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santé et médecine - Page 338

  • Militantisme LGBT en faveur de la vente d'enfants par GPA

    Lu sur Closer :

    "Un acte militant. C'est comme ça qu'Alex Goude décrit son témoignage à paraître demain, mercredi, dans les pages de Gala, qui publie en avant-première sur son site Internet des extraits d'une longue interview que l'animateur accorde au magazine. L'ancien trublion de la météo, reconverti depuis dans l'animation de jeux et dans La France a un incroyable talent, parle de sa paternité. Depuis trois mois, il est le papa d'un petit Elliot, né sous GPA (gestation pour autrui). Un bébé qu'il a eu avec Romain, son compagnon depuis cinq ans.

    Alex Goude explique pourquoi il accepte enfin de parler de sonhomosexualité: "Pour fêter les deux ans du mariage homo­sexuel léga­lisé en avril 2013. Et puis, je suis très heureux, alors ça donne envie de faire bouger les menta­li­tés". Il explique que pour avoir Elliot,c'est à Las Vegas qu'ils ont dû aller(où le couple est d'ailleurs installé). Car l'option de l'adoption n'était pas celui de la facilité :"Pour être en mesure d'adop­ter, en France, aujourd'­hui, on doit taire son homo­sexua­lité. Je n'avais pas envie de mentir".

    L'animateur jette un pavé dans la marre en affirmant que d'autres célébrités ont eu recours à la GPA pour avoir leur enfant : "Au sein du show­biz français, nous ne sommes pas les seuls à avoir eu recours à la gesta­tion pour autrui, mais le sujet est tabou. D'au­tant qu'on doit partir à l'étran­ger pour le faire"."

    Loi Taubira, homosexualité, showbiz, fabrication et vente d'enfant : un cocktail explosif, mais logique.

    Michel Janva

  • La GPA bientôt imposée à la France par l’Union européenne

    La semaine dernière le Tribunal de Grande Instance de Nantes a obligé la transcription sur les registres de l’état-civil des actes de naissance de 3 enfants nés à l’étranger par GPA (qui est pour le moment, interdite en France).

    Désavouant ainsi les jugements rendus par le parquet de cette même ville, le TGI a considéré que la primauté de l’intérêt supérieur de l’enfant avait priorité sur l’intérêt général, obéissant ainsi aux arrêts rendus par la CEDH (Cour européenne des droits de l’homme).

    Le gouvernement français se trouve devant une situation intenable entre la loi nationale et la législation européenne.


    En octobre 2014 notre Premier Ministre affirmait : « La reconnaissance des enfants nés par GPA restera interdite en France »

    Ce n’est plus qu’une question de temps et cela malgré l’opposition et les déclarations de Manuel Valls : « Il est inimaginable d’automatiser la retranscription des actes de naissance étrangers aux régistres d’état-civil français, ce qui équivaudrait à accepter et normaliser la GPA »

    Et nos lois l’interdisent formellement.

    La France européenne n’est plus maîtresse de ses décisions ni de ses lois puisque, quand elle les applique l’Europe la condamne.

    En matière d’état-civil le parquet de Nantes était, jusqu’à présent, seul compétent pour toute la France du fait de la présence dans cette ville du service national qui lui est dédié. Il s’était opposé à la transcription des actes de naissance d’enfants nés en Ukraine, en Inde et aux USA.

    Notre justice, jusqu’à aujourd’hui, considérait que l’autorisation de la GPA en France porterait atteinte à l’état-civil de l’enfant car elle serait assimilée à une supposition d’enfant : donc une infraction qui condamne le fait de prêter à une femme un accouchement qui n’a pas eu lieu.

    Pour cette décision la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) en juin 2014 : notre pays n’avait pas le droit de refuser la transcription d’actes d’état-civil pour des enfants nés par GPA aux Etats-Unis.

    La Cour européenne avait décrétée que : « Si la France avait le droit d’interdire la GPA sur son territoire, elle ne pouvait porter atteinte à l’identité des enfants nés de mères porteuses à l’étranger en refusant de les reconnaître. »

    Il s’agit là d’un véritable et grave problème pour notre pays car on donne ainsi la nationalité française à des enfants nés hors de France, puisque cette nationalité française serait acquise de droit quand l’un des deux parents est français et devrait donc être officialisée, en attendant l’autorisation de la GPA !

