
Les délocalisations sont devenues une banalité dans notre société contemporaine et dans cette mondialisation qui a cessé d’être heureuse pour les Français et, plus particulièrement, pour les classes moyennes et populaires.
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Les délocalisations sont devenues une banalité dans notre société contemporaine et dans cette mondialisation qui a cessé d’être heureuse pour les Français et, plus particulièrement, pour les classes moyennes et populaires.
RT – La ministre du Travail Elisabeth Borne a déclaré qu’un salarié ne produisant pas de pass sanitaire pourra bel et bien être licencié par son employeur, expliquant qu’il s’agirait alors d’une situation relevant du «droit commun du Code du travail».
Le syndicat majoritaire dans le secteur agricole est co-responsable, avec l’État , des difficultés qu’affrontent les paysans.
Beulin n'est pas Dorgères et la FNSEA, premier syndicat d'agriculteurs aux élections professionnelles, n'a pas grand-chose de commun avec les chemises vertes des années 30, en dépit de l'exaspération de ses « troupes ». On l'a bien vu après la bruyante réception que les paysans présents au salon de l'Agriculture ont réservée le 27 février à François Hollande, copieusement conspué. Dès le lendemain, le « patron » de la FNSEA présentait « des excuses pour les noms qui ont été prononcés à l'égard du président »...
Petit rappel : oui, le Royalisme est social !!
Sources : http://www.actionroyaliste.fr/
La multi-conflictualité, sinon l’omni-conflictualité des sociétés contemporaines, est-elle le propre de la modernité, voire de la postmodernité ?
Si le conflit et la violence ne sont, certes, pas l’apanage de ladite modernité, il est un fait observable que, jamais dans l’histoire, un groupe humain socialement organisé n’aura autant baigné dans ce climat de haute inflammabilité polémogène qu’on qualifiera d’ensauvagement, tant il paraît renouer avec une certaine barbarie des mœurs pré-civilisationnelle.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Chaque jour je commencerai mes éditos par cette formule, en signe de protestation. Je vous invite à tous reprendre cette formule dans tous vos textes, échanges, écrits ou commentaires.
« Cela fait 2 jours que des millions de Français sont victimes des premières lois de discrimination, non pas parce qu’ils sont malades, mais non « vaccinés ». Ne les oublions pas ».
Le télétravail, c’est presque devenu le jardin d’Éden. Des publicités nous montrent de jeunes cadres dynamiques devant leur ordinateur, à la campagne, près de leur piscine. La crise sanitaire n’a-t-elle pas du bon, puisqu’elle a permis à un grand nombre de personnes de pratiquer plus souvent ce mode de travail, de libérer du temps personnel gagné sur les transports, d’acquérir une plus grande liberté ? Sans compter qu’il permet des gains de productivité. Seulement, voilà ! On commence à se demander si cette vision idyllique n’est pas un prélude à l’Enfer.
« La relocalisation industrielle Française ne se fera pas sans une formation pointue dans tous les domaines. La France a perdu énormément de savoir-faire, tant au niveau recherche et développement que techniquement. Il faut reformer des jeunes à tous ces métiers industriels, ils seront le fer de lance de notre relance industrielle :
Alors que les Français se focalisaient sur les mesures sanitaires et sur l’extension du pass sanitaire annoncé par le chef de l’État lors de son allocution de lundi soir, peu ont fait attention aux mesures sociales évoquées par M. Macron. Le Président a d’abord évoqué le revenu des jeunes de 18 à 25 ans qui, pour beaucoup, ne bénéficient d’aucune aide. Il y a là un trou dans la raquette de notre protection sociale. Le RSA ne peut pas être perçu avant 25 ans. L’étendre à tous les Français à partir de 18 ans pourrait coûter jusqu’à 24 milliards d’euros par an suivant les modalités proposées, montant insupportable pour nos finances exsangues.