mondialisme souriant. Ce qui sauve de l’affrontement de Charlie et de la charia, ce n’est pasCharlie. Lui a déjà perdu la bataille. L’imposture soixante-huitarde a pris fin il y a trois jours. Non, le nom qui sauve de ce conflit des nuits, c’est François. Parce que dans ce nom se loge l’héritage d’une nation, l’exigence d’une foi, la promesse d’une vie qui a déjà démontré par le passé qu’elle avait la noblesse rigoureuse d’un destin.

    La stratégie est limpide : provoquer par la stupeur du massacre un réflexe d’identification aux valeurs d’un organe qui, justement, s’évertue déjà à nous combattre de l’intérieur. A nous d’être plus déterminés et intelligents qu’eux. A nous de contredire cette secte mahométane en reconnaissant queCharlie, avec ses coups de crayons contre les « sales beaufs » préparait de fait les coups de couteaux contre les « sales babtous ».

    Réveil

    Nos adversaires ont été extrêmement intelligents en commençant par tuer ceux qui collaboraient depuis des décennies à notre extinction. Car ce faisant, ils veulent que nous nous identifions encore plus à ceux qui, ici-même, nient que nous existions. La stratégie est limpide : provoquer par la stupeur du massacre un réflexe d’identification aux valeurs d’un organe qui, justement, s’évertue déjà à nous combattre de l’intérieur. A nous d’être plus déterminés et intelligents qu’eux. A nous de contredire cette secte mahométane en reconnaissant que Charlie, avec ses coups de crayons contre les « sales beaufs » préparait de fait les coups de couteaux contre les « sales babtous ». A nous d’assumer enfin que si la France survit à Charlie c’est justement parce qu’elle ne s’y est jamais réduite et qu’elle ne s’est jamais identifiée à lui.

    Charlie est mort et ceux qui continuent de s’en revendiquer sont morts aussi. Les autres sont éveillés et vivants. Ils sont la France. Et ce sont eux qui gagneront la guerre qui advient.

    Ulysse
    @ULYSSEimmortal

    http://fr.novopress.info/180848/tribune-ils-sont-charlie-ils-sont-deja-morts-par-ulysse/#more-180848

  • "Les personnes radicalisées ou attirées par le djihad se moquent du nombre de personnes qui défilent"

    Le Monde publie un intéressant entretien de Peter Neumann, directeur du Centre international pour l’étude de la radicalisation (ICSR) de l’université King’s College de Londres :

    "Pensez-vous que le type de situation que connaît la France peut se répéter ailleurs dans le monde occidental ?

    Je ne fais pas que le penser, j’en suis absolument certain. Il y aura d’autres attaques en France ou dans d’autres pays occidentaux. Il s’agit d’un nouveau modus operandi et je crois qu’à la fin de 2015, on se dira que cette année aura été celle des attaques de faible ampleur et d’énorme impact. Les sociétés occidentales comptent beaucoup de gens radicalisés, non seulement des djihadistes qui sont rentrés après avoir combattu en Syrie, mais aussi des partisans d’Al-Qaida et de l’EI qui n’ont jamais été là-bas. Donc le potentiel est vaste pour de nouvelles attaques, car ces personnes comprennent l’ampleur du choc que peut produire un acte isolé.

    Vous parlez de « tournant ». Mais l’idée d’attentats perpétrés par des individus n’est pas nouvelle...

    C’est vrai, l’idée n’est pas nouvelle évidemment. Elle est aussi vieille que le terrorisme lui-même. C’était la stratégie des anarchistes au XIXe siècle. Mais c’est nouveau si l’on se réfère aux années 2001-2010 où l’ensemble des mouvements djihadistes était tellement fasciné par le 11-Septembre que leur ambition était de recommencer.

    Ce nouveau type d’attentats moins ambitieux est-il plus difficile à prévenir ?

    Oui et c’est le grand défi d’aujourd’hui pour les polices et les services secrets européens : trouver de nouvelles méthodes pour les détecter et les empêcher de passer à l’acte (...)

    L’émotion mais aussi la mobilisation sont impressionnantes dans la société française. Les manifestations en faveur de la défesne des libertés et les démonstrations de cohésion peuvent-elles changer les choses ?

    Cela ne changera pas ce que les djihadistes ont en tête : ils manifestent beaucoup d’enthousiasme à l’égard de ce qui vient de se passer et ne seront sûrement pas impressionnés. Mais c’est une bonne chose que la société française réagisse de cette façon, notamment parce que cela mobilise les musulmans modérés contre les djihadistes. Mais les personnes qui sont déjà radicalisées ou attirées par le djihad se moquent du nombre de personnes qui défilent".

