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social - Page 426

  • [Lu sur Le Net] De retour du djihad, il vit des allocations handicapé

     PARIS (via l’Observatoire des gaspillages)
    Dans l’édition du « Point » du 16 janvier, un article intitulé « L’histoire funeste des trois tueurs » brossait le portrait du « réseau des Buttes-Chaumont » dont faisaient partie les frères Kouachi et Amedy Coulibaly, les auteurs des récents attentats de « Charlie Hebdo », de Montrouge et du supermarché casher de la Porte de Vincennes à Paris. L’article mentionne le cas d’un comparse, Mohamed el-Ayouni, qui s’était rendu en Irak en juillet 2004. Dans les combats de Falloujah, il avait perdu son bras et son œil gauches. De retour en France, il avait demandé une allocation handicapé… et l’avait obtenue des services sociaux.

    Ce n’est que grâce à une allusion au détour de la deuxième page de l’article (p.44) que l’on découvre que Mohamed el-Ayouni a bénéficié d’une allocation handicapé à son retour d’Irak alors que les services sociaux ne pouvaient ignorer dans quelles circonstances il avait perdu son œil et son bras gauches :

    Mohamed-el-Ayouni-p44

    Une lectrice, membre de Contribuables Associés, s’est émue de cette information et en a saisi le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Marisol Touraine. Cette dernière ne détenait certes pas ce portefeuille en juillet 2004 (à l’époque, c’était l’UMP Philippe Douste-Blazy), mais ce sont ses services qui ont attribué cette allocation handicapé. Vous pouvez lire ci-dessous la lettre de notre membre, ou la télécharger en cliquant ici (nous avons occulté son identité et son adresse pour des raisons évidentes).

    Lettre-Marisol-Touraine-Mohamed-el-Ayouni

    Si, comme cette lectrice, et comme nous-mêmes, vous trouvez choquant que les services sociaux aient pu attribuer une allocation handicapé à un terroriste qui revenait d’Irak avec des mutilations liées à la guerre qui y sévissait, merci de partager cet article par courriel, sur Facebook et sur Twitter. Vous pouvez également écrire au ministre de la Santé afin qu’il fasse toute la lumière sur ce véritable scandale.

    http://fr.novopress.info/181436/lu-net-retour-du-djihad-il-vit-allocations-handicape/

  • Plus de 25 milliards d’euros de dette pour l’assurance chômage

    Les gens compétents qui nous gouvernent voient se traduire dans les chiffres les résultats calamiteux et catastrophiques de l’économie française.

    Selon l’Unedic, l’organisme paritaire gestionnaire de l’assurance chômage, la dette cumulée sera de 25,9 milliards d’euros, après avoir augmenté encore de 4,4 milliards d’euros en 2015. Car 2015 sera une année catastrophique pour l’emploi, avec une prévision d’environ 200.000 chômeurs de plus sur la base des « inscrits » !

    Ces chiffres réjouissant ont été calculés sur la base de 0,8% de croissance pour 2015, prévision de croissance très optimiste, comme d’habitude.

    Hollande a inversé la courbe du chômage : elle est exponentielle.

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/plus-de-25-milliards-deuros-de-dette-pour-lassurance-chomage/23195

  • Le FN en tête chez les salariés syndiqués à Force ouvrière et Sud

    Un sondage Ifop pour l'Humanité note que les consignes syndicales pèsent moins dans le choix du vote. 
    L'engagement syndical amène-t-il au vote FN? Malgré les consignes des centrales syndicales, un sondage Ifop publié mercredi dans l'Humanité va à l'encontre des idées reçues. 
    L'enquête révèle que 33% des sympathisants de Force ouvrière ont opté pour le vote frontiste lors des dernières élections européennes. Chez Sud-Solidaires,même choix pour 27% des personnes interrogées. Dans ces deux organisations, c'est le parti de Marine Le Pen qui a été le plus plébiscité. Il y récolte des scores supérieurs à la moyenne nationale (25%). 
    À la CGT, le FN arrive deuxième mais rassemble tout de même 22% des sondés, derrière le Front de gauche (30%). 
    Plus de 40% des ouvriers ont voté FN 
    Interrogé par le journal communiste, Pascal Debay, conseiller confédéral CGT en charge de la lutte contre l'extrême droite assure «que ce n'est pas une surprise». «Mais on ne peut se satisfaire du score du vote FN», dit-il. La centrale de Montreuil, avec la FSU et Solidaires, a lancé début janvier une action commune pour lutter contre les idées du Front national. «Il faut travailler ces questions sur la durée avec nos syndiqués, sans les culpabiliser», confirme le cadre cégétiste, cité par le quotidien. 
    Pourtant, plusieurs syndiqués qui ont fait le choix de se présenter sous les couleurs du FN lors de précédents scrutins ont été exclu ou menacé d'une telle procédure. 
    Au lendemain des dernières élections européennes, deux sondages ont confirmé que plus de 40% des ouvriers (46% selon l'Ifop, 43% selon Ipsos) ont voté pour les listes présentées par le parti d'extrême-droite. 

