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religion - Page 137

  • Les charlots du jour

    Exit les 17 victimes tuées par des fous d'Allah. François Hollande a affirmé que les musulmans sont dans le monde les "premières victimes du fanatisme, du fondamentalisme, de l'intolérance". Exit aussi les minorités chrétiennes persécutées dans tous les pays musulmans. François Hollande a ajouté que "l'Islam est une religon compatible avec la démocratie".

    De son côté, Jack Lang, président de l'Institut du monde arabe (IMA), a déclaré que l'islam est "une religion de paix et de lumière".

    Il faudra que ces charlots nous expliquent comment des livres ne prônant ni la paix, ni la lumière, ni les bisous pullulent au sein de l'Institut du monde arabe, comme le montre l'Observatoire de l'islamisation.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Les éditions Oxford University Press interdisent les mots « cochon « et saucisse » afin d’éviter de contrarier les musulmans

    L’Oxford University Press – OUP, plus grande maison d’édition pédagogique au monde avec 6.000 employés- a mis en garde ses auteurs pour qu’ils n’utilisent plus les mots porcs, saucisses ou expressions rattachées au cochon dans les livres pour enfants, afin d’éviter d’offenser les Musulmans et les Juifs.

    L’existence de ces directives est apparue après un débat radiophonique sur la liberté d’expression à la suite des attentats de Paris.

    Lors d’une émission sur Radio 4 le présentateur Jim Naughtie a déclaré: « J’ai ici une lettre qui a été envoyée par l’OUP à un auteur qui écrit pour les jeunes. » « Parmi les choses interdites dans le texte de l’OUP nous avons : porcs et saucisses ou toute autre chose qui pourrait être perçu comme en relation avec du porc. »
    “Franchement si un éditeur respectable, lié à une institution académique, dit « vous devez écrire un livre dans lequel vous ne pouvez  pas parler de porcs parce que certaines personnes pourraient être offensées » c’est ridicule. C’est une blague. “

     

    Ces règles de publication ont depuis lors été ridiculisées en mettant en doute que des musulmans ou des juifs puissent être offensées par la mention des animaux de la ferme dans un livre pour enfants.

    Le député Tory Philip Davies, a déclaré : « comment diable quelqu’un peut-il trouver le mot « cochon » ou le « porc » agressif ? » « Aucun mot n’est injurieux. C’est le contexte dans lequel il est utilisé qui est offensant. »

    Un porte-parole de l’OUP a répondu : « l’engagement des Oxford University Press à sa mission d’excellence académique et pédagogique est absolue. »
    « Nos documents sont vendus dans près de 200 pays et en cela, et sans compromettre notre engagement en quelque sorte, nous encourageons certains auteurs de matériel pédagogique à tenir compte des sensibilités et des différences culturelles. »

    Article traduit de l’anglais à partir de The Telegraph.

    http://fr.novopress.info/181098/les-editions-oxford-university-press-interdisent-les-mots-cochon-saucisse-afin-deviter-contrarier-les-musulmans/#more-181098

  • Verviers : la police affirme avoir évité « un Charlie Hebdo à la belge »

    Opération anti-terroriste en Belgique: trois morts, le pays relève son niveau d’alerte « pour les policiers »…

    http://www.contre-info.com/

  • Face au faux argument des "apatrides" : Retirer la citoyenneté aux gens qui nous combattent

     

    Parmi les rares écrits sauvables de Sigmund Freud, son introduction à la psychanalyse pourrait être relue à frais nouveaux, en particulier dans la définition qu'il donne de l'hystérique : c'est une personne qui souffre de réminiscences. Sa paralysie mentale découle de ce poids terrifiant d'un passé fantasmé. Les rédacteurs de la Bible en ont fait la légende de la femme de Loth, laquelle "regarda en arrière, et devint une statue de sel." (1)⇓

    La terrible connotation du mot apatride semble ainsi interdire de réfléchir au problème, radicalement nouveau pourtant, que posent à nos sociétés les volontaires pour la prétendue "guerre sainte" que mènent les fous et les criminels ralliés au Néo-Califat s'intitulant "État islamique".

    Le danger qu'ils nous posent amène bien légitimement au désir, c'est bien là le moindre mal que l'on puisse leur souhaiter, de leur retirer les citoyennetés dont ils se sont volontairement retirés. Ces gens brûlent eux-mêmes leurs passeports français.

    Or, paralysés par la peur de ressembler aux régimes totalitaires du passé, jeune-turc de 1915, bolchevik ou – pire encore du point de vue "mémoriel" – nazi, nous acceptons de baisser les bras.

