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santé et médecine - Page 189

  • Covid-19 : les préfets s’affolent… les Français aussi

    Les informations se succèdent à un rythme qui s’accélère, et elles semblent toutes aller dans le sens d’une seconde vague de Covid-19. Israël reconfine pour trois semaines. L’Espagne est confrontée à un raz-de-marée, la Grande-Bretagne s’inquiète, l’OMS prédit une augmentation du nombre de morts en octobre-novembre. En France, Marseille, Bordeaux et la Guadeloupe sont d’ores et déjà dans le rouge.

    Les préfets sont en première ligne, ils s’agitent tels des rats dans un labyrinthe dont ils ne trouveraient pas l’issue. C’est qu’ils n’en savent guère plus que le Français moyen – (et l’on serait même tenté d’ajouter qu’ils n’en savent pas plus et pas moins que les médecins, que les politiques, que les membres du Conseil scientifique) – et ils ignorent en conséquence sur quels leviers agir efficacement pour enrayer le mal, même s’ils connaissent au moins l’étendue de leur pouvoir de contrainte.

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  • L’inutile acharnement de Véran contre Raoult

    Les fabricants de peur détestent le professeur Didier Raoult. Il les rend hystériques. Cela fait des mois que le scientifique assure, en effet, que l’épidémie de coronavirus n’est pas si mortelle. Il l’a redit ce lundi matin sur CNews, interrogé par Laurence Ferrari : “Ca sert à rien de s’affoler (…) La mortalité de cette maladie n’a rien de terrifiant (…)“. Pour lui, les chiffres des décès causés par le virus ne seront pas significatifs sur l’ensemble de l’année 2020. Il parle également de “délire sur l’hydroxychloroquine“, interdite aux médecins depuis mai. Selon lui, elle “diminue la mortalité de 50%“.

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  • Le Covid-19 s’immisce chez vous – JT du lundi 14 septembre 2020

    Au programme ce soir, le Covid-19 sert désormais de prétexte pour attaquer les familles. Après avoir soumis les Français au port obligatoire du masque en extérieur malgré son inutilité, le nouveau message est clair : la famille est le nouveau danger !

    Egalement dans cette édition, un retour sur les manifestations des Gilets Jaunes samedi dernier. Malgré le contexte sanitaire, de nombreux manifestants de la première heure s’étaient donné rendez-vous dans la Capitale. Notre reporter était sur place.

    Et puis nous partirons en Hongrie où l’épidémie a fait peu de victimes. De quoi galvaniser la mobilisation contre l’obligation du port du masque en extérieur… Une mobilisation bien plus forte que chez nous.


    https://www.tvlibertes.com/le-covid-19-simmisce-chez-vous-jt-du-lundi-14-septembre-2020

  • Sur BFM TV, Guy Courtois : "Il y a eu des pressions sur les médecins pour ne pas prescrire l'hydroxychloroquine".

    Extrait tiré de l'émission "BFM Story ", diffusée sur BFMTV le 3 septembre 2020.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/14/sur-bfm-tv-guy-courtois-il-y-a-eu-des-pressions-sur-les-mede-6263244.html
  • La Fondation Bill et Melinda Gates arrose les médias

    Selon un rapport de la Columbia Journalism Review, de nombreux médias et organisations de journalistes de premier plan soutenant la fondation Bill et Melinda Gates en tant qu’autorité de santé publique sont en fait partiellement financés par cette fondation. 

    Tim Schwab, du CJR, a écrit qu’il «a examiné près de 20 000 subventions caritatives que la Fondation Gates avait accordées à la fin du mois de juin et a trouvé plus de 250 millions de dollars destinés au journalisme», avec des destinataires tels que National Public Radio, la BBC, NBC, le National Journal, le Guardian, Gannett (qui possède USA Today et divers grands journaux régionaux), la National Press Foundation et d’autres publications, sociétés de médias, fondations de journalisme et organisations caritatives liées aux médias.

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  • Lignes de démarcation sanitaires

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    Qui a dit que l’histoire ne se répétait pas ? Il y a quatre-vingts ans et deux mois, après avoir subi la plus grande défaite militaire de son histoire en raison de l’incurie criminelle des gouvernements chancelants d’une IIIe République alignée sur la diplomatie anglo-saxonne, la France se retrouvait partagée en deux principales zones. Les deux tiers de son territoire passaient en « Zone occupée » tandis que le Sud-Est prenait le statut de « Zone libre ». Une frontière hermétique et surveillée, la « ligne de démarcation », rendait cette division tangible.

