Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 427

  • La France rurale est plus pauvre que les banlieues mais on n’y brûle pas de voitures…

    Un criminologue tient à l’antenne des propos de bons sens qui font du bien. Il a analysé la répartition de la pauvreté en France et constate que les zones les plus pauvres ne sont pas les banlieues mais la France rurale, notamment le Cantal. Et pourtant on n’y brûle pas de voitures et on n’y constate pas d’augmentation de la délinquance.

    Expliquer la délinquance des personnes d’origine immigrée par la pauvreté est donc bien un mensonge et une manipulation.

    Source MPI

    http://www.contre-info.com/

  • Paris : nouvelle évacuation du camp de clandestins dans le 18e

    Sans doute de peur d’une pétition d’artistes, c’est en demandant bien poliment que l’on a évacué une nouvelle fois le camp de clandestins de la halle Pajol. Enfin ceux qui voulaient bien…

    Pas de CRS, leur présence énerve les clandestins et les bobos, mais des représentants de la ville de Paris accompagnés du directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Voilà le nouveau dispositif pour évacuer les camps d’immigrés dans Paris. Ces braves gens ont donc invité les immigrés à monter dans les neuf bus spécialement affrétés pour rejoindre les huit centres d’hébergement mobilisés en banlieue parisienne qui contiennent 100 à 150 places disponibles. Certains n’aiment pas le bus, ou la banlieue, et ont refusé d’obtempérer. A la mi-journée, une vingtaine d’immigrés ayant refusé la solution d’hébergement se trouvait encore dans le camp.

    A noter que pendant ce temps, des Français en règle, ayant cotisé et payé leurs impôts se voient refuser des aides… 

    http://fr.novopress.info/

  • Loi Macron : la grande illusion (Présent 8394)

    La loi Macron est définitivement adoptée après un nouveau recours à l’article 49‑3, qui permet l’adoption du texte sans passer par le vote des députés. C’est ce procédé que François Hollande dénonçait en 2006 quand Dominique de Villepin alors Premier ministre, l’utilisait pour imposer le CPE : « Le 49‑3 est une brutalité, le 49‑3 est un déni de démocratie, le 49‑3 est une manière de freiner ou d’empêcher le débat parlementaire. »

    C’est la seconde fois que Valls use de ce procédé pour le même projet de loi. Lors de la précédente, en février 2015, afin de justifier cette méthode expéditive, il invoquait « l’esprit du 11 janvier », ce qui était hors-sujet. Cette fois, cet esprit ayant fait long feu, il se raccroche à une autre actualité : « C’est peut-être encore plus utile aujourd’hui, au moment où le monde est confronté à une crise, celle de la Grèce, mais avec des inquiétudes également avec ce qui se passe en Chine. » Sauf à considérer que du fait de la mondialisation tout, partout, est dans tout et réciproquement, la réforme des prud’hommes en France, n’a évidemment aucun rapport avec ce qui passe en Chine, en Grèce ou dans le Béloutchistan oriental.
    8394-Une
    Le seul motif de ce passage en force, c’est de tordre le bras des députés socialistes frondeurs qui, alliés à la droite parlementaire, feraient capoter cette réformette. À défaut de rassembler les socialistes, Macron a réussi à unir gauche et droite contre lui. Car son projet est trop libéral pour l’aile gauche du parti et pas assez pour les députés libéraux. C’est dans le droit fil de l’action de Hollande qui ménage la chèvre et le chou : il se fait donc mordre par la chèvre après qu’elle a dévoré le chou. Pour les libéraux, on ouvrira largement le travail du dimanche et pour apaiser les syndicalistes on imposera aux patrons d’informer les salariés en amont de la vente d’une entreprise. Emmanuel Macron veut libéraliser le transport en autocar, mais il laisse intact le statut des taxis alors qu’il entendait abolir les rentes de situation. Il préfère s’en prendre aux notaires qui ne peuvent paralyser les villes, c’est moins risqué.

