santé et médecine - Page 183
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Le Nuremberg des crimes contre l’humanité du Covid-19 s’ouvrira bientôt devant la Justice
Dr.Reiner Fuellmich ainsi qu’un collectif d’avocats internationaux représentant plus de 60 pays plaideront bientôt dans ce qui constituera sans doute la plus grosse affaire de responsabilité délictuelle de tous les temps [“tort case” en anglais].Les responsables du scandale de la fausse pandémie du Covid seront poursuivis au civil aussi bien qu’au pénal. Ils feront également l’objet de poursuites en vertu de l’article 7 du droit pénal international, issu des procès de Nuremberg, qui régit les crimes contre l’humanité.Ces derniers forment une catégorie de crimes dont il n’est pas possible de se disculper en arguant du fait que l’on obéissait aux ordres de sa hiérarchie. L’invocation de l’article 7 permettra l’inculpation des criminels en blouse ou en col blancs, qui ont sciemment fait mourir des personnes âgées dans l’isolement et le désespoir, brisé des vies et ruiné des ménages.Lien permanent Catégories : actualité, lobby, magouille et compagnie, santé et médecine 0 commentaire -
L’épidémie est entrée dans une phase de décélération
Malgré les annonces alarmistes sur le nombre de cas (qui n’a rien à voir avec la situation épidémique et clinique), nous pouvons observer pour la première fois depuis deux mois une décélération de l’épidémie. Je vous donne les éléments pour juger. C’est une photographie de la situation amenée être confirmée, plus ou moins, sans exclure une infirmation. Les restrictions politiques annoncées ne sont pas justifiées par la situation sanitaire. Vous pouvez diffuser cette analyse, y compris à vos élus, si vous pensez qu’elle peut éclairer et si vous voulez respirer et reprendre une vie normale.
Sapere aude ! Aies l’audace de savoir ! (Kant)
§ 1) Bien comprendre les chiffres (ce §1 n’est qu’indicatif, l’essentiel est à lire dans le §2)
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Manifestations contre la barbarie : larges échos dans la presse
La presse régionale et nationale se fait l’écho des dizaines de manifestations organisées aujourd’hui dans toute la France contre le projet de loi ni bio ni éthique :
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URGENCES BIENTÔT PAYANTES – LES MUTUELLES À LA MANŒUVRE ?
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Le Samedi Politique avec Gérald Olivier – Covid, Etat profond, « fake-news media » : Trump contre tous ?
Le 3 novembre prochain, dans moins d’un mois, le verdict tombera… ou pas !
En route pour un deuxième mandat, Donald Trump aura vécu une année 2020 particulièrement mouvementée. Son bilan économique est largement chahuté par l’épidémie de Covid-19. Un point sur lequel le camp démocrate, fébrilement emmené par Joe Biden, a bien l’intention d’insister. La mort de George Floyd a également mis le feu aux poudres dans de nombreux Etats démocrates, donnant lieu à des situations véritablement insurrectionnelles agitées par des officines antiracistes, notamment financées par Soros.
De leur côté, les médias, comme en 2016, s’en donnent à cœur joie pour jouer leur partition simple à résumer : »Haro sur Trump ! ».
Journaliste spécialiste de la politique américaine et des Républicains, Gérald Olivier (Sur la route de la Maison Blanche Ed Jean Picollec) dessine le panorama de la dernière ligne droite de la présidentielle américaine. Une présidentielle tellement incertaine que nul ne peut affirmer aujourd’hui que le prochain président des Etats-Unis sera connu le 3 novembre prochain.
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Crise sanitaire : qui sont les gagnants ?
