« Dictature sanitaire ». L’expression fleurit sur les réseaux sociaux et Internet, au sujet des mesures prises par le gouvernement dans le cadre de l’épidémie de Sras-Cov-2 (dite « Covid-19 »). Partout les mêmes témoignages : un jeune homme verbalisé par des policiers en civil dans le métro pour avoir ôté son masque le temps de manger une friandise, contrôles de bars et restaurants accompagnés d’un homme en arme à l’entrée, etc. Et puis, bien sûr, il faut évoquer la pression mise par les Français eux-mêmes sur leurs compatriotes, devançant les attentes du gouvernement.
santé et médecine - Page 187
-
Dictature sanitaire ?, par Clément Martin (Les Identitaires)
-
Crise sanitaire : à quand la fin de la paralysie ?, par Floris de Bonneville.
Des milliards de déficit. Des milliards qui tombent du ciel mais qu’il faudra que nos descendants remboursent bien un jour. Des décisions à l’emporte pièce et contradictoires prises dans l’atmosphère ambiante d’une psychose collective qui émane de nos gouvernants. Des Français sans visage. Des maladies graves qui passent au second plan.
La déprime, la catastrophe à tous les niveaux, économique, sociale, morale. En quelques mois, Emmanuel Macron, qui aura tout dit et surtout son contraire, aura abandonné la France à la peur. Certes, rarement, sauf en cas de guerre, un chef de l’Etat aura eu à affronter un tel défi. En 14-18 et 39-40, ce défi était qu’il fallait vivre avec la guerre et l’occupation. En 2020, notre Président et ses deux assistants successifs n’auront pas été capables de nous faire vivre avec le virus.
-
I-Média – Des bobards médiatiques au service de la dictature sanitaire ?
Bobards médiatique et dictature sanitaire. Alerte rouge sur la France !
L’atmosphère autour de l’épidémie de Covid-19 devient de plus en plus anxiogène, malgré plusieurs éléments positifs.
-
Stéphane Ravier, sur la fermeture des bars et restaurants à Marseille : « C’est une catastrophe… Marseille subit une différence de traitement ! »
En raison de la remontée du taux d’incidence du Covid-19 dans la métropole d’Aix-Marseille, mais aussi en Guadeloupe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé, mercredi soir, des mesures très strictes dans ces deux régions, placées en « zone d’alerte maximale » : bars et restaurants devront totalement fermer à partir de samedi 26 septembre.
Une mesure qui a provoqué un tollé chez les restaurateurs et élus marseillais. Réaction de Stéphane Ravier au micro de Boulevard Voltaire.
Tous les bars et les restaurants de Marseille sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Cela fait suite à la recrudescence de la seconde vague de Covid-19. Cet ordre est unilatéral puisqu’il est venu du ministère de la Santé. La maire de Marseille et le président de la région l’ont visiblement découvert. Quelle est votre opinion sur la situation à Marseille ?
-
Ceux qui nous gouvernent s’inquiètent davantage de la fin de cette crise que de la crise elle-même !
« Pour ceux qui savent encore compter :
3 % de morts au niveau mondial
parmi les gens qui ont attrapés la Covid-19,
donc 97 % de guéris ! »Entretien avec Philippe Randa∗,
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Covid-19, saison 2 : vous vous y attendiez ?
Il aurait tout de même été difficile de ne pas s’y attendre : ne nous la prédit-on pas depuis mai dernier et ce, matin, midi et soir ? Le gouvernement a continué d’orchestrer la panique des Français durant tout l’été. Il lui aurait été difficile de priver nos compatriotes de leurs sacro-saintes vacances estivales, mais il leur a bien rappelé que cette liberté sous surveillance n’était que provisoire. Chaque jour, des « spécialistes » plus spécialistes les uns que les autres des pandémies diverses et variées sont venus souffler le chaud et le froid, découvrant un cluster par-ci, un vaccin à l’étude par-là… et martelant ce qu’on allait subir à peine rentrés chez soi, les valises pas encore défaites.
-
Les Français estiment que les médias ont couvert la pandémie de coronavirus de façon excessive, anxiogène ou catastrophiste, selon un sondage
Selon une étude réalisée par Viavoice pour les Assises du journalisme et plusieurs médias, publiée samedi, les Français sont très critiques sur la façon dont les médias ont couvert la pandémie de coronavirus, jugée excessive et anxiogène. Dans le détail, environ 60% des personnes interrogées estiment que les médias ont accordé une place trop importante à l’épidémie, contre 10% d’avis contraire et 25% qui trouvent qu’elle a été « équilibrée ».
Par ailleurs, les sondés, appelés à choisir jusqu’à trois qualificatifs pour évaluer le traitement global de la crise sanitaire dans les médias, ont répondu à 50% qu’elle était « anxiogène », à 45% « excessive » et à 28% « catastrophiste ».
-
Ruraux et urbains, vers une convergence des luttes ?
Boulevard Voltaire publiait vendredi le résultat du sondage “Le mouvement des gilets jaunes a-t-il encore un avenir ?”, le oui ne l’emportant qu’à la faible majorité de 56 %.
À voir les réactions de Marseille au sort qui lui est fait par le pouvoir parisien, on peut se demander si l’avenir des GJ ne serait pas plutôt, selon l’expression houellebecqienne, dans l’extension du domaine de la lutte. Quand Samia Ghali – qui en tant que maire adjoint a rang d’officier de police judiciaire -, déclare tout de go que « La police municipale ne verbalisera pas les restaurants et bars ouverts », c’est qu’elle se sent forte d’un soutien populaire qui dépasse visiblement celui des cafetiers et restaurateurs. -
Un reconfinement qui n’ose pas dire son nom ?
Fermeture pour 15 jours des bars et restaurants en Guadeloupe et dans la métropole d’Aix-Marseille, importantes restrictions horaires pour les commerces de nombreuses grandes villes de France, forte limitation des rassemblements publics… Ceux qui s’attendaient à ce que l’Etat donne un sérieux « tour de vis » mercredi, à l’occasion de la présentation par le ministre de la Santé des nouvelles restrictions décidées par le gouvernement pour tenter d’enrayer la progression de l’épidémie de COVID-19, n’auront pas été déçus. Au point que certains, devant la sévérité de ces nouvelles mesures, se demandent aujourd’hui si celles-ci ne cachent pas un reconfinement qui n’ose pas dire son nom.
-
Coronavirus - Aix : "Ferme-la, Véran !", la grosse colère de Maryse Joissains
Maryse Joissains-Masini, maire d'Aix-en-Provence.
Par J.D.Elle était remontée comme une pendule, ce soir, Maryse Joissains, lorsque sont tombées les annonces gouvernementales.
"Une catastrophe, je saute sur place, je suis dans une colère monstre", lâchait le maire d’Aix-en-Provence, pour qui ces mesures sont complètement disproportionnées. "Nous avons 5 malades en réanimation, et 10 personnes hospitalisées dans toute la ville" argumente-t-elle.
Le maire pointe du doigt le gouvernement : "Je n’ai jamais vu ça ! Ça va trop loin ! Leur rôle est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela ! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite ! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire... Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Veran ! La haute administration est en train de devenir folle".
Maryse Joissains le dit sans ambage : "Je considère que le gouvernement est directement responsable de la grave crise économique qui s’annonce. Je n’ai pas envie qu’on ruine ma ville, mes commerçants".
http://by-jipp.blogspot.com/2020/09/coronavirus-aix-ferme-la-veran-la.html
-
Coronavirus : le désastre politique? Jonathan Sturel