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Science et techniques - Page 26

  • Les idées à l’endroit – Transhumanisme : l’homme du futur sera-t-il augmenté ?

    Alain de Benoist reçoit le mathématicien et philosophe Olivier Rey, l’historien Olivier Dard et l’animatrice de l’Association française contre l’intelligence artificielle, Marie David. Est-ce que l’homme du futur sera un homme augmenté, capable de voir la nuit, de transférer son cerveau dans une machine ? Est-ce que les progrès de la technologie parviendront à la suppression des maladies, des handicapes, du vieillissement ou de la mort ? C’est à toutes ces questions qu’ils tenteront de répondre. Eclairant !

    https://www.tvlibertes.com/transhumanisme-lhomme-du-futur-sera-t-il-augmente

  • L’avenir de l’Europe : des Airbus dans toutes les industries stratégiques

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    Marc Rousset

    Ce mercredi 19 décembre 2018, une fusée Soyouz a lancé avec succès, à Kourou, un satellite d’observation militaire de la composante spatiale optique (CSO). Ces satellites fourniront des renseignements géographiques de très haute résolution à l’armée française ainsi qu’à ses partenaires allemands, belges et suédois. Pas d’opérations militaires au Sahel, au Levant ou ailleurs sans images satellites.

    La France ne disposant pas de certains radars échangera ses « données optiques » contre les « données radar » des Allemands et des Italiens. Airbus est le maître d’œuvre et le client est le CNES (Centre national d’études spatiales). Un symbole de l’indispensable coopération européenne, sous peine de voir la France être rayée purement et simplement de la carte militaire, économique, industrielle, scientifique, stratégique et politique du monde.

    Il faut que la nation France mette fin à l’immigration afin de retrouver la sécurité et son identité, coupe drastiquement dans ses dépenses publiques afin de diminuer les prélèvements fiscaux de tous les Français, riches ou pauvres, se redresse sur tous les plans : économique, sociétal, social, militaire, éducatif, scientifique, linguistique ; mais ce redressement sera vain si des projets stratégiques d’avenir ne sont pas lancés tous azimuts en Europe.

    À ce jour, il y a eu Airbus, Ariane, Galileo, l’A400M, même s’il a coûté plus cher que prévu, l’EPR de Flamanville, qui était au départ un projet franco-allemand avec Siemens, mais le filet se resserre sur l’Europe qui, pour survivre, doit lancer absolument de nouveaux projets tels que le char de combat du futur, l’avion de combat du futur (Dassault) avec l’Allemagne, et tant d’autres projets tels que l’industrie militaire navale, les nanotechnologies, l’Airbus de l’intelligence artificielle afin de faire avancer la recherche, car le seul effort français du superordinateur du CNRS à Saclay ne suffira pas face à la Chine et aux États-Unis.

    C’est ainsi que l’Europe, et plus particulièrement l’Allemagne et la France, souhaitent relever le défi de la voiture électrique, en favorisant le lancement d’un « Airbus des batteries » capable de rivaliser avec les Asiatiques, qui détiennent plus de 80 % du marché mondial. La Chine détient, à elle seule, 60 % du marché mondial et sept des dix premiers producteurs mondiaux sont chinois, rattrapant leurs rivaux nippon et sud-coréen.

    La Chine, dans la stratégie « made in China » 2025 du président Xi Jinping, vise clairement la suprématie mondiale comme dans un grand nombre d’autres industries clés. Ghislain Lecuyer, directeur général de la société française Saft, filiale de Total, n’y va pas par quatre chemins : « Est-ce que vous voulez, quand vous êtes constructeur européen, que la R&D d’un système clé de votre voiture soit en Asie et détenue par des Asiatiques ? Cela peut être une source d’inquiétude. »

    L’industrie des batteries doit nécessairement passer par des aides d’État, puisque celles-ci sont largement subventionnées en Chine. C’est 35 % de la valeur d’une voiture qui risquent de s’envoler en Chine si l’Europe ne construit pas sa propre capacité de production. Pour une fois, l’Union européenne semble avoir compris puisqu’elle est prête à contourner les règles communautaires en accordant le statut IPCEI (Important Project of Common European Interest) qui permettra à cette industrie naissante de bénéficier des aides d’État. Un consortium est déjà constitué avec le Français Saft, les Allemands Siemens et Manz ainsi que les Belges Solvay et Umicore. L’idée serait de s’intéresser à la batterie à l’état solide, c’est-à-dire la prochaine génération.

    Il importe donc, pour les Européens, de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations. Le « gamin » Macron a tout juste sur le but à atteindre de l’Europe-puissance, et des nombreuses réformes économiques à effectuer en France afin qu’elle retrouve la compétitivité, mais il a tout faux par son manque de courage et de réalisme, son conditionnement énarchique, en ne s’attaquant pas à l’immigration et aux dépenses publiques, en n’ayant toujours pas compris, comme de Gaulle, que la seule Europe-puissance est celle des nations.

