santé et médecine - Page 183
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Le Nuremberg des crimes contre l’humanité du Covid-19 s’ouvrira bientôt – 4ème partie
Le présent article analyse les conséquences juridiques découlant de l’imposture criminelle de la fausse pandémie du Covid, élucidée de manière détaillée dans trois articles précédents. A l’intention de toute personne ayant subi un préjudice en Allemagne, en Amérique ou ailleurs dans le monde, la marche à suivre qui est donnée ici par Dr Reiner Fuellmich permettra d’obtenir réparation, soit devant les juridictions nationales, ou en s’associant au recours collectif [class action] qui sera intenté très prochainement devant les tribunaux californiens.Récapitulatif des 1ère, 2ème et 3ème partiesLe Dr Reiner Fuellmich est un avocat spécialisé en protection des consommateurs en Allemagne et en Californie, qui est inscrit aux deux barreaux. Il a plaidé dans de très grosses affaires de fraude.Il est également membre de la “Commission allemande d’enquête sur le Corona” et il intentera, avec le soutien d’un collectif d’avocats internationaux de plus de 60 pays, la plus grande action en responsabilité délictuelle [tort action] de tous les temps, contre les responsables de la fraude du Covid. Il compte se prévaloir également du régime des crimes contre l’humanité, institué à l’issue des procès de Nuremberg, pour obtenir aux victimes une réparation maximale.Lien permanent Catégories : actualité, lobby, magouille et compagnie, santé et médecine 0 commentaire -
Coronavirus : Philippe, Véran, Ndiaye, Buzyn et Salomon perquisitionnés à domicile !
On savait que le gouvernement des juges était de plus en plus envahissant, mais depuis ce jeudi 15 octobre, il semble s’affranchir de toutes limites. Ainsi les forces de l’ordre ont-elles perquisitionné les domiciles d’Édouard Philippe, Sibeth Ndiaye, Agnès Buzyn, Olivier Véran et Jérôme Salomon. Dans la foulée, les bureaux des deux derniers, encore en exercice, ont subi le même sort.
Cette vaste opération fait suite à l’information judiciaire ouverte, en juillet dernier, par la Cour de justice de la République suite à neuf plaintes retenues, sur près d’une centaine, pour le délit consistant à « l’abstention de combattre un sinistre ». Lequel concerne, à en croire le Code pénal, « quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes ». La peine encourue ? Deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.
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Allemagne: le tribunal administratif de Berlin annule l’obligation imposée aux bars et restaurants de la ville de fermer tous les jours entre 23h et 6h pour endiguer l’épidémie de Covid-19
C’est une victoire pour les restaurateurs berlinois. Le tribunal administratif de Berlin a annulé l’obligation imposée aux bars et restaurants de la capitale allemande de fermer tous les jours entre 23h et 6h dans le but d’endiguer la propagation du coronavirus. Le tribunal avait été saisi en référé par onze restaurateurs et exploitants de bars berlinois qui jugeaient disproportionnées ces restrictions nocturnes en vigueur depuis le 10 octobre. Le décision de justice pourra toutefois faire l’objet d’un appel devant la Cour administrative supérieure de Berlin-Brandebourg.
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LA FRANCE RÉPUBLIQUE SOCIALISTE SANITAIRE !
Il suffit de relire le vrai libéral qu’était Tocqueville pour se convaincre que l’ex-socialiste Macron est un faux libéral : comment ne pas déceler dans le plaisir narcissique du président à restreindre les libertés des Français, pour assurer leur santé et leur bonheur malgré eux, l’écho du « nouveau despotisme » décrit par l’auteur de « La Démocratie en Amérique » ? « Il est absolu, détaillé… Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance. »
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Le nouvel ordre macronien : « Boulot-métro-dodo » !
Bernard Antony, président de l’Agrif communique :
Monsieur Macron nous avait dit l’hiver dernier avec des accents churchilliens : « Nous sommes en guerre ».
Que le coronavirus soit, après d’autres et avec bien d’autres, une belle saleté épidémique à affronter, tout le monde en convient.
