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santé et médecine - Page 338

  • Captagon : la drogue des combattants de Daesh ?

    L’homme qui a commis un attentat sur la plage d’un hôtel de Sousse, en Tunisie, le 28 juin 2015, était sous l’emprise du captagon, selon une source citée par le Daily Mail. Les groupes de Daesh utiliseraient cette drogue de type amphétaminique pour doper leurs combattants. 
    Selon le Daily Mail, les survivants ont rapporté que Seifeddine Rezgui, l'homme qui a ouvert le feu sur une plage de Sousse en Tunisie, le 28 juillet 2015, souriait et riait alors qu’il venait de commettre son massacre. L’autopsie du tueur aurait prouvé qu’il était sous l’emprise d’une drogue afin qu’il ne comprenne pas ce qu’il était en train de faire, selon une source citée par le journal britannique. 
    Cette drogue est le captagon, aussi appelé fénétylline (ou fénéthylline). Il s’agit d’un stimulant de la famille des amphétamines qui comprend aussi la métamphétamine, l'ecstasy (MDMA), et la methcathinone. Elle a été classée à la liste des substances stupéfiantes placées sous contrôle international de l'OMS en 1986. 
    Une substance désinhibante 
    "Comme tous les neuroexcitants, cette molécule entraîne une résistance à la fatigue et donne l'impression à celui qui la prend qu'il n'a plus de limites. Il est deshinibé et devient capable de passer à l'acte sans crainte de la réaction des autres qui n'existent même plus pour lui", explique William Lowenstein, médecin spécialiste des addictions et président de SOS addictions. "Mais il ne suffit pas de prendre du captagon pour fusiller 38 personnes ! Dans ce cas, la drogue a agi sur un cerveau "préformaté". Généralement, cette substance est utilisée pour ses propriétés dopantes. Dans les années 1960 à 1970 c'était d'ailleurs la molécule la plus utilisée dans le cyclisme." 
    Le captagon était auparavant commercialisé en France comme coupe-faim. Mais il a été retiré du marché en 1993 en raison des graves lésions cardiaques qu'il provoquait. "Des jeunes femmes ont subi des transplantations coeur-poumons parce qu'elles avaient voulu perdre 4 kilos !", rappelle William Lowenstein. 
    Au Moyen-Orient, le captagon fait l’objet d’un vaste commerce illicite, en raison de la facilité de sa production et la disponibilité des matières premières. La Syrie serait devenu le principal pays producteur. Selon Reuters, le gouvernement syrien et les rebelles affirmeraient chacun de leur côté que l’autre groupe utilise cette drogue pour supporter les longues heures de combat sans sommeil.

  • 229 000 avortements en 2013 en France

    Selon les chiffres officiels de la DREES :

    "En 2013, 229 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 217 000 en Métropole. Leur nombre est relativement stable depuis 2006 et varie peu chaque année. Il enregistre une hausse en 2013, après deux années de légère baisse : il est ainsi passé de 226 100 en 2010 à 222 200 en 2011, et 219 100 en 2012.

    Le taux de recours est de 15,6 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en France entière. Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de 28,8. Les taux continuent à décroître chez les moins de 20 ans, avec 9,5 recours pour 1 000 femmes parmi les 15-17 ans (après 10,0 en 2012) et 21,8 parmi les 18-19 ans (après 22,0 en 2012).

    Les écarts régionaux perdurent, avec des recours moyens toujours supérieurs à 18 IVG pour 1 000 femmes en Ile-de-France, Provence – Alpes-Côte d’Azur, Corse, Languedoc-Roussillon et dans les DOM.

    Les IVG médicamenteuses représentent 49 % des IVG réalisées en établissements et 58 % du total des IVG. Les IVG pratiquées hors établissement représentent 16 % du total des IVG en Métropole et 25 % dans les DOM, où pourtant la pratique des IVG en centres de santé, centres de planification ou d’éducation familiale ne s’est pas répandue."

    Michel Janva

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  • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1

    Des données sur la famille contenues dans le recueil 2015 de l’UNAF viennent combattre un certain nombre d’idées reçues et justifient l'attachement très fort au modèle de la famille durable que les AFC promeuvent sans relâche. Parmi les chiffres :

    • 75,2% des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents ensemble …
    • Le nombre de divorces recule depuis 2010 …
    • 5490€ par an : c'est en 2012 la différence de niveau de vie médian d'un couple avec 3 enfants par rapport à un couple sans enfants.
    • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1. Ce taux est à 2,01 en 2014.

    Michel Janva

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  • "Il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né"

    Un rapport glaçant de l’European Centre for Law and Justice sur « l’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe » a été publié, en soutien de la pétition qui sera présentée au Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

    Injections létales, étouffements, abandons… Tout est mis en œuvre pour que ces bébés – nés vivants au-delà de vingt semaines – meurent rapidement, dans la plus grande indifférence, sans aucune prise en compte de leur souffrance.