    Les Européens doivent prendre conscience de la nécessité de coopérer entre eux et avec la Russie pour survivre économiquement, militairement, au XXIe siècle, face à la Chine, aux États-Unis, à l’Inde, au Brésil et, sur le plan civilisationnel, face à l’invasion migratoire en provenance d’Afrique.

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  • « Le vrai courage du patron de PSA qui ose dénoncer la supercherie du véhicule électrique. Les gilets jaunes vont être contents ! » L’édito de Charles SANNAT

    Le patron de PSA, Carlos Tavares a eu le courage immense et l’honnêteté intellectuelle de tenir des propos très critiques sur la pertinence de la voiture électrique.
    La transition énergétique est une vaste fumisterie.
    Nos aimables politiciens se lancent dans une voie qui nous mène à un mur ou à un précipice.
    Il n’est en aucun possible, ni souhaitable en termes environnementaux, d’équiper tous les possesseurs de véhicules thermiques classiques par des véhicules électriques.
    Cela ne peut pas fonctionner.
    Laissons la parole à Carlos Tavares, le patron de PSA.
    Carlos Tavares, président de PSA, propos critiques sur la voiture électrique…
    « Le monde est fou.
    Le fait que les autorités nous ordonnent d’aller dans une direction technologique, celle du véhicule électrique, est un gros tournant.
    Je ne voudrais pas que dans 30 ans on découvre quelque chose qui n’est pas aussi beau que ça en a l’air, sur le recyclage des batteries, l’utilisation des matières rares de la planète, sur les émissions électromagnétiques de la batterie en situation de recharge ? »
    « Comment est-ce que nous allons produire plus d’énergie électrique propre ?
    Comment faire pour que l’empreinte carbone de fabrication d’une batterie du véhicule électrique ne soit pas un désastre écologique ?
    Comment faire en sorte que le recyclage d’une batterie ne soit pas un désastre écologique ?
    Je m’inquiète en tant que citoyen, parce qu’en tant que constructeur automobile, je ne suis pas audible. »
    « […] On est en train d’évoluer d’un monde où la technologie était neutre vers un monde où on nous instruit d’aller dans la direction du véhicule électrique. […]
    Simplement, si on nous donne l’instruction de faire des véhicules électriques, il faut aussi que les administrations et les autorités […] assument la responsabilité scientifique du fait qu’ils nous ont instruits de faire des véhicules électriques. »
    Depuis cette intervention, Carlos Tavares a réitéré à plusieurs reprises son scepticisme, notamment le 1er septembre dernier, comme le rapportait alors Ouest-France : « L’alerte que j’ai voulu donner il y a quelques mois est qu’il n’y a pas […] d’études d’impact, ni d’études à 360 degrés de ce que signifie une mobilité 100 % électrique. Les gouvernements et les responsables politiques de l’Union européenne sont en train de prendre la responsabilité scientifique du choix de la technologie. »
    Les propos hallucinants sur les autres dirigeants qui sont plus légalistes !
    Voici comment le journaliste vient relativiser et amoindrir la portée des propos de Carlos Tavares.
    « Avis sincère ou effet d’annonce ? Difficile de trancher, selon Florence Lagarde : «C’est un peu inattendu, car il est le seul dirigeant de constructeur automobile à tenir ce discours anti-électrique et anti-réglementation, les autres sont plus légalistes et moins dans l’avis personnel. […]
    C’est peut-être réellement ce qu’il pense, car il en est persuadé, mais ça peut aussi être une posture alarmiste pour frapper les esprits.» » 
    Vous rendez-vous compte du niveau d’incapacité collective de penser dans laquelle nous sommes tombés ? 
    Si un individu, et il s’agit tout de même du patron de l’un de nos plus gros groupes, émet des « réserves » somme toute très « polies », on indique implicitement qu’il n’est pas « légaliste ».
    Je ne sais pas vous, mais moi je trouve que Carlos Tavares est un révisionniste climatique. Certainement. Il doit bien être aussi un « phobe ». Oui, c’est ça , c’est un « électricophobe ».
    Je pense même que pour dire des choses pareilles, il doit être un peu fasciste et raciste…
    Avec un prénom comme Carlos, je suis persuadé que c’est un raciste anti-électrique. 
    N’oublions jamais que quand tout le monde pense pareil, plus personne ne pense.
    Encenser la diversité c’est très bien, mais cela implique aussi… une diversité de pensée, et les sociétés ne se développent et ne s’épanouissent que lorsque les opinions peuvent s’exprimer.
    Bravo donc au courageux Tavares pour sa liberté de ton précieuse dans ce secteur, où il n’est plus autorisé de penser.
    Le réchauffement climatique ne se discute pas.
    La politique écologiste ne se discute pas.
    La politique nucléaire de la France ne se discute pas.
    La transition énergétique ne se discute pas…
    La fiscalité ne se discute pas.
    source
    http://www.citoyens-et-francais.fr/2018/11/le-vrai-courage-du-patron-de-psa-qui-ose-denoncer-la-supercherie-du-vehicule-electrique.les-gilets-jaunes-vont-etre-contents-l-edito?fbclid=IwAR1j06AhRWPo18LZj-PvyFpw2n9vx_XVjaCrWWrP341csSrMAouinfZ0Q1U

  • Livre : Réchauffement climatique : le pavé dans la mare, de Jean-Marc Bonnamy

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    Le cinquième rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU) vient de paraître. Son contenu scientifique est nul, il ne comporte que des affirmations sans démonstration… des prévisions apocalyptiques montrant bien que le GIEC est aux abois : il doit absolument entretenir notre terreur des lendemains chaotiques malgré l’absence d’élévation notable de la température en Europe… malgré le froid ailleurs.

