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tradition - Page 209

  • La Manif Pour Tous félicite tous les signataires de sa charte (ré)élus dès le 1er tour !

    Communiqué de LMPT :

    "Comme Philippe Brillault et Franck Meyer, porte-parole nationaux du mouvement, de nombreux signataires de la charte de La Manif Pour Tous pour les municipales 2014 ont été élus, ou réélus, dès le premier tour.

    C’est notamment le cas des quatre maires d’arrondissements de Paris élus dès le 1er tour : Claude Goasguen, Brigitte Kuster, Jean-Pierre Lecoq et Jean-François Legaret. Ils avaient tous signé la charte de La Manif Pour Tous. De nombreux parlementaires sont également concernés, notamment Etienne Blanc, Philippe Cochet, Charles de Courson, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Christophe Fromantin, Philippe Gosselin, Céleste Lett, Philippe Marini, Hervé Mariton, Olivier Marleix, Jacques Bompard, Christian Cambon, Patrick Balkany, Jean-Pierre Door, Joël Billard, François de Mazières, Jacques Kossowski, Alain Moyne-Bressand, Yannick Moreau, Jacques Myard, Laurent Wauquiez, Eric Woerth, Hugues Portelli… A leurs côtés, de nombreux nouveaux-venus en politique, jeunes pour la plupart, signataires aussi de la charte, siègeront dans ces conseils municipaux. Cette nouvelle génération de conseillers municipaux, issue de la mobilisation contre la loi Taubira et ses conséquences, renouvelle l'engagement politique.

    « La Manif Pour Tous le souligne régulièrement : les Français plébiscitent largement la famille, socle fondamental de la société, source de toutes ses richesses humaines et économiques et lieu irremplaçable d’éducation, de dignité et de solidarité. En toute logique, ce 1er tour des municipales atteste que les citoyens Français savent reconnaître ceux qui défendent la famille et assument leurs convictions » analyse Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. 

    La Manif Pour Tous suivra attentivement le 2e tour des municipales. Elle appelle les Français à voter pour les candidats qui ont signé la charte de La Manif Pour Tous en faveur de la famille, exprimant ainsi leur refus d'une société fondée sur l'individualisme. C’est ainsi que se lèvera une nouvelle génération d’élus, hommes et femmes de convictions, à la recherche du bien commun."

    Michel Janva

  • Naissance et mort font le roi...

    Lors de mes pérégrinations militantes ou d’interventions sur la toile, de nombreuses questions me sont posées sur ce que pourrait être la monarchie que je souhaite mais aussi sur les risques qu’elle pourrait rencontrer (et qu’elle a parfois rencontrés dans son histoire) et, par la même occasion, faire courir à l’institution et à la France même. Je vais essayer de répondre à quelques objections et interrogations sur certaines de ces questions à travers les lignes suivantes.
    « La monarchie a pour principe de base qu'une personne non sélectionnée pour ses qualités propres, mais bien pour son sang, gouverne ? Si le nouveau roi est atteint d’un désordre mental ou à des opinions très laxistes... dans le 1er cas, la nation pourrait avoir du mal à s'identifier et donc s'unir derrière cette personne. Dans le 2ème cas, le pouvoir pourrait changer, comme sous Louis XVI ici ou Nicolas II à l'Est », m’écrit une internaute.
    Effectivement, le roi n’est pas issu d’une sélection électorale et ses qualités propres ou ses compétences, quelles qu’elles soient par ailleurs, ne sont pas prises en compte pour son accession à la magistrature suprême de l’Etat : c’est la naissance et la mort qui lui ouvrent les portes du Pouvoir. Naissance, car il est le fils du roi régnant, l’aîné dans la tradition française ; mort, car c’est la mort du père roi qui « fait » roi le fils. La mort qu’aucun fils ne souhaite à son père : de la tragédie humaine et familiale sort le nouveau monarque, entre deuil et devoir. Aucun choix là dedans : le hasard ou la providence, seulement… Mais, au lieu d’être un handicap, il me semble que c’est plutôt un avantage car le roi ne doit son trône qu’à cette double histoire particulière, à la fois joyeuse et tragique. La naissance ne s’achète pas, l’heure de la mort (a priori) ne se décrète pas, sauf exception dramatique.
    C’est la naissance qui donne au nouveau roi son indépendance : il ne doit rien à personne, n’étant pas l’élu d’un clan contre un autre, n’ayant pas eu à promettre pour monter sur le trône ni de campagne électorale à faire dont on sait combien elle peut diviser l’opinion au point de la fracturer en camps irréconciliables.
    Ce ne sont pas ses compétences qui importent, en fait, mais bien plutôt cette indépendance consubstantielle à son mode de désignation, ce qui n’empêche pas, bien sûr, qu’il ne soit pas indifférent aux débats en cours et aux arguments des uns ou des autres : pour être roi « au dessus des partis », comme le soulignent de nombreux constitutionnalistes, il n’en est pas moins un être sensible et pensant, parfois sujet de sentiments et de contradictions… D’autre part, c’est cette indépendance statutaire qui lui permet de choisir - parfois en s’aidant des indications que lui donne le suffrage universel ou, dans d’autres cas, dans l’urgence d’une situation qui nécessite des hommes d’exception (sans être forcément providentiels..) ou reconnus par le monde économique ou la classe politique comme tels – ceux qui peuvent dénouer les crises ou, simplement, gouverner au mieux des intérêts de la nation. L’histoire de la monarchie française en a donné quelques exemples fameux, en d’autres temps, même si le choix de Louis XIII en faveur d’un cardinal de Richelieu impopulaire en son temps reste le plus célèbre et, peut-être, le plus judicieux, au regard de ses conséquences heureuses pour la pérennité de notre puissance politique et historique…
    Néanmoins, la question de la faiblesse ou de la maladie mentale du roi se pose, comme, d’ailleurs, elle peut se poser pour tout homme et, si l’on scrute l’histoire de la République, pour le président lui-même comme ce fut le cas de Paul Deschanel en 1920. Ainsi, le roi Charles VI, au moment de la guerre de Cent ans, souffrit d’épisodes de démence qui faillirent emporter la France et lui donner un maître anglais : mais le peuple continua à lui être fidèle, voyant à travers sa folie le symbole des malheurs qui touchaient le royaume, comme si la souffrance du roi était l’incarnation la plus « parfaite » de l’état de la nation… « Terre et Roi ne font qu’un », entend-on dans le film Excalibur dans la bouche de Merlin l’enchanteur, et cette formule résume le mieux l’état d’esprit du moment.
    Aujourd’hui, la situation est évidemment différente et, s’il arrivait par malheur que le roi, ou son dauphin, soit atteint par une maladie qui l’empêcherait d’exercer sa fonction dans de bonnes conditions, il serait tout à fait logique qu’il abdique dans le respect des règles successorales, laissant donc sa place au « suivant » dans la lignée dynastique. D’ailleurs, les récentes abdications de la reine des Pays-Bas et du roi des Belges dans l’année 2013, abdications qui n’avaient pas le motif de la maladie mais plutôt d’une vieillesse qu’ils considéraient comme désormais incapacitante, ouvrent la voie à une certaine extension de cette possibilité sans changer la logique de la succession dynastique qui est la principale force de la Monarchie et de sa légitimité.
    (à suivre)
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1135:naissance-et-mort-font-le-roi&catid=48:2014&Itemid=59

