religion - Page 56
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Reponse à Jean Robin, cathophobe radical HS#14
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La crèche de la mairie FN d'Hénin-Beaumont jugée illégale
Communiqué de la mairie d’Hénin-Beaumont :
« Condamnée pour avoir installé... une crèche de Noël »
La cour administrative d’appel de Douai vient d’interdire l’installation d’une crèche de Noël au sein de la mairie d’Hénin-Beaumont et de condamner la ville à verser 1.500 euros à un conseiller municipal communiste qui est à l’origine de cette plainte.
Cette décision scandaleuse viole toutes les traditions de notre pays et confirme la dérive des juridictions administratives qui interdisent les crèches de Noël l’hiver mais autorisent le burkini l’été.
Il est particulièrement inquiétant de voir la justice et certains élus avoir pour priorité la destruction de la magie de Noël plutôt que la lutte contre l’insécurité, l’immigration illégale et le chômage."
par Michel Janva
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Collusion anticatholique : Anne Hidalgo, Manuel Valls et les francs-maçons réunis pour honorer les Femen
La collusion entre les Femen et la franc-maçonnerie s’affiche au grand jour. Inna Shevchenko, figure majeure de proue des Femen, a reçu le «Grand Prix International» du très maçonnique Comité Laïcité République, présidé par l’ancien Grand Maître du GODF Patrick Kessel.
Le prix a été remis le 14 novembre 2017 dans le très officiel Grand Salon de l’Hôtel de Ville de Paris en présence de la maire PS Anne Hidalgo et des deux anciens ministres de l’Intérieur socialistes Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement.
Anne Hidalgo, dans son discours d’accueil, a qualifié Inna Shevchenko de «belle personnalité laïque qui défend les droits et l’émancipation des femmes».
Ceci signifie ni plus ni moins qu’un hommage de la franc-maçonnerie et des personnalités politiques socialistes présentes à l’antichristianisme abject des Femen qui s’est traduit pas différentes profanations accompagnées de violences.
Voilà ce que salue Anne Hidalgo, maire de Paris, au sein même de l’Hôtel de Ville !
C’est un véritable encouragement à la haine anti-catholique.
Quant au Grand Prix National du Comité Laïcité République, il a été décerné à Gilles Clavreul, préfet chargé d’une mission relative à la laïcité et au respect des règles de vie en société.
Enarque de gauche, chargé de mission au ministère de l’Intérieur pendant la présidence Sarkozy, puis nommé conseiller de François Hollande à l’Elysée, avant d’être désigné Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, il est proche de Manuel Valls et de Caroline Fourest et assume pleinement son militantisme laïc.
Gilles Clavreul est cofondateur du mouvement politique Printemps Républicain (défenseur de la laïcité et des valeurs républicaines)… qui organise une manifestation commune avec le Comité Laïcité République et la Licra, le 6 janvier 2018, en soutien à Charlie hebdo.
Il faut encore préciser que le Jury 2017 du Comité Laïcité République, présidé par Alexis Lacroix, directeur de la rédaction délégué de L’Express, a aussi rendu hommage:
– à Smaïn Laacher, professeur de sociologie à l’Université de Strasbourg et membre du Conseil scientifique de la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT)
– au Service De La Protection (de la Police nationale), qui assure la protection du chef de l’Etat et des ministres, ainsi que des personnes menacées (comme les journalistes de Charlie Hebdo).
– Jorgé Clavéro, ancien Grand Maître de la Grande Loge d’Argentine.
Jorge Clavero, alors Grand Maître de la Grande Loge d’Argentine
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Les Sentinelles de Bordeaux veillent toujours
Les Sentinelles de Bordeaux ont repris leur poste après l’interruption estivale, chaque vendredi entre 19h et 20h place Pey Berland, face à la mairie.
Des tracts sont mis à disposition autour de 2 thèmes (d’autres sont en préparation):
- la PMA sans père
- « l’éducation » sexuelle à l’école.
Ces tracts ne sont pas distribués à la volée. Ils comportent au verso un texte destiné à laisser aux passants, une trace de notre argumentation sur les thèmes concernés.
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WALLERAND DE SAINT-JUST : « IL N’Y A AUCUNE RAISON QU’EN 2017, LE CONTRIBUABLE FINANCE L’ISLAM »
Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, a évoqué dimanche l’idée d’« un concordat pour un islam républicain ».
Réaction au micro de Boulevard Voltaire de Wallerand de Saint-Just, président du groupe Front national au conseil régional d’Île-de-France.
Valérie Pécresse s’est déclarée aujourd’hui favorable à un concordat entre l’État et l’islam. Que vous inspire cette proposition ?