La pandémie de Covid-19 a montré à quel point un virus respiratoire peut bouleverser les mœurs sociales. Du reste, elle a révélé le vrai visage des sociétés libérales et démocratiques, tant leurs points forts que leurs points faibles. Puis on comprend mieux de quelle manière la mondialisation fonctionne : via la haute finance totalement déconnectée de l’économie et de l’industrie. La preuve : dès le mois de mars, les banques centrales étaient promptes à se porter garantes des dettes d’État, notamment à l’endroit des pays européens, particulièrement impactés par ce virus chinois. Comme en 2008, le procédé reste le même : la production massive de liquidités. Voilà pourquoi les marchés ont continué à opérer sans difficulté durant les périodes de confinement.
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Samedi 10 octobre, dans toute la France, mobilisation contre la PMA et la GPA
Communiqué du Parti de la France
Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.
Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.
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Martine Wonner : « On n’a jamais eu aussi peu de décès en France depuis cette année, arrêtons cette stratégie de la peur ! »
Martine Wonner est médecin et députée. Elle a été exclue au mois d’avril du groupe LREM pour avoir critiqué la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement qui, selon elle, pose des actes anticonstitutionnels.
Son intervention dans l’Hémicycle, il y a quelques jours, n’est pas passée inaperçue : doute sur la reprise de l’épidémie de Covid-19, inefficacité des masques et aveuglement du gouvernement sur les traitements à administrer. Au point que Libé et Le Monde mettent en doute la véracité de ses propos.
Voici un entretien très intéressant paru sur Boulevard Voltaire.
Les villes de Marseille et de Strasbourg se sont dotées de leur propre conseil scientifique et social. La ville de Paris pense avoir le même dispositif. Comme si les territoires tentaient de s’émanciper de la tutelle nationale. Comment l’interprétez-vous ?
La ville de Strasbourg a été la première à se doter d’un tel conseil scientifique. Les citoyens n’y voient absolument plus clair. Avec des informations contradictoires en permanence, les territoires souhaitent aujourd’hui accompagner les agences régionales de santé dans des mesures sanitaires les plus adaptées aux préoccupations du moment. On sait que les chiffres de la Covid évoluent extrêmement vite. Les médecins et les scientifiques des territoires ont très très envie de pouvoir être forts d’analyse, forts de proposition et de conseils auprès du préfet sanitaire.
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L’aveu de la dictature de la santé
Alors que le gouvernement, par la voix du ministre de la santé Olivier Véran, met en place de nouvelles restrictions drastiques pour tout un pan de l’économie française en décrétant la fermeture totale des bars et restaurants à Aix-Marseille ainsi que la fermeture des salles de sport à partir de lundi dans les zones d’alertes renforcées, soit dans plus d’une dizaine de grandes villes françaises, et pour la vie sociale des Français, au micro d’Europe 1 le ministre de la santé, Roxana Maracineanu avoue que :
« Les décisions, aujourd’hui, ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu’il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes. »
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Diagnostic de l’Hopital Public Français, par James Deauville.
Les chiffres d’une crise nationale
Il est ainsi fait que la gravité d’une crise est proportionnelle à sa capacité à révéler les maux d’un système aux yeux du plus grand nombre. Alors que les cris du personnel qui le fait vivre au quotidien ne semblaient suffire à alerter sur la lente agonie de l’hôpital public français, la pandémie actuelle inverse les tendances. Il est donc d’intérêt général de s’intéresser aux raisons de ce déclin, que l’on peut résumer sous le terme général de guerre des finances.
Posons le diagnostic et surtout, veillons à ne pas retomber dans la passivité une fois la crise passée ; car « Les pires lieux des enfers sont réservés aux indécis qui restent neutres en temps de crise morale » .
En France, sur plus de 3 000 établissements de santé, 1 376 sont des hôpitaux publics. Ils ne représentent que 45% des établissements mais offrent encore plus de 61% des lits en hospitalisation complète et 55% des lits en hospitalisation courte [5]. “Encore” car, depuis plusieurs décennies, nos précieux hôpitaux publics sont soumis à des pressions économiques dantesques, qui influent aussi bien sur la qualité des soins que sur la pénibilité du travail hospitalier.