  • René Guénon : « Le chaos social »

    Naturellement, quand nous nous trouvons en présence d’une idée comme celle d’« égalité », ou comme celle de « progrès », ou comme les autres « dogmes laïques » que presque tous nos contemporains acceptent aveuglément, et dont la plupart ont commencé à se formuler nettement au cours du XVIIIe siècle, il ne nous est pas possible d’admettre que de telles idées aient pris naissance spontanément.

    Ce sont en somme de véritables « suggestions », au sens le plus strict de ce mot, qui ne pouvaient d’ailleurs produire leur effet que dans un milieu déjà préparé à les recevoir ; elles n’ont pas créé de toutes pièces l’état d’esprit qui caractérise l’époque moderne, mais elles ont largement contribué à l’entretenir et à le développer jusqu’à un point qu’il n’aurait sans doute pas atteint sans elles.

    Si ces suggestions venaient à s’évanouir, la mentalité générale serait bien près de changer d’orientation ; c’est pourquoi elles sont si soigneusement entretenues par tous ceux qui ont quelque intérêt à maintenir le désordre, sinon à l’aggraver encore, et aussi pourquoi, dans un temps où l’on prétend tout soumettre à la discussion, elles sont les seules choses qu’on ne se permet jamais de discuter. 

    René Guénon

    La crise du monde moderne, chap. VI – Le chaos social

    http://la-dissidence.org/2015/01/04/rene-guenon-le-chaos-social/

  • Le chômage des jeunes, fléau européen

    A travers l’Union européenne, dans cette tranche d’âge, un jeune de moins de 26 ans sur quatre cherche un emploi. C’est plus d’un sur deux en Irlande, Slovaquie, Italie, Espagne et au Portugal. En Grèce, ils sont 55% au chômage. A Athènes, tandis que Mary n’a trouvé qu’un travail payé vingt euros par semaine dans un centre d’appel, Yiannis, diplômé de 28 ans, attend depuis plus d’un an et demi que l’une de ses nombreuses candidatures auprès des entreprises aboutissent.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Vente d’Alstom : le dessous des cartes

    Pour Jean-Michel Quatrepoint (journaliste et économiste), la vente d’Alstom est un «scandale d’État». Le journaliste et économiste révèle que le gouvernement a délibérément confié à un groupe américain l’avenir de l’ensemble de notre filière nucléaire.*

    Vendredi 19 décembre, dans un complet silence médiatique, les actionnaires d’Alstom ont approuvé à la quasi-unanimité le passage sous pavillon américain du pôle énergie du fleuron industriel. 70% des activités d’Alstom sont donc vendues au conglomérat General Electric (GE). Que cela signifie-t-il concrètement?

    Le protocole d’accord approuvé par Emmanuel Macron en novembre et voté par l’assemblée générale d’Alstom, le 19 décembre, est proprement hallucinant! tant il fait la part belle à Général Electric et ne correspond pas à ce qui avait été négocié et présenté au printemps dernier.

    Lire la suite sur le site du Figaro…

    http://www.contre-info.com/

  • Affaire Alstom : un État fautif

    Les États contemporains doivent plus que jamais jouer un rôle économique. Mais la République française paraît cruellement incapable de l’assurer, malgré son interventionisme.

    Réunis en assemblée générale le 19 décembre dernier, les actionnaires d’Alstom ont, sans surprise, avalisé la cession de la branche énergie du groupe au conglomérat américain General Electric, et ce à un score digne des grandes heures de l’Union soviétique : plus de 99 %… Moins soviétique est le bonus empoché par le dirigeant du groupe, le polytechnicien Patrick Kron, qui quitte son poste lesté d’un peu moins de 4 millions d’euros (sous forme d’actions, il est vrai) en gratification de ses bons et loyaux services, au grand dam de nombre de salariés des sites français du groupe actuellement contraints au chômage partiel.

