
Une femme menottée devant sa fille pour non port d'un masque. Où sommes-nous ? Quels sont ces gendarmes qui en arrivent à cette situation épouvantable digne d'une dictature ?
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Une femme menottée devant sa fille pour non port d'un masque. Où sommes-nous ? Quels sont ces gendarmes qui en arrivent à cette situation épouvantable digne d'une dictature ?
Face au coronavirus, les restrictions ne cessent d’augmenter.
Ces 19 et 20 septembre ont été marqués par de nombreux rassemblements partout dans le monde pour protester contre les reconfinements, les masques et les mesures sanitaires imposés par les gouvernements.
https://fr.novopress.info/218901/video-covid-19-multiples-rassemblements-contre-les-restrictions-sanitaires/

Je suis très inquiet pour la santé des Français. Non pas pour les risques liés au Covid-19. On sait, désormais, à quoi s’en tenir sur les personnes vraiment à risque, sur les profils des décès (comorbidité, etc.) et la médecine, « raoultienne » ou pas, réussit désormais à mieux prendre en charge les cas graves. Non, je suis très inquiet pour leur santé… mentale et l’impact des injonctions d’un pouvoir par ailleurs discrédité par ses incessants changements de pied sur les masques, les tests, les quatorzaines, les « On ferme/on ferme pas une classe ». Et j’en passe.
Dernier épisode de cette danse du Covid-19, la dernière sentence du ministre de la Santé : « Les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts. » Les amis de mes amis… Ce sont des cas contacts « à risque négligeable ». Dans la classe de mes enfants, cela donne : « Ben oui, on lui parle pas, à lui, on mange jamais avec lui. » Entendu, chéri, j’ai compris. Si on y réfléchit un peu, tout cela se défend, et Le Huffpost explicite tous les cas possibles, les degrés de contact.
Au sommaire de cette édition de fin de semaine : le virus des impôts va prendre le relais du coronavirus.
Nous reviendrons sur le tsunami fiscal à venir avec le directeur de Contribuables Associés.
Nous reviendrons ensuite sur les déclarations d’Olivier Véran et pour son retour devant la presse, le ministre de la Santé ne s’est pas montré très convaincant.
Enfin cocorico, nous évoquerons le tourisme français qui a moins souffert que celui de nos voisins européens grâce au tourisme de proximité !
http://by-jipp.blogspot.com/2020/09/covid-19-le-confinement-et-maintenant.html

Une étude vient de paraître dans la revue Science du 10 septembre, mettant en valeur les différences d’expression génétique entre les sexes, aboutissement de dix années d’efforts, financé par les National Institutes of Health (NIH). Futura-sciences en a rédigé une synthèse.
Quand on pense génétique, on raisonne souvent selon l’absence ou la présence de tel ou tel gène. Or, les différences de phénotype et de nombreux facteurs biologiques (poids, maladies, vieillissement, taux de sucre dans le sang…) dépendent aussi étroitement de la façon dont les gènes sont utilisés par la cellule (épigénétique). Certains gènes restent ainsi souvent en grande partie inactivés. Ces variations d’expression sont appelées « transcriptome ». Un gène contient un code ADN pouvant être lu et transcrit en protéines fonctionnelles. Il génère pour cela un brin d’ARN à partir du code ADN, qui sert de guide pour fabriquer la protéine. Plus le gène est actif, plus il produit d’ARN et donc de protéines. C’est la quantité et la qualité de l’ARN que l’on appelle transcriptome et qui est utilisé pour mesurer l’activité des gènes.

Les informations se suivent et ne se ressemblent pas. La rentrée de septembre est marquée par la peur d’une reprise de la pandémie et d’une seconde phase « exponentielle ». D’autres sources d’informations montrent le contraire, comme cet article de Capital. Depuis mars dernier, le monde a changé en mal. Il a basculé dans tout autre chose. Nous vivons dans le monde d’après et il n’est pas beau à voir. L’arrêt des grands voyages planétaires est emblématique de l’anéantissement de la liberté et de l’enfermement des consciences. Le chômage, le désœuvrement et la pauvreté ravagent nos sociétés mais la dissimulation et le truquage des réalités sont désormais banalisés, comme dans n’importe quel système totalitaire. La violence omniprésente est le signe de la désintégration du tissus social, dans un monde où il est interdit de voir le visage d’autrui et de serrer les mains. La montée des idéologies de la table rase extrémiste en politique n’est que le reflet de la barbarie croissante de la société.