Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

santé et médecine - Page 342

  • Le gouvernement veut imposer un quota d’avortements pour chaque établissement de santé.

    Mais jusqu'au le gouvernement va-t-il aller pour imposer la culture de mort ?

    "Après la suppression du délai de réflexion, et la réalisation d’IVG par les sages-femmes, l’Assemblée vient de voter un amendement qui conduit à l’instauration d’un quota d’avortements par établissement de santé. 

    L'article 38 du projet de loi Santé définit les objectifs pluriannuels des agences régionales de santé (ARS). Parmi ces objectifs, l’amendement n°2175 vise à introduire dans la loi un objectif en matière d'IVG qui liera les ARS aux établissements de santé

    Cet amendement vient d’être adopté. 

    Si cette disposition est maintenue dans le projet de loi par le Sénat, les ARS devront prévoir des plans d'action pour l'IVG, contractualisant avec les établissements de santé sur un objectif de volume d’activité d’IVG par rapport au volume de leur activité d’obstétrique (cf. FRIDA : un nouveau plan d’action pour améliorer l’accès à l’IVG). 

    Le nombre d'IVG qu'un établissement de santé devra réaliser dans l'année sera donc prévu à l’avance par établissement, ce qui revient à imposer un quota  d’IVG pour chaque établissement de santé." (via Généthique)

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • IVG : Jacques Bompard propose de faire écouter le cœur de l’enfant à la mère

    Dans le cadre du débat sur le projet de loi santé, les députés de l’opposition veulent tenter de réinstaurer le délai de réflexion prévu avant un avortement volontaire (IVG). Un délai supprimé en commission par un amendement de la députée PS, Catherine Coutelle.

    Si ces députés souhaitent revenir à délai de sept jours, Jacques Bompard propose – quant à lui – de l’allonger à deux semaines. Dans un autre amendement, le député du Vaucluse souhaite aussi :

    Faire prendre conscience à la mère de la réalité de ce qu’elle porte en lui faisant écouter le cœur de l’enfant.

    http://fr.novopress.info/

  • GPA : elle refuse de toucher le bébé qu'elle a porté, pour ne pas s'y attacher

    Refuser de toucher l'enfant qu'on a pourtant senti dans ses entrailles pendant 9 mois, faire entrer la commanditaire dans son intimité le jour de l'accouchement pour qu'elle s'approprie tout de suite l'enfant... bienvenue dans le monde merveilleux de la gestation pour abandon :


    GPA: "Je ne pouvais pas directement toucher le... par LEXPRESS 

    Louise Tudy

  • L’UE autorise la mise sur le marché d’un médicament coupe-faim aux effets secondaires alarmants

    Il n’y a que les profits immédiats qui intéressent le gouvernement d’occupation bruxellois. Les technocrates se moquent de la santé des européens.
    Même la France s’alarme de la mise sur le marché de cette nouvelle molécule… N’ayant plus de souveraineté nous sommes obligés d’accepter l’AMM de l’UE sous peine de sanctions.

    Le médicament anti-obésité américain Mysimba a été approuvé la semaine dernière par la Commission européenne, en dépit d’une forte opposition de la France, a indiqué jeudi l’agence du médicament ANSM. Le médicament en question, produit par le laboratoire californien Orexigen Therapeutics, est appelé Mysimba en Europe et Contrave aux États-Unis. Il associe deux molécules, la naltrexone et le bupropion (autrefois appelé amfébutamone), utilisé dans le sevrage tabagique.

    L’ANSM avait réclamé un réexamen par Bruxelles du dossier de ce coupe-faim, qui avait déjà reçu un avis favorable de l’Agence européenne du médicament (EMA) pour sa commercialisation en Europe en décembre dernier, mais elle n’a été suivie que par l’Irlande, l’Autriche et l’Italie. « L’autorisation de mise sur le marché a finalement été octroyée jeudi dernier au niveau européen » a indiqué Joseph Emerich, directeur des médicaments en cardiologie à l’ANSM.

