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Terres de mission n°46 : Etre chrétien au Pakistan
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Syrie : Attaques, enlèvements, églises brûlées… Le cauchemar des chrétiens du Khabour
Ces dernières années, les chrétiens de Syrie ont été victimes d’exactions de la part de l’État islamique. Attaques, enlèvements, églises brûlées…
Dans la vallée du Khabour, au nord-est du pays, des villages entiers ont été rayés de la carte. Pourtant, malgré la menace islamiste, certains chrétiens d’Orient refusent d’imaginer l’exil.D’autres, déplacés dans les pays voisins ou qui ont émigré en Europe ou aux États-Unis, envisagent même de revenir sur leur terre natale.
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Comment les Lumières ont-elles transformé l'islam ?
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En France, les musulmans refusent que l’Etat donne un cadre normatif à l’abattage halal
Vendredi dernier, l’AFNOR, Agence Française des Normes, a publié un guide de bonnes pratiques relatives à l’abattage rituel musulman. Ce texte fait suite à plusieurs mois de collaboration avec les principales instances représentatives de l’islam en France, et en particulier le Conseil Français du Culte Musulman.
Mais ce dernier, qui n’a jamais clairement annoncé son retrait des travaux, conteste aujourd’hui ce qu’il dénonce comme une ingérence de l’Etat dans les affaires du culte.
Derrière un énième débat sur l’interprétation de la laïcité se dissimule, en fait un marché juteux : l’abattage halal rapporte en France près de 6 milliards d’euros chaque année, à des associations religieuses qui détiennent sur ce marché un monopole absolu.
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Université d'été catholique et identitaire
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Terres de mission #45
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Birmanie : et les crimes contre les Karens ?
"Selon les agences de presse, les attaques perpétrées en Birmanie à la fin du mois d'août par des rebelles de la minorité musulmane des Rohingyas ont été suivies d’une féroce répression par l’armée birmane.
Elle a entraîné un exode considérable de cette population vers le Bangladesh. Cela a suscité un grand émoi international et l’affaire a été portée devant le Conseil de sécurité de l’ONU en même temps que l’on dénonce partout l’inaction de la ministre birmane Aung San Suu Kyi à qui fut jadis décerné le prix Nobel de la paix.
Certes on ne saurait désapprouver les expressions de solidarité avec les malheureux Rohingyas et les condamnations des exactions perpétrées contre eux.
Cependant, cette juste réprobation ne peut que susciter simultanément beaucoup d’amertume parmi ceux qui, dans l’indifférence médiatique et sans écoute onusiaque, se sont soucié, pendant des dizaines d’années, des massacres exterminateurs perpétrés par l’armée birmane contre les Karens révoltés réclamant le respect de leur liberté et de leurs droits. Les Karens, il est vrai, sont animistes ou chrétiens.
Pire encore, au Vietnam ou au Laos, les peuples des Meos, animistes ou chrétiens également et refusant la dictature communiste ont été véritablement exterminés dans l’indifférence générale des nations de l’ONU ; exemple encore du racisme génocidaire le plus absolu pratiqué sous le couvert de l’ordre révolutionnaire marxiste-léniniste établi par un Hô-Chi-Minh, immense coupable de crimes contre l’humanité.
La dénonciation des violations birmanes des droits de l’homme contre les Rohingyas devrait donc pour le moins être accompagnée des regrets pour les crimes perpétrés contre les Karens et de l’appel à en finir avec le mémoricide du génocide des Méos perpétré par le communisme."
par Michel Janva
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/09/birmanie-et-les-crimes-contre-les-karens-.html
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Frère Rachid, fils d'un imâm marocain, converti, démonte l'islam.
