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santé et médecine - Page 334

  • Gaz de schiste, les lobbies contre-attaquent

    Depuis des années, les lobbyistes, hommes de main des industriels, jouent dans l’ombre des parties qui sacrifient la santé publique aux intérêts financiers. Vache folle, sang contaminé, amiante : dans ces scandales sanitaires retentissants, ils ont manipulé l’opinion et les politiques en toute impunité.

    Aujourd’hui, leur nouveau terrain de jeu, c’est les gaz de schiste, dont la France a interdit l’exploitation en 2011. Depuis, les lobbyistes du secteur n’ont qu’un objectif : convaincre les politiques de faire marche arrière. Pour cela, ils noyautent les organes du pouvoir, s’appuient sur des hauts fonctionnaires, s’entourent de scientifiques complaisants, fournissent des études partisanes et bernent les médias.

    France – 2014 http://fortune.fdesouche.com/

  • France : Monsanto condamné pour intoxication

    Le groupe Monsanto, géant américain des pesticides, a été condamné jeudi en appel à Lyon pour l’intoxication d’un agriculteur français avec un herbicide pour le maïs, le Lasso.

    Le groupe avait été reconnu « responsable » en première instance en 2012 de l’intoxication de Paul François en 2004 et condamné à « indemniser entièrement » le céréalier charentais, partiellement handicapé.

    Paul François a subi de graves troubles neurologiques. Il se bat pour faire reconnaître en France la toxicité de ces produits.
    Le Lasso est interdit de vente en France depuis 2007. Son retrait du marché était intervenu précédemment dans plusieurs pays, comme le Canada, la Belgique ou la Grande-Bretagne.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Scandale : cela fait des années que l’État paye 40 fois le prix du médicament pour soigner la DMLA

    Depuis 2007, un seul médicament est autorisé à soigner cette maladie de l’œil (DMLA) qui peut rendre aveugle : le Lucentis, également fabriqué par Roche, et vendu beaucoup plus cher que l’Avastin. « Au départ le prix de l’Avastin était de l’ordre d’une trentaine d’euros, alors que celui du Lucentis était de 1.200 euros l’injection » détaille Michaël Assouline, ophatalmologiste et directeur du centre Iéna-Vision à Paris.

    Pire : le Lucentis est le premier poste de remboursement pour la Sécu. Rien qu’en 2013, il a coûté 430 millions d’euros. Pourtant, Avastin et Lucentis bien sont identitiques. « Il s’agit bien d’une molécule dont l’objet est le même, explique Michaël Assouline, « mais pour une raison commerciale le laboratoire a préférer déléguer la commercialisation à sa compagnie sœur Novartis à des tarifs différents » accuse t-il.

    Situation de monopole

    L’Etat est donc monté au créneau. Le ministère de la Santé a publié un arrêté pour autoriser le remboursement de l’Avastin. Dans un communiqué Marisol Touraine a exprimé jeudi sa volonté de « réagir contre la situation de monopole » de Roche, soulignant que « d’autres pays européens et les Etats-Unis » l’utilisent déjà contre la DMLA.

    Toutefois l’affaire n’est peut-être pas finie : le laboratoire a déposé deux requêtes devant le Conseil d’Etat.

    Source

    http://www.contre-info.com/scandale-cela-fait-des-annees-que-letat-paye-40-fois-le-prix-du-medicament-pour-soigner-la-dmla#more-39054

  • Mondialisation, Schengen et migrants : le retour de maladies qu'on croyait éradiquées

    Peste, syphillis, gale, rougeole, etc. signent leur retour : 

    "Aux Etats-Unis, deux cas de peste ont été détectés chez des touristes après la visite d’un parc naturel situé en Californie. Cet épisode n’est pas sans rappeler la résurgence régulière de maladies que l’on croyait disparues dans les pays développés et plus spécifiquement en France. Cette dernière a connu un véritable épisode épidémique de rougeole à partir de 2008, avec un pic en 2011. Quinze mille cas ont été recensés pour cette seule année alors que 40 cas étaient déclarés en 2006, précise l’Institut de veille sanitaire (InVS). Entre le 1er janvier 2008 et le 31 avril 2015, 24 000 cas ont été déclarés en France et dix personnes en sont décédées (...)