    « Le plus souvent, les parents ne sont pas informés de la survie de leur enfant et des causes réelles de sa mort ».

    Les équipes médicales et paramédicales expliquent que ces pratiques existent depuis de nombreuses années. Mme L. M., ancienne infirmière anesthésiste, rapporte ainsi qu’en 1987, une équipe a laissé un bébé « mourir de froid ». En 1963 déjà, Mme M. J., alors étudiante infirmière, a récupéré un nourrisson encore vivant dans un drap roulé en boule. Avec pour seule consigne de

    « le mettre dans un haricot [une cuvette, N.D.L.R.] et d’attendre ». « Nous étions là pour le regarder, ce petit être vivant, lui parler et caresser son petit corps pendant 45 minutes. […] Il s’est finalement arrêté de respirer et nous l’avons laissé sur le plateau»

    Selon une étude menée en 2000, 73 % des médecins français en néonatologie déclareraient qu’ils ont dans leur carrière administré aux nouveau-nés des produits médicamenteux pour les tuer. M. X. B., médecin, alors qu’il était externe, raconte avoir entendu le chef de service de génétique du CHU entrer

    « dans une sorte de fureur, en demandant combien de fois il devrait dire qu’il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né ».

    Une étude publiée au Royaume-Uni en 2007, dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu’environ un avortement sur trente au-delà de seize semaines de gestation donne lieu à la naissance d’un enfant vivant. À vingt-trois semaines, le taux d’enfants vivants atteint 9,7 %. Selon une sage-femme suédoise, la proportion atteindrait même 25 %.

    Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, rappelle qu’un

    « bébé prématuré, même né lors d’une tentative d’avortement tardif, est un être humain et doit bénéficier de soins et du droit à la vie comme tout être humain ».

    Le comité des affaires juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a émis le 23 juin un avis négatif, au motif que le sujet serait « trop sensible », pourrait questionner l’avortement, et diviser l’Assemblée. La décision du Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe est attendue pour le 31 août 2015.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/07/il-ne-fallait-pas-faire-de-f%C5%93ticide-in-utero-mais-tuer-le-b%C3%A9b%C3%A9-apr%C3%A8s-quil-soit-n%C3%A9.html

  • Le Puy du Fou offre 50 000 € à la Fondation Jérôme Lejeune

    C'était hier :

    CJAu-OSW8AAliPy
    CJAu9fNWUAAtbng
    CJAxoK-WoAAwW54
    CJAxpIBWEAAGOeU
    CJDeexVWsAALJLk

    Michel Janva

  • GPA : la fin du mythe des « fantômes de la République »

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    "La Cour de cassation doit rendre ce vendredi un avis très attendu sur la reconnaissance des GPA réalisées à l’étranger pour des ressortissants français. L’argumentation des partisans de la légalisation de la GPA et de son business abject repose sur l’existence supposée des « fantômes de la République », ces enfants nés de GPA à l’étranger mais non reconnus par la France.« C’est un mensonge : il faut mettre fin à ce mythe des « fantômes de la République » s’indigne Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. A la veille de manifestations de grande ampleur organisées en octobre dernier par La Manif Pour Tous, le Premier Ministre lui-même le rappelait dans une interview accordée au journal La Croix : « Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l’étranger. »

    Cet argument fallacieux se retrouve une nouvelle fois au cœur d’une décision de justice. Il est clair que les militants pro-GPA cherchent à détourner le regard d’une opinion publique de plus en plus choquée par la réalité sordide d’une pratique qui conduit à  l’arrachement volontaire et programmé de l’enfant à sa mère dès sa naissance et à l’asservissement des femmes réduites à la valeur de leur utérus. Chaque jour, de nouvelles vois s’élèvent pour appeler à mettre un terme à cette pratique odieuse de la GPA qui utilise et exploite la misère humaine comme une matière première.

    Les partisans de la légalisation de la GPA sont devenus ces spécialistes pour transformer des inexactitudes voire des mensonges en vérité auto-proclamée. Ainsi, contrairement à ce qu’ils affirment, la CEDH n’a jamais condamné la France pour refus de retranscrire à l’état civil français des enfants nés de GPA à l’étranger. La CEDH s’est contenté de demander que la vie privée de ces enfants soit respectée par la République française.« Personne ne sait exactement ce que cela signifie concrètement et les juristes s’arrachent les cheveux pour essayer d’analyser cette décision dont les conclusions ont été manipulées par des groupes de pression en faveur de la GPA »dénonce Ludovine de La Rochère.

    Alors que l’avis de la Cour de cassation sera rendu ce vendredi, La Manif Pour Tous tient à rappeler les risques des conséquences des recommandations du Procureur général. Si, conformément au souhait de Jean-Claude Marin, l’état civil mentionne le lien de filiation biologique de l’enfant à l’égard de son père, rien ne s’opposera à ce que le conjoint du père engage une procédure d’adoption qu’il soit hétérosexuel ou homosexuel (grâce à la loi Taubira) qui aura pour résultat la reconnaissance totale par la France des GPA réalisées à l’étranger.« Il y a un choix de société qui s’impose à la conscience collective. Toute forme de reconnaissance de la GPA est incompatible avec les valeurs de la République » conclue Ludovince de La Rochère."