    La France n’aura pas d’autre choix que d’accepter un jour prochain la « gestation pour autrui » respectant ainsi la justice européenne qui a une valeur supérieure à nos législations internes.

    Et cela sans aucun doute à la très grande satisfaction de la Garde des Sceaux, Christiane Taubira qui, après le mariage pour tous verra le feuilleton se poursuivre avec la PMA puis la GPA et puis plus tard ??

    Le gouvernement français se trouve devant une situation intenable entre la loi nationale et la législation européenne.

    Dans l’état actuel des choses il ne peut que s’incliner devant le diktat européen (*).

    Manuel Gomez, 18/05/2011

    Note : « Après l’espoir, la douche froide. Le parquet de Nantes vient de faire appel des jugements rendus le 13 mai lui ordonnant d’inscrire à l’état civil français les actes de naissance de trois enfants nés par gestation pour autrui (GPA) à l’étranger: en Ukraine, en Inde et aux Etats-Unis. »
    (Libération.fr – 18/05/2015 – 19.40)

    http://www.polemia.com/la-gpa-bientot-imposee-a-la-france-par-lunion-europeenne/

  • Philippe Gosselin sur la GPA: “Nous y sommes, ce n’était pas un fantasme”

    gpa.jpg

    Trois enfants nés par gestation pour autrui (GPA) à l’étranger vont être inscrits à l’état civil. Le tribunal de grande instance de Nantes a, en effet, donné raison mercredi dernier, aux parents.
    Le TGI condamne également le parquet à rembourser les frais d’avocats des trois familles requérantes à hauteur de 1000 euros.
    Les magistrats ont suivi les arrêts rendus par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) dans de précédents dossiers similaires.

    Il s’agit d’un véritable scandale car cette décision apparaît tout simplement comme une porte ouverte à la légalisation de la GPA.

     


    TextO’ : Philippe Gosselin : "Nous y sommes, ce… par Lopinionfr

    http://fr.novopress.info/

  • Merci au collectif d’intellectuels de gauche qui s’oppose à la GPA !

    Source : Boulevard Voltaire
    C’est dans Libération que l’on trouve la dernière tribune contre la GPA. On ne s’en plaint pas !

    L’actualité réserve parfois des surprises. Comme celle de ce collectif d’intellectuels de gauche qui signe une tribune dans Libération, le quotidien des bobos qui consomment bio, intitulée « Pour l’arrêt immédiat de la gestation pour autrui ». Eh bien, Mesdames et Messieurs, bravo !
    Bravo de publier cela dans le journal le plus libertaire qui soit, directement issu de Mai 68 et de son libéralisme social absolu. On y trouve plutôt des soutiens au mariage homo, aux revendications individualistes et au consumérisme ambiant – mais toujours éco-responsables ! Mais rarement des tribunes opposées à une pratique que certains justifient au nom de la liberté individuelle.
    Bravo d’oser rappeler, au milieu d’arguments secondaires, « qu’il n’y a pas de différence entre la pratique commerciale de la GPA et la vente et l’achat d’enfants », c’est-à-dire que la GPA est une forme d’esclavagisme moderne qui exploite le corps des femmes et transforme des êtres humains en marchandises. Vous nous rappelez le combat séculaire des chrétiens contre l’esclavage.
    Bravo d’écrire que « le lien biologique entre la mère et l’enfant est indéniablement de nature intime et, lorsqu’il est rompu, les conséquences en sont durables pour les deux parties ». Nous ne disons pas autre chose lorsque nous rappelons qu’un enfant est issu d’une union intime entre deux personnes et a besoin, pour son développement, d’un père et d’une mère.