    Parmi les maladies en résurgence, il faut noter le retour de la syphilis. Souvent associée aux poètes maudits, cette infection sexuellement transmissible fait désormais partie de notre époque.La déclaration obligatoire depuis 1942 des cas dépistés a été supprimée en 2000, leur nombre étant devenu anecdotique. « Depuis le début des années 2000, on observe une recrudescence de la maladie, en lien avec une moindre utilisation du préservatif », note l’InVS. Aucun chiffre n’est officiellement disponible sur le nombre de personnes qui seraient aujourd’hui touchées par cette maladie.

    Souvent associée à la pauvreté, la gale fait aussi son retour en force. On se souvient du cas du camp de migrants à Calais qui avait été démantelé à cause de la maladie en 2014. Aucune statistique officielle n’est disponible sur cette maladie, car sa déclaration auprès des autorités n’est pas obligatoire.Néanmoins, l’incidence de la maladie a été calculée par le Haut Conseil de la santé publique à partir des médicaments vendus. Il répertorie pour 2010 au moins 328 cas pour 100 000 habitants, soit au moins 200 000 cas sur l’ensemble de la population française. L’augmentation représenterait 10% depuis 2002".

    Lahire

  • SÉOUDIENS ET ALGÉRIENS NE PAYENT PAS LEUR SÉJOUR À L’HÔPITAL ? LES MÉDICAMENTS DES FRANÇAIS DÉREMBOURSÉS !

    La sécurité sociale va mal ? C’est de votre faute, martèle le gouvernement d’occupation, refusant de voir et de dire la vérité sur les ravages de l’invasion dans ce domaine comme tant d’autres, sur les véritables gaspillages et abus. Sous ce prétexte, les libéralistes ont commencé à démanteler ce service public : les hôpitaux et les maternités ferment, les consultations coûtent de plus en plus cher, les médicaments sont “déremboursés” (sic), les maisons de retraite sont hors de prix…

    Pire : le gouvernement fait croire que le « tourisme sanitaire » va sauver le système, alors que, par inadvertance, les Français apprennent que les oligarques algériens et séoudiens qui viennent se faire soigner en France, pour lesquels les autorités “privatisent” (sic) des étages sinon des établissements entiers, ne payent même pas leurs factures – les autorités algériennes et séoudiennes doivent ainsi plusieurs dizaines de millions d’euros.

    Pour les seuls établissements de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP-HP), les pays étrangers doivent 120 millions d’euros, soit plus du double du déficit… de l’AP-HP. Ces chiffres ne comptabilisent pas les soins des colons résidant en France, ni des ‘migrants’ pour lesquels tout est simplement gratuit (pour eux, mais évidemment pas pour le contribuable français).

    Cela n’empêche pas le gouvernement d’occupation, en tête la mère de drogués et criminels Marisol Touraine, de culpabiliser les Français. Et de s’apprêter à annoncer la fin du remboursement de nouveaux médicaments.

    C’est ce que préconise une « mission » chargée spécialement d’arriver à ces conclusions – il ne faut plus rembourser les médicaments « inutiles » – et mise en place par… Marisol Touraine. Ainsi, une commission d’individus payés par le gouvernement pour rendre des conclusions déjà connues et réclamées par le gouvernement arrive justement aux conclusions… demandées par le gouvernement. Le système est bien fait.

    Plusieurs mesures ont filtré, à commencer par l’arrêt du remboursement de nombreux médicaments jugés peu ou pas efficaces. Ces médicaments, « le Zovirax contre l’herpès buccal, le Chondrosulf contre l’arthrose, la Gaviscon pour les troubles digestifs ou la crème hydratante bien connue Dexeryl » entre nombreux autres, détaille un journal, n’étaient déjà remboursés qu’à 15 %.

