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santé et médecine - Page 340

  • Famine au Zimbabwe : la faute aux Occidentaux, bien sûr

    Ce pays qui produisait, au moment de l'arrivée au pouvoir de Robert Mugabe, 28 millions de tonnes de maïs dont une large partie était exportée, vient d'en importer - à crédit, bien sûr - 700.000 tonnes pour essayer d'endiguer la famine qui guette une grande partie de la population rurale.

    Plus ça change, plus ça se dégrade, serait-on tenté de dire quand on voit l’interminable descente aux enfers de l’ex-Rhodésie. Il semblerait, cependant, que chaque jour qui passe repousse de façon miraculeuse les limites de cette dramatique dégringolade. Ce pays qui produisait, au moment de l’arrivée au pouvoir de Robert Mugabe, la bagatelle de 28 millions de tonnes de maïs dont une large partie était exportée, vient d’en importer – à crédit, bien sûr – 700.000 tonnes pour essayer d’endiguer la famine qui guette une grande partie de la population rurale. Et pour expliquer tout cela, un des principaux dirigeants du ZANU-PF (Zimbabwe African National Union – Patriotic Front) vient d’accuser les pays occidentaux d’avoir manipulé… le climat afin de favoriser la sécheresse.

    Ce que ce monsieur oublie de dire, c’est que ce pays avait toujours fait face dans le passé à des conditions climatiques extrêmes mais que, jadis, fermiers et autorités du pays avaient mis sur pied un réseau de pompes, de canaux et de digues qui pouvait faire face aux situations climatiques extrêmes. Très vite, ceux qu’on appelle « les nouveaux fermiers » ont tout abandonné et laissé se dégrader les installations, plus soucieux qu’ils étaient de faire acte de présence en venant de la capitale dans leurs grosses Mercedes noires en costume-cravate pour voir si tout allait bien sur les fermes saisies pour leur compte. C’est ainsi, et seulement ainsi, que ce pays en est arrivé là où il est aujourd’hui.

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  • Loi Taubira : la girouette Bruno Le Maire

    Au meeting de Sens Commun le 15 novembre 2014, Bruno Le Maire réclamait la réécriture de la loi Taubira (vidéo) pour lever les ambigüités sur la filiation et la GPA :

    "Je n'ai qu'une parole et je tiens promesse [...] Voilà la position que je continuerai à défendre".

    Le 22 juin, il déclare exactement l'inverse à Sens Commun :

    "Mais je préfère le dire : vouloir réécrire cette loi nous entraînera dans des débats sans fin qui rouvriront des divisions de la société française. Ce n’est pas souhaitable. Pour moi, l’amour homosexuel vaut l’amour hétérosexuel."

    Michel Janva

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  • Le ramadan, une perversion du carême ?

    Alors que les médias nous saoulent d’informations et de commentaires sur le ramadan, que les supermarchés dressent ostensiblement  des rayons dédiés, ressortons ces quelques remarques pertinentes d’Yves Daoudal :

    Le ramadan n’est pas seulement une mauvaise copie du carême, c’est une perversion du carême (comme de nombreuses pages du Coran sont une perversion de la Bible, etc.).
    Le symbolisme du jeûne de carême est, notamment, la purification de l’âme par le retranchement de la nourriture du corps (car le jeûne purifie le corps). Mais le ramadan, c’est le contraire.
    Car si l’on jeûne dans la journée, la nuit on fait bombance (et on digère dans la journée). Dans les pays musulmans, la consommation alimentaire augmente de 30 % pendant le ramadan.
    (C’est pourquoi chez nous toutes les chaînes de supermarchés ont leurs rayons spécial ramadan, alors que, si le carême était vécu par les catholiques comme 40 jours de jeûne, il ne pourrait pas y avoir de rayons spécial carême, pour la bonne raison que le jeûne de carême c’est une réelle privation.)
    L’orgie de nourriture est telle que les hôpitaux sont pris d’assaut par des malades qui présentent tout l’éventail des pathologies liées à la surconsommation de nourriture (et grasse, et sucrée…), depuis la simple indigestion jusqu’aux crises cardiaques.
    Et il y a des émissions spéciales à la télévision pour demander aux gens de se modérer et donner des recettes de plats moins riches. En ce temps de dictature hygiéniste, le ramadan devrait être interdit.

    http://www.contre-info.com/le-ramadan-une-perversion-du-careme#more-13935

  • Immigration : 5 CRS en mission à Calais atteints de tuberculose

    Parmi les nombreux « bienfaits » de l’immigration massive, il y a le retour ou l’apparition de maladies graves, venues d’ailleurs…

    Ainsi, plusieurs cas de tuberculose se sont déclarés parmi les policiers de la CRS 20 de Limoges (Haute-Vienne). Selon un témoignage recueilli par France Bleu Limousin, un premier fonctionnaire s’est déclaré atteint de la maladie, puis bientôt trois, et enfin cinq, sans que la hiérarchie prenne de mesures pour endiguer l’épidémie.