    Michel Janva

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  • MARION MARÉCHAL-LE PEN INTERROGE MME. LA GARDE DES SCEAUX, MINISTRE DE LA JUSTICE, SUR LA PROGRAMMATION SCIENTIFIQUE DU PROJET DE RECHERCHE DROIT ET JUSTICE.

    La Mission de recherche scientifique Droit et Justice, créée à l’initiative du ministère de la Justice, a sélectionné une étude de droit comparé entre les dispositifs juridiques nationaux en matière de procréation assistée.

    Cette étude, menée par des universitaires, s’inscrit dans le cadre d’un appel d’offres concernant « le droit à l’enfant et la procréation en France et dans le monde » censé étudier les difficultés juridiques françaises engendrées par le tourisme procréatif. Un rapport final doit synthétiser l’ensemble des conclusions émanant de la recherche. Ainsi, un groupe d’universitaires mène une série d’entretiens auprès de magistrats ayant traité d’affaires relatives à la reconnaissance d’une configuration familiale issue de techniques de reproduction assistées.

    Dans ce cadre, une circulaire envoyée à des tribunaux de grande instance demande au personnel judiciaire « de bien vouloir réserver le meilleur accueil » aux chercheurs. Cette mission intervient alors que deux décisions de justice remettent en cause un des principes phares de l’ordre public français interdisant la marchandisation de la femme : l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 26 juin 2014 ainsi que la « circulaire Taubira » en date du 25 juin 2013 et approuvée par plusieurs décisions du Conseil d’Etat.

    C’est pourquoi elle demande si cette mission de recherche concernant le droit à l’enfant et la filiation ne constitue pas une initiative partisane du ministère de la Justice en faveur de la PMA et de la GPA.

    http://marionlepen.fr/marion-marechal-le-pen-interroge-mme-la-garde-des-sceaux-ministre-de-la-justice-sur-la-programmation-scientifique-du-projet-de-recherche-droit-et-justice/

  • Famine au Zimbabwe : la faute aux Occidentaux, bien sûr

    Ce pays qui produisait, au moment de l'arrivée au pouvoir de Robert Mugabe, 28 millions de tonnes de maïs dont une large partie était exportée, vient d'en importer - à crédit, bien sûr - 700.000 tonnes pour essayer d'endiguer la famine qui guette une grande partie de la population rurale.

    Plus ça change, plus ça se dégrade, serait-on tenté de dire quand on voit l’interminable descente aux enfers de l’ex-Rhodésie. Il semblerait, cependant, que chaque jour qui passe repousse de façon miraculeuse les limites de cette dramatique dégringolade. Ce pays qui produisait, au moment de l’arrivée au pouvoir de Robert Mugabe, la bagatelle de 28 millions de tonnes de maïs dont une large partie était exportée, vient d’en importer – à crédit, bien sûr – 700.000 tonnes pour essayer d’endiguer la famine qui guette une grande partie de la population rurale. Et pour expliquer tout cela, un des principaux dirigeants du ZANU-PF (Zimbabwe African National Union – Patriotic Front) vient d’accuser les pays occidentaux d’avoir manipulé… le climat afin de favoriser la sécheresse.

    Ce que ce monsieur oublie de dire, c’est que ce pays avait toujours fait face dans le passé à des conditions climatiques extrêmes mais que, jadis, fermiers et autorités du pays avaient mis sur pied un réseau de pompes, de canaux et de digues qui pouvait faire face aux situations climatiques extrêmes. Très vite, ceux qu’on appelle « les nouveaux fermiers » ont tout abandonné et laissé se dégrader les installations, plus soucieux qu’ils étaient de faire acte de présence en venant de la capitale dans leurs grosses Mercedes noires en costume-cravate pour voir si tout allait bien sur les fermes saisies pour leur compte. C’est ainsi, et seulement ainsi, que ce pays en est arrivé là où il est aujourd’hui.

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  • Loi Taubira : la girouette Bruno Le Maire

    Au meeting de Sens Commun le 15 novembre 2014, Bruno Le Maire réclamait la réécriture de la loi Taubira (vidéo) pour lever les ambigüités sur la filiation et la GPA :

    "Je n'ai qu'une parole et je tiens promesse [...] Voilà la position que je continuerai à défendre".

    Le 22 juin, il déclare exactement l'inverse à Sens Commun :

    "Mais je préfère le dire : vouloir réécrire cette loi nous entraînera dans des débats sans fin qui rouvriront des divisions de la société française. Ce n’est pas souhaitable. Pour moi, l’amour homosexuel vaut l’amour hétérosexuel."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html