    Autre mesure préconisée : la suppression de trois taux de remboursement existant (15, 30 et 60 %) par un seul qui, de manière générale, conduira à la réduction du remboursement des médicaments.

    http://www.jeune-nation.com/societe/nature-sante/21702-seoudiens-et-algeriens-ne-payent-pas-leur-sejour-a-lhopital-les-medicaments-des-francais-derembourses.html

  • 7e vidéo du Planning familial américain : prélèvement d'organes sur un bébé dont le coeur battait

    Voici la septième vidéo (en anglais) publiée par The Center of Medical Progress, qui accuse le Planning familial américain de trafic d'organes de bébés avortés :

     

    Le résumé de Jeanne Smits :

    La technicienne chargée de faire des prélèvements sur les femmes et de récupérer des organes sur des fœtus à des fins de recherche au Planning familial des Etats-Unis, Holly O’Donnell [témoigne] sur un avortement d’un fœtus déjà très développé dont elle a vu le cœur battre au moment des prélèvements. Etait-il né vivant ? C’est ce que semble indiquer le témoignage de l’ex-employée de StemExpress, qui raconte que c’est cet événement qui lui a fait prendre la décision de quitter ce travail qui avait fini ainsi de la révulser.
    C’est dans la clinique Planned Parenthood Alameda de Mar Monte à San José, Californie, que Holly a vécu cette expérience traumatisante. A la suite d’un avortement que sa collègue, Jessica, était venue la chercher pour « voir quelque chose d’assez cool ». Holly s’était trouvée confrontée avec ce qu’elle avait « jamais vu de plus proche d’un bébé entièrement développé ».
    « Il avait un visage. Il n’était pas complètement déchiré. Il avait un nez très prononcé. Jessica avait un de ses instruments à la main. Elle tape sur le cœur et il commence à battre. Je regarde ce fœtus, et son cœur commence à battre. Je ne sais pas si cela fait qu’il est techniquement mort, ou en vie. » Holly est saisie, mais Jessica lui explique : « C’est vraiment un bon fœtus, on dirait que nous allons récupérer beaucoup de choses dessus. »
    C’est alors que Jessica lui demande de récupérer le cerveau de l’enfant à l’aide de ciseaux, à travers son visage. « Je ne peux même pas décrire ce que cela fait. C’est à ce moment que j’ai su que je ne pouvais plus travailler pour cette société – même si c’était le moyen de guérir telle ou telle maladie. »
    Au cours de cette même vidéo, le Dr Ben Van Handel, vice-président de Novogenix Laboratories, confirme que « parfois, après la procédure d’avortement, le cœur bat encore ».
    Le Planning familial continue de soutenir de son côté que le prélèvement d’organes sur des bébés avortés est une « entreprise humanitaire » et qu’il n’est coupable de rien. La nouvelle vidéo vient cependant au secours de l’idée que les procédures d’avortement sont adaptées afin de récupérer des fœtus intacts, qui permettent de récupérer le plus grand nombre d’organes et de tissus et par là-même les meilleurs tarifs auprès des sociétés de biotechnologie.
    L’adaptation des procédures se fait éventuellement au détriment des femmes ; dans la vidéo, Perrin Larton, directrice de l’approvisionnement d’Advanced Bioscience Resources, raconte qu’elle a vu des femmes entrer dans la salle d’opération et en sortir au bout  de trois minutes. [...]"

    Louise Tudy

  • Vaccin antivariolique et sida : d’étranges liens!…

    Un nouvel article de Merlin, sur une probable interaction entre le vaccin antivariolique et le sida. Au moment où, la confiance dans la vaccination est remise en cause, cette information ne va pas contribuer à redorer le blason des vaccins. Il faut analyser tout ce qui circule sur le sujet. Si les faits sont acquits, il est plus que souhaitable de revoir le protocole vaccinal. Puisque le « problème »  a été soulevé par le Dr Louis de Brouwer en 1989, (lui parle d’imposture) pourquoi ne pas avoir approfondi? Voir cet article,[Vaccin DT-Polio : pourquoi il ne faut pas signer la pétition du professeur Joyeux] qui débunke une pétition contre le vaccin DT.Polio lancée par le Pr Joyeux. Informez vous, réfléchissez…

    Depuis 1989, le Dr de Brouwer, se demandait avec d’autres comment une maladie comme le sida avait pu prendre naissance si rapidement et se révéler pratiquement incurable. Toutes les infections virales étant connues et répertoriées depuis plus d’un siècle, comment celle-là aurait-elle pu échapper au monde médical et scientifique ?