    Le Salon Beige

  • Tuerie à Charlie Hebdo : l’analyse d’Emmanuel Ratier


    Tuerie à Charlie Hebdo : l'analyse d'Emmanuel… par cdmanon

  • Nous sommes tous des charlots

    L'avis de Philippe Alain : 

    "La France vient de connaître les pires journées de son histoire moderne, payant un lourd tribu aux délires meurtriers de terroristes fanatiques. 20 morts en 3 jours, des scène de guerre, une opinion publique traumatisée.

    Des centaines de milliers de personnes vont défiler dans tout le pays avec un slogan : « je suis Charlie », marquant ainsi leur soutien aux dessinateurs du journal satirique visé par le premier attentat ainsi qu’aux autre victimes des tueurs.
     
    Après le temps du deuil viendra celui de la réaction. Certains ont déjà commencé à appliquer leur propre justice et on assiste à une vague d’actes islamophobes sans précédent. Les pouvoirs publics, terrorisés par les conséquences que pourraient avoir une stigmatisation de l’ensemble de la communauté musulmane française, la plus importante d’Europe, répètent à l’envi que les attentats n’ont rien à voir avec l’Islam.
     
    On veut bien les croire. Mais il va être difficile de nous ressortir la théorie des loups solitaires qui agissent seuls. Cette fois, Al Quaïda revendique les attentats et c’est bien face à des organisations terroristes que nous nous retrouvons aujourd’huiet plus seulement face à des individus isolés.
     
    Al-Quaïda…  On les croyait disparus avec Ben Laden, exécuté par un commando de marines américains et plouf, balancé au milieu de l’océan. Vous savez, Ben Laden. Le vieillard sous dialyse qui du fond de sa grotte afghane a détruit une certaine idée de l’Amérique le 11 septembre. Al Quaïda. Organisation fabriquée, financée, armée par les Etats-Unis d’Amérique pour combattre les soviétiques en Afghanistan et qui, le 11 septembre 2001, s’est retournée contre son créateur.
     
    Mais qui finance aujourd’hui Al-Quaïda ?
     
    Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!!Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages. (1)
    Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars.  
    Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar.
     
    Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des Etats-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n'est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c'est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables". »" (suite).

    Le Salon Beige  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A tous les dévots du Siècle : Vos gueules !

    Je n’ai jamais beaucoup aimé Charlie Hebdo. Ce magazine héritier d’Hara Kiri, le journal « bête et méchant », n’a pas toujours brillé par son bon goût et est même descendu souvent au niveau des graffitis qu’on trouve dans les toilettes publiques mal entretenues, l’odeur en moins. Ses dessinateurs nihilistes ne manquaient pas de talent cependant et pouvaient aussi, objectivement, faire sourire les plus farouches de leurs détracteurs, du moins, ceux qui avaient un peu le sens de l’humour.

    L’horreur insoutenable et pour le coup réellement plus que bête et méchante dont ont été victimes les principaux acteurs de cette publication, mobilise toute la France dans une unité impressionnante et tout a fait admirable, faisant de Charlie Hebdo un symbole de la liberté d’expression. Du coup, le périodique qui était au bord de la faillite hier, tirera à un million d’exemplaire demain. Voici que les derniers lecteurs qui se lassaient de cette dérision iconoclaste de soixante-huitards attardés étaient sur le point de mettre fin à l’aventure, laquelle, par ce massacre innommable, risque de rebondir de façon inattendue. Grand bien lui fasse. Que ce soient des victimes, sans aucun doute. Mais qu’on les transforme en héros, nonobstant le chagrin et le désespoir des proches, bien compréhensible, il y a un pas que je ne peux pas effectuer, un Rubicon que je ne veux pas franchir. La mort violente et injuste qu’ont subit ces journalistes, peut justifier sous le coup de l’émotion une idéalisation, surtout par les proches comme la très émouvante Jeannette Boughrab, qui parle de Panthéon (pour ma part je préfère les pensionnaires du Père Lachaise), mais l’hagiographie générale de tout ceux qui hier encore se satisfaisaient (ou au mieux étaient indifférents) de la disparition du journal semble témoigner d’une hypocrisie qui malheureusement est très classique. « Il est toujours joli le temps passé, une fois qu’ils ont cassé leur pipe » clamait Brassens il y a déjà un demi-siècle. Alors s’il vous plait, pour introduire un peu de décence dans ce drame dont l’horreur se suffit à elle même, messieurs les nouveaux dévots, pourriez-vous, pour une fois, fermer vos gueules ?