    Bravo de rappeler que « personne n’a droit à un enfant, pas plus les hétérosexuels que les homosexuels ou les individus ayant fait le choix de rester célibataire ». C’est ce que nombre d’entre nous ont clamé dans des manifestations où vous étiez absents, et qui nous a valu le vilain sobriquet d’homophobes.
    Merci à vous, hommes et femmes de gauche, féministes, altermondialistes, antilibéraux et écologistes, de nous rappeler quelques évidences qui ne relèvent ni de l’idéologie, ni d’une vision partisane, mais de l’anthropologie la plus simple, de l’évidence de notre nature humaine.
    Bien sûr, certains de vos arguments ne nous semblent pas prioritaires : ce n’est pas à cause des risques médicaux qu’il faut interdire la GPA, même si cela n’est pas négligeable. Bien sûr, si vous alliez au bout de votre logique, vous pourriez avoir quelques surprises, de ces remises en cause philosophiques douloureuses pour certains. Évidemment, il est surprenant de la part de féministes de vanter le lien intime entre la mère et l’enfant, qu’elles voient comme un amas de cellules lorsqu’il n’est pas désiré dans un « projet parental ». Mais, quelles que soient les insuffisances de votre argumentation, ce que vous dites est exact : la GPA est une exploitation de la femme par l’homme, au détriment des enfants privés de mère, et fait du corps des femmes une machine commerciale.
    Alors, une fois n’est pas coutume : à vous les Bové, Onfray, Roudy, Agacinski, à vous les avorteuses de la CADAC et autres lesbiennes, signataires avec tant d’autres de cette pétition, il faut dire merci. Peut-être que vos voix « progressistes », que tant d’entre nous combattent par ailleurs, et continueront de combattre lorsqu’il le faudra, porteront plus auprès de nos gouvernants que nos manifestations immenses, mais méprisées.
    Tant mieux pour les enfants.

    http://fr.novopress.info/

  • L'objection de conscience face à l'avortement

    Le docteur Sylvie de Kermadec, gynécologue-obstétricien, a failli être licenciée parce qu'elle avait essayé de faire réfléchir une femme qui voulait avorter. À l’occasion de la sortie du hors-série de L’Homme Nouveau sur l’objection de conscience, elle déclare :

    H

    "Depuis le début, depuis que je suis externe, j’ai toujours exclu toute participation de près ou de loin à des avortements. D’abord en refusant de collaborer à des actes, puis en refusant de poser des stérilets ; enfin, lorsque j’ai été chef de service dans un hôpital parisien, en limitant les activités du service pour que le personnel ne pratique pas l’IVG.

    Comment avez-vous réussi à évincer cette pratique dans votre service ?

    J’ai dit que l’on n’en ferait pas. Point. C’était non discutable. Lorsqu’on est intimement convaincu, ferme, et gentil, on en impose naturellement.

    Cette objection de conscience était-elle évidente, ou avez-vous dû l’imposer ?

    L’objection de conscience est théoriquement possible. C’est un droit réel reconnu par la loi. Mais on ne nous laisse pas l’exercer facilement. Nous sommes soumis à des pressions, et obligés d’engager un certain rapport de force. Il faut donc parfois justifier ce refus. J’ai failli être licenciée d’une clinique parce que j’avais essayé de faire réfléchir une femme qui voulait avorter. Je l’ai aidée à réfléchir à d’autres éventualités. Si on ne le fait pas, on ne respecte pas leur liberté de choix. Suite à cet entretien, la patiente a déclaré qu’elle désirait réfléchir. Cela a mis en colère la directrice de la clinique. Elle m’a convoquée et a décrété qu’on n’avait pas le droit de dissuader les patients de pratiquer une IVG. J’ai rétorqué en m’appuyant sur l’application de la loi, qui dit que le premier entretien doit être dissuasif, et expliquant qu’en cas de licenciement, devant les Prud’hommes je serais soutenue. L’affaire en est donc restée là.

