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Science et techniques - Page 22

  • En Chine, un possible vaccin au Covid-19 se fabrique déjà à grande échelle

    Sinovac Biotech, premier au monde à avoir mis sur le marché un vaccin contre la grippe H1N1, se dit prêt à produire 100 millions de doses par an pour combattre le virus.

    Il tient peut-être le remède tant attendu. Dans un laboratoire du nord de Pékin, un homme en blouse blanche exhibe l’un des tout premiers vaccins expérimentaux contre le nouveau coronavirus.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-chine-un-possible-vaccin-au-covid-19-se-fabrique-deja-a-grande-echelle

  • Le laboratoire P4 de Wuhan : le cadeau de la France au monde…

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    Depuis début avril, dans les médias classiques, une ritournelle s’installe, sous forme interrogative pour ne pas ennuyer le gouvernement chinois : « Est-ce que le Covid-19 vient d’un pangolin mal cuit lors d’un barbecue ou d’un laboratoire bactériologique P4 de haute sécurité ? »

    Le Figaro a publié une enquête dans son édition du 21 avril 2020. Il explique comment ce laboratoire est une exportation française, en partenariat avec Pékin. Comment ce partenariat s’est transformé en contrat unilatéral chinois : presque un cadeau, en somme, de la France à la Chine ! Les réticents à ce projet craignaient que d’un laboratoire de recherche l’on tombe dans un « arsenal biologique » communiste… Oh, les vilaines Cassandre !

    Le laboratoire a été terminé en janvier 2015 et ouvert en janvier 2018, date qui « coïncide », affirme élégamment Le Figaro, avec une visite d’Emmanuel Macron en Chine.

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  • Le COVID-19 est-il sorti du laboratoire de Wuhan ?

    Et si le COVID-19 avait été inventé par l’homme ? Si on veut réellement demander des comptes sur la gestion de la crise sanitaire aux politiques, il faudra certainement remonter à l’origine de l’apparition de ce virus.

    Vendredi 17 avril, le professeur Luc Montagnier semait la panique sur le plateau de Pascal Praud, sur CNews. « L’histoire du marché aux poissons est une belle légende. Ce n’est pas possible », indiquait-il, allant à contre-courant de la communauté scientifique et de l’OMS. Prix Nobel de médecine pour sa découverte du VIH, le professeur dénonçait un virus qui « a échappé peut-être à ses promoteurs ». « Au départ, ils ont travaillé sur un modèle qui est le virus de la chauve-souris, et c’est ce virus-là qu’ils ont modifié. Je pense – c’est l’hypothèse la plus raisonnable – qu’ils voulaient faire un vaccin contre le VIH. Donc, ils ont utilisé un coronavirus, qui en principe pouvait atténuer et ne pas donner de maladie, comme porteur des parties de molécules du virus du Sida », avait-il expliqué.

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  • Luc Montagnier : «Le coronavirus est un virus sorti d’un laboratoire avec de l’ADN de VIH»

    Dans l'émission HDPros présenté par Pascal Praud, le Professeur Luc Montagnier révèle que le coronavirus a des séquences ADN du SIDA dans une seule partie de la longue séquence ADN du Covid19 ce qui prouve que ce n'est pas naturelle

    6:23 , il a découvert le Sida , a reçu un prix Nobel !

    2:37 l'appareil génétique du virus est un long ruban , dans ce ruban on a fixé des séquences de VIH a un endroit prècis mais pas n'importe quelles séquences , celles ci ont un but antigénique !

    15:05 vous nous dites qu'il y a plusieurs séquences artificielles dans ce virus , pourquoi personne d'autres ne le dit ? alors il y a une réponse mauvaise la dessus c'est que ces séquences sont courtes ,elles sont trop courte etc , mais on répond tout de suite parce que ces longueurs sont quand même des longueurs qui portent une information génétique , contrairement a ce qui est dit que c'est le hasard ,ce n'est pas vrai !

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  • Guerre bactériologique du futur : à côté, le Covid-19, une douce répétition générale…

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    La thèse du professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 et, surtout, découvreur du virus du SIDA (le fameux virus d’immunodéficience humaine, ou VIH), a fait l’effet d’une petite bombe. Ce 17 avril, sur la chaîne CNews, il a confirmé ses propos confiés en exclusivité au site Pourquoidocteur : « Le laboratoire de Wuhan s’est spécialisé sur ce type de virus [coronavirus, NDLR] depuis le début des années 2000. Ils ont une expertise dans ce domaine. […] Ceci m’a poussé à regarder de près la description du génome [du Covid-19 qui], ô surprise, avait des séquences d’un autre virus qui est le VIH. »

    Selon le célèbre virologue, un groupe de scientifiques indiens souhaitant publier les résultats de ce séquençage a dû se rétracter après avoir subi moult pressions d’origine gouvernementale.