    En supposant que le sida ait toujours existé en Afrique Centrale, il aurait dû causer de terribles dégâts qui ne seraient pas passés inaperçus. Or, avant 1981, personne n’a jamais entendu parler de cette maladie.

    Mais rappelons que pendant des années on a introduit dans l’organisme le virus vivant de la vaccine, comprenant l’intégralité du capital génétique de ce virus et les populations africaines furent justement les plus vaccinées contre la variole sans que l’on n’ait jamais séquencé le génome du virus de la vaccine.

    Cette observation mena le Dr Louis de Brouwer à avancer une hypothèse en rapport avec cette politique : « […] et si, par le principe vaccinal, en introduisant le capital génétique du virus vaccinia (virus vivant non atténué) dans un organisme, on permettait au virus VIH-2, présent chez les Africains, de reconstituer tout ou partie de son capital génétique devenu déficient et, par conséquent, de le faire redevenir virulent ou de créer un nouveau virus inconnu à ce jour, tel le virus du SIDA ?

    On nomme cela une recombinaison génétique et des expérimentations ont été réalisées qui prouvent que c’est possible »

    Afin de vérifier son hypothèse, Louis de Brouwer demanda à l’OMS de lui communiquer la liste de toutes les vaccinations effectuées en Afrique depuis vingt ans. Il put alors constater qu’on pouvait très exactement superposer la carte des vaccinations antivarioliques à celle des cas de sida.

    « Les médecins vaccinalistes appartenant à cette organisation et inféodés aux laboratoires fabricants de vaccins, plaideront-ils  responsables mais non coupables ? », demande-t-il.

    De son côté le Pr. Robert Gallo aurait envisagé une semblable hypothèse mais, étant fonctionnaire, il ne pouvait officiellement affirmer quoi que ce soit qui aurait risqué de briser sa carrière. Il a cependant déclaré au Times :

    « La relation entre le programme de vaccination de l’OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du tiers-monde et l’épidémie du Sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela se soit réellement passé, mais durant des années, j’ai toujours dit que l’usage de vaccins issus de virus vivants, comme l’on pratique en Afrique, peut activer un virus endormi comme celui du Sida. »

    Ce même journal du 11 mai 1987 citait un conseiller auprès de l’OMS qui s’était lui aussi longtemps demandé si le virus de la vaccine pouvait avoir déclenché l’épidémie de sida et, après des années de réflexion, il déclarait :

    « Maintenant, je suis convaincu que la théorie mettant en cause la vaccination antivariolique est bien l’explication de l’explosion du sida. […]

    D’autres médecins qui admettent la relation entre les campagnes de vaccination antivariolique et l’épidémie de sida, y voient une réponse à des questions qui les déroutaient. Celle de savoir, par exemple, ce qui avait pu faire qu’un virus considéré jusque-là comme « faible, lent et fragile » ait pu se mettre à se comporter de manière aussi agressive.

    La théorie reliant sida et vaccination antivariolique explique le cas de chacun des sept pays d’Afrique centrale qui ont le taux le plus élevé de sida. […] Les plus forts taux de sida coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination.

    Vaccin antivariolique et sida : d'étranges liens… !

    Les pays d’Afrique centrale touchés par l’épidémie de sida sont les mêmes que ceux où des vaccins expérimentaux ont été administrés. Ces campagnes de vaccination étaient financées par l’USAID, le CDC, l’OMS, Merck & Co Inc et la NCI. Source : Lederer R, O

    Le Brésil, seul pays d’Amérique latine qui ait entrepris une campagne d’éradication, enregistre le plus fort taux de sida dans cette même région.

    A son tour, dans Le Concours médical du 19 septembre 1987, le Dr M. Koupernik écrivait : «Vaccination antivariolique et Sida : Une question dont on ne saurait exagérer l’éventuelle portée vient d’être soulevée en Grande-Bretagne. La carte d’incidence maximale du Sida en Afrique correspondrait à celle où l’ultime effort d’éradication de la variole aurait été accompli.

    C’est cette introduction massive du virus vaccinal au sein d’une population séropositive mais «dormante » qui pourrait avoir donné le coup d’envoi du phénomène Sida. Le virus vaccinal aurait exalté les vertus agressives de son confrère simien.