    En réalité, si nous acceptions de regarder l'Histoire, en face, nous pourrions convenir que ni les Arméniens de l'empire ottoman finissant, ni les Russes blancs, mencheviks et autres prétendus koulaks, ni les Juifs, qui, tous, ont été déchus de leurs citoyennetés respectives contre leur gré ne peuvent être comparés à ceux et celles que nous appelons par commodité "djihadistes" et qui sont partis de leur propre chef.

    Les conformistes acceptent donc de proférer une ânerie quand ils répètent à l'envi qu'il "n'est pas question de créer des apatrides", que ce serait contraire aux principes [récents] de la France éternelle car "la convention de New York de 1954 interdit de rendre une personne apatride". (2)⇓

    La proclamation en juin 2014 d'un État islamique affirmant sa prétention d'exercer un Califat mondial, excusez le pléonasme, nous offre à cet égard une occasion de clarifier les choses.

    Celui qui se rallie à une telle doctrine reconnaît en effet que sa "nationalité", – au sens que la réglementation française accorde à ce mot toujours confondu avec la "citoyenneté", – c'est désormais la communauté des croyants, la Oumma qui englobe tout. (3)⇓

    Dans la rédaction actuelle du code civil, la déchéance de la nationalité est prévue par l'article 25. La dernière rédaction remonte à 1998.  En retrait par rapport aux versions antérieures, au gré de modifications incessantes, on ne saurait dire qu'elle ait été donnée par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï.

    Citons-la tout de même : "L'individu qui a acquis la qualité de Français peut, par décret pris après avis conforme du Conseil d'État, être déchu de la nationalité française, sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride : 1° S'il est condamné pour un acte qualifié de crime ou délit constituant une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou pour un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme ; 2° S'il est condamné pour un acte qualifié de crime ou délit prévu et réprimé par le chapitre II du titre III [atteintes à l'autorité de l'État] du livre IV [crimes et délits contre la nation l'État et la paix publique] du code pénal ; 3° S'il est condamné pour s'être soustrait aux obligations résultant pour lui du code du service national ; 4° S'il s'est livré au profit d'un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France."

    Autrement dit, il existe dès maintenant quatre motifs de déchéance de nationalité : le terrorisme, l’espionnage, la haute trahison et l’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation au profit d’un État étranger.

    La restriction "sauf si la déchéance a pour résultat de le rendre apatride" ne saurait s'appliquer aux gens qui, par définition, se rallient à la Oumma islamiste et à sa supposée "guerre sainte" – dirigée contre nous. Quand ils ne sont pas déjà bi-nationaux, en droit comme en fait, on doit considérer qu'ils ont acquis de ce fait la citoyenneté correspondant au camp dans lequel ils combattent.

    La procédure actuelle passe par un décret du ministère de l’Intérieur, après avis du Conseil d’État. On doit donc concevoir une doctrine-cadre fixée une fois pour toutes en relation avec la haute juridiction administrative, et des décrets subséquents du ministère de l'Intérieur constatant tout simplement cette réalité.

    On compte depuis les années 70, les statistiques du ministère de l’Intérieur recensent 21 cas, toujours à la suite d’une condamnation pour terrorisme. La guerre dans laquelle l'agression du terrorisme islamique nous a plongés portera sans doute sur des quantités bien plus considérables sans que les principes juridiques soient sensiblement modifiés. Ils seront appliqués avec la rigueur plus ferme qu'imposent les circonstances et le salut du pays.

    La Grande Bretagne est d'ores et déjà entrée dans cette voie.

    Les Romains nous l'ont appris : salus patriae suprema lex esto. La loi suprême est le salut de la patrie.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1.  Genèse 19,26
    2.  lu dans Libération, testé par de grandes marques 
    3.  sur tous ces sujets on lira avec profit les deux petits livres de Henri Lammens récemment publiés aux Éditions du Trident.
  • Opération antidjihadiste en Belgique : 2 morts à Verviers, des actions en cours à Bruxelles, Schaerbeek, Molenbeek, Zaventem, Vilvorde

    Belgique – Deux ou trois personnes ont été tuées à Verviers (Liège) dans une opération de la police contre le terrorisme djihadiste. L’action fait partie d’une opération anti-terroriste majeure contre des djihadistes revenus de Syrie.

    Une dizaine de raids policiers seraient en cours depuis le début de la soirée.  Le procureur fédéral affirme que les suspects abattus à Verviers préparaient une importante attaque en Belgique.