    Il y a trente ans, on nous parlait d’élévation de 5 à 10 degrés de la température suite à une légère augmentation du taux de CO2 (gaz carbonique). Le CO2 a augmenté, la température est restée globalement stable et il y a eu moins de catastrophes naturelles que durant la période précédente… Et le GIEC nous menace, maintenant, des effets catastrophiques que nous allons certainement subir pour une élévation de… 0,5 °C ! Cette élévation de température, les catastrophes consécutives pour la planète, quel climatologue les a inventées ?

    Les élucubrations du GIEC ne peuvent qu’éveiller la méfiance de toute personne un peu cultivée, douée d’esprit critique ! Si vous avez du bon sens mais pas nécessairement de grandes compétences scientifiques, lisez le livre de Jean-Marc Bonnamy, Réchauffement climatique : le pavé dans la mare. Cet ingénieur, consultant pour les Nations unies, qui suit pas à pas la thèse du GIEC, a formulé de façon rigoureusement scientifique la preuve que le gaz carbonique (CO2) ne pouvait être cause d’aucun réchauffement.

    Ainsi, il observe que le GIEC se base sur des relevés de température traités avec la plus grande fantaisie, du style « mesurer 100 fois une latte avec un mètre précis au mm permet de mesurer la longueur de la latte au centième de mm ». L’auteur cite nombre de ces « mesures » ridicules qui doivent éveiller notre méfiance…

    Le second chapitre aggrave encore le cas des mesures de température ridicules : elles sont faites n’importe où et dans n’importe quelles conditions ! Tout climatologue sait que seule l’observation de la Terre vue de l’espace est porteuse de renseignements intéressants. Le GIEC n’est pas au courant…

    Continuons. Écrivons sur Internet « effet de serre » : nous obtiendrons une série de graphiques souvent fort différents les uns des autres, même des graphiques insensés selon lesquels nous devrions être « cuits » depuis longtemps s’ils représentaient une quelconque réalité ! Le GIEC ne semble pas intéressé à y mettre un peu d’ordre mais ce n’est pas grave, Jean-Marc Bonnamy les démonte l’un après l’autre. Ce démontage lui permet de montrer clairement une vérité : l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre. Monsieur Dufresne, un disciple du GIEC, le sait parfaitement et se croit obligé de nous servir un paradoxe digne du philosophe Zénon d’Élée : il divise l’atmosphère en une infinité de couches distinctes… Hilarant !

    Pour finir, Jean-Marc Bonnamy ne résiste pas au plaisir de citer les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits. Il rappelle que la culpabilité du CO2, adoptée par le GIEC en 1988, n’a jamais été prouvée et que, quelques années plus tard, une vraie théorie – sans lien avec le CO2 – a commencé à expliquer les principales variations à court terme du climat. Chaque jour, des mesures renforcent cette théorie contraire aux intérêts du GIEC : elle reste interdite de Wikipédia !

    Le GIEC est mort mais il ne le sait pas encore. Jean-Marc Bonnamy le lui explique et nous explique en détail ce que nous devons savoir sur une escroquerie de plus de 3.000 milliards d’euros, escroquerie qui ne peut pas s’évaporer en un jour, qui ne peut pas mourir proprement.

    Lisez Réchauffement climatique et vous serez libéré du conditionnement par le GIEC !

    Claude Brasseur

    http://www.bvoltaire.fr/livre-rechauffement-climatique-le-pave-dans-la-mare-de-jean-marc-bonnamy/

  • PMA POUR TOUTES : UN PÈRE, POUR QUOI FAIRE ?

  • Eté caniculaire : taisez-vous, Jouzel, c'est le froid qui nous menace...

    MARTIN Mlynczak, diplômé de Météorologie de l'Université du Wisconsin, en Philosophie et en Science Atmosphérique de l'Université du Michigan, est un des grands chercheurs scientifiques de la NASA. Pas de ceux pourtant auxquels on donne souvent la parole, parce que ce qu'ils ont à dire n'est pas dans l'air du temps. Les recherches qu'il poursuit traitent du bilan énergétique et du climat de l'atmosphère depuis la surface de la Terre à la limite de l'Espace. Il dirige le développement de techniques innovantes — instruments, technologies, modèles, algorithmes — afin de détecter à distance l'atmosphère des satellites, des fusées suborbitales, des avions, des ballons à haute altitude. L'éventail des sujets actuellement étudiés couvre le couplage solaire-terrestre dans la thermosphère aux processus de rétro-action climatique due à la vapeur d'eau troposphérique et aux cirrus.