    L’agence française avait justifié son opposition par une « efficacité limitée sur la perte de poids » et des problèmes de sécurité. Elle évoquait en particulier des »incertitudes sur des risques » d’ordre neuropsychiatrique (dépression, suicide…) et cardiovasculaires, sur le long terme, de ce produit. M. Emerich a ajouté jeudi que la tolérance du médicament était limitée, puisque50% des personnes ayant participé à un essai clinique avaient abandonné en cours de route en raison d’effets indésirableset que les résultats définitifs de cet essai n’étaient pas encore connus.

    Source : Le Figaro

    http://www.contre-info.com/lue-autorise-la-mise-sur-le-marche-dun-medicament-coupe-faim-aux-effets-secondaires-alarmants#more-37407

  • Avortement : changer de stratégie !

    De Guillaume D’Alançon, Délégué Général de l’Académie diocésaine pour la vie de Bayonne :

    "Les 3 offensives du Chemin des Dames pendant la 1ère guerre mondiale ont coûté environ 150 000 hommes à la France. Exorbitant. Pourtant c’est moins que les victimes annuelles de l’avortement depuis la loi Veil de 1975. En réalité, les historiens ont du mal à évaluer les victimes de ces 3 batailles : entre 100 000 et 200 000.

    Idem pour l’avortement. On sait, selon les statistiques les plus officielles, qu’il y a 220 000 assassinats chaque année dans les services hospitaliers. Sans parler des indénombrables avortements médicamenteux, pilules abortives, stérilets… qui viennent s’ajouter. Un éminent spécialiste de la question affirmait récemment que l’on peut décemment avancer le nombre de 400 000 morts par avortements en France chaque année. 400 000 morts. Cela veut dire que depuis 1975, nous avons largement dépassé les 10 millions de morts. C’est affreux, insoutenable. Et en plus ce sont des innocents. Le clairon sonne. Les drapeaux sont en berne et les cœurs, serrés. « Qu’as-­tu fait de ton frère » demanda Dieu à Caïn…

    En cette morne plaine, la clameur des mères, des survivants de tous les génocides perpétrés à travers l’histoire, rejoint le cri du Golgotha et les larmes de Notre­ Dame.

    Tandis que de nombreux pays connaissent une baisse notable du nombre d’avortements, la Russie (50%), l’Allemagne,… la France voit s’accentuer la courbe des victimes. Oui, il y a de plus en plus d’avortements en France… L’opinion publique aux Etats-­Unis bascule pour la vie et nous nous enfonçons… comme les nazis à bout de souffle, dans leurdélirium tremensdes derniers mois de la guerre.

    Et si, à l’intérieur de l’Eglise, nous en faisions davantage ? Lors de son intervention devant les délégués diocésains à la pastorale familiale le 16 février dernier, le Président du Conseil Pontifical pour la Famille, Mgr Vincenzo Paglia, affirma avec force qu’il était impossible de dissocier le combat pour la vie de l’évangélisation de la famille et de la société. Le message sera-­t-­il entendu?

    Et si nos stratégies n’étaient pas les bonnes ? En mettant Dieu de côté pour des raisons tactiques, ne perdons­-nous pas notre plus précieux allié, à savoir Dieu lui-­même ?La loi naturelle, si elle est un bien pour tous, n’est-­elle pas d’abord la merveilleuse signature de Dieu dans sa création ? L’annonce de l’Evangile de la vie comporte, aussi, celle de l’Evangile… car là est la vie. La raison a besoin de l’Evangile pour raisonner juste. C’est vrai pour tous les autres combats : celui de l’euthanasie, de la GPA, …

    Au soir de ma vie, face à Dieu, je devrais rendre des comptes sur l’amour. Les effets de manche, de réseaux, d’intérêts seront alors sans effet. Rien d’autre que Dieu seul face à moi, qui sera seul, aussi. Dieu face à face me disant : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25, 40) Nous qui attendrons tant de sa miséricorde, osons-nous dès maintenant tendre la main aux blessés de l’avortement ?

    En ces heures de Chemin de Croix, n’oublions pas celui des enfants à naître."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 40 Days for Life : plus de 400 bébés sauvés de l'avortement

    De Daniel Hamiche :

    "La campagne de Carême des 40 Days for Life, commencée le mercredi des Cendres 18 février, vient de s’achever hier, dimanche des Rameaux 29 mars. La coordination des 40 Days for Life nous annonce aujourd’hui même, lundi 30 mars, que pendant ces quarante jours au moins 402 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement. Et ce nombre devrait croître dans les jours à venir au fur et à mesure que les informations remonteront à la coordination. Cela montre, encore une fois, que la prière a de magnifiques effets."