    Dans l’ombre d’un géant

    Soyons beau joueur : M. Kron n’a pas démérité, permettant à l’État français de réaliser une des plus belles acquisitions de sa carrière d’actionnaire impotent. En effet, pour une somme supérieure à 3 milliards d’euros, les technocrates qui nous gouvernent se sont offert pour Noël les deux tiers de la participation du groupe Bouygues (30 %, participation prise en 2003 sous l’égide de Nicolas Sarkozy, qui permit d’éviter le naufrage du groupe). Certains (peu nombreux, il est vrai) se frottent les mains. D’autres s’interrogent : à qui profite réellement ce marché, derrière lequel se profile l’ombre d’anciens de la banque Lazard, qu’on retrouve aux manettes dans la presse grand public et les chaînes câblées inverties ?

    Nous n’en savons rien, et, au risque d’ajouter à la perplexité de nos lecteurs, nous poserons deux questions supplémentaires. En premier lieu, à quoi sert-il de détenir 20 % d’un groupe industriel quand on a pour partenaire un mastodonte aussi puissant que dépourvu de scrupule, en l’occurrence General Electric ? Votre serviteur, qui n’a pas fait Polytechnique, peut vous donner la réponse : à rien. Comme le dit le financier belge Albert Frère : « petit minoritaire, petit con » ; vérité qui aurait dû être entendue bien au-delà du Quiévrain, mais qui ne semble pas avoir eu l’heur d’éveiller le tympan élyséen. Les 50 000 euros de pénalité par emploi non créé (quelle image pour notre pays !) arrachés par le gouvernement au successeur d’Edison ne seront que de peu de poids si une restructuration majeure s’impose.

    Les trains orphelins

    La seconde question est celle de la place d’un acteur comme Alstom Transport, désormais séparé de son groupe d’origine, dans un marché ferroviaire de plus en plus concurrentiel. La surface financière est, en effet, un sujet crucial dans cette activité, soumise à des marchés publics internationaux impitoyables. Longtemps habitué aux commandes récurrentes de la SNCF, qui se découvre maintenant en surcapacité et envisage de réduire drastiquement le nombre de rames de trains à grande vitesse, notre ex-champion national affronte maintenant une sévère compétition, venue d’Allemagne, bien sûr, avec son frère ennemi Siemens (le refus des dirigeants d’Alstom d’envisager une alliance avec le conglomérat bavarois pour des raisons d’égo sera d’ailleurs un jour sans doute sévèrement jugé), mais aussi de Suisse, d’Espagne, du Canada, et maintenant de Chine, où l’État envisage de faire fusionner les deux géants du secteur, donnant naissance à un constructeur d’une taille jamais égalée. Un signe des temps : ici, un gouvernement, certes dirigiste et quelque peu cynique, structure son industrie et la prépare à la compétition mondiale ; là, un autre donne des leçons à qui veut l’entendre (mais le public est de plus en plus clairsemé), et se cramponne à des théories fumeuses dictées par de hauts fonctionnaires qui n’ont de l’industrie qu’une connaissance livresque (dans le meilleur des cas).

    La chimère de l’État stratège

    L’État stratège, dont on nous rebat les oreilles, est en effet une chimère : aucun gouvernement de la Ve République n’a été capable de présenter un budget équilibré depuis 1977. Une telle gestion conduit immanquablement n’importe quel justiciable devant le tribunal de commerce au bout de quelques mois ; nos gouvernants y échappent. Qui voudrait des conseils de si piteux gestionnaires ? Et pourtant, ils continuent de sévir, et accumulent fiascos et occasions manquées : l’état pitoyable de la filière nucléaire française, pourtant historiquement à la pointe du secteur, peut en témoigner, de même que l’automobile, où les Allemands triomphent et les Italiens conquièrent l’Amérique, quand les Français luttent pour leur survie.

    Une gouvernance avisée a cruellement fait défaut dans nombre d’entreprises au sein desquelles le gouvernement a prétendu mettre son grain de sel. Le manque de prudence, l’orgueil, les désaccords personnels, la hantise d’un rapprochement avec un partenaire étranger sont autant d’écueils que nos élites n’ont su éviter, et qui font de nos anciens fleurons, sinon une proie, du moins un acteur de second rang. Au-delà des hommes, c’est le régime qui a permis à de telles errances de s’installer et de perdurer. En cette période de vœux, ne boudons pas notre plaisir : qu’ils dégagent, et leur république avec !