    Olivier Perceval

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?A-tous-les-devots-du-Siecle-Vos

  • Les islamistes tuent 2000 personnes et rasent 16 villages

    Cela se passe au Nigéria :

    "Le groupe islamiste Boko Haram a mené mercredi un nouveau raid meurtrier dans le nord-est du Nigeria, détruisant 16 localités des rives du Lac Tchad, a-t-on appris jeudi, jour où le président nigérian Goodluck Jonathan tenait son premier meeting électoral. 

    La ville stratégique de Baga, dont les islamistes avaient déjà pris le contrôle le weekend dernier, fait partie des localités rasées mercredi.

    Selon AP, Boko Haram pourrait avoir tué plus de 2.000 personnes. Amnesty International a évoqué vendredi le "pire massacre" jamais perpétré par le groupe extrémiste.

    20.000 déplacés 

    Un dirigeant local affirme que les victimes sont principalement des femmes, des enfants et des personnes âgées qui n’ont pas réussi à s’enfuir quand les islamistes ont attaqué Baga avec des armes automatiques et des grenades propulsées par fusées".

    Le Salon Beige

  • Chahdortt Djavann : « Le choc des civilisations n’aura pas lieu. La nôtre va se coucher.»

    Chahdortt Djavann est un auteur d’origine iranienne . Elle se bat contre l’islam et contre le port du voile depuis des années. Réactions après la lecture du roman de Houellebecq, Soumission.

    « Son antihéros typique, décadent, dépressif, modèle de lâcheté, d’indifférence et de résignation, symbolise la France elle-même, qui se soumet sans résistance à l’islam politique. En 2022, la France tout entière est une pute qui se vend aux pétrodollars islamiques.

    (…) Nul ne résiste aux pétrodollars des monarchies du Golfe. La collaboration coule comme un long fleuve tranquille. La résistance française est un mythe. La corruption, l’arrivisme, la lâcheté et la collaboration font de la France un pays totalement halal. »

    « Les pages [du roman] sur l’islamisation de l’éducation nationale, et notamment de la Sorbonne, m’ont rappelé ce que j’avais écrit sur l’islamisation du système d’éducation et des universités en Iran.

    Au fait, qu’advient-il de la loi sur le mariage des homosexuels dans la France islamique? L’auteur a oublié de se poser la question. »

    « Trêve de plaisanterie, Houellebecq démonte la thèse de Huntington : le choc des civilisations n’aura pas lieu. La nôtre va se coucher. »

    Lire plus : Figaro - Merci à Stormisbrewing

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    Quelques déclarations passées de Chahdortt Djavann

    « Burka ou foulard coloré, la signification est la même. Parler de foulard, de bandeau n’est qu’une lâcheté sémantique, c’est une misérable ruse rhétorique. Porter le foulard, ici, est un appui aux dictatures islamistes qui imposent la burka là-bas. Le voile est l’emblème même du dogme islamiste. 

    « En voilant une fille, on lui inculque son infériorité, la culpabilité de sa sexualité. La France doit reconnaître le port du voile pour les mineures comme une maltraitance. Les parents et tous les adultes qui incitent les filles à le porter doivent être sanctionnés. »
    « Si les hommes adorent tant le voile, ils n’ont qu’à le porter eux-mêmes. »

    « Où sont ces intellectuels de salon complices de la barbarie islamique quand, en France, on force des fillettes à se murer dans une prison portative ? »

    « Voiler les femmes, c’est diffuser la vision du monde islamiste »

    « Comment croire qu’une religion née il y a mille quatre cents ans en Arabie, et dont toute l’architecture repose sur le caractère immuable des lois qui la constituent, puisse être une religion progressiste ? Quant à savoir si les dogmes islamiques sont compatibles avec la démocratie : la réponse est non !  »

    Cette idéologie, pire que celle du communisme ou du nazisme, a des ambitions mondiales et veut implanter le drapeau de l’islam politique dans le monde

    Source

    http://www.fdesouche.com/551741-chahdortt-djavann-choc-civilisations-naura-pas-lieu-notre-va-se-coucher

  • Le réveil des Français

    Bien sûr que « Le Gaulois » ne partage pas les mêmes opinions que « Charlie Hebdo » sur un certain nombre de sujets… sur beaucoup, pourrait-on même dire.