    En d'autres termes les travaux qu'il mène avec ses équipes, dans le cadre de la NASA, mais surtout dans l'évolution de notre situation climatique, sont du plus grand intérêt. Et elles entrent en conflit brutal avec les théories nébuleuses qui se sont emparées des têtes d'oeuf onusiennes et de la pseudo-science si parfaitement illustrée par le Giec dont les bafouillages sont scrupuleusement repris en boucle par tous les analphabètes médiatiques qui ânonnent les mots d'ordre quotidiens de l'Organisation Mondiale Météorologique.

    Selon le site Internet Space Weather.com qui se consacre à l'étude de l'environnement solaire-terrestre « le soleil est entré dans l'un des minima solaires les plus importants de l’ère spatiale. Les taches solaires ont été absentes pendant la plus grande partie de 2018 et la production de rayons ultra-violets du soleil a fortement diminué. Une nouvelle recherche montre que l'atmosphère terrestre réagit ».

    Evidemment, puisque cette nouvelle recherche émane du Dr. Mlynczak et de son équipe, il serait bon d'y porter la plus grande attention. Mais il n'en est pas question alors que depuis des mois tous ceux qui ont accès aux média ne cessent de nous assourdir avec leur fake-news concernant le prétendu été caniculaire 2018 la Suède en feu, la banquise fondue, les ours polaires faméliques au Nord, les bébés pingouins morts d'inanition en Antarctique et tout à l'avenant.

    Viennent donc de paraître dans Le Journal de Physique Atmosphérique et solaire terrestre, les résultats d'une étude qu'ils ont effectuée et titrée : « Indices climatiques de la thermosphère : plages de cenûles et descripteurs adjectivaux ». Par thermosphère on entend «. la couche supérieure de l'atmosphère terrestre qui commence à 95 km d'altitude et qui est caractérisée par une augmentation de la température continue avec l'altitude ».

    Il s'agit donc dans cet article de définir un nouvel indice solaire terrestre avec de nouveaux descripteurs — très chaud, chaud, neutre, froid, très froid — Etant précisé que la thermosphère du cycle solaire 24 qui vient de s'achever, le plus faible depuis 100 ans, a connu le maximum le plus froid des sept derniers cycles solaires. La lecture "froid" de la thermosphère actuelle tient donc compte de cette nouvelle situation.

    La thermosphère dramatiquement refroidie

    Le commentaire de Martin Mlynczak est sans ambiguïté. « Nous constatons une tendance au refroidissement. Au-dessus de la surface de la Terre, près de la limite de l’espace, notre atmosphère perd de l’énergie thermique. Si les tendances actuelles se poursuivent, la haute atmosphère pourrait bientôt établir un record de l’âge de l’espace ». Et de conclure « Nous n'en sommes pas encore là mais cela pourrait se faire en quelques mois ».

    Ces informations ont été transmises par l'instrument de radiométrie Saber, dont Mlynczak est l'analyste en chef. Saber est à bord du satellite de la NASA Timed. Lequel a pour fonction de relever les émissions infrarouges de dioxyde de carbone et de dioxyde nitrique, deux substances jouant un rôle clé dans le bilan énergétique de l'air situé entre 100 et 300 km au-dessus de nous. Saber peut ainsi évaluer l'état thermique du gaz situé dans la thermosphère.

    Comme les individus qui ont confisqué la climatologie du futur et imposé Numériser.jpegpar la force leur idéologie du Réchauffement Climatique ont totalement occulté ces questions et rangé toute forme d'influence solaire sur le climat de la Terre parmi les « théories du complot », il y a peu de chance pour que les travaux de Martin Mlynczak et d'autres soient connus du public. Voici en tout cas un graphique (ci-dessus) qu'il a publié dans son rapport concernant le nouvel indice climatique de la thermosphère. Et sur lequel on peut réfléchir avec intérêt. Bien que le satellite Tïmed ne soit en service que depuis 17 ans, le calcul de l'Index Climatique de la Thermosphère remonte aux années 1940 :

    « La thermosphère se refroidit toujours pendant le minimum solaire, précise Mlynczak. C'est l'un des moyens les plus importants pour le cycle solaire d'affecter notre planète. En ce moment, c'est vraiment très bas. SABRE mesure actuellement 33 milliards de watts de puissance infrarouge à partir de Dioxyde Nitrique. C'est 10 fois moins que ce que nous voyons pendant les phases plus actives du cycle solaire ».

    Jim REEVES. Rivarol du 3 octobre 2018

  • I-Média n°219 : Ne faites pas d’enfants, sauvez la planète !

