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Au programme de cette édition, la révolte contre l’omniprésence des masques a-t-elle sonnée ? Alors que l’obligation du port masque a fleuri partout en France, son usage en extérieur est incompris. De quoi lancer une nouvelle bataille.
La procréation est-elle devenue un business comme les autres ? En plein Paris, le Salon Désir d’enfant fait la part belle à des entreprises internationales dont le fonds de commerce est ni plus ni moins la reproduction artificialisée.
Et puis à l’occasion du discours d’Emmanuel Macron pour les 150 ans de la République sur le séparatisme et l’insécurité, nous sommes allés demander aux Français leur vision des choses.
Masques : collégiens, lycéens, étudiants, vous avez le choix
Face à la propagande actuelle, c'est un devoir qu'à notre génération d'agir, car le monde de demain dépend de nos actes d’aujourd’hui. Alors faisons le choix, ensemble, de refuser cette nouvelle mesure liberticide.
Jean Picollec publie souvent ce qu’on n’attend pas de lui ; spécialiste habituellement des ouvrages d’information non-conformistes, souvent déplaisants pour certains esprits indélicats, il n’en a pas moins déjà été l’éditeur de recueil de dessins humoristiques, tels ceux de Trez, le dessinateur vedette de France-Soir du temps de son impression papier ou encore de Miège ou d’Innocent qui, en compagnie de Trez justement, nous offrirent en leur temps un « Impôt-pourri » en 96 dessins « pour se remonter le moral. »
Le moral, il en est justement question en cette angoissante année 2020 si mise à mal par l’épidémie de Coronavirus qui semblent bien avoir révélé davantage de fous, notamment à la direction des pays à travers le monde que de victimes réelles (à ce jour, l’épidémie n’a « toujours » fait que moins de 5 % de morts parmi les personnes infectées, n’en déplaise aux indécrotables hypocondriaques).
Communiqué d’Olivier Pirra, Membre du bureau politique du PCD, Délégué départemental PCD69 :
A l’approche de la rentrée, nos responsables politiques s’activent pour contrôler la potentielle seconde vague du COVID 19 : conférences de presse du gouvernement, menaces d’un possible reconfinement et même port du masque obligatoire à Lyon et Villeurbanne à compter de ce jour…
Il ne s’agit pas de nier l’existence du COVID ni de remettre en cause les précautions sanitaires élémentaires visant à limiter la propagation du virus. Ces précautions sont suivies avec bon sens à chaque épidémie, car il faut le rappeler, le COVID n’est ni la première ni la dernière épidémie, la grippe saisonnière à titre d’exemple faisant chaque année en France plusieurs milliers de morts. Mais les mesures imposées, toujours plus contraignantes, sont-elles proportionnées au risque sanitaire existant à ce jour ?
Les Allemands se sont dressés contre Bill Gates, exigeant que l’humanité se réveille et rejette le soi-disant « dictateur mondial de la santé », ainsi que les Big Pharma corrompus et l’élite qui conduisent le monde vers le « totalitarisme mondial » et l' »esclavage ».
Robert F. Kennedy Jr. s’est adressé à une foule considérable à Berlin samedi, alors que des dizaines de milliers d’Allemands ont uni leurs forces pour protester contre ce que Kennedy Jr. a appelé le « programme de biosécurité de Bill Gates, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État parrainé par Big Pharma contre la démocratie libérale ». « La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques », a déclaré Kennedy Jr, qui a fait l’éloge de l’immense foule berlinoise pour être en première ligne de la lutte contre le totalitarisme mondial. « Il y a cinquante ans, mon oncle John F. Kennedy est venu dans cette ville. Il est venu sur cette terre, parce que Berlin était en première ligne contre le totalitarisme mondial. Et aujourd’hui encore, Berlin est en première ligne contre le totalitarisme mondial », a déclaré Kennedy Jr. sous les acclamations de la foule. Lors de son discours d’ouverture, Kennedy Jr. a déclaré que les grands médias américains corrompus disent aux gens qu’il est venu à Berlin « pour parler à environ cinq mille nazis ».
Charles Gave ( Économiste et essayiste) et Marcus C. Kerber ( Économiste) analysent les conséquences désastreuses du plan de relance européen post-covid. Et dénoncent le coup d’État permanent de la commission européenne pour détruire la souveraineté fiscale des États- Nations avec la complicité du Président Macron et de la Chancelière Merkel.
La prise de parole de Robert F. Kennedy Jr à Berlin le samedi 29 août:
« Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre : parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement. »
Le Dr Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) où il dirige l’équipe SCEPID (Systèmes Complexes et Epidémiologie) au sein du Laboratoire d’Informatique Médicale et d’Ingénierie des Connaissances (LIMICS) et directeur de l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de Santé (IRSAN), dénonce lui-aussi les mensonges au sujet du Covid 19 et l’entretien par les médias d’un climat de peur infondée.
Il n’y a rien en ce moment qui justifie cette peur puisqu’il n’y a pas d’épidémie, explique-t-il.
Il affirme également faire l’objet de pressions pour ne pas sortir du discours officiel.
France Info, ce soir, le journaliste annonce doctement dans son micro qu’il est « difficile pour la droite d’exister en cette période de crise sanitaire, alors elle axe son discours sur le thème de la sécurité ». L’insécurité en France ne serait qu’un sentiment ? Qu’un argument de la droite pour faire parler d’elle ? C’est ce qu’il semble convenu de penser et de dire dans les médias mainstream ou dans les beaux quartiers dans lesquels il est de bon ton de cacher ces « incivilités » que l’on ne saurait voir.
À l’inverse, d’autres n’ont que faire du langage médiatiquement correct et n’ont pas peur de dénoncer cette occultation des faits ou de « choquer les belles âmes ». Ainsi Marion Maréchal, interviewée cette semaine par Azur TV, déplorait que l’on « mange du Covid matin, midi et soir » et que l’on ne fasse plus de politique depuis six mois, tout en entretenant une certaine forme d’angoisse. « Dans le même temps où la maladie ne tue plus, on va vers des mesures de plus en plus drastiques. »