Extrait tiré de l'émission "BFM Story ", diffusée sur BFMTV le 3 septembre 2020.
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Extrait tiré de l'émission "BFM Story ", diffusée sur BFMTV le 3 septembre 2020.

Selon un rapport de la Columbia Journalism Review, de nombreux médias et organisations de journalistes de premier plan soutenant la fondation Bill et Melinda Gates en tant qu’autorité de santé publique sont en fait partiellement financés par cette fondation.
Tim Schwab, du CJR, a écrit qu’il «a examiné près de 20 000 subventions caritatives que la Fondation Gates avait accordées à la fin du mois de juin et a trouvé plus de 250 millions de dollars destinés au journalisme», avec des destinataires tels que National Public Radio, la BBC, NBC, le National Journal, le Guardian, Gannett (qui possède USA Today et divers grands journaux régionaux), la National Press Foundation et d’autres publications, sociétés de médias, fondations de journalisme et organisations caritatives liées aux médias.

Qui a dit que l’histoire ne se répétait pas ? Il y a quatre-vingts ans et deux mois, après avoir subi la plus grande défaite militaire de son histoire en raison de l’incurie criminelle des gouvernements chancelants d’une IIIe République alignée sur la diplomatie anglo-saxonne, la France se retrouvait partagée en deux principales zones. Les deux tiers de son territoire passaient en « Zone occupée » tandis que le Sud-Est prenait le statut de « Zone libre ». Une frontière hermétique et surveillée, la « ligne de démarcation », rendait cette division tangible.
Huit décennies plus tard, « zones libres » et « zones occupées » resurgissent dans l’Hexagone. Le prétexte d’une seconde vague de covid-19 ou d’un rebond de la première permet aux autorités déficientes d’imposer le port du masque dans les rues et les espaces ouverts. À Toulouse comme à Nice, municipalités régies par une mixture sarko-macronienne, son port y est systématique. À Paris, jusqu’à la dernière fin de semaine du mois d’août coexistaient des espaces « masqués » et d’autres non masqués. Cette subtilité géographique et sanitaire qui donnait aux cartes de la capitale de nombreuses taches de léopard n’existe plus. Ailleurs, l’usage de la muselière hygiéniste ne concerne que l’hyper-centre.

Le 8 octobre, une proposition de loi déposée par le député EELV Albane Gaillot sera examinée à l’Assemblée nationale. Elle vise à supprimer la clause de conscience spécifique à l’avortement et à allonger les délais légaux d’accès à l’avortement de 12 à 14 semaines.
Ils sont assoiffés de sang humain et ne s’arrêteront jamais.
https://www.lesalonbeige.fr/encore-une-loi-pour-etendre-lavortement/

Pendant le confinement, j’avais analysé les cinq vagues du Covid. La première fut épidémique, elle affecte réellement les patients et les envoie à l’hôpital. La seconde fut politique, affectant les décisions et les notifications des experts. La troisième fut psychique, faite de peurs, d’anxiétés et de craintes diffuses dans la société. La quatrième est économique, c’est une crise amenée à s’étendre des années, voire plus. La cinquième est sociale, elle durera aussi mais on ne sait pas quels phénomènes exceptionnels elle engendrera. En 2018 personne n’a vu venir les gilets jaunes.
Depuis la fin du confinement, les trois vagues, épidémie, politique, peur, sont pratiquement synchrones. Une seconde vague est arrivée dans le courant du mois d’août. Elle n’a pas été causée par l’épidémie mais par les remontées des ARS sur le nombre de cas positifs. Pendant le mois d’août, le nombre de nouvelles admissions est remonté très lentement, les décès se sont stabilisés autour d’une centaine par semaine. Les lits occupés sont restés stables, pratiquement sous les 400. Ces données n’ont pas empêché les autorités de resserrer la vis, surtout pour la question des masques. Et les médias de s’agiter et de prononcer la formule panique, exponentiel, exponentiel ! Une seconde vague de peur est ainsi apparue pendant ce long et chaud mois d’été. Et maintenant on voit de plus en plus des gens porter le masque, alors qu’ils se promènent dans une rue déserte, avec le plus proche contact à des dizaines de mètres. Même certains cyclistes n’hésitent pas à porter cet ustensile devenu on ne sait quoi ; instrument fétiche, totem, protection ou signe pseudo-religieux signalant que l’on est un bon citoyen fidèle du salafisme sanitaire, protecteur devant l’éternel des vieux et des grabataires.

J’ai l’impression que nous sommes en état de pré-guerre civileJ’ai l’impression que nous sommes en état de pré-guerre civile
Le docteur Dominique Megglé, psychiatre et cofondateur de la Confédération francophone d’hypnose et de thérapies brèves, analyse les conséquences de la crise du Covid-19 sur le lien social et familial, mais également au niveau psychologique.
Nous avons l’impression d’être entre deux vagues épidémiques de Covid-19. Après trois mois de confinement, nous avons sans doute évité de nombreux morts de maladie, mais quid des dégâts psychologiques ? Sont-ils réels ? Quantifiables ?
Juste derrière le coronavirus, la montée de la violence s’impose dans le champ médiatique. Son importance est telle qu’elle ne peut plus être tue, même par les journalistes les plus habiles à manipuler les faits pour plaire au prince.
Il leur reste, néanmoins, dans leurs besaces, quelques tours de passe-passe afin de ménager le gouvernement, telle cette pensée magique qui fait du méchant virus le responsable de cette montée d’actes répréhensibles.
Le coronavirus plus révélateur que source de violence
Certes, le confinement, par ses contraintes drastiques, a pu provoquer une augmentation de la tension au sein de la population.
Elle est flagrante, voire caricaturale, dans les territoires perdus de la France. En effet, dans ces lieux, cette tension a muté en hyper-tension qui a entraîné les « jeunes des quartiers » non seulement à ne pas respecter le confinement mais à profiter de son ambiance léthargique pour faire un peu plus de pagaille que de coutume.
Qui meurt du COVID ?
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
Pr Laurence Camoin, Professeur d'hématologie, spécialisée dans les troubles de la coagulation.
La dernière vidéo de l’IHU Marseille censurée et supprimée par YouTube ! La France pays de la liberté d’expression ?
Après les vidéos des médecins américains Simone Gold, c’est au tour de la vidéo hebdomadaire de de l’IHU du Professeur Raoult et de la Professeur Camoin qui vient d’être censurée.
Cette vidéo parlait de la mutation du virus ainsi que des études favorables à l’Hydroxychloroquine, mettant ainsi en avant une carte du monde ou les pays utilisant l’hydroxychloroquine ou la bithérapie en vert.

Encore des mesures pour lutter contre le coronavirus. Alors qu’Emmanuel Macron a promis de nouvelles décisions, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avance l’hypothèse d’un reconfinement local.
Nous évoquerons ensuite l’élection du nouveau président du groupe LREM à l’Assemblée Nationale qui n’est pas un inconnu puisqu’il s’agit d’un certain… Christophe Castaner !
Nous reviendrons sur ce petit scrutin qui démontre les terribles limites en ressources humaines du parti présidentiel.
Et enfin nous ferons un petit détour par les Etats-Unis où émerge, à gauche, l’idée d’un dédommagement des afro-descendants !