INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Alors que la pandémie provoquée par le Covid-19 continue, avec plus de 160 000 décès dans le monde, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour sa codécouverte du sida, nous apporte une information intéressante : selon lui le virus responsable de la crise sanitaire proviendrait d’une manipulation humaine et serait sorti par erreur. En effet des analyses auraient montré la présence de séquences du VIH dans le Covid-19.
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Coronavirus : le sida aurait-il un lien avec l’origine du virus ?
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Nicole et Gérard Delépine : La médecine est prise en otage par des technocrates ! (EDLQ #4)
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Pourquoi l’Ordre des médecins s’oppose à une réouverture précoce des écoles
Pour le Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’ordre des médecins, « il n’y a pas d’explication médicale à déconfiner dans le milieu scolaire en premier ».
LE FIGARO. – Pourquoi déconfiner les écoles à partir du 11 mai est une mauvaise idée?
Dr Patrick BOUET. – Ce choix révèle un manque absolu de logique. Nous ne comprenons pas cette annonce. La première décision a été de fermer les écoles, lycées et universités. Pour deux raisons. D’une part, parce qu’on sait que les enfants sont des vecteurs potentiels sans développer eux-mêmes l’infection, sauf à de rares exceptions. D’autre part, parce qu’il est très difficile en milieu scolaire de faire respecter les gestes barrières. Et maintenant le premier milieu que le Président veut déconfiner est le milieu scolaire! Comment ne porterait-il plus les mêmes risques ? Il faut qu’il y ait une logique entre les affirmations du gouvernement et celles des scientifiques. En revanche, le Président de la République a indiqué que jusqu’au 11 mai, on ne changeait rien au confinement. C’est un acte fort, et une bonne mesure.
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L’aveu : avec le confinement, « on renvoie la famille à l’autorité, ce qui est insupportable » !
Le 1er avril dernier, Boulevard Voltaire interrogeait Jean-Paul Brighelli après que le ministre Blanquer avait déclaré qu’on avait « perdu 5 à 8 % des élèves », disparus des radars scolaires pour cause de confinement. Il répondait ceci : « Certains parents traitent de “pétasses” les professeurs qui croient que c’est aux parents de faire leur boulot à leur place. C’est un témoignage direct. D’autres parents, pas si rares, s’aperçoivent avec horreur que leurs chers enfants ne sont pas du tout ce qu’ils croyaient, que ce sont de petits “branleurs” qui n’en ont rien à faire et qui sont accrochés à leur portable. Ce phénomène transcende toutes les classes sociales. »
C’est ce qui s’appelle parler franc.
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Du discrédit de la parole publique
Alors que l'Allemagne entreprend aujourd'hui, méthodiquement et franchement, son déconfinement, les représentants du meilleur système du monde, celui de l'Hexagone, s'exprimaient hier sur les ondes du service public. La longueur de leur communication n'a d'égal que le nombre de questions sans véritables réponses.
Humainement, on peut les plaindre de leur douleur, visible en ce moment, dans leur rôle de ministres, c'est-à-dire serviteurs, d'un État aussi lourd, aussi centralisé, aussi coûteux et en même temps aussi impuissant, hésitant et cafouilleux.
Mais, autant nous souffrons tous de cet étatisme, autant nos bons esprits faiseurs d'opinion suggèrent d'en guérir les maux par un surcroît d'étatisme.
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De leur «inutilité» à une possible obligation… la volte-face de l’exécutif sur les masques
En l’espace d’un mois, l’exécutif a donné des consignes contradictoires au sujet du port du masque. De quoi mettre à mal sa capacité à gérer l’épidémie.
C’est un virage à 180 degrés dont les effets risquent de se faire sentir bien après la crise. Depuis l’arrivée du coronavirus en France, l’exécutif a radicalement changé de discours sur la question des masques. De leur inefficacité, martelée au début, le gouvernement envisage désormais le port obligatoire «dans certaines situations», dont les transports en commun. Ces propos contradictoires en quelques semaines ont semé l’indignation. Beaucoup y ont vu une stratégie de l’exécutif pour camoufler une pénurie non anticipée. Début avril, selon un sondage Odoxa, trois Français sur quatre (76%) pensaient même que le gouvernement leur avait «caché la vérité». Au sommet de l’État, on se défend en rappelant que chaque prise de position a été fondée sur des avis scientifiques. Le Figaro revient sur cette volte-face.