    Ne faites pas d’enfants, sauvez la planète !
    L’AFP publie des solutions pour réduire le réchauffement climatique. Comment diminuer son empreinte carbone ? En changeant ses ampoules ou en ayant un enfant de moins ?

    Le zapping d’I-Média
    L’ « humoriste » Yassine Belattar connu pour sa proximité avec Emmanuel Macron fait dans la menace et le chantage. « Si le prochain ministre de l’Intérieur ne fait pas le lien entre les gens des quartiers et la police, il y aura une émeute. Ce n’est pas une menace, c’est une promesse »

    La science vous le dit, il n’y a pas de racisme anti blanc.
    Le racisme anti blanc serait une fake news, une désinformation. Mercredi 10 octobre, France culture et France info affirmaient dans l’émission « les idées claires » que le « racisme anti blanc n’existe pas pour les sciences sociales ». Etre traité de « sale blanc » relèverait de « l’agression pas du racisme ».

    Les tweets de la semaine.
    Le magazine « Paris Match » publie en couverture sur Marc Olivier Fogiel avec ce titre, « Ma famille mon bonheur ». C’est la première fois qu’un couple gay accompagné d’enfants issus de GPA se retrouve en une d’un grand magazine français. Une couverture d’autant plus gênante que…. Inutile de le rappeler, la gestation pour autrui est interdite en France.

    Brésil la démocratie serait-elle menacée par les élections ?
    Présidentielle au Brésil, le candidat Jair Bolsonaro arrive en tête du premier tour avec 46 % des voix. Dans la presse française, il est décrit comme « raciste, homophobe, mysogyne », mais difficile de comprendre pourquoi les brésiliens ont voté massivement pour cet homme.

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/12/26228/i-media-n219-ne-denfants-sauvez-planete

  • Environnement et économies d’énergie : le bidon de la voiture électrique

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    Le Mondial de l’auto s’est ouvert en grandes pompes (encore à essence) ce jeudi 4 octobre. L’automobile, avec ou sans plomb, essence ou diesel, électrique ou hybride, est une vache à lait. La preuve : si l’on en croit le dernier rapport de la Cour des comptes sur le sujet, jamais les infractions routières n’ont autant rapporté à l’État que l’année passée. Record toutes catégories en 2017, soit 1,97 milliard d’euros de recettes dont 1,01 milliard collecté par les seuls radars. Bref, c’est une affaire qui marche !

    L’automobile, donc, notre fleuron industriel. Le président Macron a reçu à l’Élysée les dirigeants du secteur puis il s’est rendu au salon pour flatter les capots comme d’autres flattent le cul des vaches, puis réunissant autour de son auguste personne tout le gotha de la profession, il a annoncé avoir confié à l’ancien directeur général de Renault, Patrick Pélata, « une mission sur les nouvelles mobilités et les véhicules électriques et autonomes ». Il sera assisté dans cette entreprise par Xavier Mosquet, « spécialiste de l’industrie automobile et ancien conseiller de l’administration Obama ». Excusez du peu…

    Comme le souligne Le Point, notre omniscient chef de l’État « a donc pris les commandes de ce dossier, une première pour un président de la République ». C’est dit, c’est “acté”, gravé dans le marbre, nous allons tous demain rouler électrique et autonome. Question : est-ce si économe en énergie qu’on veut bien nous le dire ? Pas sûr du tout. On est même, en l’état actuel des ressources, sûr du contraire.

    C’est François Lenglet qui a soulevé le lièvre sur RTL en révélant les omissions volontaires des tenants du meilleur des mondes électriques, notamment les constructeurs occidentaux qui prévoient, à eux seuls, « 160 milliards d’euros d’investissement pour électrifier leurs gammes d’ici à 2023 ». Pourtant, dit François Lenglet, « plusieurs choses désagréables sont omises sur les voitures électriques. D’abord, la voiture électrique n’est propre que si l’électricité est générée à partir d’énergie décarbonée ». Or si cela est le cas en France où 70 % de la production est nucléaire, ça ne l’est évidemment pas en Allemagne où « charbon lignite (une forme de charbon) et gaz comptaient encore pour 50 % en 2017 », et encore moins en Chine « puisque 71 % de l’électricité proviennent de l’énergie fossile ». Pour résumer, « au lieu de mettre du pétrole dans une voiture, on fait de l’électricité avec du pétrole [ou du charbon] pour alimenter une voiture électrique ».

    Reste la solution de la voiture électrique produite à l’énergie “propre”. Sauf que…
    « La construction d’un véhicule électrique demande bien plus d’énergie qu’un moteur thermique. Et son recyclage, en particulier celui de la batterie, génère une pollution très problématique, tout comme la fabrication elle-même de la batterie, avec des métaux rares dont l’extraction est très polluante », dit Lenglet. Bref, tout cela n’est qu’un bidonnage destiné une fois de plus à nous culpabiliser pour nous faire changer de véhicule car « si l’on prend donc le bilan environnemental total d’un véhicule électrique, du berceau au recyclage, il n’est pas si brillant comparé à une bonne vieille diesel ».