    Le but de tout cela ? Montebourg, le prédécesseur de Macron qui avait lancé le projet l’a dit : « Rendre 6 milliards de pouvoir d’achat aux Français » après qu’impôts et taxes leur en eurent ponctionné quelque 20 milliards ! Quoique urgente pour « l’emploi et la croissance » on ne sait pas quand la loi sera appliquée. Décidée il y a un an, elle attend maintenant le verdict du Conseil constitutionnel et l’avis des partenaires sociaux, après quoi, si tout se passe bien, il faudra passer aux décrets d’application, sachant que 40 % des décrets attendus pour 2014 ne sont toujours pas publiés. Le chef de l’État est déjà dépassé, lui qui disait le 16 juin : « Si on pense que ce texte est utile à la croissance et à l’emploi, il faut qu’il soit mis en œuvre avant l’été, avant les vacances. » Ce ne sera pas le cas. La loi Macron et ses mesurettes inopérantes, c’est la grande illusion de ce quinquennat agonisant.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1

    Des données sur la famille contenues dans le recueil 2015 de l’UNAF viennent combattre un certain nombre d’idées reçues et justifient l'attachement très fort au modèle de la famille durable que les AFC promeuvent sans relâche. Parmi les chiffres :

    • 75,2% des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents ensemble …
    • Le nombre de divorces recule depuis 2010 …
    • 5490€ par an : c'est en 2012 la différence de niveau de vie médian d'un couple avec 3 enfants par rapport à un couple sans enfants.
    • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1. Ce taux est à 2,01 en 2014.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les agriculteurs français souffrent de l'embargo russe

    Lu sur Sputniknews :

    "La nuit de colère, organisée par les agriculteurs bretons, a été provoquée par les résultats des sanctions économiques et financières imposées par l'UE à la Russie. La Bretagne est une région qui est très touchée par les contre-sanctions russes. Les éleveurs porcins subissent un effondrement des cours. Les revenus moyens des éleveurs sont inférieurs à 12 000 euros par an. Selon Paul Auffray, président de la Fédération nationale porcine, "on perd un éleveur de porc par jour depuis des mois".

    "Malheureusement, dans le différend qui oppose l'Union européenne à la Russie, on a laissé les producteurs tous seuls payer l'addition", a déclaré Jean-François Jacob, président de la SICA dans une interview accordée à Sputnik.

    Selon M.Jacob, malgré les grandes déclarations que fait l'Europe sur l'accompagnement des producteurs qui subissaient en effet le contrecoup des décisions politiques, rien n'a été fait.

    "On a menti à l'opinion et on a laissé les producteurs dans la détresse subir les conséquences des décisions qui n'étaient pas les leurs. Il n'y a pas eu de solidarité de la part de l'Europe, on a laissé tomber les agriculteurs et notamment en France", ajoute le président de la SICA.

    Avant l'embargo, 25% des exportations de viande de l'UE étaient destinées au seul marché russe. A ce jour, les cours du porc en France sont retombés sous le seuil de rentabilité, à 1,32 euro le kilo. Ce qui explique d'ailleurs en partie la montée en puissance des revendications dans ce pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Entrevue avec Angelo, sa femme Elodie et le petit Timothée, SDF français.

    sdf.jpg

    Propos recueillis le 1er juillet 2015 à Bordeaux par Christine de l’Association des Patriotes Girondins, Valérie et Axel du Renouveau Français, Florent de la Dissidence Française et Christophe du Mouvement d’Action Sociale.

    Christophe : Angelo, vous êtes connu depuis qu’une vidéo vous concernant circule sur la toile. Pouvez-vous vous présenter ?

    Angelo : Je me nomme Angelo Gacem, originaire du Jura, de Saint-Amour plus précisément. J’ai 27 ans, Elodie en a 23. Depuis le 4 décembre dernier nous sommes les parents d’un petit Timothée… Je suis commis de cuisine saisonnier depuis plusieurs années.

    Elodie : Cela fait huit ans que nous sommes ensemble. Pour ma part je suis, enfin j’étais, assistante de vie. Je m’occupais de personnes âgées.