    Il n’empêche que, après l’attentat islamiste d’aujourd’hui, « Le Gaulois » apporte son soutien sans réserve à l’hebdomadaire satirique.

    Par-delà les divergences de points de vue, c’est le combat anti-islamiste qui doit en effet primer. À tous les niveaux.

    Christine Tasin l’a dit et redit : « L’islam est une saloperie ! ». Pour ses propos, après jugement, elle a été relaxée par la Cour d’Appel de Besançon. Alors, n’hésitons pas à répéter sans cesse cette vérité non condamnable. 

    Les médias auront beau se faire l’échos de l’imam de Drancy venu sur les lieux de l’attentat pour nous expliquer que celui-ci n’a rien à voir avec l’islam, les Français ouvrent enfin les yeux. Il suffit de lire ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux et d’entendre ce que disent les gens dans la rue concernant leur refus de l’immigration/islamisation.

    De ce point de vue, les « pseudo-politiques » de Hollande à Sarkozy vont-ils continuer encore longtemps de tergiverser lâchement à force de ne pas vouloir « stigmatiser » et de « ne pas faire d’amalgame » ?...

    La Mairie socialiste de Paris fêtera-t-elle toujours le ramadan tout en parlant de laïcité ?...

     Les enfants des écoles devront-ils être obligés de manger « halal » pour ne pas vexer les musulmans ?...

    Tolérerons-nous encore les plaintes contre les crèches et les sapins de Noël ?... alors que ces mêmes musulmans ne rechignent pas à recevoir la « prime de Noël » ?...

    Les morts et les blessés d’aujourd’hui seront-ils vengés ?...

    Alors oui, les Français en ont marre ! Ils sont excédés de tant de veulerie devant une religion qui n’a rien à voir avec notre identité, avec nos racines et que certains essaient de nous imposer par le chantage, la culpabilisation et l’attentat.

    Gageons que les élections départementales et régionales de cette année montreront le réveil des Français.

    Marc NOÉ http://www.francepresseinfos.com/2015/01/le-reveil-des-francais-par-marc-noe.html

  • En finir avec l’islam modéré – par Marc NOÉ

    Les Forces de Police et de Gendarmerie ont abattu les djihadistes. Tant mieux et bravo ! Trois de moins ! Après tout, deux de ces ennemis voulaient tuer un journal et ils sont morts dans une imprimerie. Le troisième voulait tuer des Juifs et il est mort dans un magasin casher !... En plus des armes de guerre, avaient-ils aussi le sens de l’humour ?...¢

    Toutefois, lorsqu’on songe que, pour une population donnée, l’Histoire montre qu’il faut envisager de 2 à 5% de guerriers, ce sont donc l’existence de 10 à 25 000 djihadistes et soutiens potentiels qu’il faut supposer sur notre Sol. Pour s’en convaincre, il suffit de considérer la réaction de beaucoup d’élèves musulmans dans les établissements scolaires, à la suite de l’attentat contre « Charlie Hebdo » (propos d’un professeur du 95 interrogé par J.J. Bourdin sur RMC).

    Au cours de l’interview, après que Bourdin eut vainement essayé de minimiser les propos des élèves, l'enseignant lui répond sans ambages : « Ils ont du mal à ne pas le justifier (l’attentat). Je dois admettre que, dans nos établissements, la laïcité, elle n'existe plus. Nous avons une jeunesse en perdition. On a une jeunesse qui parfois ressent une certaine haine envers la France. Ils n'admettent pas, ne se reconnaissent pas dans ses valeurs, notamment la liberté d'expression. Malheureusement dans certaines de mes classes ce n'est pas minoritaire », tout en ajoutant clairement que « les élèves en question sont d’origine extra-européenne ».

    Bourdin aura beau tortiller des fesses sur sa chaise, le professeur sait de quoi il parle.

    Mais naturellement, les pleutres des médias et de la politique continuent de nous servir leur soupe en rabâchant que l’islamisation n’est pas liée à l’immigration… Que les djihadistes n’ont rien à voir avec l’islam et que, de toute façon, ils sont minoritaires… Que la majorité des musulmans sont des modérés. Invités sur les plateaux TV par des rédactions serviles, de « savants » imams « modérés » viennent même nous expliquer que le djihad « n’est pas l’islam » car celui-ci est une « religion d’amour »… bla-bla-bla… des sornettes qui ne convainquent plus personne !