    Les faits le prouvent, « la voiture électrique ne supprime pas la pollution, elle la déplace, en l’éliminant des centres-villes (avec une émission zéro), mais en la faisant apparaître dans les décharges à batteries ou les mines de métaux rares ».

    Qu’importe, nos dirigeants qui savent très bien tout cela n’en ont cure. La pollution n’est pas leur souci. L’important est de faire rentrer l’argent. À cela tout est bon, comme le prouve cette mesure anecdotique en apparence qui consiste à changer, sous prétexte d’harmonisation européenne, le nom du carburant à la pompe. Dans une semaine, le sans plomb 95-E10 s’appellera E10, les sans plomb 95 et 98 deviendront E5, et le diesel sera B7.
    Touché coulé !

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/environnement-et-economies-denergie-le-bidon-de-la-voiture-electrique/

  • La génétique le confirme : les races existent bel et bien. Il y en a 7…

    Chronique de Paysan Savoyard (n°209 – septembre 2018)

    Les conférences de vulgarisation données en 2013 par Evelyne Heyer, professeur d’anthropologie génétique, méritent d’être mises en exergue. Cette scientifique y délivre en effet cette information choc : l’existence des races est confirmée par la génétique.

    Il faut préciser dès l’abord qu’E. Heyer, scientifique du Muséum national d’histoire naturelle, ne s’exprime pas à titre personnel : elle le fait de façon tout à fait autorisée, dans le cadre de ses fonctions et sur le site internet du Muséum. Ses conférences ont pour objet de faire le point des découvertes récentes, en s’appuyant sur différentes études internationales, à destination d’un public intéressé mais non spécialiste. Cette personne, précisons-le également, n’appartient nullement à la « fachosphère » : au contraire elle a été mobilisée à différentes reprises pour participer à la lutte contre le racisme. Elle a par exemple été commissaire de l’exposition « Des préjugés au racisme« .

    La forme que prennent ces conférences appelle quelques commentaires. On voit la conférencière marcher sur des œufs, bien consciente qu’elle est du caractère explosif de la matière qu’elle manipule : elle multiplie ainsi au cours de ses conférences les déclarations d’allégeance à l’idéologie du Système. Par honnêteté intellectuelle, par naïveté ou par envie de se faire valoir,  elle va cependant y délivrer de façon nette et claire l’information-clé : la génétique confirme l’existence des races, que la conférencière préfère appeler « groupes humains ». Signalons que l’expression de cette conférencière prenant de fréquentes libertés avec la syntaxe, nous nous sommes autorisés à opérer quelques rectifications de forme dans les citations d’E. Heyer que nous faisons figurer ici.

    Il faut préciser que les études dont rend compte E. Heyer concernent les populations qui sont restées stables géographiquement au cours des siècles. C’est pourquoi les prélèvements d’ADN effectués pour réaliser ces études ont concerné seulement des individus dont les 4 grands parents étaient issus de la même région que la leur, en excluant les populations issues de brassages de populations relativement récents. C’est ainsi que pour l’Amérique, ces études génétiques portent sur les populations amérindiennes et excluent les populations d’origine européenne ou africaines ainsi que les populations métissées. De même en Australie et en Nouvelle-Zélande les études concernent les populations autochtones. De même encore, en Europe, les populations ayant participé aux vastes migrations intervenues dans le monde mondialisé de l’après-guerre ne sont pas concernées par les études génétiques dont Mme Heyer présente les résultats. 

    • Il existe 7 « groupes humains »

    La scientifique est  de toute évidence parfaitement consciente de la portée de ce qu’elle explique : elle déclare ainsi que « la génétique est souvent très politiquement incorrecte ». Et pour cause : les résultats qu’elle présente corroborent en effet dans une large mesure les affirmations de ceux qui affirment l’existence des races.

    La conférencière explique ainsi que les données génétiques conduisent à distinguer 7 « groupes humains » différents, entre lesquels existent des différences génétiques significatives. Ces « groupes humains » correspondent aux différentes régions du globe : les Amérindiens d’origine ; les Océaniens ; les Asiatiques de l’Est ; les Asiatiques d’Asie centrale et du Sud ; les Moyen-Orientaux ; les Européens ; les Africains du sud du Sahara.

    La constitution de ces 7 groupes a résulté de l’existence des barrières géographiques, qui ont empêché les contacts et les échanges génétiques entre populations : les océans, le Sahara et l’Himalaya. Les populations séparées par ces barrières ont, de ce fait, des patrimoines génétiques nettement différenciés.

    E. Heyer met en avant une constatation supplémentaire : l’une de ces 7 populations, le groupe des populations du Moyen-Orient, est placée dans une position particulière. Tandis que les 6 autres groupes disposent d’un patrimoine génétique nettement distinct de celui des autres, le patrimoine génétique des populations du Moyen-Orient est pour partie composé d’éléments du patrimoine d’autres groupes. Cette situation résulte du fait que ce groupe est situé géographiquement dans une zone carrefour, où l’absence de barrières géographiques a permis certains échanges avec les autres groupes les moins éloignés. Le patrimoine génétique des Moyen-Orientaux comprend ainsi des gènes propres, mais aussi des gènes européens et des gènes d’Asie centrale et du Sud.