    Christophe : Pouvez-vous nous décrire votre situation actuelle, pour ceux qui n’auraient pas vu la fameuse vidéo ?

    Angelo : Nous sommes, bien malgré-nous, ce qu’on peut appeler des SDF… Nous passons de ville en ville, à travers l’ouest de la France, depuis le mois d’avril.

    Christophe : Comment en êtes-vous arrivés là ? Surtout avec un enfant en bas-âge…

    Angelo : Tout a commencé en mars 2015, lorsque j’ai répondu à une annonce en ligne concernant un restaurant de bord de mer aux Sables-d’Olonne. J’ai été recruté. Moi et ma petite famille sommes venus nous installer en Vendée. Le patronnous payait une studette dans un établissement réservé aux saisonniers, en échange je bénéficiais d’une rémunération quelque peu « allégée »…

    Christophe : C'est-à-dire ?

    Angelo : 50 euros par-ci, 100 euros par-là… à chaque réclamation le patron nous disait : « on ajustera cet été, quand on aura plus de clients… » Je voulais bien le croire, mais j’avais un enfant à nourrir, et l’activité ne me semblait guère rentable. Sans compter le coût de la vie dans une station balnéaire. Nous avons eu une explication sérieuse. Un RDV a été convenu le lendemain, pour la remise d’un chèque.

    Elodie : Oui, c’est ça. On a attendu toute la journée avec le petit à l’endroit convenu… Et personne n’est venu. Nous avons rappelé plusieurs fois. Rien.

    Christophe : Quelle a été votre réaction ?

    Elodie : Nous avons pensé à un malentendu. Nous sommes rentrés à l’hôtel. Le lendemain nous sommes allés au restaurant et avons découvert que ce dernier était fermé… C’est alors que nous avons décidé d’aller prévenir la police.

    Angelo : Les policiers nous ont dit que chaque année c’était la même histoire. Des salariés se font entuber par des patrons pas corrects. On nous a dit de repasser le lendemain car aucun OPJ n’était présent pour enregistrer notre plainte. Le lendemain on nous a expliqué que c’était le tribunal des prud’hommes qui aurait à trancher.

    Elodie : Et le patron était toujours introuvable ! On a fouillé dans toute la ville. Les choses ont vraiment mal tourné quand le gérant de l’hôtel nous a demandé de faire nos valises…

    Christophe : Vous n’avez pas songé à joindre des proches ? Famille, amis ?

    Elodie : J’ai commencé à fréquenter Angelo lorsque j’avais 15 ans. Mes parents ne l’ont jamais accepté. Lorsque j’ai appelé ma mère en décembre pour lui dire qu’elle était grand-mère, on m’a raccroché au nez.

    Angelo : Et puis les amis… Quand on est dans le pétrin…

    Christophe : Donc vous voilà sans argent et nul-part où aller…

    Elodie : Nous ne connaissions rien concernant les services sociaux. Nous nous sommes dirigés vers la mairie avec notre fils pour obtenir de l’aide.  Ils n’avaient aucune solution. C’est alors que nous avons découvert les joies du 115…

    Angelo : Oui, la joie ! On a pu nous placer dans une chambre d’hôtel, pas mal l’hôtel d’ailleurs… mais seulement pour trois nuits, renouvelable une nuit ! Or on nous a donné RDV avec une assistante sociale du SIAO local pour trois semaines après ! Nous avons été néanmoins dirigés temporairement vers une structure baptisée ASPH ou APSH, je ne me souviens plus avec tous ces sigles… Là, surprise de la part du personnel : il y a un enfant ! Panique à bord. « On ne peut pas prendre en charge un enfant ! On vous transfert vers la Maison de la Solidarité. » On l’a bien sentie, la solidarité, lorsqu’on nous a demandé de quitter Les Sables-d’Olonne… « Si on vous voit dormir dehors avec le bébé, nous serons forcé de vous le retirer. »

    Elodie : C’est à ce moment là qu’on a du commencer la manche…

    Christophe : J’imagine que ce cap a du être très dur à franchir.