    On a apporté aussi un argument ponctuel : un militaire américain séropositif a été vacciné contre la variole et a succombé en un mois à un Sida accéléré. » Ce cas avait été rapporté dans le Times du 11 mai 1987. Et le 28 mai 1987, dans une lettre au Times, le Dr J. Seels évoquait la possibilité d’une épidémie « due à la pathologie de la seringue».

    Des années auparavant, le Dr Albert Schweitzer (prix Nobel en 1952) avait remarqué que les premiers cancers en Afrique étaient apparus cinq ans après les premières campagnes vaccinales.

    Lorsqu’un vent de panique a soufflé sur le monde au début de la guerre contre l’Irak avec la menace de la variole, Bernard Kouchner a déclaré qu’une campagne de vaccination pourrait causer 350 décès en France. Comment se fait-il que le vaccin qui ne présentait publiquement «aucun danger », puisqu’il n’y avait officiellement jamais d’accident alors qu’il était obligatoire, soit devenu « très dangereux » et même mortel à présent qu’il n’est plus utilisé ?

    Nous aurait-on menti ?

    Fléau épidémique qui a sévi pendant des siècles, la variole semble être apparue au Moyen-Âge. Comment est-elle née et pourquoi, nous n’en savons rien. Nous savons seulement qu’à l’instar de toutes les épidémies, après des pics meurtriers, elle est entrée dans une phase décroissante pour finalement disparaître au milieu du XXe siècle.

    Sa disparition, concomitante de la pratique du premier vaccin universel, consacre le triomphe de la vaccination à qui on attribue l’éradication de telle ou telle maladie.

    Qu’en est-il en réalité ?

    Éradiquer un virus ou un microbe est un abus de langage, car dans le domaine du vivant, rien ne disparaît, tout se transforme. Le virus de la variole a une histoire dont nous ne connaissons pas les origines. Les virus étaient présents dès que la vie sur terre est apparue. Ils ont joué un rôle fondamental dans la transformation des espèces, car la vie est une éternelle métamorphose.

    A la faveur de quelque phénomène biologique ou environnemental, ils se recombinent.

    Le magazine Science du 7 novembre 1986 a publié les résultats des expériences menées aux Etats-Unis par R.T. Javier, F. Sedarati, et T.G. Stevens, de Los Angeles, et qui ont montré que deux virus inoffensifs mis en présence l’un de l’autre peuvent se recombiner et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher une maladie, voire la mort.

    Le virus de la variole peut très bien être la résultante de ce phénomène mis en évidence par les chercheurs américains. Des fléaux semblables à celui de la variole ont décimé nos ancêtres depuis la nuit des temps mais les virus ravageurs finissent par s’apprivoiser et s’intégrer à notre patrimoine sans plus jamais causer de dégâts; au contraire ils peuvent même devenir un hôte indispensable à notre métabolisme, au fonctionnement de nos organes. On a récemment découvert un génome viral dans le placenta humain qui semblerait avoir pour rôle de faire fusionner le placenta avec l’utérus.

    Il est possible que dans le passé ce virus ait pu provoquer des infections sur le fœtus, mais aujourd’hui on constate qu’il est indispensable pour le bon déroulement de la grossesse. Il a donc acquis un rôle bénéfique, comme le démontre les travaux menés aux Etats-Unis par le Dr Malcolm Martin, du département de microbiologie moléculaire de l’Institut national des Allergies et Maladies infectieuses, et évoqués dans Natura medicatrix du printemps 1997 (n° 46-47).

    En réalité, la vaccination antivariolique a perturbé un processus naturel d’adaptation entre le virus et l’homme. En modifiant le cours de l’évolution de la maladie, elle a fait disparaître les symptômes mais elle n’a ni « tué » ni « éradiqué » le virus qui a poursuivi son adaptation en se transformant. […]

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    Auteur Merlin pour Homme-et-Espace

    Article extrait du livre:  « Vaccination l’overdose » (désinformation – scandales financiers – imposture scientifique) par Sylvie Simon**

    http://lesmoutonsenrages.fr/2015/08/18/vaccin-antivariolique-et-sida-detranges-liens/#more-85337