    Michel Janva

  • "Chère communauté gay, vos enfants souffrent"

    Charlotte d'Ornellas a traduit plusieurs passages d'une lettre de Heather Barwick, publiée dans The Federalist, dans laquelle la jeune femme, élevée par deux lesbiennes, s'adresse à sa "chère communauté gay" :

    Heather"« Je ne soutiens plus le mariage homosexuel », confie-t-elle, en précisant : « Non pas parce que vous êtes gay, je vous aime tant, mais en raison de la nature même de la relation homosexuelle. »

    Pourquoi ? Parce que« cela promeut et normalise une structure familiale qui nous prive de quelque chose de précieux et de fondamental. On nous répète que nous n’avons pas besoin de ce que nous désirons naturellement et profondément. On nous répète que ça va aller. Mais ce n’est pas vrai, nous souffrons », explique-t-elle.


    C’est après s’être mariée que la jeune femme a réalisé combien l’absence d’un père était douloureuse,« en voyant mes enfants aimer et être aimés par leur père ».« J’aime la partenaire de ma mère, précise la jeune femme,mais une autre femme ne remplacera jamais le père que j’ai perdu (…] C’est une chose étrange et troublante de vivre avec cette douleur profonde de rechercher un père, un homme, dans une communauté qui prétend que les hommes sont inutiles. »

    Heather Barwick sait que les homosexuels peuvent être de bons parents. Elle sait aussi que« tant de causes peuvent faire souffrir les enfants dans une famille : divorce, abandon, infidélité, viol, mort… »mais« la meilleure et la plus belle structure familiale est celle dans laquelle les enfants grandissent avec un père et une mère », écrit celle qui refuse désormais que l’on impose sa souffrance à d’autres enfants.

    Elle supplie cette communauté gay qu’elle« aime tant »et qui lui a« tant appris »d’entendre cette souffrance, dans un message poignant :

    "Un grand nombre d’entre nous a peur de parler et de vous dire sa peine et sa souffrance parce que quelles que soient les raisons, vous n’avez jamais l’air de nous écouter. Vous ne voulez pas entendre. Si nous disons que nous souffrons d’avoir été élevés par des parents homosexuels, nous sommes ignorés ou catalogués comme haineux. Cela n’a rien à voir avec la haine du tout […] Je sais que vous avez vraiment été haïs et que vous avez réellement souffert […] J’étais là. J’ai pleuré et j’ai ressenti la colère directement dans la rue avec vous. Mais ce n’est pas moi. Ce n’est pas nous."

    Louise Tudy

  • Des enfants élevés par des homosexuels remercient Dolce et Gabbana pour leur défense de la famille

    Une initiative qui répond à l’appel au boycott lancé par des activistes de la cause homosexuelle emmenés par le chanteur Elton John, après que Dolce et Gabbana ont déclaré que « la famille n’est pas une mode passagère, c’est un sens de l’appartenance. (…) La seule famille c’est la famille traditionnelle ». Ils avaient également osé dénoncer la procréation artificielle, en précisant que la procréation devait « être un acte d’amour ».

    Dans une lettre, six Américains élevés par des paires homosexuelles les remercient pour leur courage, et leur demande de continuer…

    « […] Nous aimerions vous remercier d’avoir donné de la voix sur quelque chose que nous avons appris par expérience : chaque être humain a un papa et une maman et, éliminer l’un des deux de la vie d’un enfant, signifie le priver de dignité, d’humanité et d’égalité.

    […] Nous savons que vous serez soumis à une pression terrible, surtout maintenant, qu’en Italie et aux Etats Unis le fait de vouloir défendre nos droits, à savoir le droit d’avoir un père et une mère, commence à être censuré pour satisfaire le puissant lobby gay.

     

    Personne ne reçoit des attaques aussi féroces du lobby que, justement, ceux qui viennent de la communauté gay et qui remettent en question sa politique : les enfants des couples gays et les hommes gays qui les défendent (comme vous deux).