    Angelo : Oui. Nous avons toujours travaillé et gagné dignement notre vie. Là… c’était nouveau. Mais nous avions Timothée. Nous avons fait cet effort pour lui. Sans l’enfant nous aurions déniché une toile de tente et nous serions repartis dans la vie en quelques semaines, mais avec un bébé… autre paire de manches.

    Elodie : Nous allions au contact des gens, nous refusions de rester assis et d’attendre les piécettes. Nous parlions beaucoup, expliquions notre situation. Parfois nous avions un billet ou des cigarettes… Souvent de l’indifférence. Il m’est aussi arrivé d’entendre des choses très violentes, du style : « il fallait avorter, ma fille », ou encore « je t’offre 5000 euros pour le bébé », et des choses pires encore… Finalement nous parvenions à nous en sortir avec une centaine d’euros par jour, mais quasiment tout partait dans les nuitées…

    Christophe : Et vous êtes partis…

    Elodie : Oui, un SDF que nous avions pris l’habitude de croiser nous a précisé que les services du 115 étaient départementaux et non nationaux comme nous le pensions… En gros il fallait que nous bougions pour pouvoir retourner gratuitement à l’hôtel quelques jours. Au bout d’une semaine de manche nous avons pris le train pour Poitiers. Nous n’avions eu aucun retour des organismes contactés les derniers jours. Un cercle vicieux.

    Christophe : Que s’est-il passé sur Poitiers ?

    Angelo : Nous avons immédiatement contacté le 115 dès notre descente du train, dans l’après-midi. Ils étaient complets. Or nous savions qu’il existait un hôtel dans les parages où séjournaient des demandeurs d’asile… « Mais nous avons un bébé…» - « Désolé madame, recontactez-nous à 22H00, il y aura peut-être une place. » A 22H00 nous n’avons obtenu aucune réponse. J’ai alors utilisé le dernier recours, je suis allé sonner au presbytère. Le prêtre nous a accueilli et a lui-même constaté les résultats du 115… Il nous a trouvé des matelas et des draps. Le lendemain nous partions dans une maison de religieux ou nous sommes restés une dizaine de jours.

    Elodie : Normalement les femmes n’y ont pas accès, mais ils ont fait une exception pour nous. Ils ne nous ont rien demandé.

    Angelo : Puis nous avons décidé de partir, la chambre que nous occupions devait être utilisée par un moine de passage. Nous avons décidé de refaire une tentative avec le 115, cette fois en nous faisant passer pour des gens de l’est… J’ai tâché de prendre mon meilleur accent !

    Christophe : Et ça a fonctionné ?

    Angelo : Pas trop mal… l’hôtel nous a été accordé pour trois jours et une assistante sociale et même venue nous voir ! J’ai du jouer mon rôle ce jour là. Un RDV a été convenu, mais avec nos passeports « polonais »… Nous ne sommes pas allés au RDV, vous comprenez…

    Christophe : Oui, je comprends. Quelle est la suite ?

    Angelo : Nous nous sommes remis en route. Nous sommes passés par Niort, Angoulême, Saintes, Nantes, etc… A chaque fois nous récoltions une amende dans les trains et ne restions parfois que quelques minutes dans la gare, le temps de constater l’absence totale d’appui du 115… Nous faisions la manche pour les hôtels quand nous ne pouvions obtenir les deux ou trois nuits gratuites… Fin mai ou début juin, je ne me souviens plus très bien, nous sommes arrivés à La Rochelle. Nous avons eu la possibilité d’avoir les trois nuits. Nous tournions sur le secteur. Nous sommes allés à la mairie expliquer notre situation. La réponse était invariablement la même…

    Christophe : C’est là que vous êtes tombés sur l’équipe des Contribuables Associés ?

    Angelo : Oui, je venais de finir le tour du centre pour trouver un peu d’argent et j’ai vu cette petite manifestation sur le port. J’ai discuté avec un responsable et ce dernier a vite proposé de me filmer avec son appareil photo. J’ai accepté. C’était début juin.