    Selon France Bleu Limousin, la hiérarchie policière ne dément pas ces cas de tuberculose mais affirme qu’il s’agit d’un problème de santé personnel.
    Mais elle oublie de dire qu’actuellement, cette compagnie est ainsi en mission à Calais, ville confrontée à un afflux de clandestins venus d’Afrique et du Moyen-Orient qui tentent de s’introduire au Royaume-Uni.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides officiellement reconnu

    C'est un pas de plus vers la reconnaissance des maladies professionnelles des agriculteurs. Lundi 7 mai, est entré en vigueur un décret qui reconnaît la maladie de Parkinson comme maladie professionnelle et établit explicitement un lien de causalité entre cette pathologie – seconde maladie neurodégénérative en France après Alzheimer – et l'usage des pesticides.
    Un pas de plus car, dans ce domaine où règnait jusqu'ici la loi du silence, la prise de conscience des effets des produits phytosanitaires sur la santé des agriculteurs commence seulement à émerger. Et à porter ses fruits. En février, la victoire d'un céréaliculteur charentais, Paul François, qui avait intenté un procès contre le géant américain Monsanto, a constitué une première en France. La firme a été jugée responsable de l'intoxication de l'agriculteur par les vapeurs d'un de ses herbicides, le Lasso – retiré du marché en 2007 en France, alors que sa dangerosité était connue depuis plus de vingt ans.
    Quelques jours plus tard, ils étaient plusieurs dizaines d'exploitants à manifester au Salon de l'agriculture, devant le stand de l'Union des industriels de la protection des plantes. Leurs revendications : le classement des affections liées à l'usage des pesticides en maladies professionnelles et le retrait des produits dangereux.
    Le 30 avril, c'est une autre décision, celle de la Commission d'indemnisation des victimes d'infraction (Civi) d'Epinal, qui est venu apporter de l'eau au moulin : ce jour-là, l'Etat a été condamné à indemniser un agriculteur céréalier de Meurthe-et-Moselle souffrant d'un syndrome myéloprolifératif. D'abord reconnue comme maladie professionnelle, la pathologie est alors associée par la Civi à l'usage de produits contenant notamment du benzène.
    UN DÉCRET "TRÈS ATTENDU"
    Dans ce paysage qui commence doucement à évoluer, le décret concernant la reconnaissance de la maladie de Parkinson était donc "très attendu", note Guillaume Petit. L'agriculteur appartient à l'association Phyto-victimes, créée en mars 2011, et avec laquelle Paul François a, l'un des premiers, brisé le silence en attaquant Monsanto. Lui a attendu quatre ans avant de voir sa pathologie reconnue comme maladie professionnelle. "Combien voient leur demande refusée ? Combien aussi y renoncent, devant la difficulté ?", interrogeait-il lors de la création de cette association.
    L'entrée de la maladie de Parkinson dans les tableaux des maladies professionnelles du régime agricole facilitera donc les démarches pour les agriculteurs chez qui cette pathologie aura été diagnostiquée moins d'un an après l'usage de pesticides – le texte ne précise pas lesquels. "C'est une reconnaissance officielle qui est, déjà, importante sur un plan symbolique, note Guillaume Petit. Mais c'est aussi le moyen, pour l'agriculteur, d'être pris en charge financièrement, en fonction de son taux d'incapacité à poursuivre son travail."
    EN DIX ANS, CINQ MALADIES LIÉES AUX PESTICIDES RECONNUES
    Jusqu'ici, selon Yves Cosset, médecin du travail national adjoint à la Mutuelle de la santé des agriculteurs (MSA), seuls vingt cas de maladies de Parkinson ont été rapportés aux comités de reconnaissance des maladies professionnelles en dix ans. Dix ont été acceptés, dix refusés. Dans la même période, seuls quatre ou cinq cas de maladies ont été officiellement reconnus comme causés par les pesticides.
    Au total, ce sont 4 900 pathologies qui sont reconnues chaque année comme maladies professionnelles chez les agriculteurs. Mais plus de 90 % d'entre elles sont des TMS (troubles musculo-squelettiques), le reste des cas étant principalement liés aux animaux et à la poussière de bois ou d'amiante, selon Yves Cosset.
    Dans les tableaux des maladies professionnelles du régime agricole, on trouve ainsi, par exemple, la maladie de Lyme – causée par les tiques –, le tétanos ou encore les hépatites. Mais aussi quelques pathologies liées aux produits phytosanitaires. Est notamment cité, depuis 1955, l'arsenic, responsable d'une large gamme d'affections – irritations, intoxications ou cancers. Ou encore le benzène, classé comme cancérogène certain, et le pentachlorophénol (PCP), interdit dans les pesticides depuis 2003.
    Mais, rappelle Yves Cosset, "ces tableaux évoluent au fur et à mesure des connaissances de la science. Or, la plupart des pathologies liées aux pesticides apparaissent de manière différée, dix, vingt, voire trente ans après le début de leur usage. Dans la médecine du travail, on a commencé à parler de l'amiante dans les années 1960, et ce produit n'a été mentionné dans ces tableaux qu'en 1998 pour les cancers. Il n'est donc pas exclu que d'autres pathologies émergent et soient reconnues dans les années à venir..."