    « Lors d’une perquisition de Verviers, des suspects ont immédiatement ouvert le feu avec des armes automatiques et des armes de guerre avant qu’ils ne puissent être neutralisés», a déclaré le procureur. « Ils s’apprêtaient à commettre une attaque terroriste majeure en Belgique. »

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  • États-Unis : une victoire de la liberté pour les patrons pro-vie

    Nos lecteurs se souviennent certainement de l’affaire Hobby Lobby. Cette chaîne d’une centaine de magasins de loisirs, avait refusé de prendre en charge pour ses employées la cotisation pour les abortifs, les pilules, les avortements ; ceci dans le cadre de la mutuelle santé à laquelle souscrivait ce commerce. Rappelons qu’aux États-Unis les Américains ont l’obligation de s’assurer auprès de compagnies privées : l’équivalent de la Sécurité Sociale n’existe pas sauf pour les pauvres et indigents. Bref, Hobby Lobby avait délibérément choisi de ne pas souscrire à cette clause rendue obligatoire par l’Obamacare, le système de soins inauguré par le Président de l’Amérique.

    Les dirigeants de Hobby Lobby, obligés de payer cette part de cotisations se portèrent en Justice. Après de longues péripéties judiciaires, la Cour Suprême leur a donné raison. Victoire importante dans la mesure où par exemple toutes les institutions religieuses étaient obligées de cotiser de même selon le diktat d’Obama. Lequel ne s’est pas incliné pour autant. Il a commencé une sorte de triste guéguerre notamment dans les États où le parti démocrate était majoritaire. Dans un certain nombre de cas, des entreprises se sont retrouvées à la case départ.

    Cela a été le cas de la compagnie Autocalm dirigée par le catholique John Kennedy dans le Michigan. « Je ne peux pas me conformer à une décision allant contre ma conscience ». Ce catholique s’est adressé à un juge fédéral (c’est-à-dire au niveau de la fédération ses États Américains). Celui-ci lui a donné raison confortant la décision de la Cour Suprême.

    Bien sûr les tenants de la liberté religieuse exultent en saluant cette victoire contre le totalitarisme anti-chrétien d’Obama. Celle-ci est aussi un soulagement pour des milliers d’entreprises redevables de millions de dollars en amendes ou en rappels de cotisation. Mais c’est surtout une grande victoire pour le droit à la liberté de conscience reconnue par la déclaration des Droits de l’homme sur le plan international.

    Un tel droit n’existe plus en France dans la mesure où nous sommes tous obligés nolens volens, que cela nous plaise ou non, de payer la Sécurité Sociale qui rembourse l’avortement.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/etats-unis-une-victoire-de-la-liberte-pour-les-patrons-pro-vie/22334

  • Témoignage d’un prof du 95 qui laisse J.J.Bourdin sans voix !

     

     
     
     
     
  • Entretien avec Marion Maréchal-Le Pen : “Guerre de civilisation” (Présent 8273)

    Avez-vous acheté Charlie Hebdo mercredi ?

    — Non, je ne l’ai pas acheté. Je suis horrifiée par ce qui s’est passé, j’ai rendu hommage aux victimes — à toutes les victimes —, j’ai défendu la liberté d’expression même si le blasphème n’est pas ma tasse de thé. Je n’ai jamais acheté Charlie Hebdo, je ne me sens pas obligée de défendre sa ligne éditoriale et je n’aime pas le dévoiement qui est fait du slogan « Je suis Charlie », qui sonne maintenant comme un mot d’ordre. Drôle d’ambiance : ceux qui n’achètent pas Charlie Hebdo seraient-ils complices de l’attentat ?

    Mardi les députés ont chanté la Marseillaise. Etait-ce comme lorsqu’on chante dans l’obscurité – pour se rassurer ?

    Entretien avec Marion Maréchal-Le Pen : "Guerre de civilisation" (Présent 8272)— Je ne sais pas exactement qui l’a entonnée. J’ai l’impression qu’elle venait du public de l’Assemblée, certains disent que c’est un député UDI. En tout cas, ça n’était pas programmé. Il y a eu pendant quelques minutes un vrai moment d’union nationale, loin des slogans d’unité déversés les jours précédents. Ce qui a suivi m’inquiète, par contre. Manuel Valls a été ovationné par tous les bancs de l’Assemblée, mais efface-t-on en un discours trente ans de choix politiques qui nous ont conduits à la situation qu’on connaît ? Marine Le Pen a eu un mot très juste : l’unité nationale ne doit pas devenir le garde-à-vous national. Ne pas applaudir Manuel Valls ne fait pas de nous des citoyens indignes.

     

    Le discours de Manuel Valls ne vous a pas convaincue ?

    — Manuel Valls parle d’augmenter les effectifs des militaires, d’isoler les djihadistes… Encore faudrait-il que cela soit possible dans des prisons surpeuplées où les téléphones leur donnent accès à internet et leur permettent de se radicaliser à loisir ! Les problèmes de fond ne sont pas posés. Il y a d’abord la progression du fondamentalisme islamique. Il est financé par des filières, on sait que les mosquées réparties sur tout notre territoire sont financées par des pays étrangers comme le Qatar et l’Arabie Saoudite dont l’idéologie est celle du fondamentalisme. Les imams qui prêchent dans nos banlieues sont payés par eux également. Il y a ensuite l’immigration incontrôlée : les terroristes étaient français, en dépit de leur totale inassimilation. Dernier problème enfin : la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux. Des armes de guerre circulent librement en Europe. Ce n’est pas aux services de renseignements de faire le travail des douaniers.