    Huit décennies plus tard, « zones libres » et « zones occupées » resurgissent dans l’Hexagone. Le prétexte d’une seconde vague de covid-19 ou d’un rebond de la première permet aux autorités déficientes d’imposer le port du masque dans les rues et les espaces ouverts. À Toulouse comme à Nice, municipalités régies par une mixture sarko-macronienne, son port y est systématique. À Paris, jusqu’à la dernière fin de semaine du mois d’août coexistaient des espaces « masqués » et d’autres non masqués. Cette subtilité géographique et sanitaire qui donnait aux cartes de la capitale de nombreuses taches de léopard n’existe plus. Ailleurs, l’usage de la muselière hygiéniste ne concerne que l’hyper-centre.

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  • Encore une loi pour étendre l’avortement

    Encore une loi pour étendre l’avortement

    Le 8 octobre, une proposition de loi déposée par le député EELV Albane Gaillot sera examinée à l’Assemblée nationale. Elle vise à supprimer la clause de conscience spécifique à l’avortement et à allonger les délais légaux d’accès à l’avortement de 12 à 14 semaines.

    Ils sont assoiffés de sang humain et ne s’arrêteront jamais.

    https://www.lesalonbeige.fr/encore-une-loi-pour-etendre-lavortement/

  • Sommes-nous face à une troisième vague… de peur ? Et un mensonge d’Etat ?

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    Pendant le confinement, j’avais analysé les cinq vagues du Covid. La première fut épidémique, elle affecte réellement les patients et les envoie à l’hôpital. La seconde fut politique, affectant les décisions et les notifications des experts. La troisième fut psychique, faite de peurs, d’anxiétés et de craintes diffuses dans la société. La quatrième est économique, c’est une crise amenée à s’étendre des années, voire plus. La cinquième est sociale, elle durera aussi mais on ne sait pas quels phénomènes exceptionnels elle engendrera. En 2018 personne n’a vu venir les gilets jaunes.

    Depuis la fin du confinement, les trois vagues, épidémie, politique, peur, sont pratiquement synchrones. Une seconde vague est arrivée dans le courant du mois d’août. Elle n’a pas été causée par l’épidémie mais par les remontées des ARS sur le nombre de cas positifs. Pendant le mois d’août, le nombre de nouvelles admissions est remonté très lentement, les décès se sont stabilisés autour d’une centaine par semaine. Les lits occupés sont restés stables, pratiquement sous les 400. Ces données n’ont pas empêché les autorités de resserrer la vis, surtout pour la question des masques. Et les médias de s’agiter et de prononcer la formule panique, exponentiel, exponentiel ! Une seconde vague de peur est ainsi apparue pendant ce long et chaud mois d’été. Et maintenant on voit de plus en plus des gens porter le masque, alors qu’ils se promènent dans une rue déserte, avec le plus proche contact à des dizaines de mètres. Même certains cyclistes n’hésitent pas à porter cet ustensile devenu on ne sait quoi ; instrument fétiche, totem, protection ou signe pseudo-religieux signalant que l’on est un bon citoyen fidèle du salafisme sanitaire, protecteur devant l’éternel des vieux et des grabataires.

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  • Coronavirus COVID-19 deuxième vague de faux positif et dictature sanitaire Christian Perronne

  • Dr Dominique Megglé : « Durant la crise sanitaire, les décideurs ont perdu les pédales et provoqué la terreur et la confusion »

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    J’ai l’impression que nous sommes en état de pré-guerre civileJ’ai l’impression que nous sommes en état de pré-guerre civile

    Le docteur Dominique Megglé, psychiatre et cofondateur de la Confédération francophone d’hypnose et de thérapies brèves, analyse les conséquences de la  du Covid-19 sur le lien social et familial, mais également au niveau psychologique.

    Nous avons l’impression d’être entre deux vagues épidémiques de Covid-19. Après trois mois de confinement, nous avons sans doute évité de nombreux morts de maladie, mais quid des dégâts psychologiques ? Sont-ils réels ? Quantifiables ?

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