  • GPA : non, la personne n’est pas un objet de commerce !

    Le 19 juin, la Cour de Cassation devra se prononcer sur la transcription d’actes d’états civils d’enfants issus de GPA à l’étranger. Le Collectif pour le Respect de la Personne appelle les juges à ne pas instrumentaliser des droits qu’ils sont censés protéger.

    Depuis un an, le recours aux mères porteuses, appelé par euphémisme « gestation pour autrui » (GPA) ne cesse de faire la une de l’actualité judiciaire.

    En juin 2014 (arrêt Mennesson), la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné la France pour n’avoir pas respecté le droit à l’identité des enfants, dont ferait partie la reconnaissance du lien de filiation avec leur père biologique, sans préciser si ce droit devrait être garanti par la transcription des actes d’état civil étrangers ou d’une autre manière. En janvier 2014, elle a condamné l’Italie pour le placement d’un enfant que ses commanditaires avaient fait fabriquer en Russie sans même qu’il existe un lien biologique ni avec l’un ni avec l’autre. Autant valider le trafic d’enfants. L’Italie a obtenu le renvoi en Grande Chambre, la formation solennelle de la Cour. La CEDH est actuellement saisie de trois nouvelles affaires de GPA qui posent cette fois précisément la question de la transcription. Le sujet n’est donc pas clos.

    Le 15 mai dernier, le TGI de Nantes a ordonné la transcription intégrale d’actes d’état civil américains, indiens et ukrainiens issus de GPA. Le 19 juin, c’est au tour de la Cour de cassation de se prononcer à nouveau.

    Tout le monde est d’accord pour garantir les droits de l’enfant, qui ne sont pas responsables des conditions de leur naissance. Reste à savoir comment. Rappelons que les enfants ne sont ni « sans papiers » ni des « petits fantômes de la République » : ils ont des actes de naissance étrangers qui sont pris en compte dans la vie quotidienne. Aucun problème d’autorité parentale, d’accès à la sécurité sociale, etc. La question de la nationalité a été réglée en pratique par la circulaire Taubira. Elle aurait pu l’être autrement, le code civil permettant de donner la nationalité à tout enfant élevé depuis 5 ans par des Français. Si les enfants ont besoin d’une protection supplémentaire, cela peut être fait par des mesures spécifiques décidées démocratiquement par le législateur. C’est cela, la démocratie. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?GPA-non-la-personne-n-est-pas-un

  • Témoignage de Mme Lambert, mère de Vincent, à Strasbourg

  • Reportage : « Demain, la France des déserts médicaux… »

    Reportage d’Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv : 60 % des médecins s’installaient en médecine libérale il y a 30 ans. Ils ne sont plus que 30 % aujourd’hui. Ils sont 90.600, ils seront 5.000 de moins en 2020. Que se passe t-il donc ? Une politique au coup par coup, une augmentation des contraintes administratives ; il y eu également le numérus clausus qui a fait chuter le nombre d’étudiants en médecine durant plusieurs années. Fixé annuellement par le gouvernement, le nombre d’étudiants « choisi » pour entrer en seconde année de médecine a été volontairement limité durant des années. Or, il faut en moyenne 10 ans pour former un médecin.

    http://www.contre-info.com/

  • Marine Le Pen : "Qu’on arrête de les loger, qu’on arrête l’Aide médicale d’État"

    Alors que Nicolas Sarkozy vient encore de changer d'avis à propos du droit du sol, voici la réponse de Marine Le Pen à la question de l'immigration clandestine :

    "Qu’on arrête de les loger, qu’on arrête l’Aide médicale d’État qui coûte un milliard d’euros par an.

