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Samedi 10 octobre, le collectif Marchons enfants ! défilait dans la ville rose. Durant deux longues heures, des militants LGBT et ultra-gauche ont tenté d’infiltrer le défilé pour agresser les participants.
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Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches du Rhône et président du groupe RN au conseil municipal de Marseille, est l'invité politique du lundi 12 octobre 2020, pour parler insécurité à Champigny-sur-Marne et à Marseille, et gestion de la crise sanitaire du Covid-19.

Par Olivier Perceval
Il y a ceux qui ont peur de la Covid, et puis il a ceux qui ont peur de Zemmour. Ces derniers traquent le chroniqueur sur les rares plateaux télé où il a encore accès, dans l’espoir de s’indigner à peu de frais et organiser le tollé (A mort ! Relâche Barabbas ! Crucifie-le ! Crucifie-le !) Et le CSA de s’émouvoir et l’administration judiciaire de se mobiliser. On nous a déjà fait le coup avec Valeurs actuelles et madame Obono. Notre très digne garde des sceaux, quant à lui, oubliant qu’il n’exerce plus la fonction d’avocat des meurtriers les plus abjectes, n’a même pas l’attitude de Pilate, mais crie à mort avec les grands prêtres. Non, Zemmour n’est pas Jésus, il n’est même pas chrétien, là s’arrête la comparaison, de plus il a le verbe haut et le ton passionné et l’accusation dont il est pour la N ème fois la victime n’a pas changé : Il est raciste un point c’est tout. L’équation est simple, si on est pour mettre un frein à l’immigration, cela veut dire qu’on est raciste, franchouillard, petit blanc et donc juste autorisé à la fermer et prendre des coups sans les rendre. Et cela ne va que dans un sens bien sûr, les propos racistes tenus par ceux qui interdisent l’accès aux blancs non musulmans dans les réunions indigénistes et « décolonialistes » ne peuvent en aucun cas être critiqués, puisque là , il s’agit d’ éternelles victimes, donc non coupables.
Dans l’ensemble, notre famille de pensée a bien réagi au « confinement » du printemps 2020, qui était une quarantaine n’osant pas dire son nom (voir Éléments, n° 184, encadré de la page 37). Dans le même numéro, Hervé Juvin se demande si tout principe poussé à son extrême ne finit pas par s’inverser. Cela expliquerait comment, après un demi-siècle entonnant l’hymne à la grande déesse Mobilité, on est passé du jour au lendemain à l’arrêt de la quasi-totalité de la planète.
Toujours dans la même livraison, ainsi que dans la suivante (Éléments, N° 185), je recommande la lecture des articles de Slobodan Despot, tout comme dans Synthèse nationale (n°54 cliquez ici), je conseille de lire les contributions de Pieter Kerstens, Bernard Plouvier et Charles-Henri d’Elloy. De tous ces très bons textes se dégage l’idée que les mesures de sécurité prônées par les conseillers scientifiques et relayées par les dirigeants politiques sont disproportionnées par rapport au risque sanitaire réel.

De Bernard Antony :
Voilà que bat son plein à nouveau la campagne contre la chasse en général et contre la chasse à courre en particulier, et de même, contre la corrida. Cela heurte la sensibilité d’un certain nombre de nos contemporains, s’indignant de ce que l’être humain puisse causer de la souffrance aux animaux. Dans la même logique, ne faudrait-il pas alors agir pour que les fauves ne coursent plus les gazelles avant de les déchirer à pleines dents ? La nature est hélas cruelle et la réformer pour y faire régner une perpétuelle douceur relationnelle entre les créatures ne relèverait-il pas d’une gentille folie ? Et que diraient alors les défenseurs des tigres et des lions, et des léopards, qui ne se résigneront pas à manger de l’herbe ? Et ceux des crocodiles ?


La pandémie semble avoir perturbé la vision qu’ont les infirmiers de leur profession, selon un récent sondage relayé par Le Parisien. 40% d’entre eux seraient ainsi prêts à changer de métier, dans le sillage de la crise sanitaire. L’épidémie n’a fait qu’aggraver une lassitude déjà bien présente.
Les infirmiers s’interrogent sur leur métier depuis le début de la pandémie et plus de 40% d’entre eux seraient prêts à rendre leur blouse, selon une consultation réalisée par l’Ordre des infirmiers relayée par Le Parisien. Les résultats de cette enquête, réalisée auprès de 60.000 professionnels, inquiètent les autorités sanitaires.
(…) Sputnik