    Christophe : Quand avez-vous compris que vous étiez devenus « célèbres » ?

    Angelo : Quand on a commencé à nous dévisager dans la rue et que la police s’est intéressée à nous. C’était il y a environ une semaine.

    Christophe : Que vient faire la police là-dedans ?

    Elodie : J’ignore comment la police nous identifie, car nous sommes propres et discrets, mais quasi-systématiquement, dès que nous croisons une patrouille, nous sommes fouillés sans ménagement. Plusieurs fois les affaires du bébé ont même été versées sur le sol. Nous avons commencé à paniquer un peu… De plus les médias ont commencé à s’intéresser à nous. Nous avons vu les articles de Sud-Ouest et de Libé… Ils sont très éloignés de la réalité. Nous sommes harcelés d’appels de journalistes.

    Christophe : Comment êtes-vous arrivés à Bordeaux ?

    Angelo : En revenant de Saintes où nous étions allés chercher le calme quelques jours, en marchant sur l’avenue entre la gare et le port de La Rochelle des cyclistes de la police municipale nous ont interpellés. Ils nous ont dit qu’ils avaient des instructions de la mairie… Ils nous ont conduits à la gare avec notre enfant et nos affaires et, avec la collaboration de la police ferroviaire, nous ont demandé de prendre le train pour Bordeaux. Nous n’avons pas cessé d’être fouillés dans la rue par la police et harcelés au téléphone par les journalistes depuis notre arrivée ici. Ces derniers nous ont même proposé une somme contre une interview, cela m’a tellement choqué que je les ai envoyé paitre ! On a encore notre fierté.

    Elodie : Pour l’instant c’est à Bordeaux que nous avons trouvé la meilleure aide. Un réseau s’est mis en place pour nous aider.

    Christophe : Qu’allez-vous faire à présent ?

    Angelo : Une solution d’hébergement a été trouvée dans une autre région de France. Nous partons demain pour nous installer définitivement dans un nouvel endroit. Cette page se tourne enfin, surtout pour mon fils.

    Christophe : Que retirez-vous de cette expérience ?

    Angelo : Se retrouver impuissant malgré l’ensemble des structures officielles existantes est une chose très dure à expérimenter. Certaines populations bénéficient d’avantages réels, d’autres non. Je ne l’imaginais pas à ce point… Au final se sont des individus et des organismes ne faisant pas partie du « système » qui ont été les plus efficaces. La désinformation médiatique est aussi un facteur difficile à supporter. D’un autre côté, sans cette vidéo, nous ne serions peut-être pas sortis d’affaire... Je compte surtout ne rien oublier et faire valoir nos droits. Des actes impardonnables ont été commis à l’encontre de ma famille.

    Christophe : Le mot de la fin…

    Angelo : Je ne souhaite cela à personne, on bascule très vite, et parfois même la volonté ne peut pas tout… Nous voulions cette entrevue pour replacer les choses dans leur contexte. Et si, il est possible de rester dormir dehors en France en tant que demandeur d’aide Français avec un enfant de moins d’un an.

    Elodie : Un grand merci de ma part et de celle de mon fils.

    _

    La vidéo: ici.

     

    Christophe pour le C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Le mail prive de travail les facteurs : interdisons-les !

    Jean-Gilles Malliarakis revient sur la révolte des taxis contre Uber :

    "[...] Quelle que soit l’issue des procédures, quel que soit le sort que les juridictions compétentes leur réserveront, on s’enfonce dans les messages désastreux et dommageable. Or, le message désastreux et dommageable de Cazeneuve n’est pas seulement adressé aux Français.

    Il sera entendu par bien des touristes qu’il dissuadera un peu plus de visiter un pays aussi archaïque.Mais il pourrait bien servir, aussi, d’argument dissuasif dans le cadre de la candidature du pays aux Jeux Olympiques de 2024. Le banc d’essai du championnat d’Europe de football de 2016 pourrait bien infliger une leçon à nos législateurs.