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"La Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien"
Dans le dernier numéro de La Nef, Yves Daoudal évoque la Pologne (article en accès libre) :
"[...] On ne comprend rien à la Pologne si l’on ne prend pas la mesure du « fait religieux ». Et si l’on ne prend pas la mesure du patriotisme irrigué par la foi. La Pologne avait été un grand pays d’Europe, et elle avait disparu de la carte politique pendant plus d’un siècle. C’est le clergé qui était le mieux à même de maintenir la flamme polonaise. Et quand la Pologne ressuscita, notamment par les efforts du grand pianiste Paderewski (cela aussi, c’est polonais…) elle fut bientôt soumise au joug soviétique, et c’est encore le clergé qui maintint la flamme. Cela culmina avec la célébration du millénaire du baptême de la Pologne, en 1966. Le pouvoir communiste avait lui aussi organisé des célébrations, et tout tenté pour réduire celles de l’Église. Peine perdue. Au milieu des innombrables manifestations, il apparut de façon spectaculaire que la personne qui représentait véritablement la nation polonaise était le primat de Pologne, le cardinal Wyszynski. D’ailleurs on ne le désigna plus, à partir de ce moment-là, que sous le titre de « Primat du Millénaire ».
L’an 2016, c’était le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne : l’occasion de parfaire, en quelque sorte, la célébration de 1966, en montrant, cette fois, l’union catholique de la nation polonaise, comme une sorte de revanche de l’histoire, en hommage au primat du millénaire. Cela fut facilité par le fait qu’en octobre 2015 les élections législatives avaient porté au pouvoir le PiS, le parti Droit et Justice qui, au fil du temps, est devenu le grand parti de droite, absorbant la plupart des mouvements patriotes catholiques (il ne reste que Droite de la République, de Marek Jurek, mais qui est électoralement associé au PiS). Élections qui, d’autre part, voyaient la disparition complète des députés de gauche… La seule grande formation d’opposition est la Plate-forme civique (PO), parti libéral qui, chez nous, serait qualifié de droite. Parti dont le chef était Donald Tusk, aujourd’hui président du Conseil européen...
Du 14 au 16 avril 2016, la présidence, le gouvernement et l’Église ont ainsi organisé conjointement trois jours de célébrations. Au programme, une assemblée plénière de l’épiscopat polonais, une grand-messe solennelle dans la cathédrale de Gniezno, lieu du baptême du roi Mieszko, premier évêché de Pologne et toujours siège primatial, et à Poznan, la ville la plus proche, une session extraordinaire du Parlement polonais, avec le gouvernement, un légat apostolique, le nonce apostolique, le primat et les évêques, de nombreux prêtres, des représentants de Parlements étrangers, des ambassadeurs…
Le président de la République, Andrzej Duda, prononça un discours qui, chez nous, serait tout simplement impensable. En voici les premiers mots :
« Le baptême de Mieszko Ier est l'événement le plus important de toute l'histoire de l'État polonais et de la nation polonaise. Je ne dis pas : ce fut, je dis : c’est, car la décision prise par notre premier souverain historique a prédéterminé tout l'avenir de notre pays. Notre héritage chrétien continue de façonner les destinées de la Pologne et de chacun d'entre nous, nous le peuple polonais, jusqu'à ce jour. C’est ce que saint Jean-Paul II avait en tête quand il a observé : “Sans le Christ, on ne peut pas comprendre l'histoire de la Pologne.” »
Il rappelait ensuite longuement les célébrations du millénaire et le rôle joué par le cardinal Wyszynski, puis il détaillait « les trois piliers de la civilisation chrétienne » : la philosophie grecque, le droit romain, le noyau de la pensée chrétienne : le Décalogue et l’Évangile, qui sont « devenus les piliers de l’identité et de la culture polonaises ». Ayant évoqué les épreuves que la Pologne a connues au cours des siècles, et les dernières d’entre elles, le nazisme puis le communisme, ainsi que les défis de notre temps, il concluait, après une citation de Jean-Paul II :