    En tant que chef de service, j’ai été soumise à des pressions majeures pour réaliser ou laisser pratiquer des actes incompatibles avec le comportement auquel nous engage l’Église. Certaines périodes ont été très difficiles en raison de pressions permanentes.Des pièges m’ont été tendus, parfois, afin de m’obliger à pratiquer un avortement. En vain. J’ai refusé de participer à toute organisation ou tout acte y conduisant. En revanche je suis très à l’écoute des femmes. Elles ont très souvent envie d’avoir cet enfant, mais comme elles ne l’ont pas prévu, elles sont dans la logique de l’avortement. Elles sont en détresse, il est très important de leur montrer compassion et bonté, de leur montrer que je ne suis pas en accord avec le geste qu’elles projettent, mais ne les juge pas. Je leur parle, les incite à réfléchir avant de prendre une décision. Que cela fonctionne ou non, cela peut servir une autre fois. Mais je ne participe à l’acte d’aucune façon.

    Vous travaillez aujourd’hui dans une grande entreprise publique. Éprouvez-vous toujours les mêmes difficultés ?

    J’ai dû récemment faire face à la plainte d’un syndicat de cette entreprise. Ils reçoivent régulièrement les plaintes de femmes ou de représentants du personnel qui essayent d’obtenir mon départ car je refuse de poser des stérilets et de répondre à leur demande d’IVG. La loi m’autorise à ne pas faire des choses qui se heurtent à ma conscience. Je contre donc en invoquant les articles qui m’y autorisent. [...]"

    Michel Janva

  • BELJANSKI : ON A TOUT FAIT POUR QUE VOUS AYEZ PEUR :

    Beljanski : ce nom restera gravé dans l’histoire de la lutte contre le cancer. Il y a vingt ans, le succès des produits mis au point par ce grand scientifique s’est répandu sous le manteau comme une traînée de poudre chez les malades du cancer. Et la poudre a pris feu… Beaucoup d’entre vous connaissent la suite : la fin dramatique d’un homme poursuivi à mort par les autorités judiciaires françaises. Son nom, sa réputation scientifique, ses produits, frappés d’anathème. Un acharnement sournois et dissuasif est, depuis, à l’œuvre, qui nous laisse croire en 2014 que les produits Beljanski sont interdits tout en faisant passer pour un danger sanitaire le seul fait d’en parler. Et pourtant : des centaines, des milliers de patients suivent les traitements originaux et en sont satisfaits, en France comme ailleurs et plus souvent qu’on ne le croit avec la coopération de leur médecin.

    Cet article vous paraîtra peut-être un peu long, mais si vous avez le cancer, lisez-le jusqu’au bout, c’est important, et en plus… passionnant.

    Tant de contre-publicité et de contrefaçons pour rien ?

    Que n’a-t-on dit, vu, entendu… Des livres entiers ont été écrits sur le sujet et des kilomètres d’informations, contradictoires, se déroulent sur le Net. Des hommages, certes, mais de méchantes accusations souvent, de pseudo « démystifications ».

    Les autorités de santé et les labos pharmaceutiques peuvent se frotter les mains. Leur incroyable travail de sape a porté ses fruits. Dans les grands médias, c’est le black-out, avec juste ce qu’il faut de désinformation de temps à autre… Pour encore dissuader les récalcitrants, sait-on jamais… Mais pas un mot qui pourrait laisser penser qu’il n’y a rien d’illégal à utiliser un produit Beljanski !

     

    En 20 ans, au fond, rien n’a changé

    Un pseudo reportage du Magazine de la Santé de France 5, diffusé le 14 février 2013, résume à lui seul la situation. Avec un titre-question dont on devine la réponse : « Mirko Beljanski, héros ou escroc ? ». Un monument d’ignorance (feinte ?) et de mensonges dans lequel le « journaliste » va jusqu’à affirmer que ce scientifique a refusé de publier ses résultats (objets de 133 publications…) et se trompe sur la date de décès de celui qu’il prétend cerner…

    Les calomnies en tout genre continuent de se répandre, les mauvaises langues se concentrant désormais sur l’« affairisme » présumé de la famille Beljanski, exilée aux Etats-Unis. Ces produits mènent leur vie, attisant des jalousies. Et pour nous embrouiller définitivement, une grosse quinzaine de sites Internet étrangers proposent des imitations ou des contrefaçons que le système médical en place met dans le même sac. En vrac.

    Des produits sans intérêt méritent-ils tant de mauvaise publicité et copie-t-on copie massivement ce qui ne marche pas ?

