
santé et médecine - Page 231
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Il est temps de sortir de cet absurde confinement
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Conférence de presse : Édouard Philippe cherche à réparer les gaffes de Macron !
Si vous avez eu le courage de suivre jusqu’au bout la longue conférence de presse d’Édouard Philippe, qu’aurez-vous appris ? Que « nous ne sommes pas sortis de la crise sanitaire » ? Qu’« [elle] va entraîner une crise économique [qui] ne fait que commencer et sera durable » ? Que « la vie, après le 11 mai, ne sera pas celle d’avant le confinement » ? Tout cela, vous le saviez déjà. L’impression qui en ressort plutôt, n’est-ce pas que le Premier ministre a cherché à réparer les gaffes d’Emmanuel Macron ?
Le président de la République avait annoncé que les plus âgés resteraient confinés au-delà du 11 mai, avant de se reprendre, devant le tollé soulevé et, peut-être, disent les mauvaises langues, les protestations de sa vénérable épouse. Édouard Philippe a confirmé qu’on ferait appel à leur responsabilité, sans les contraindre à rester chez eux. Olivier Véran a même dévoilé qu’à partir de lundi, il serait possible d’organiser, sous condition, « un droit de visite aux familles pour leurs aînés » dans les EHPAD. On va ainsi mettre fin à une situation jugée, à juste titre, inhumaine.
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Coronavirus : Près de la moitié des pensionnaires d’un Ehpad de Lorraine sont décédés
Le bilan humain est très lourd dans un Ehpad de Meurthe-et-Moselle. Près de la moitié de ses résidents sont vraisemblablement décédés du Covid-19 en deux semaines.
Dans un Ehpad de Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle), le coronavirus a été particulièrement meurtrier. 22 pensionnaires sur 51 sont vraisemblablement morts des suites du Covid-19 en deux semaines à peine, et 19 des 52 personnels soignants ont contracté la maladie.
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Pendant le confinement, le droit de circuler ne disparaît pas…
Maître Franck Samson, juriste et avocat spécialisé en droit des infraction routières, vient de publier un passionnant article intitulé “Déconfinons par le droit” sur Facebook – qui contient quelques rappels utiles concernant le zèle des forces de l’ordre dans le cadre du non-respect du confinement:
L’interdiction (et la sanction de la violation) de vous déplacer, c’est à dire d’aller d’un point à un autre librement, résulte de trois textes : les articles 3131-15 & 3136-1 du code de la santé publique (issus de la loi 2020-290 sur l’urgence sanitaire du 23 mars 2020) et surtout l’article 3 du décret 2020-293 du 23 mars 2020 modifié à différentes reprises. […]
Je ne discuterai pas ici du caractère manifestement contraire (inconstitutionnel, anti-conventionnel ou illégal) de ces textes par rapport à des normes qui leur sont supérieures, et notamment les articles 2 & 4 DDHC 1789, 6 CEDH et 34 de la constitution de 1958 ; ces irrégularités sont tellement flagrantes qu’elles seront soulevées par de nombreux juristes et donneront lieu à un contentieux abondant, qui aura le mérite de mesurer le degré d’impartialité réelle de nos hautes juridictions. Bref, sur cette question, nous attendrons les décisions à venir avec intérêt.
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Sur Sud Radio avec André Bercof, Serge Rader -"7 milliards de personnes à vacciner, c'est un pactole inimaginable !".
Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio
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Coronavirus : le sida aurait-il un lien avec l’origine du virus ?
INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Alors que la pandémie provoquée par le Covid-19 continue, avec plus de 160 000 décès dans le monde, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour sa codécouverte du sida, nous apporte une information intéressante : selon lui le virus responsable de la crise sanitaire proviendrait d’une manipulation humaine et serait sorti par erreur. En effet des analyses auraient montré la présence de séquences du VIH dans le Covid-19. -
Nicole et Gérard Delépine : La médecine est prise en otage par des technocrates ! (EDLQ #4)
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Pourquoi l’Ordre des médecins s’oppose à une réouverture précoce des écoles
Pour le Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’ordre des médecins, « il n’y a pas d’explication médicale à déconfiner dans le milieu scolaire en premier ».
LE FIGARO. – Pourquoi déconfiner les écoles à partir du 11 mai est une mauvaise idée?
Dr Patrick BOUET. – Ce choix révèle un manque absolu de logique. Nous ne comprenons pas cette annonce. La première décision a été de fermer les écoles, lycées et universités. Pour deux raisons. D’une part, parce qu’on sait que les enfants sont des vecteurs potentiels sans développer eux-mêmes l’infection, sauf à de rares exceptions. D’autre part, parce qu’il est très difficile en milieu scolaire de faire respecter les gestes barrières. Et maintenant le premier milieu que le Président veut déconfiner est le milieu scolaire! Comment ne porterait-il plus les mêmes risques ? Il faut qu’il y ait une logique entre les affirmations du gouvernement et celles des scientifiques. En revanche, le Président de la République a indiqué que jusqu’au 11 mai, on ne changeait rien au confinement. C’est un acte fort, et une bonne mesure.
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L’aveu : avec le confinement, « on renvoie la famille à l’autorité, ce qui est insupportable » !
Le 1er avril dernier, Boulevard Voltaire interrogeait Jean-Paul Brighelli après que le ministre Blanquer avait déclaré qu’on avait « perdu 5 à 8 % des élèves », disparus des radars scolaires pour cause de confinement. Il répondait ceci : « Certains parents traitent de “pétasses” les professeurs qui croient que c’est aux parents de faire leur boulot à leur place. C’est un témoignage direct. D’autres parents, pas si rares, s’aperçoivent avec horreur que leurs chers enfants ne sont pas du tout ce qu’ils croyaient, que ce sont de petits “branleurs” qui n’en ont rien à faire et qui sont accrochés à leur portable. Ce phénomène transcende toutes les classes sociales. »
C’est ce qui s’appelle parler franc.
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Du discrédit de la parole publique
Alors que l'Allemagne entreprend aujourd'hui, méthodiquement et franchement, son déconfinement, les représentants du meilleur système du monde, celui de l'Hexagone, s'exprimaient hier sur les ondes du service public. La longueur de leur communication n'a d'égal que le nombre de questions sans véritables réponses.
Humainement, on peut les plaindre de leur douleur, visible en ce moment, dans leur rôle de ministres, c'est-à-dire serviteurs, d'un État aussi lourd, aussi centralisé, aussi coûteux et en même temps aussi impuissant, hésitant et cafouilleux.
Mais, autant nous souffrons tous de cet étatisme, autant nos bons esprits faiseurs d'opinion suggèrent d'en guérir les maux par un surcroît d'étatisme.