    Jean-Marc Ferrand

    Article paru dans l’Action française n° 2900 du 01 janvier 2015

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Affaire-Alstom-un-Etat-fautif

  • Les problèmes sociaux les plus simples se sont révélés les plus insolubles

    Si quelqu’un s’imagine encore qu’il est possible de réformer le système de façon à préserver la liberté de la technologie, qu’il considère les manières boiteuses et souvent inopérantes avec lesquelles notre société a essayé de gérer d’autres problèmes sociaux, de loin plus simples et plus triviaux. Ainsi, le système a été incapable d’arrêter la dégradation de l’environnement, la corruption dans la sphère politique, le trafic de drogue, et autres. 

         Prenons les problèmes de l’environnement, par exemple. Ici les oppositions sont claires : les impératifs économiques contre la volonté de préserver quelques unes des ressources naturelles pour nos petits enfants. Mais sur ce sujet nous avons seulement obtenu des inepties et des déclarations dilatoires de la part des gens qui ont le pouvoir, et non pas un programme d’action clair et cohérent et nous ne pouvons qu’imaginer la montagne de problèmes environnementaux qu’auront à gérer nos petits enfants. Les efforts pour résoudre les problèmes environnementaux se réduisent à des chamailleries et à des compromis entre différentes factions, les unes en position de force à un moment, les autres à un autre. L’énergie pour ce programme varie suivant les mouvements d’humeur de l’opinion publique. Ce n’est pas un processus rationnel, ou c’en est un dont on ne peut espérer une solution adéquate et satisfaisante. La plupart des problèmes sociaux, s’ils veulent être « vraiment » résolus, sont rarement ou jamais résolus de façon rationnelle et claire. C’est un processus confus où de nombreux groupes de pressions poursuivant leurs intérêts propres à court terme arrivent (en général par chance) à un modus vivendi plus ou moins stable. En fait, il est peu probable que les plans sociaux rationnels à long terme puissent JAMAIS prétendre au succès. 

         Ainsi, il apparaît que la race humaine a au mieux une capacité très limitée de résoudre même ses problèmes sociaux les plus triviaux. Comment pourrait-elle résoudre le problème infiniment plus complexe et plus difficile que constitue la réconciliation de la liberté et de la technologie ? La technologie a des avantages clairement mis en avant, alors que la liberté est une abstraction dont la signification varie d’un individu à l’autre, et sa perte est facilement dissimulée par la propagande et les discours mensongers. 

         Et notons cette importante différence. Il est possible que nos problèmes d’environnement (par exemple) soient un jour résolus grâce à un plan clair et rationnel, mais il ne le seront que parce que cela rentre dans les intérêts à long terme du système de résoudre ces problèmes. Mais ce n’est PAS dans l’intérêt du système de préserver la liberté ou l’autonomie des petits groupes. Au contraire, son intérêt est de contrôler le comportement humain sur la plus large échelle possible. Ainsi, si des considérations pratiques pourront éventuellement forcer le système à entreprendre une action pour la préservation de l’environnement, de semblables considérations forceront le système à prendre en main de façon encore plus drastique le comportement humain (de préférence par des moyens indirects qui dissimuleront l’effritement de la liberté). Ce n’est pas juste notre opinion. D’éminents sociologues (par exemple James Q. Wilson) ont insisté sur l’importance à « socialiser » la population de manière plus efficiente.

     

    Théodore Kaczynski, La société industrielle et son avenir

    http://www.oragesdacier.info/2015/01/les-problemes-sociaux-les-plus-simples.html

  • Grève contre le projet de loi santé : le mouvement des médecins "va durer"

    Les syndicats de médecins, qui accusent le gouvernement d'être "sourd", envisagent de prolonger leur action au-delà du 31 décembre.