    Comment ne pas se tromper quand le cancer vous presse ?

    Si nous ne sommes pas tous dupes, cette situation met quand même sur la touche, par méconnaissance ou ignorance, nombre de patients qui pourraient ainsi augmenter leurs chances de guérir d’un cancer. Et elle ne peut que favoriser la triche ou les abus que d’autres malades subissent pour les mêmes raisons. Devant tant de mensonges, comment ne pas se tromper, ou être trompé quand apparaît le cancer, que le temps presse et que l’on n’est pas épaulé par des thérapeutes avertis ?

    Comment ne pas méjuger de l’intérêt de tel ou tel produit ? Ma réponse est nette : mieux vaut s’adresser à Dieu qu’à ses saints, à la maison-mère (fille à vrai dire), Natural Source, qui garde le bénéfice de l’antériorité, avec la garantie de produits fabriqués selon les formulations d’origine de Mirko Beljanski.

    Primo, et même si on ne les a pas déjà expérimentés directement ou à travers un proche, le large usage qui en a été fait toutes ces années les valide en partie.

    Secundo, ces garanties sont aussi d’ordre scientifique, ce que beaucoup ignorent encore. Il est donc temps de clarifier la situation. De rétablir quelques vérités pour comprendre le fin mot de l’histoire. Et de donner à ces traitements naturels (articulés autour de cinq compléments) la juste place qu’ils méritent.

    Et que ceux d’entre vous qui ont la malchance de devoir affronter un cancer se rassurent : ces thérapies naturelles n’excluent pas les traitements officiels auxquels, inquiet, on se raccroche toujours dans l’urgence. Au contraire !

    Interdits par qui ?

    On dit toujours ces produits « interdits », alors on se les procure discrètement. En réalité, ils ne sont interdits en France que dans les esprits car il n’existe aucune preuve négative d’une quelconque interdiction.

    La DGCCRF, que j’ai interrogée à ce sujet après que l’ANSES (l’agence en charge des compléments alimentaires) ait botté en touche, ne m’a d’ailleurs jamais répondu. Silence vaut aceptation… De fait, beaucoup de médecins ou thérapeutes les recommandent. Ils n’ont pas à faire d’ordonnance, et c’est parfaitement légal.

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  • Avortement et cancer du sein : un lien de causalité

    Le cancer du sein est en augmentation constante entre 25 et 39 ans dans tous les pays du monde. Comment expliquer ce phénomène. Le Collège américain des Pédiatres vient de réitérer sa position sur la question en décembre 2013 (Il a fait cette déclaration : « Quand on considère l’anatomie normale et la physiologie du sein, il devient clair qu’il y a lien de causalité et pas seulement de corrélation. » L’explication est la suivante. En dehors de la grossesse, les lobules du sein sont immatures donc impropres à la production du lait. Sous l’influence hormonale de la grossesse la croissance de ces lobules est considérable d’où l’augmentation du volume de la poitrine des femmes enceintes, ce que chacun peut constater. Ces lobules grossissent et murissent de manière à pouvoir produire du lait. C’est durant cette croissance que les cellules sont particulièrement vulnérables au développement du cancer. Si on les empêche de se développer par l’avortement qui supprime brutalement la croissance physiologique elle-même sous la dépendance hormonale de la grossesse, le cancer peut alors apparaître.

    Ajoutons que ces cellules devenues cancéreuses vont très lentement se développer. Entre le stade de microscopique et celui de l’apparition clinique et son diagnostic, il peut se passer beaucoup de temps. Quand le diagnostic est effectué par exemple par la mammographie, le cancer est déjà aux huit-dixième de son évolution. Et d’un avortement à un autre le risque d’émergence se trouve renforcé.

    Malheureusement dans de nombreux pays l’idéologie remplace la réalité des faits.

