religion - Page 57
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La violence tribale dans le Coran et les razzias de Muhammad
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Père de Blignières - La nature et la grâce
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Terres de mission n°48 : Rendez-nous l’école !
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L’énigme alawite
Georges Feltin-Tracol
Dans le monde arabo-musulman, le terme « alaouite » désigne l’actuelle dynastie royale marocaine en référence à son fondateur, descendant de Mahomet, venu sur la demande des tribus locales, d’où son titre de « Commandeur des croyants », ce qui lui permet de contenir les poussées islamistes.
Le mot mentionne ensuite une communauté ethno-religieuse surtout présente en Syrie et au Liban. Abdallah Naaman étudie ce groupe peu connu pour lequel il remplace les lettres o et u par un w : Les Alawites. Histoire mouvementée d’une communauté mystérieuse (Éditions Érick Bonnier, coll. « Encre d’Orient », 359 p., 20 €). L’ouvrage se compose de deux parties inégales. L’une revient longuement sur le déclenchement de la guerre civile syrienne. Démocrate et laïque, l’auteur récuse les supposés rebelles et vrais terroristes islamistes sans pour autant soutenir le gouvernement légitime du président Bachar al-Assad. Très critique envers Israël et l’Arabie Saoudite, il n’hésite pas à qualifier Nicolas Sarkozy de « burlesque », Laurent Fabius de « mouche du coche (p. 200) » et à dénoncer le philosophe botulien Bernard-Henri Lévy qu’il considère comme un « affabulateur (p. 201) » et un « malhonnête homme à la chemise blanche immaculée que d’aucuns traitent d’imposteur intellectuel de la nouvelle philosophie (p. 201) ». Cependant, hors de ces quelques vérités très incorrectes, l’autre partie s’attache à découvrir un peuple mystérieux.
Dissidence religieuse qui mêlent rites animistes, musulmans, chrétiens et zoroastriens d’où la célébration des fêtes de Noël et du Nouvel An solaire perse, les Alawites vivent surtout confinés dans les montagnes abruptes du littoral méditerranéen. Toujours méprisée et en conflit permanent avec leurs voisins chiites ismaéliens qui croient en sept imams à la différence des Iraniens, imamites, qui en vénèrent douze, la communauté alawite « longtemps tenue dans une dépendance étroite, sut conserver une vie religieuse, discrète, sinon active. Face à tous les conquérants, les Alawites sont restés immuablement attachés à leur sol, labourant leurs champs, cultivant leur tabac, leurs vignes et leurs oliviers, et gardant au fond d’eux-mêmes l’empreinte et les souvenirs des vieux cultes (p. 330) ».
Après 1918, la France, devenue puissance mandataire au Levant, tente un éphémère État alawite avant de le fondre dans un État syrien à majorité sunnite, soit les oppresseurs habituels. Les jeunes Alawites s’engagent alors en nombre dès cette époque dans l’armée ainsi que dans deux partis politiques rivaux qui proposent un projet laïque intégrateur : le Parti nationaliste social syrienfavorable à une Grande Syrie pré-arabe, et le Baas panarabe. Dans les années 1960, les militants baasistes s’emparent du pouvoir à Damas. Puis, après de féroces luttes intestines, en 1970, l’Alawite baasiste Hafez al-Assad devient l’homme fort de la Syrie. Ce baasiste qui a épousé une ancienne militante du Parti nationaliste social syrien donne aux Alawites la direction du pays tout en s’ouvrant aux autres minorités religieuses chrétiennes, druzes et chiites et en s’entendant avec une large partie de la population sunnite.
Les Alawites demeurent une énigme spirituelle, ethnologique et culturelle. Hostiles au prosélytisme, ils gardent secrète leur foi qui baigne dans un ésotérisme complexe mâtiné de croyances autour de la réincarnation de l’âme. Oscillant depuis des siècles entre certaines écoles sunnites modérées et des tendances chiites imamites, les Alawites souhaitent principalement se protéger des multiples menaces qui les entourent. Avec raison, car cette communauté très particulière incarne une part de cette diversité humaine que le monde ultra-moderne entend éradiquer. Voilà pourquoi il faut défendre les Alawites.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 46, diffusée sur Radio-Libertés, le 29 septembre 2017.
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L'islam dévoilé - conférence d'Odon Lafontaine (Olaf)
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Terres de Mission : Les guerres de religion. Tuer et mourir pour Dieu
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La religion musulmane pose de plus en plus de problèmes au travail
Encore marginal, il convient de le dire, les appartenances religieuses ne sont pas sans poser des problèmes dans les entreprises. Toute religion entraine des règles à suivre. Et donc les préceptes des religions entrainent parfois que les croyants soient obligés de ne pas suivre les directives de leur patron pour respecter leur religion.
Si depuis toujours on voit que des personnes refusent telles ou telles activités pour des raisons éthiques, l’arrivée de l’islam en France présente tout un nouveau type de contrainte.
On voit désormais des refus de travailler dans la même pièce qu’une femme, de pousser un chariot chargé d’alcool…
Ces « cas conflictuels » qui ne représentaient que 6,7 % en 2016 constituent aujourd’hui 7,5 % de l’ensemble des faits recensés. Si les entreprises peuvent toujours licencier les récalcitrants ou encore se protéger via la « loi travail » ou la Cour de justice européenne, il n’est pas sûr que cela aide leur croissance.
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Les Sentinelles ont rendez-vous le 4 octobre place Vendôme
Communiqué des Sentinelles :
"Le pays a changé de tête et en même temps rien n’a changé. Des élections volées par une justice tout sauf impartiale et des médias univoques, des apparatchiks qui font semblant d’envahir les palais nationaux, mais qui y étaient déjà, et des idées prétendument nouvelles qui étaient déjà dans l’air du temps, apostillées par la bien-pensance officielle. La famille, l’enfant, la dignité de l’homme et la justice ont peu à attendre de ces nouvelles têtes au pouvoir plus soumises à la doxa des marchés qu’au souci du bien public. Les doutes les plus sérieux sont permis quand à sa feuille de route « sociétale » qui commence à se dévoiler.
Il convient d’être vigilant. Les racines des mots nous confortent : vigile, veille, vigilance. Nous ne savons de quelle menace nous devons le plus nous méfier, nous n’avons pas confiance, et nous souhaitons nous tenir prêt. Et parce que c’est la rentrée pour tous, nous souhaitons veiller ensemble, pour dire silencieusement à ce pouvoir que nous observons ses faits et gestes. Que notre détermination reste intacte. Que nous poursuivons notre lutte pacifique contre cette destruction anthropologique.
Nous avons prévu de veiller le mercredi 4 octobre place Vendôme à Paris à partir de 20:00. Chaque personne, y compris vous, peut se joindre à nous et porter ses propres raisons de veiller. Le mode opératoire n’a pas changé depuis 2013 : se tenir debout, face à ce lieu de pouvoir, rester silencieux, respecter un espace décent avec les autres sentinelles, respecter l’ordre public et témoigner de bienveillance. La durée de votre veille est celle que vous voulez et pouvez lui consacrer. S’inscrire sur l’événement facebook en bout de lien est facultatif. Vous êtes les bienvenus !"
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Guillaume Dye : à quoi sert un islamologue ?
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