    On voit autrement dit que les 7 groupes que distinguent les généticiens sont les mêmes 7 « races » que l’on peut recenser en se fondant sur les phénotypes. Autrement dit encore,  l’observation des phénotypes permettait de penser qu’il existait 7 groupes (ou races) : la génétique vient le confirmer. Citons E. Heyer : « On voit l’analogie avec ce que l’on appelait auparavant des races : les groupes auxquels aboutissent les études génétiques correspondent grosso modo aux groupes que l’on utilisait dans les typologies raciales ».

    Elle déclare également : « Le discours qu’on entendait beaucoup dans les années quatre-vingt, qui disait qu’on ne pouvait pas parler de races parce que les généticiens montrent qu’il n’y a pas ou très peu de différences entre les populations humaines, n’est pas exact. On peut avec les données génétiques former des groupes différents génétiquement. On ne peut plus dire qu’on ne peut pas faire de groupes à partir des données génétiques«.

    • Les ethnies existent également

    Tout en présentant une homogénéité génétique, chacun des 7 groupes comprend des sous-ensembles, les ethnies, entre lesquelles existent des particularités génétiques, qui sont liées aux échanges matrimoniaux entre populations géographiquement proches. Les ethnies se distribuent ainsi au sein du groupe selon un continuum : plus les ethnies sont éloignées géographiquement, plus elles sont différentes génétiquement.

    Si elle ne précise pas quel peut être le nombre des ethnies qui existent, la conférencière indique qu’il existe 6000 langues. On peut penser que chaque langue correspond à au moins une ethnie : le nombre des ethnies est donc supérieur à 6000.

    Au sein des ethnies, les sociétés se subdivisent en tribus, les tribus en clans et les clans en lignage, chacun de ces sous-ensembles se réclamant d’un ancêtre commun. Là encore la plupart de ces subdivisions ont une traduction génétique.

    • La grande homogénéité des populations européennes

    Les conférences d’E. Heyer mettent en avant un autre point, lui aussi politiquement incorrect : la chercheuse explique que les populations européennes sont restées très stables et homogènes.

    Les différents peuples (ou ethnies) d’Europe ont en  effet un patrimoine génétique propre : les Italiens ont un patrimoine propre, comme les Français, comme les Anglais, comme les habitants des différentes régions de l’Europe. On peut même déterminer à 500 km près l’origine géographique d’un individu européen à partir de son patrimoine génétique. Autrement dit les affirmations selon lesquelles « l’Europe n’a cessé d’être une terre de passage, de migrations, de mélanges et de métissages » sont fausses et démenties par la génétique.

    L’Histoire nous enseigne que les populations des différentes régions d’Europe sont restées inchangées pendant mille ans : les dernières grandes invasions venues d’Europe centrale datent du 9e siècle. Les premières migrations intra européennes liées à la révolution industrielle datent du milieu du 19 siècle. Quant à l’immigration en Europe de populations venues de régions non européennes, elle ne date que des années 1960 (voir également cette chronique). Les données génétiques viennent confirmer cette grande stabilité.

    • Les différences génétiques s’accompagnent de différences culturelles

    E. Heyer explique également que les différences génétiques s’accompagnent de différences culturelles : les groupes ethniques possèdent souvent une langue et un mode de vie qui leurs sont propres. En Asie centrale par exemple, les Tajiks parlent une langue indo-iranienne et sont agriculteurs tandis que les Kazaks parlent une langue turque et sont pasteurs nomades.

    Ces différences contribuent à fonder les spécificités génétiques : c’est notamment pour des raisons culturelles que l’on se marie au sein de la même ethnie.

    Il convient d’insister sur cette dernière constatation : chaque « groupe de population » (autrement dit chaque « race »), et en son sein chaque ethnie, présentent de nombreuses spécificités, qui s’additionnent : des particularités phénotypiques et génétiques ; une certaine implantation géographique ; une langue ou un groupe de langues qui leur sont propres ; une culture et un mode de vie qui leur sont propres. Autrement dit, un « groupe de population » (race) et une ethnie sont à la fois des réalités phénotypiques et génétiques et des réalités culturelles.

    • Les précautions de langage prises par la chercheuse n’atténuent pas la portée de ses constatations

    Consciente de la portée de ses explications, la chercheuse a le souci de donner les gages nécessaires aux dogmes du Système. Il s’agit d’une part pour elle ne pas se « griller » professionnellement. Elle tient d’autre part, et sa démarche est de toute évidence sincère, à se distinguer de ceux qui vont chercher à utiliser les conclusions des études qu’elle présente au service de thèses racistes qu’elle réprouve personnellement. La conférencière s’efforce donc de déminer le terrain idéologique, en prenant toute une série de précautions qui sont autant de révérences à l’idéologie systémique.