    Si énergiques, si inventifs en matière de répression, les représentants de l’ex-UMP en particulier et de la droite en général, n’ont pas su se réveiller pour défendre la liberté d’entreprendre : dans la campagne des régionales on aurait aimé les entendre défendre l’offre privée concurrentielle de transports. Il faudra attendre des jours meilleurs.

    Parmi les rares acquis positifs de  la présidence précédente le statut des auto-entrepreneurs était aussi en cause. Oublié, ce statut ! on a même entendu que le président des républicains regrettait cette réforme.

    [...] D’excellents adeptes pourraient bientôt convaincre les gens de Sud et de la CGT d’exercer, par exemple, les même talents dans les postes, avec l’appui des technocrates de la banque postale : pourquoi ne pas interdire le courrier électronique. Ces innombrables courriels qui arrivent à jet continu, ne se contentent pas de polluer nos boîtes aux lettres. Ils privent d’emploi les facteurs ruraux, aggravant la désertification. Plus de lettres à distribuer ! Bientôt plus de factures non plus ! Notons, autre conséquence d’internet que le commerce en résultant surcharge d’un travail déjà harassant le service public de la distribution des colis.

    [...] Et tout cela se passe dans un pays qui se réclame de la liberté et qui a fait de la liberté du commerce et de l’industrie ce que les juristes appellent un principe général du droit. Bastiat reviens, ils sont devenus fous !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Frédéric Lordon : Valeur travail, capitalisme et angle Alpha

    À travers une vidéo exploratoire de la pensée de Frédéric Lordon, Usul nous offre l’occasion de revenir sur la « valeur travail » omniprésente dans les discours politiques et sur les conflits d’intérêts qui séparent travailleurs et patrons.

    Avez-vous déjà entendu parler de l’angle Alpha ? Cette théorie développée par M. Lordon décrit l’angle Alpha comme étant l’écart entre le désir maître (celui de l’employeur) qui a enrôlé des puissances d’agir (les employés) au service des objectifs de l’entreprise et les désirs de ces mêmes employés.

    Il en résulte un écart de volontés, une zone d’incertitude, cause de dissonance pour le travailleur. Compliqué ? L’angle alpha, c’est un peu votre personnalité dissidente, votre faculté à dire « non » lorsque vous ne désirez pas étouffer vos désirs personnels au profit de désirs autres que les vôtres, le plus souvent à des fins marchandes.

    Moins politique que philosophique, cette vidéo d’Usul tente, grâce aux thèses de Frédéric Lordon, de nous montrer de quelle manière les grandes entreprises nous saisissent, nous investissent et nous façonnent. Pour se faire, Usul analyse les propos tenus lors d’une émission tournée il y a quelques années alors que Frédéric Lordon était l’invité de Judith Bernard, venu pour parler du travail et du capitalisme d’un point de vue Spinoziste.

    http://fortune.fdesouche.com/386031-frederic-lordon-valeur-travail-capitalisme-et-angle-alpha#more-386031

  • « Nuit de l’élevage en détresse » : les agriculteurs en colère

    Plusieurs milliers d’agriculteurs, éleveurs et producteurs de lait, ont manifesté jeudi dans toute la France pour crier leur « ras-le-bol » face à l’absence de remontée des prix de leur production. La manifestation baptisée, « Nuit de l’élevage en détresse », s’est tenue principalement dans l’Ouest.

    Reinformation.tv était également sur place :

    http://www.contre-info.com/

  • La France rurale est plus pauvre que les banlieues mais on n’y brûle pas de voitures…

    Un criminologue tient à l’antenne des propos de bons sens qui font du bien. Il a analysé la répartition de la pauvreté en France et constate que les zones les plus pauvres ne sont pas les banlieues mais la France rurale, notamment le Cantal. Et pourtant on n’y brûle pas de voitures et on n’y constate pas d’augmentation de la délinquance.

    Expliquer la délinquance des personnes d’origine immigrée par la pauvreté est donc bien un mensonge et une manipulation.

    http://www.medias-presse.info/la-france-rurale-est-plus-pauvre-que-les-banlieues-mais-on-ny-brule-pas-de-voitures/34316