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Covid-19 : Alain Bauer recadre Apolline de Malherbe sur les mensonges du gouvernement
Sur BFMTV, Alain Bauer a recadré Apolline de Malherbe au sujet des nombreux mensonges du gouvernement dans la gestion de la crise sanitaire qui touche le pays.
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Le confinement, solution à l’incurie de nos instances sanitaires
Le bruit court dans la presse, ces jours-ci, que le virus du Covid-19 pourrait être lié à une manipulation génétique et s’être échappé d’un laboratoire de recherche biologique, normalement hautement sécurisé, situé à Wuhan. Le professeur Montagnier, découvreur du virus du SIDA et prix Nobel de médecine, interrogé par la presse médicale ne repousse pas l’hypothèse d’une manipulation génétique peut-être destinée à trouver un vaccin contre le SIDA car, d’après lui, des biologistes indiens auraient découvert dans le génome de ce coronavirus des éléments génétiques appartenant au virus du SIDA.
Quelle que soit l’origine de ce virus, manipulation génétique ou mutation et passage de l’animal à l’homme, il s’est répandu comme une traînée de poudre dans le monde entier, nous a pris totalement au dépourvu et a révélé nos graves insuffisances dans bien des domaines.
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Le petit virus, grand pédagogue ? (IV) – Réquisitoire contre un Etat défaillant !, par Christian Vanneste.
Le Covid-19 est l’examinateur d’un concours : en posant une question vitale, il permet d’établir entre les Etats un classement. Il y a ceux dont la stratégie est efficace par le faible nombre de décès et par la courbe de la propagation vite inversée. Comme dans tout examen, il y a l’intelligence du candidat, ses connaissances, son potentiel, et son honnêteté intellectuelle. Il y a des tricheurs. Il y a des cerveaux peu aptes à se concentrer, Il a ceux qui ont déjà passé l’épreuve ou d’autres analogues.
Les pays asiatiques, qui ont connu des épidémies, en ont tiré une expérience salutaire qui sous-tend la logique de leur riposte : isoler par le masque plus que par le confinement qui ruine l’économie, dépister par des tests massifs, circonscrire les voies de la propagation, et traiter les malades. Cette stratégie suppose une grande discipline de la population et des moyens humains et matériels importants. Elle peut réussir dans des pays totalitaires, notamment ceux qui ont fait des efforts pour la santé. Cuba exporte ses médecins alors que les Etats-Unis vont battre tous les records de mortalité liée au Covid-19. Ce serait aller trop vite en besogne que de voir dans cette crise la grande revanche du socialisme contre le monde libre. D’une part, il est trop facile de dissimuler la vérité dans un pays où l’information est strictement contrôlée et d’autre part, que vaut une vie lorsqu’elle ne peut jouir d’une part d’autonomie et quand elle subit la pauvreté inhérente au socialisme, comme au Vénézuela ? La Corée du Sud est un modèle : elle additionne son expérience, les moyens d’une économie dynamique, et l’homogénéité d’une population qui compense, par la rigueur des individus, l’individualisme que génèrent la démocratie libérale et le règne du marché.
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La peur de la mort justifie-t-elle le confinement de tout le pays ?
Paru le 15 avril dans le courrier des lecteurs du Quotidien du médecin :
Cinquante ans de médecine de campagne… J’ai 76 ans passés et j’en ai vu des épidémies de grippe dès 69-70, qui tuaient 30 à 40.000 personnes sans qu’on affole une population infantilisée par l’idée de la mort et – surtout – par médias et hommes politiques qui surfent sur la vague.
J’ai de nombreuses années assumé un cabinet de 40 à 50 malades jours et nuits et dimanches en dépit de 3 associés que j’avais accueillis à mes côtés.
Encore inscrit au Conseil de l’Ordre, je viens de soigner une dizaine de personnes atteintes du covid-19 et j’y suis passé moi-même sans encombre en n’hésitant pas à prendre Nivaquine + antibiothérapie.
Oui, on n’est pas certain de l’efficacité de ce traitement… mais alors, que proposer à nos patients ? Pour mes amis et parents, comme pour moi, je n’ai pas hésité.
Toxicité de l’hydrochloroquine ? J’en ai prescrit comme tous les autres médecins pendant 50 ans (sans qu’on m’emmerde) contre le palu et dans certaines affections rhumatismales sans le moindre incident alors que j’ai dû hospitaliser des cirrhoses au paracétamol chez des non alcooliques, sans parler des hémorragies digestives sous aspirine…