    La grève contre le projet de loi santé pourrait "durer" au-delà du 31 décembre, car le gouvernement est "sourd" aux demandes des médecins, a affirmé vendredi la FMF, tandis qu'un autre syndicat de médecins, la CSMF, évoquait un mouvement "particulièrement suivi". "Cette grève normalement s'arrête le 31 décembre. Mais on sait que ça va durer, on sait que ça va être obligé de durer. On est en face d'un ministère qui est particulièrement sourd", a affirmé le président de la Fédération des médecins de France (FMF) Jean-Paul Hamon sur RTL. Le gouvernement "prétend vouloir renégocier", mais lors des négociations qui se sont déroulées "la semaine dernière, on nous a ressorti le même texte qu'au mois de juillet, sans modification d'une virgule", a-t-il dénoncé.

    Dans un communiqué, la Confédération des syndicats de médecins français (CSMF, généralistes et spécialistes) souligne que la grève est "particulièrement suivie" avec plus de "80 % de cabinets médicaux fermés". Pour l'organisation, cela démontre "l'exaspération et la détermination de la profession" contre le projet de loi de santé "qui va détruire l'organisation des soins libéraux de proximité auxquels les Français sont attachés pour en faire une usine à gaz aux mains de l'administration où tout sera plus compliqué et plus long".

    "Il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire"

    Du côté de l'impact de la grève pour les patients, Jean-Paul Hamon, dont le syndicat regroupe des spécialistes et généralistes, a reconnu qu'il n'y avait pas d'afflux aux urgences, comme l'avait souligné mercredi Marisol Touraine. La ministre de la Santé "a un peu de chance et les patients aussi", "il y a effectivement moins de patients en ce moment, il n'y a pas d'épidémie, il y a très peu de pathologies", a-t-il relevé. Mais "il ne faudrait pas que Marisol Touraine pense qu'elle a échappé à une catastrophe sanitaire", celle-ci "va arriver avec la mise en oeuvre de cette loi", le projet de loi santé, a-t-il ajouté. "Nous exigeons toujours qu'elle soit retirée", car Marisol Touraine "veut nous noyer sous la paperasse avec un tiers payant généralisé" et "nous mettre sous la coupe des agences régionales de santé" (ARS) qui "vont pouvoir conventionner les médecins à leur guise".

    Plusieurs syndicats de médecins libéraux ont appelé à fermer les cabinets pendant les vacances de Noël. Les spécialistes se sont joints mercredi au mouvement entamé la veille par les généralistes. Les médecins ont des revendications tarifaires : les généralistes demandent une consultation à 25 euros, les spécialistes la revalorisation des actes. Ils demandent aussi la réécriture, voire le retrait du projet de loi santé dont l'examen par le Parlement est prévu en avril. Le député UMP et urologue Bernard Debré, qui avait déjà affiché son soutien aux grévistes, a aussi appelé vendredi sur i>Télé à la suppression de ce projet qu'il juge "mauvais". "Il a déjà été repoussé, il devait passer à l'Assemblée nationale en janvier, maintenant c'est en avril, peut-être en mai. Il faut arrêter", a-t-il dit. "On ne peut pas réformer sans l'accord des médecins."

    source : afp via le Point 

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAyplFVyBdaxMUke.shtml

  • Valls vient en aide aux pauvres qu’il fabrique

    « Jamais un gouvernement n’a mis autant de moyens pour venir en aide aux plus fragiles. Et pourtant, tous les travailleurs vous le diront, il manque encore des places. Il faut en faire davantage ».

    C’est ainsi que Manuel Valls semble se satisfaire à l’issue d’une visite au centre d’hébergement Romain Rolland du Samu social à Montrouge (Hauts-de-Seine).

    Bravo monsieur Valls ! Vous nous annoncez disposer de 105000 places et avoir débloqué 110 millions d’euros supplémentaires ! C’est bien de jouer aux aides humanitaires généreuses, surtout avec l’argent du contribuable.

    Certes, s’il existe une situation d’urgence qui nécessite de savoir comment éviter le pire pour ceux qui sont sans abri, la véritable question réside avant tout sur les mesures à prendre pour que ces malheureux cessent de se multiplier.

    Sans que la politique précédente de Sarkozy – et des autres depuis 60 ans – n’ait été bonne, celle de la clique socialiste au pouvoir est tout particulièrement néfaste. Au délitement sociétal accéléré qui détruit un peu plus les familles et appauvrit les individus, l’implosion économique n’est plus un vain mot : TaubiraMacronDuflot, Hamon etc… autant de noms de ministres pour autant de lois nuisibles à la société et à l’économie ; sans parler deTouraine qui se mêle de santé et Moscovici d’économie, sans en avoir la moindre compétence à l’instar de leurs collègues…

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