    […] Mais nous vous implorons aussi de ne pas abandonner quand les réactions contre vos positions vont croître. Si vous faites marche arrière et que vous vous excusez pour ce que vous avez déclaré, les enfants qui vivent dans les maisons gays deviendront encore plus vulnérables et déconsidérés.

    Pour notre bien comme pour le bien de tous les enfants italiens, il est important que vous ne vous excusiez pas ni que vous abandonniez.

    Continuez d’affirmer que tous les enfants ont besoin de grandir auprès de leur propre mère et de leur propre père. C’est un droit humain. […] »

    Source

    http://www.contre-info.com/des-enfants-eleves-par-des-homosexuels-remercient-dolce-et-gabbana-pour-leur-defense-de-la-famille#more-37305

  • Directives anticipées : s'ils les avaient suivies, elle serait morte

    Voilà une histoire qui remet en cause les directives anticipées telles que nos députés les ont votées hier :

    "Les faits remontent à mars 2014. Jenny Bone, 39 ans, se retrouve subitement au sol après avoir chuté sans raison. Cette Britannique ne comprend pas pourquoi elle sent des picotements violents dans ses jambes. Difficilement, elle se rend chez son médecin généraliste qui lui ordonne de se rendre d‘urgence à l’hôpital, relate le Mirror. Après examen, les résultats tombent : elle est atteinte d’une rare maladie nerveuse, le syndrome de Guillain-Barré.

    Hospitalisée, les effets s'aggravent. Elle est totalement paralysée et inconsciente. Les médecins la plongent alors dans un coma artificiel. Afin de pouvoir respirer, elle subit une trachéotomie (ouverture chirurgicale de la trachée). Tout pousse à croire que Jenny Bone est dans un état végétatif irréversible. C’est pourquoi le personnel médical convoque son époux de 58 ans afin de prendre une décision.

    La débrancher ? John Bone refuse, alors que sa femme lui avait auparavant demandé de le faire si jamais elle se retrouvait dans un tel état. La conversation se passe dans la chambre de la malade censée être dans le coma, qui, en réalité, est tout à fait consciente de ce qu’il se passe autour d’elle. "J’entendais tout, heureusement que John ne m’a pas écouté, je l’en remercie. Comme la plupart des couples, nous en avions déjà parlé mais je suis très heureuse qu’il ne m’ait pas débranchée", confie-t-elle au Mirror.

    Finalement, Jenny Bone se réveillera dix jours après. Depuis, son mari regrette d’avoir eu cette conversation avec les médecins à ses côtés : "elle se souvient mot pour mot de ce que nous nous sommes dit." En soins pendant deux mois, elle est rentrée chez elle en juin dernier. Et aujourd'hui, la quadragénaire se porte bien : elle confie au quotidien avoir repris son travail et avoir récemment participé à un marathon caritatif de 5 kilomètres."

    Avec les sulfureux Claeys et Leonetti (et les 436 députés qui les approuvent), elle ne serait pas là pour raconter cette histoire.

    Michel Janva

  • Nouveau scandale du sang contaminé en perspective

    Alors que 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France concernent les LGBT, on apprend que le gouvernement souhaite qu'ils puissent donner leur sang.

    En 2012, derniers chiffres connus, chez les personnes homosexuelles pratiquantes, le nombre de découvertes de séropositivité VIH avait augmenté de 14% par rapport à l’année précédente. Cela représente 43% du nombre total de découvertes de séropositivité en France.

    Au premier jour de l'examen du projet de loi santé en commission des affaires sociales, à l'Assemblée, mardi 17 mars, le ministre de la santé Marisol Touraine a annoncé que le questionnaire préalable au don du sang serait modifié. Celui-ci exclut aujourd'hui les personnes homosexuelles de sexe masculin, en raison de la forte prévalence du VIH parmi cette population.

    Pour les autorités sanitaires, l'exclusion du don du sang des personnes homosexuelles est une mesure de précaution. Le nombre de personnes contaminées par le VIH est 65 fois plus élevé parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres homme. Le nombre de nouvelles infections enregistrées chaque année dans cette population est 200 fois plus élevé. 

    Mais le gouvernement n'a que faire du principe de réalité. Son idéologie criminelle l'aveugle.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html