Je me demande si elle n’a pas fait une erreur par manque de culture politique. Les concordats, en France, sont antérieurs à la loi de 1905. Je ne vois pas du tout l’intérêt, à l’heure actuelle, de prévoir un concordat avec l’islam.
La loi de séparation des Églises et de l’État me paraît totalement suffisante aujourd’hui. Son application doit permettre de gouverner à peu près toutes les religions et leurs rapports avec la sphère publique et avec l’État. Ce doit être la même chose pour l’islam.Cela s’oppose-t-il à la loi de 1905 ?
Oui, et en plus cela me paraît inutile de signer un concordat.
Madame Pécresse dit, dans le reste de son entretien, que l’État devrait financer les lieux de culte de l’islam. Ce n’est pas du tout ce qu’il faut faire à l’heure actuelle. L’argent du contribuable ne doit certainement pas servir à financer les lieux de culte de l’islam.
Si la loi de 1905 a prévu des points particuliers, et notamment la propriété et l’entretien des lieux de culte existants avant 1905, cela tient à la spécificité française. La religion catholique, mais aussi (bien que dans une moindre mesure) les religions protestante et juive, était un des piliers traditionnels de la France et de ses racines. On comprend donc qu’elle ait pu être traitée comme cela.
Il n’y a aucune raison, en 2017, que le contribuable se mette à financer l’islam.
Avant, elle se trompait un peu, mais là, madame Pécresse fait à mon avis totalement fausse route.Est-ce une tentative de répondre aux problèmes de rue ?
Il ne doit pas y avoir de prières dans les rues.
C’est aux religions qui prennent de l’ampleur en France, comme l’islam aujourd’hui, de se débrouiller.
Par ailleurs, on n’est pas obligé de prier. Si on ne peut pas prier, on peut reporter sa prière au lendemain. Quand un catholique ne trouve pas, pour une raison ou pour une autre, une église pour aller à la messe le dimanche, il y va le lundi ou attend le dimanche suivant.
C’est simple.
Il n’y a aucune raison d’occuper ainsi l’espace public et de gêner de façon très importante les autres personnes qui ne se réclament pas de l’islam dans une ville comme Clichy.
Il n’y a pas de réponse à avoir à ces prières de rue. Il faut faire en sorte qu’elles n’existent pas.Wallerand de Saint-Just Trésorier du Front national. -
Manifestation contre une prière musulmane dans la rue : la presse dénonce... les élus
Entre Le Parisien et Le Lab c'est un festival :
A Clichy aujourd'hui, des élus ont manifesté et chanté la Marseillaise devant la prière de rue organisée par des musulmans. 3 conseillers régionaux d'Ile de France du FN se sont associés à cette manifestation menée notamment par Valérie Pécresse (LR) et Rémy Muzeau Maire de Clichy La Garenne.
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Sébastien Chenu (FN) reconnait l'héritage culturel de l'Eglise en France
Michel Janva
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Alain Wagner l'Europe face à l'islam
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Zoom - Annie Laurent : La spécialiste de l'Islam
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Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Mosquée de Paris, que craignait-il lorsqu'elle fut construite ?
Publié le 20 décembre 2016 - Actualisé le 1er novembre 2017
On sait que la décision de construire la Mosquée de Paris, première mosquée construite en France métropolitaine, fut prise après la Première Guerre mondiale pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts de confession musulmane ayant combattu pour la France. Et manifester aux survivants la reconnaissance de leur sacrifice par le pays.
Qu'en a dit Charles Maurras le 13 juillet 1926, lors de son inauguration ? Pas un mot contre l'idée même de rendre un hommage mérité, aux combattants musulmans de la Grande Guerre. A leur propos il parle des « nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ». Il n'y a pas chez Maurras de haine raciale. Ni de haine religieuse : il ne juge pas de l'Islam en soi. Mais il sait l'antagonisme des religions et des civilisations. Et sa culture historique autant que son jugement et son intuition politique l'amènent à pressentir et signaler un danger pour la France. Presque nul, alors. Présent et menaçant aujourd'hui sur notre sol même. Maurras ne dénonce pas l'hommage rendu aux combattants, ne critique même pas le fait de construire une mosquée à Paris. Avec mesure il écrit : « Nous venons de commettre le crime d’excès ». Son texte explicite en quoi consiste cet excès. Suit le pressentiment d'une menace : la crainte que nous ayons à payer un jour notre imprudence, en ce sens criminelle ; le souhait (Fasse le Ciel !) que les musulmans bénéficiaires de notre générosité « ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. » Et nous y sommes. LFAR
« Mais s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. »
Charles Maurras le 13 juillet 1926