    Dr Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/avortement-et-cancer-du-sein-un-lien-de-causalite/30244

  • Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records

    Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité. 
    En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitaires à usage agricole. Parmi eux, ce grand pays producteur de café, coton, maïs et canne à sucre retirait du marché le Roundup (glyphosate), désherbant vedette de Monsanto, récemment classé “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). 
    Pour protéger le patrimoine semencier salvadorien et assurer la production agricole, le gouvernement de l’ancien président Mauricio Funes lançait en 2011 le Plan pour l’agriculture familiale (FAP). À destination de quelque 400 000 familles d’exploitants, ce plan visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs des industriels des biotechnologies et de leurs OGM. 
    En crise, le système agricole était majoritairement dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et consort. Avant la mise en œuvre du FAP, 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés selon le site d’information The Seattle Globalist. Et les plantes cultivées sur le territoire étaient majoritairement issues de graines OGM stériles, non adaptées aux territoires et à leurs particularités, forçant le recours aux intrants chimiques. Réaffirmant sa souveraineté alimentaire, le gouvernement a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser les graines locales. 
    L’État a alors investi plus de 18 millions de dollars afin de livrer 400 000 exploitants en maïs H-29, développé par le Centre national de la technologie agricole et forestière (CENTA). Le maïs présente l’avantage d’être une variété locale, mieux adaptée aux terres salvadoriennes et plus résistantes à la sécheresse. 
    Selon le site Natural Society, l’agriculture du Salvador serait en pleine expansion.Le pays aurait connu des récoltes records depuis qu’il a banni certains phytosanitaires. Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-29, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile. 

  • Un avorteur avec plus de 40 000 avortements devient pro-vie

    Lu sur ce site canadien :

    "[...] M. Adasevic, devenu aujourd’hui l’un des chefs du mouvement pro-vie en Serbie, avait pratiqué plus de 48 000 avortements avant que des doutes sur la procédure ne le poussent à arrêter cette pratique. D’autres sources estiment ce nombre à 60 000. Il attribue sa conversion pro-vie à deux éléments : une succession inhabituelle de rêves et une expérience particulièrement troublante au cours de ce qui devait être un avortement de routine. Il décrit ainsi la procédure :

    J’ai ouvert le ventre, déchiré le placenta, après quoi la poche des eaux s’est rompue et j’ai pu travailler avec mon forceps d’avortement. J’ai attrapé quelque chose, que j’ai brisé, extrait et jeté sur un linge. Je regarde et je vois une main – une main assez grande. L’enfant avait 3 mois, peut-être 4. Je n’avais rien pour mesurer.

    A trois mois de grossesse, le bébé est entièrement formé, y compris ses doigts et ses orteils. Tous ses organes et les systèmes de son corps sont présents. Il a des empreintes digitales et respire du liquide amniotique pour se préparer à sa vie en dehors du corps de la maman. M. Adasevic poursuit :

    Quelqu’un avait versé de l’iode sur la table et la main est tombée de telle façon que les terminaisons nerveuses sont entrées en contact avec le liquide. Et que s’est-il passé ? J’ai regardé et je me suis dit : « Mon Dieu, la main bouge toute seule. » Je continue malgré tout avec mon forceps, j’attrape autre chose, je le brise, je l’extrais. Je me dis : « J’espère que ce n’est pas une jambe. » Je tire, je regarde : une jambe.

    Je veux poser la jambe sur la table, doucement, afin qu’elle ne se place pas près de la main qui bouge. Mon bras se baisse et j’entends un coup dans mon dos. Je sursaute et, automatiquement, mon emprise sur le forceps se détend. A ce moment, la jambe fait une culbute et vient tomber près de la main. 

    Je regarde – la main et la jambe bougent toutes seules. Je poursuis tout de même en dirigeant mon instrument vers le ventre et je commence à briser tout ce qui se trouve à l’intérieur. Je me dis en moi-même que tout ce dont j’ai besoin pour compléter le tableau, c’est de tomber sur le cœur. Je continue de broyer, je broie, je broie, jusqu’à être sûr d’avoir fait de la bouillie de tout ce qu’il reste à l’intérieur, et je retire à nouveau mon forceps.

    J’extrais cette bouillie en me disant qu’il doit s’agir de fragments osseux et je la pose sur le linge. Je regarde et je vois un cœur humain, qui se contracte, qui se relâche et qui bat, qui bat, qui bat. Je crois devenir fou. Je vois les battements du cœur ralentir, plus lentement, encore plus lentement, jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent complètement. Personne n’a pu voir ce que j’ai vu de mes yeux et être plus convaincu que moi de ce que je venais de faire : j’ai tué un être humain.

