de Jeanne Smits
santé et médecine - Page 188
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Forte surmortalité dans les maisons de retraite belges en août : canicule et mesures COVID…
Il y a eu quelque 1.500 décès de plus qu’attendu en Belgique au mois d’août, frappant en priorité les personnes les plus âgées. Cette surmortalité n’était pas liée au coronavirus chinois… sinon indirectement, car ce sont les « mesures COVID » conjuguées avec la canicule qui ont provoqué l’hécatombe. Ces morts s’ajoutent aux suicides, au décès qu’entraîneront retards et absences de soins et autres effets néfastes de la « gestion » de la crise du coronavirus, aussi désastreuse en Belgique qu’en France. Et ce sont une fois de plus les vieillards qui paient le plus lourd tribut, eux que les « mesures COVID » prétendent « protéger ».Très précisément, la surmortalité en Belgique a été estimée à 1.460 entre le 5 et le 20 août, la moitié des victimes ayant plus de 85 ans et la très grande majorité plus de 65 ans. Cela représente une surmortalité de 34,8 %. -
Macron met la France dans le rouge – JT du jeudi 24 septembre 2020
Au sommaire de ce journal : Les nouvelles restrictions imposées par le gouvernement. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a notamment décrété la fermeture des bars et restaurants dès samedi à Marseille. Une nouvelle catastrophe économique annoncée.
Nous évoquerons également les manœuvres au sein du groupe Mulliez. Avec la crise économique, la famille propriétaire d’Auchan, a placé plusieurs de ses enseignes en redressement judiciaire pour finalement les reprendre à moindres coûts.
Enfin, nous reviendrons sur le record du nombre d’avortements réalisés en 2019. Le président de la Fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné, nous livrera son analyse.
https://www.tvlibertes.com/macron-met-la-france-dans-le-rouge-jt-du-jeudi-24-septembre-2020
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Trois livres sur la crise du Covid-19
Les ouvrages se bousculent en librairie, pour se pencher sur le, »pendant » et sur « l’après » de la crise du coronavirus. J’en ai retenu trois : celui du Pr Christian Perronne, clinique, implacable. En second lieu, le réquisitoire de Philppe de Villiers, paradoxalement le plus positif. Et, troisièmement, sans doute le pus révélateur, celui d’un Jacques Attali égal à lui même : le plus incantatoire.
La France mise aux arrêts pour ralentir la progression du coronavirus chinois, dix points de PIB sacrifiés pour préserver la vie des plus âgés et des plus fragiles (morts, tout de même, en masse dans les Ehpad, privés de protection, de soins et de la présence de leurs proches), une hystérie collective alimentée par des points de presse quotidiens les plus anxiogènes possibles. Comment vivre après ça ?
Christian Perronne donne des noms
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Les conséquences économiques du Covid en Europe
Les conséquences de la crise du coronavirus n’ont pas terminé de se dévoiler : santé, économie, politique, jusqu’au fondement de l’Union Européenne. Dans ma jeunesse, une telle perspective était généralement considérée comme un prélude à un effondrement.
Mais nous ne sommes pas là pour jouer les (mauvais) augures. Pour nous en tenir à l'économie, dont la situation ne peut manquer d'inquiéter tout de même tout un chacun, et puisque Monde&Vie, dans son numéro de fin mai, évoquait le plan de relance appelé de leurs vœux par le duo Merkel-Macron, il convient d'observer ce qui se passe, effectivement, au niveau européen.
Comme sur tant d'autres plans, le fossé semble se creuser chaque jour davantage. Le défaut de réaction - surtout de réaction efficace et cohérente - de Bruxelles au plus fort de la crise sanitaire a sans doute éloigné un peu plus les Européens de l'Union européenne. Sa réaction économique n'est pas faite pour améliorer la situation.
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Urgence sanitaire et identité numérique
La santé publique québécoise admet que la COVID n'est pas plus dangereuse qu'une grippe. À qui profite l'urgence sanitaire ?
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Jean-Frédéric Poisson : « Le gouvernement profite de la crise sanitaire pour raboter nos libertés publiques »
Jean-Frédéric Poisson dénonce la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement qui, selon lui, se sert « des contraintes sanitaires pour faire taire les oppositions », et dénonce les « incohérences » des mesures prises, en particulier celles concernant le port du masque.
Le ministre de la Santé, Olivier Véran et l’ensemble du gouvernement semblent préparer les Français depuis quelques jours à un éventuel reconfinement. Que pensez-vous de l’action du gouvernement ?
L’action du gouvernement est une catastrophe depuis le début de la crise sanitaire. On est passé d’une attitude de déni avec un président de la République qui 48 heures avant l’annonce du confinement généralisé demandait à tout le monde d’aller au théâtre et au cinéma parce que finalement rien n’était grave. Je passe sur les incohérences multiples que nous avons tous connues sur « les masques ne servent à rien et puis ensuite tout le monde doit en porter ».
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UNE MERE DE FAMILLE MENOTTÉ DEVANT SA FILLE... POUR NON PORT DU MASQUE
Une femme menottée devant sa fille pour non port d'un masque. Où sommes-nous ? Quels sont ces gendarmes qui en arrivent à cette situation épouvantable digne d'une dictature ?
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[vidéo] Covid-19 : multiples rassemblements contre les restrictions sanitaires
Face au coronavirus, les restrictions ne cessent d’augmenter.
Ces 19 et 20 septembre ont été marqués par de nombreux rassemblements partout dans le monde pour protester contre les reconfinements, les masques et les mesures sanitaires imposés par les gouvernements.
https://fr.novopress.info/218901/video-covid-19-multiples-rassemblements-contre-les-restrictions-sanitaires/
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Véran et les délires des tests et des masques : débranchez-le et mettez-nous Luchini tous les soirs à 20 heures !
Je suis très inquiet pour la santé des Français. Non pas pour les risques liés au Covid-19. On sait, désormais, à quoi s’en tenir sur les personnes vraiment à risque, sur les profils des décès (comorbidité, etc.) et la médecine, « raoultienne » ou pas, réussit désormais à mieux prendre en charge les cas graves. Non, je suis très inquiet pour leur santé… mentale et l’impact des injonctions d’un pouvoir par ailleurs discrédité par ses incessants changements de pied sur les masques, les tests, les quatorzaines, les « On ferme/on ferme pas une classe ». Et j’en passe.
Dernier épisode de cette danse du Covid-19, la dernière sentence du ministre de la Santé : « Les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts. » Les amis de mes amis… Ce sont des cas contacts « à risque négligeable ». Dans la classe de mes enfants, cela donne : « Ben oui, on lui parle pas, à lui, on mange jamais avec lui. » Entendu, chéri, j’ai compris. Si on y réfléchit un peu, tout cela se défend, et Le Huffpost explicite tous les cas possibles, les degrés de contact.
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Didier Raoult : "Il faut se calmer, ça n'est pas une guerre nucléaire tout de même" (Mortalité).