« Voilà pourquoi, pour rendre hommage à nos prédécesseurs prévoyants d'il y a 1050 ans, je voudrais dire catégoriquement aujourd'hui que, conformément aux instructions de notre grand compatriote, la Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien. Car c’est dans cet héritage que nous avons une base solide et éprouvée pour l'avenir. »
[...] Le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne eut comme point d’orgue le 19 novembre l’« acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur », au sanctuaire de la Divine Miséricorde, près de Cracovie, par les évêques, le président de la République et des membres du gouvernement et du Parlement, en présence de dizaines de milliers de personnes, au cours d’une grand-messe. [...] Dans une lettre pastorale, les évêques ont expliqué qu’« il n’est pas nécessaire d’introniser le Christ au sens de le placer sur un trône et de lui donner le pouvoir ou de le proclamer. En effet, Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs pour toujours ». Cependant, aujourd’hui « nous assistons à une tendance croissante de laisser Dieu en marge de la vie, ou même de s’éloigner de Dieu », ce qui Le prive du culte qui Lui est dû. Par conséquent « il est urgent d’introniser le Christ dans le cœur des fidèles, en ranimant la foi vivante et la vie de foi ». Dans son homélie, le cardinal Dziwisz, archevêque de Cracovie (et ancien secrétaire de Jean-Paul II), a déclaré : « Nous invitons Jésus dans nos cœurs, nos familles, nos communautés, notre environnement, et dans tout ce qui constitue la Pologne. » Ajoutant que personne ne devrait avoir peur de proclamer cela. Et Mgr Czaja, le président des comités pour l’intronisation, a ajouté : « Il est nécessaire de respecter clairement la loi de Dieu, afin que la loi de l'homme ne prime pas sur elle. » Les évêques proclamèrent l’Acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur, acte qui dès le lendemain, dimanche, fut également proclamé dans toutes les paroisses du pays. [...]"
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DANS L’INTÉRÊT DES ENFANTS MUSULMANS : POUR UNE REMIGRATION HUMANITAIRE !
Le tribunal administratif de Dijon a pris une décision de principe d’une grande importance. Il entend imposer à la mairie de Chalon-sur-Saône l’offre de repas alternatifs aux menus traditionnels avec du porc.
Par conformisme politiquement correct et soumission à l’islam et aux règles alimentaires de l’Arabie chamelière du VIIe siècle, les magistrats administratifs ont balayé d’un trait de plume le principe constitutionnel de laïcité.
S’appuyant sur la Convention internationale des droits de l’enfant, ils ont estimé que « l’intérêt supérieur de l’enfant » exigeait qu’ils puissent accéder à des menus conformes à la religion et à la culture musulmanes. On saluera l’audace jurisprudentielle : ce n’est pas l’homme abstrait des droits de l’homme qu’on défend ainsi, c’est l’enfant situé dans sa communauté d’origine. Dans son hérédité, dans son héritage.
L’intérêt supérieur de l’enfant musulman est ainsi défini comme devant pouvoir vivre dans un environnement de rites, de pratiques, de règles musulmanes. Acceptons cette logique et tirons-en toutes les conclusions.
Les » accommodements raisonnables » (ou… déraisonnables, c’est affaire de point de vue) des pays européens ne seront jamais suffisants pour répondre pleinement à « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman ».
En Europe, celui-ci reste exposé à des pratiques haram (illicites) : tenue des femmes, manque de « respect » (soumission) des non-musulmans à l’égard des musulmans, mixité dans les écoles, programmes scolaires, publicités pour des produits haram, sonneries des cloches d’église, croix, crucifix et saintes vierges, représentations de la figure humaine et de la figure divine. Tout ceci est incompatible avec « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman ».
Une conclusion s’impose : « l’intérêt supérieur de l’enfant musulman » implique qu’il puisse vivre dans un pays musulman. Et, pour cela, il faut bâtir le socle d’une remigration humanitaire. Merci aux magistrats de Dijon d’avoir, par leur créativité idéologique, permis de poser le problème.
http://www.bvoltaire.fr/linteret-enfants-musulmans-remigration-humanitaire/