    Cette étrange et terrible expérience a ouvert les yeux de Stojan Adasevic sur le caractère horrible de l’acte qu’il pratiquait. Cette puissante rencontre avec l’humanité de l’enfant à naître était en net contraste avec la formation qu’il avait reçue. Dans le documentaire, M. Adasevic décrit ses journées de travail en tant qu’avorteur :

    Il m’arrivait de pratiquer 20, 25, 30 ou même 35 avortements par jour. Nous travaillions cinq jours par semaine… [...]

    Il rêvait à un magnifique champ rempli d’enfants et de jeunes gens qui jouaient et riaient, âgés entre 4 et 24 ans, mais qui prenaient peur à sa vue et s’enfuyaient. Un homme vêtu de noir et de blanc le fixait en silence.

    Ce rêve revenait chaque nuit et il se réveillait avec des sueurs froides. Une nuit, il demanda à l’homme en noir et blanc qui il était. « Je m’appelle Thomas d’Aquin. »

    « Pourquoi ne me demandes-tu pas qui sont ces enfants ? » m’a demandé St Thomas dans un rêve.

    « Ce sont ceux que tu as tués en les avortant », m’a-t-il répondu. (...)

    [...] Après les songes troublants et la terrible expérience de cet avortement, M. Adasevic a annoncé à l’hôpital où il travaillait qu’il ne pratiquerait plus d’avortements. Sa conversion pro-vie lui a coûté cher.

    C’était la première fois qu’un médecin en Yougoslavie communiste refusait de pratiquer cet acte. Ils ont divisé mon salaire par deux, licencié ma fille et empêché mon fils d’entrer à l’université.

    M. Adasevic s’emploie depuis à changer les cœurs et les mentalités. Il a fait diffuser un documentaire pro-vie à la télévision serbe. Sa conversion fulgurante est glaçante, mais aussi enthousiasmante. Un avorteur acharné est devenu un héros pro-vie.

    Soulignons d’ailleurs que Stojan Adasevic doit sa vie à un avortement raté. Sa mère, alors enceinte, avait demandé à se faire avorter, mais l’avorteur a manqué son acte et l’enfant est né vivant."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Vincent en sursis

    Alors qu’est attendue la sentence de la Cour européenne des droits de l’homme, les amis de Vincent Lambert lancent un appel sur Internet  :www.jesoutiensvincent.com .

    Vincent, accidenté en 2008, est-il un vivant de trop  ? Ses amis d’enfance ne le pensent pas.

     

    Leur protégé, confiné dans sa chambre de soins palliatifs, est l’un des quelque 1 600 patients «  EVC-EPR  » (pour états végétatifs chroniques et pauci-relationnels) qui vivent en France avec les graves séquelles d’accidents cérébraux. Ne devrait-il pas bénéficier d’une unité spécialisée  ?

    «  Certaines ont proposé en vain une place à Vincent  », expliquent ses amis sur le site de l’appel, «  pour lui prodiguer les soins adaptés à son état et des petits gestes simples  : l’asseoir dans un fauteuil, des séances de kiné, le promener dans un parc, lui faire ressentir la fraîcheur du soir qui tombe  ». Lorsque l’affaire Lambert a éclaté, la plupart des soignants de ces unités se sont tus, mais on trouve désormais de nombreux professionnels de santé spécialisés parmi les signataires de l’appel. Beaucoup se savent incompris d’une société prompte à assimiler les vies cassées dont ils prennent soin au monde végétal. Les mots légume ou plante verte leur font mal. Pour de nombreux bien portants, le constat de «  lésions cérébrales irréversibles  » font d’un être humain un «  mort-vivant  » éligible à l’euthanasie. La mission Claeys-Leonetti n’a d’ailleurs pas voulu recevoir les représentants des associations de proches de patients traumatisés crâniens alertés par la notion d’«  arrêts de traitements maintenant artificiellement en vie  ». […]

    La suite sur France Catholique