    — Les socialistes se voilent la face ?

    — Claude Bartolone aussi a fait un discours, très révélateur. Il ne prononce jamais le mot France, il ne dit que République. Lorsque Mohamed Merah ou lorsque les frères Kouachi tuent des policiers ou des militaires en uniforme, ils attaquent l’Etat français et ceux qu’ils appellent des apostats : les musulmans qui portent l’uniforme français, donc de mauvais musulmans. L’objectif est de terroriser les musulmans intégrés. Ni Valls ni Bartolone ne veulent admettre qu’on est entré dans une guerre de civilisation. Les terroristes n’attaquent pas la République, ils attaquent la France dans tout ce qu’elle a de judéo-chrétien et qu’ils exècrent.

    Propos recueillis par Samuel Martin

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  • 80% des actions terroristes sur la planète sont commises au nom de Mahomet

    Le père Samir Khalil Samir, jésuite né en Egypte, qui a vécu au Liban, professeur à l'Université Saint Joseph de Beyrouth et à l'Institut Pontifical Oriental de Rome, réputé être un des plus grands islamologues vivants, déclare (traduction par Benoît-et-moi) :

    «Les imams affirment qu'il ne faut pas confondre les terroristes avec l'islam, qui est au contraire une religion prêchant la paix et la non violence. C'est trop facile ainsi, c'est trop peu». «On ne peut pas s'excuser de cette façon là, et tant qu'on entendra de la part des savants musulmans toujours le même refrain, rien ne changera». «Les imams devraient, pour commencer prendre leurs distances de ceux qui entrent les armes à la main dans une rédaction de journal, affirmant que ceux-là sont des terroristes qui entendent reconquérir le monde à l'islam. En revanche ils ne le font pas, ils ne prennent pas acte du fait qu'au moins 80 pour cent des actions terroristes sur la planète sont commises au nom du Prophète».

    Le problème fondamentale est que

    «dans le Coran, la violence existe, à la différence de l'Evangile. Lorsque le musulmans envahissent la Terre Sainte ils passent les infidèles au fil de l'épée». 

    C'est là que doit commencer le travail des imams, appelés à

    «expliquer qu'une chose est le texte écrit que personne ne veut toucher, une autre est l'interprétation de ces phrases. Si nous prenons l'Ancien Testament, il contient des passages d'une violence inouïe». «En 2000 ans l'Eglise a su enseigner l'interprétation des Ecritures, sans cela nous serions encore à prendre à la lettre les versets sur le Dieu des armées et les enfants jetés sur les rochers. Toutes les civilisations on connu ce stade, et l'ont dépassé. L'islam non».

    «Ce qu'il faudrait de la part des communautés islamiques c'est une saine autocritique, mais ils ne le font pas, ils se taisent si un acte contre les autres est commis au nom de l'islam. Il est inutile alors d'affirmer qu'ils se sentent opprimés et inférieurs. C'est vrai en partie, mais que font-ils afin de changer cette condition ? Rien. Ce n'est pas l'occident qui les a mis dans cette situation, ils s'y sont mis eux-mêmes, ruinant également la réputation des musulmans qui ne désirent que de vivre en paix avec tous». 

    «On ne peut pas accepter que ceux qui viennent en occident veuillent imposer leur propre système de règles. L'intégration suppose l'acceptation de la culture des populations d'accueil, l'adoption des habitudes de ce peuple, même si elles sont différentes des siennes. Ce n'est qu'ainsi que ces gens seront prêts à accueillir et à aider. La confrontation ne sert à rien, le vrai dialogue suppose la disponibilité tant à l'écoute qu'à l'adéquation à l'autre».

    «Trop nombreux sont ceux qui ont commis des actes de terrorismes au nom du dieu islamique et l'image que l'islam donne de lui-même est très négative. Il se présente comme une religion belliqueuse, agressive, arriérée. La seule solution est qu'ils admettent que quelque chose est faux dans leur façon d'agir. Mais c'est à eux de le faire».

    «La bombe dans le turban de Mahomet? Quel mal y a-t-il?» «A l'époque, mes interlocuteurs musulmans disaient que c'était inacceptable. Et pourtant ils représentent Allah avec l'épée.Hezbollah l'écrit même comme s'il s'agissait d'une kalashnikov,et ceux qui ne savent pas lire l'arabe croient que ce nom désigne précisément l'arme».

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html