La scène se déroule à Melbourne, en Australie. Elle montre l’arrestation extrêmement violence d’une jeune femme. Son délit ? Ne pas avoir porté le masque en rue…
La dictature sanitaire dans toute son horreur.
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La scène se déroule à Melbourne, en Australie. Elle montre l’arrestation extrêmement violence d’une jeune femme. Son délit ? Ne pas avoir porté le masque en rue…
La dictature sanitaire dans toute son horreur.
Intéressant argumentaire sur l’hystérie collective concernant la COVID et le port du masque (voir aussi ces statistiques mélangeant malades et porteurs du virus pour plonger les Siciliens dans la peur) :
1) L’épidémie de COVID est moyennement grave.
Les chiffres au 22 juin 2020 la classent (suivant le mode de calcul) entre la 9ème et la 13ème places en termes de mortalité parmi les épidémies en France depuis 1945 (voir l’article en lien). On n’a pas eu tout le cirque de 2020 pour les 8 ou 12 épidémies précédentes plus mortelles que le COVID et on a bien fait, puisque les conséquences économiques, sociales, politiques, et peut-être même sanitaires de ce cirque sont catastrophiques.
La psychose de 2020 est une défaite collective.
2) L’épidémie est finie en France (hors DOM-DOM) depuis deux mois.
Les admissions en hôpital (chiffres officiels du rapport de Santé Publique France du 6 aout pages 19 à 27) et les morts sont quasi nulles depuis la semaine 23 (qui débute le 1er juin).
Rapport de Santé Publique France du 6 aout 2020.
Une épidémie mortelle qui ne tue plus est finie. C’est aussi simple que cela.
Heureusement qu’ils pensent à tout et qu’ils font de la pé-da-go-gie. Vous ne savez plus, vous êtes perdus, avec cette affaire de port du masque : où, quand, comment, pourquoi moi ? Le docteur Véran vous dit tout. Patientez, il va vous recevoir dans son cabinet. En attendant, mettez-vous en slip et gardez votre masque, s’il vous plaît.
Donc, c’est pas compliqué : A, B, C, D. « A, c’est quand on est A risque. Quand on est ÂGÉ […] B, c’est quand on est dans un lieu BONDÉ. […] C, c’est pour les endroits qui sont CLOS, quand vous êtes en intérieur avec d’autres personnes. […] D, c’est quand la DISTANCE est impossible à gérer. »
Suite à l’adoption par le parlement d’une loi monstrueuse permettant l’avortement volontaire jusqu’à 9 mois de grossesse au motif bizarre de « détresse psychosociale », une jeune mère témoigne intelligemment à propos de cette notion :
Allemagne – Dimanche, plus de 2.800 personnes – selon les chiffres de la police – ont manifesté à Dortmund contre la dictature sanitaire imposée sous prétexte de lutter contre le Covid 19.
Source : https://fr.aleteia.org/
Chirurgien pédiatre et néonatalogiste, le professeur Emmanuel Sapin décrypte le mécanisme de transgression continue des lois de bioéthique. Il montre comment les principales mesures du texte adopté par les députés en seconde lecture s’inscrivent dans une logique de relativisme idéologique qui, au nom de considérations humanistes, transforme le mal d’hier en bien aujourd’hui.
PMA sans père, embryons-chimères, avortements tardifs… à chaque révision de loi de bioéthique, le législateur affronte des situations préoccupantes qu’il a créées sans en mesurer les conséquences. La loi définissant comme bien ce qui est permis, ce qui était défendu lors de la loi précédente devient permis. Les frontières sont sans cesse repoussées. Co-auteur de la première chirurgie fœtale réalisée en Europe, le pédiatre Emmanuel Sapin dénonce, en particulier dans le projet de loi voté par les députés, la fausse solution du recours à l’avortement pour libérer une mère en état de détresse psychosociale.
Aleteia : Quelle est la mesure qui vous paraît la plus discutable dans le texte voté ?
Emmanuel Sapin : En premier lieu, à cause des conséquences sur la place du père pour l’enfant, la mesure la plus discutable est l’ouverture de la PMA « pour toutes », qui conduit à une dissociation programmée de la notion et de la réalité de la paternité — biologique et éducative — si ce n’est sa disparition, et d’autre part les problèmes liés à la filiation. Il est d’ailleurs paradoxal que simultanément sont ouvertes les possibilités de demande de levée de l’anonymat. Et la prochaine fois, sous l’argument de la discrimination, s’ouvrira la voie de la GPA.