    Alors, de qui se moque-t-on !

    Il faut donc en finir avec cette fadaise de l’islam modéré. Dans l’islam, comme dans toutes les communautés, il y a des guerriers et des gens qui ne le sont pas. Et les guerriers sont toujours les moins nombreux. N’importe quelle tribu d’Afrique le sait parfaitement bien.

    Les djihadistes sont les guerriers de l’islam qui, dans la terminologie musulmane, est une véritable nation appelée l’oumma. On est dedans ou en dehors. Si on est en dehors, on est un mécréant, tout juste bon à payer l’impôt religieux ou à crever sous la lame. Venir affirmer que l’islamisation n’a aucun rapport avec l’immigration musulmane est donc d’une bêtise et d’une lâcheté sans nom. L’islam n’est pas né par génération spontanée en Europe.

    Quant à l’islam modéré, là aussi il y aurait de quoi rire si les évènements répétés que nous connaissons tous ne venaient infirmer cette ânerie.

    Là encore, l’Histoire le montre de manière évidente : bon gré mal gré, les musulmans dits « modérés » ont toujours basculé du côté de leurs guerriers.

    À cet égard, le président du gouvernement provisoire kabyle, actuellement en exil à Paris, Ferhat Mehenni, résume parfaitement la situation :

    « L’islam c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. »  Et lui aussi sait très bien de quoi il parle.

    D’ailleurs :

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des menus halal dans les cantines scolaires, dans nombre d’entreprises, dans les prisons ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui demandent le retrait des arbres et des crèches de Noël, au mépris de toutes nos Traditions ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui ont refusé à maintes reprises d’aller se battre contre leurs « frères » alors qu’ils ont signé des contrats d’engagement dans l’Armée Française ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui réclament des rations halal dans les Corps de Troupes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui exigent des heures de fréquentations particulières et séparées pour les hommes et les femmes dans les piscines ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » et non des djihadistes qui agressent les personnels hospitaliers en exigeant que les femmes ne soient soignées que par des femmes ?...

    Ne sont-ce pas des musulmans « modérés » qui veulent faire autoriser le port du voile en France ?...

    Chaque lecteur pourrait ainsi poursuivre cette liste à ma place car je ne fais que citer des faits connus de tout un chacun.

    Au fait, avez-vous déjà entendu un imam protester contre ces revendications par respect de la laïcité ? Bien sûr que non. « Y faut pas prendre les enfants de mahomet pour des connards sauvages ! »

    Et puis, une idée toute bête… Faites donc enterrer les corps des djihadistes dans des peaux de cochons. C’est ce que faisait l’armée britannique dans certaines régions de son empire pour frapper l’esprit des rebelles. Vous verrez bien alors la réaction des « modérés » et si le djihad n’a rien à voir avec l’islam ! Il y a plein d’idées comme ça… Cherchez bien !

    Alors oui, il faut en finir avec ce mythe de l’islam modéré et ouvrir les yeux car les attentats et leur cortège de morts vont continuer tant que le mal ne sera pas éradiqué à sa source.

    La solution ?... Tout le monde ou presque la connait : c’est la remigration, le retour au pays… le RAP puisque beaucoup semblent aimer ça ! Alors qu’ils ne s’en privent pas… on veut bien même leur flécher le parcours… mais je doute que cela se fasse dans la joie et la bonne humeur ! Il vaut mieux le savoir à l’avance.

    Mais imaginez un peu les conséquences : au moins 1 million de logements libérés pour loger NOS plus démunis… des tas de chômeurs en moins… des milliards d’économies pour la Sécurité Sociale…  les prisons vidées de près de 80% de leurs prisonniers… les crimes et délits revenus à une fréquence plus « normale »… le calme et la sérénité restaurés dans maints établissements scolaires… plus de mosquées à financer par les collectivités locales… les existantes pouvant être récupérées et, la mode étant au recyclage, transformée en superette… la sécurité rétablie dans nos rues, même tard le soir… Plus de voitures brulées au Nouvel An… Comme avant, quoi ! Ce que ne connaissent malheureusement pas les jeunes de moins de 30 ans. Alors, faites-vous plaisir : continuez d’imaginer et faites-en profiter votre entourage !... Cela s’appelle de la liberté d’esprit.¢

    « Imagine all the people,

    Living life in peace… »

    John Lennon

    http://www.francepresseinfos.com/