Mais toujours dans le registre de son imaginaire martial voilà que le chef de l’Etat vient d’ordonner pour nos grandes agglomérations un confinement nocturne en reprenant pour le désigner le nom de « couvre-feu ».
Mesure de temps de guerre en effet.
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Bruno Le Maire: « Le couvre-feu va coûter 1 milliard d’euros » (Vidéo)
Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire était ce vendredi l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Interrogé sur la mise en place d’un couvre-feu, il a affirmé que « ce que nous devons éviter impérativement, c’est le reconfinement général des Français », mais que le couvre-feu allait coûter « un milliard d’euros ». -
Propagande, couvre-feu, délation… C’est reparti comme en 40 !
Quel pays au monde est capable en même temps de réfléchir à un couvre-feu généralisé à partir de 20 heures, comme si les Allemands paradaient à nouveau avenue des Champs-Elysées, tout en incitant son bon peuple à partir en vacances à la Toussaint ? Comme si le maréchal Pétain avait appelé Léon Blum à la présidence du Conseil ?
Au moment où nous écrivons ces lignes, Emmanuel Macron ne s’est pas encore exprimé. Parmi les options envisagées pour lutter contre une énième seconde vague qui ne cesse de faire des remous, plusieurs options sont à l’étude. Si un reconfinement généralisé ne semble pas envisageable au risque de définitivement tuer le pays, un couvre-feu dans certaines métropoles semblent à l’étude. Ainsi Paris et sa grande couronne se voient menacés. Il est intéressant de noter qu’il s’agit de la seule option qui ait fuité, comme par hasard. Comme pour tester les réactions de l’opinion publique. Et elle a de quoi rassurer le gouvernement mais prodigieusement inquiéter les hommes libres. Les lecteurs du Figaro ont ainsi, dans un sondage, plébiscité le couvre-feu en bon bourgeois effrayés et prévisibles qu’ils ont toujours été.
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Covid-19 : La tyrannie sanitaire en ordre de marche – JT du jeudi 15 octobre 2020
Au sommaire de cette édition : les annonces d’Emmanuel Macron. Très attendue, l’interview du chef de l’Etat, mercredi soir, n’a pas déçu. Face à l’échec du gouvernement pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, Emmanuel Macron a, une nouvelle fois, restreint les libertés individuelles des Français.
Nous donnerons ensuite la parole aux Parisiens. Suite à l’intervention présidentielle et à l’annonce du couvre-feu, nous sommes allés recueillir leurs réactions.
Et puis nous reviendrons sur les perquisitions de ce jeudi matin aux domiciles et bureaux de ministres. Maître Régis de Castelnau commentera cette actualité judiciaire pour TV Libertés.
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Covid-19 – Français poussés à partir en vacances : le gouvernement poursuit la contradiction et les mensonges…
À l’approche de la Toussaint, les Français sont appelés à maintenir leurs vacances afin de sauver le secteur du tourisme. Pourtant, en parallèle, le gouvernement n’a de cesse d’alerter la population sur la progression de l’épidémie.
Une nouvelle incohérence alors que les rumeurs d’un couvre-feu se propagent.
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StopCovid : l’acharnement thérapeutique
Il faut reconnaître à Libération un certain talent pour trouver des titres qui cognent dur. « StopCovid : le gouvernement remue le couteau dans l’appli » en est un. Oui, l’application StopCovid est un échec, et le gouvernement est obligé d’en convenir : 2,7 millions de téléchargements, soit 3 % de la population, quand il en faudrait dix fois plus ; 434 notifications de positivité qui ont été transmises aux cas contacts passés. Un ratage monumental. Mais, en politique, quand on est au bord du gouffre, on ne craint pas d’annoncer un grand bond en avant : Tous anti-Covid remplacera StopCovid. Le spectre fonctionnel de la nouvelle mouture sera dévoilé en détail plus tard, le 22 octobre, mais trois informations ont filtré.
Tout d’abord, sa maintenance coûtera plus cher : 200.000 euros par mois au lieu de 100.000 euros. Il est vrai que le coût des notifications des quatre mois passés était d’une insigne faiblesse, à 921,65 euros l’unité. Mais ce n’est pas cher, c’est l’État qui paie !