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  • Pasteur et Koch : la rivalité entre le découvreur du vaccin contre la rage et celui du bacille de la tuberculose

    Légendes de la science, le Français Louis Pasteur et l’Allemand Robert Koch se sont affrontés à l’heure de la découverte de la transmission des maladies par les microbes. Un tournant captivant dans l’histoire de la médecine. À la fin du XIXe siècle, le chimiste Louis Pasteur, déjà célèbre pour ses travaux sur la fermentation, a l’intuition que des micro-organismes pourraient être à l’origine des maladies infectieuses. Mais c’est à un total inconnu que l’on en doit la démonstration scientifique : médecin de campagne, Robert Koch est parvenu à identifier la bactérie responsable de la fièvre charbonneuse, qui décime les troupeaux. Vexé, Pasteur affine les résultats de son concurrent avec un coup d’éclat : en 1881, il inocule une forme atténuée de la maladie du charbon à une cinquantaine de moutons. La campagne de vaccination est couronnée de succès et le Français est par-delà les cercles scientifiques. Mais publiquement, Pasteur omet de mentionner les travaux de Koch. La rivalité entre eux s’intensifie alors, exacerbée par l’antagonisme entre leurs deux pays. Tuberculose, choléra, rage, peste, diphtérie… : à travers leur duel, la lutte contre les pandémies de l’époque connaît des avancées spectaculaires. Ego salutaire À l’aide de reconstitutions de qualité et des explications limpides de scientifiques français et allemands, ce film retrace les grandes étapes de la compétition entre le découvreur du vaccin contre la rage et celui du bacille de la tuberculose, combat qui se prolongera par le biais de leurs disciples et de leurs instituts respectifs. Mathieu Schwartz met ainsi en lumière une guerre d’ego qui a profité à l’humanité, et écrit une page de l’histoire des sciences.

    http://www.fdesouche.com/1352529-pasteur-et-koch-la-rivalite-entre-le-decouvreur-du-vaccin-contre-la-rage-et-celui-du-bacille-de-la-tuberculose

  • “Entre salafisme et transhumanisme : les idées humanistes devenues folles”, par Henri Feng

    Le 15 octobre, le palais Bourbon a adopté, sans difficulté, la loi de bioéthique autorisant la Procréation Médicalement Assistée, et ce, an dépit de la manifestation anti-PMA/anti-GPA, in fine anti-transhumaniste, du dimanche 6 octobre. Au même moment, on a assisté à l’énième retour de la polémique sur le voile islamique (la première date de 1989 et concernait trois collégiennes musulmanes de Creil), cette dernière provoquée par Julien Odoul, conseiller régional RN en Bourgogne Franche-Comté : le vendredi 11 octobre, celui-ci avait interpellé sa présidente de séance à cause de la présence d’une mère voilée, quasi-intégralement, en noir (sauf le visage), dans le cadre d’une sortie scolaire. Odoul avait signifié, en substance, qu’un tel habillement contrevenait, non pas sur la forme mais sur le fond, à la loi Savary de 1984, loi garantissant la neutralité religieuse dans le cadre républicain. Il s’agissait surtout de faire la démonstration de l’allégeance de cette femme au salafisme ; le tout filmé par les équipes de l’élu RN, mais ce qui n’a pas manqué d’agacer son propre camp politique. Depuis lors, Odoul est dépeint par, entre autres, le journaliste Hugo Domenach du Point (article du 17 octobre), en pur opportuniste car étant passé successivement du PS à l’UDI, sans compter ses apparitions dans des magazines gay, à 21 ans.

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  • Et si le coronavirus remettait en cause les principes mêmes de la recherche médicale ?

    Et si le coronavirus remettait en cause les principes mêmes de la recherche médicale?

    A la faveur de la guéguerre entre le ministère de la Santé et le Pr Raoult, que nous suivons avec passion depuis quelques jours, je découvre (grâce à un lecteur du SB: décidément l’intelligence collective, ça existe vraiment!) le blogue Anthropo-logique animé par Jean-Dominique Michel, qui se définit comme “anthropologue de la santé”. Ce dernier vient de mettre en ligne un passionnant article intitulé: “Hydroxychloroquine: comment la mauvaise science est devenue une religion“. J’y lis ceci:

    Ce que le public ignore, lui qui fait un peu naïvement confiance aux « scientifiques », c’est que la recherche médicale est en crise systémique depuis plus de 15 ans. A l’époque, John Ioannidis, un médecin né à New York, passé ensuite par les Universités d’Athènes et Ioannina (Grèce) puis Harvard, avait lancé un sacré pavé dans la mare sous la forme d’un article intitulé « Why Most Published Research Findings Are False » (“Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux.”). […] Dix ans plus tard, la société californienne Amgen (leader mondial de l’industrie des biotechnologies médicales) lança une montagne dans la mare en révélant avoir essayé de répliquer les résultats de 47 de 53 articles “phares” fondant les principaux protocoles alors utilisés contre le cancer. […] On comprend comment tout la fiabilité d’un résultat de recherche implique sa reproductibilité. Le « test » de Amgen, publié en 2016 dans le prestigieuse revue « Science » fit désordre : des 53 expériences reproduites, les chercheurs ne purent retrouver les mêmes résultats que pour… 7 d’entre elles !

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  • Un homme de caractère Le mystère Gutenberg

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    Contemporain de la chute de Constantinople, l'entreprenant Rhénan a ouvert les portes à la diffusion du savoir. Le Strasbourgeois Guy Bechtel a enquêté sur l'homme et ses travaux. À l'inventeur naïf décrit par l'historiographie traditionnelle succède le profil d'un ingénieur faustien, indocile et aventureux.

    De Gutenberg, l'inventeur de l'imprimerie à caractères mobiles, le père de la typographie, nous ne savons rien ou presque. Les légendes se contredisent. Les portraits qui le représentent nanti d'une longue barbe sont imaginaires. Des pans entiers de sa vie nous échappent. Ce patricien voyageur et curieux de tout, a comme un air de parenté avec Zenon, le héros de Marguerite Yourcenar. « Sa biographie est un château de cartes », souligne Guy Bechtel. Germaniste et latiniste, il a examiné les pièces et écarté les déductions hâtives. Procédant avec rigueur, il s'est surtout ; attaché à retrouver la « logique » d'une quête et à « replacer l'inventeur dans son temps, sans l'y noyer ».

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