    E. Heyer tient ainsi, premièrement, à repousser l’utilisation du mot race : elle insiste sur le fait que les généticiens parlent de « groupes humains » et non de « race », en récusant le mot de race pour deux raisons. D’abord, dit-elle, parce que l’utilisation du concept de race suppose de considérer qu’il existe une inégalité entre les groupes humains. Deuxièmement parce que le concept de race conduit à réduire chaque individu à sa race. Or la génétique ne permet d’aboutir à aucune de ces deux conclusions.

    On voit bien la faiblesse de cet argumentaire. Mme Heyer confond, premièrement, deux concepts distincts : les races et le racisme. Penser que les races sont inégales est du racisme. Mais considérer que les races existent ne veut pas dire qu’on les considère comme inégales : on peut donc penser que les races existent sans être pour autant raciste (voir également cette chronique). Deuxièmement, on peut affirmer l’existence des races sans pour autant considérer qu’un individu se résume à sa race. L’argumentaire anti racial de Mme Heyer aboutit finalement à rejeter le mot exact de « race », au profit d’un mot plus flou : « groupe humain ». Il reste que cette précaution de langage ne change rien à ce constat essentiel : les 7 « groupes humains » dont Mme Heyer affirme l’existence sont bel et bien les 7 « races » que l’on observe lorsqu’on prend en compte les différences phénotypiques.

    La chercheuse prend une deuxième précaution : dans le souci manifeste d’atténuer la portée explosive de ses développements, la chercheuse tient à souligner que les différences entre les groupes humains sont « faibles ». Elles sont ainsi beaucoup plus faibles que chez d’autres primates. Les différences entre groupes de chimpanzés, plus proche cousins de l’homme, sont ainsi beaucoup plus grandes qu’entre groupes humains : on considère même que ces groupes de chimpanzés constituent des sous espèces. De même Mme Heyer insiste sur le fait que les différences génétiques entre groupes humains sont faibles : les gènes d’individus du même groupe sont seulement 4% plus proches que les gènes d’individus appartenant à des groupes différents.

    Là encore ces précautions de langage sont d’une pertinence limitée. La notion de « faible » en effet ne veut pas dire grand-chose. Les différences entre « groupes humains » peuvent être jugées faibles parce qu’elles ne portent que sur une partie limitée du génome et  qu’elles sont plus faibles que ce que l’on constate au sein d’autres espèces : il n’en reste pas moins que ces « faibles » différences sont suffisamment importantes pour permettre au généticien de distinguer nettement des groupes humains, ce que Mme Heyer met elle-même en évidence par ailleurs.

    Mme Heyer prend une troisième précaution. Elle tient à insister sur le fait que la théorie selon laquelle toutes les populations d’hommes modernes sont issues d’une même population sortie récemment d’Afrique est confirmée par la génétique. On sait que cette théorie (dite Out of Africa) est essentielle pour la propagande des antiracistes et des immigrationnistes, qui en tirent différentes conclusions utiles à leur cause : « Puisque nous sommes tous issus d’Afrique et donc issus de migrations originelles, il est logique qu’il y ait aujourd’hui encore des migrations et que ces migrations soient africaines. Puisque toutes les populations humaines ont la même origine africaine et sont donc toutes très proches, l’intégration des Africains en Europe est donc tout à fait possible »…

    C’est pourquoi Mme Heyer tient à souligner que les études qu’elle présente dans ses conférences confirment l’hypothèse de l’origine africaine récente d’Homo Sapiens. Les études génétiques prouvent notamment, dit-elle, que toutes les populations humaines ont un ancêtre commun âgé de 200 000 ans, ce qui est incompatible avec la théorie selon laquelle Sapiens ne serait pas « sorti récemment d’Afrique » mais constituerait une évolution, dans chaque continent, de populations anciennes.

    Nous ne sommes en rien des spécialistes : il nous semble pourtant que les différences substantielles qui existent entre les « groupes humains », notamment les différences génétiques, conduisent plutôt à penser que les populations d’hommes modernes sont issues, non d’une sortie d’Afrique récente (200 000 ans) d’une population originelle dont nous sommes tous issus, ainsi que le veut la thèse Out of Africa, mais de l’évolution propre des différentes populations anciennes existant en Afrique et en Eurasie (hypothèse dite « plurigénique », concurrente de l’hypothèse Out of Africa). Nous verrons ce que diront les chercheurs dans les années qui viennent (si toutefois ils sont laissés libres de leur conclusion et de leur expression). On sait que les Chinois, cherchent frénétiquement les moyens de prouver que leurs origines n’ont rien de commun avec celles des Africains… Attendons.

    Tout en confirmant l’existence de « groupes humains », E. Heyer précise que les généticiens se refusent à employer le mot de « races ». Elle permet ainsi aux propagandistes du Système de continuer à l’affirmer : « les généticiens démontrent que les races n’existent pas ». Les mots comme souvent l’emportent sur les faits…

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