    Il faut suspendre immédiatement Schengen, comme d’ailleurs les traités le prévoient lorsqu’il existe un danger important, et retrouver la maîtrise de nos frontières. Mais ça ne suffira pas. Il faut aussi lancer un signal à l’ensemble de ces immigrants clandestins : Nous ne voulons pas que vous veniez vous installer chez nous, nous n’en avons plus les moyens.

    Le problème, c’est que c’est une question de volonté de nos dirigeants (...) Il faut changer notre politique internationale alors qu'il y a une guerre internationale qui nous est menée, ça c’est évident. Ce que je propose, c’est de tourner le dos à la politique internationale qui a été menée par Hollande et Sarkozy (…) Il faut s’appuyer sur des pays qui luttent contre l’islamisme, comme l’Égypte" 

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Europe veut la PMA pour tous (Présent 8374)

    Le 8 juin, le Parlement européen a voté par 321 voix pour et 281 contre, une résolution qui entre autres, vise à « encourager les états membres à promouvoir la PMA » (procréation médicalement assistée) en l’étendant à tous, dont les homosexuelles. L’assemblée de Strasbourg apparaît une nouvelle fois comme le principal foyer de subversion des mœurs et de la loi naturelle dans l’espace européen.
    La résolution Noichl, du nom de l’élue sociale-démocrate qui l’a déposée, viole également le principe de subsidiarité qui, officiellement du moins, est celui de l’Union européenne. La famille, l’éducation, la santé, restent de la compétence des États, la PMA ne devrait donc pas être traitée par l’Europe, mais celle-là le fait quand même grâce au cheval de Troie de l’égalité entre les sexes et au nom de la lutte contre les discriminations. Le rapport s’intitule : « la stratégie de l’Union européenne pour l’égalité entre les femmes et les hommes pour 2015-2020. »8374-P1
    En réalité, ce que l’on veut imposer, c’est l’égalité de genres. Le mot « genre » revient 83 fois dans la résolution qui exhorte les États à développer « une stratégie anti-discrimination plus vaste et à établir une feuille de route distincte pour les personnes LGBTI », c’est-à-dire homosexuelles et transsexuelles. En conséquence, elle incite « à promouvoir la procréation médicalement assistée et à mettre un terme à la discrimination dans l’accès au traitement favorisant la fertilité et à l’aide à la procréation ».
    Certes, une résolution parlementaire n’est pas contraignante juridiquement, mais elle est fortement incitative, elle indique aux États ce qu’ils devraient faire, sous peine de déroger à l’égalité et à se rendre coupables de « discrimination » : c’est le chantage au politiquement correct. C’est aussi un appui pour fonder les réclamations éventuelles de particuliers devant la Cour européenne des droits de l’homme.
    Le gouvernement français, lui, est acquis ! Il soutient à Strasbourg ce qu’officiellement il refuse à Paris ! En effet, Manuel Valls, par l’intermédiaire du Secrétariat général du gouvernement, a demandé, dans un courriel du 30 mars, aux députés européens français de voter en faveur de la résolution de Maria Noichl, alors que François Hollande a annoncé qu’il attendait, pour se prononcer sur la PMA pour les célibataires, l’avis du Comité consultatif national d’éthique !
    La résolution demande également de « remettre en question les stéréotypes et les structures, ainsi qu’à partager les exemples de bonnes pratiques visant à vérifier si le matériel pédagogique utilisé jusqu’à présent représente les rôles des femmes et des hommes de manière stéréotypée ». Les bonnes pratiques ayant remplacé les bonnes mœurs, il s’agit sans doute de censurer, d’expurger, d’interdire les livres scolaires qui ne seraient pas conformes à l’idéologie du genre. L’Église catholique ayant renoncé à l’index, les élus européens vont-ils en restaurer un autre qui condamnera les instruments pédagogiques jugés sexistes ? Là-dessus, Marie Noichl peut compter sur Najat Vallaud-Belkacem qui est déjà à l’ouvrage.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/