  • [Nantes] Cercle d’études du 29 mars : L’Empirisme organisateur

    Le prochain cercle d’étude de l’AFE de Nantes et de l’URBVM aura lieu le samedi 29 mars et aura comme thème : L’Empirisme organisateur.

     

    Pour tout renseignement : urbvm@hotmail.fr

    nantes.etudiants@actionfrancaise.net

  • Le Cardinal Burke persiste et signe

    Les  lecteurs de Médias Presse Info se souviennent peut-être de cet article expliquant que le Cardinal Raymond Burke, ancien archevêque de Saint Louis (Missouri) avait été limogé de la Congrégation des Evêques en raison notamment de ses positions conservatrices. Il lui était reproché essentiellement de clamer à tous vents que les politiciens catholiques ayant voté en faveur de l’avortement ne pouvaient plus s’approcher de la Sainte Communion. Cela concernait par exemple Hillary Clinton, intermittente du catholicisme, et surtout Nancy Pelosi, porte-parole du gouvernement américain. Mais aussi des dizaines de politiciens de tous bords. Idem pour ceux qui se déclaraient en faveur de l’homosexualité.

    Le Cardinal Burke malgré la sanction dont il a fait l’objet, récidive et va plus loin encore. Dans une interview publiée à l’origine en polonais par Polonia Christiana magazine, il déclare sur cette question : « Le prêtre qui refuse de donner la Sainte Communion fait un acte premier de charité en aidant la personne concernée à éviter de faire un sacrilège et en protégeant les autres fidèles du scandale… Ces personnes sont en état de péché grave. Ce n’est pas une affaire de punition mais de discipline». Il a rappelé le Droit Canon 915 qui précise que tout fidèle qui persiste dans un péché grave ne peut recevoir la Communion.

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  • Cardinal Vingt-Trois : le mariage n'est pas un combat perdu

    Extrait de l'entretien donné par le cardinal Vingt-Trois le 13 mars dans Le Figaro :

    "[...] La persistance du mouvement de la Manif pour tous, au-delà du vote de la loi du mariage pour les personnes homosexuelles, démontre d’ailleurs que le débat ne se cristallise pas sur une loi particulière. Bon nombre de Français ont le sentiment que l’on est en train de les conduire vers un mode de vie qui ne correspond pas à ce qu’ils sont et à ce qu’ils pensent être bon pour la société.

    Ce combat semble pourtant perdu…

    Je ne le pense pas. C’est au contraire une épreuve très positive. Beaucoup de gens pensaient qu’il suffisait de vivre dans son coin sans rien dire. Ils ont découvert l’existence d’un corps social dont nous sommes tous responsables. Les réformes en cause touchent en effet des points tellement sensibles de l’écosystème de la vie humaine que tout le monde est concerné. Je suis admiratif de ce dynamisme qui s’est révélé, en particulier chez les « veilleurs » comme chez les jeunes adultes qui prennent conscience que l’on est en train de leur fabriquer un monde qui n’est pas celui qu’ils veulent. Ils s’éveillent à une conscience politique avec une vraie capacité de s’engager. L’objectif n’est pas un combat politique contre le gouvernement actuel, mais c’est une lutte pour un modèle de vie. [...]

    Il y a de multiples registres, mais le premier est le combat culturel et sociétal. De ce point de vue, j’ai été déçu de la faiblesse d’expression de nombreux politiques, intellectuels, médecins, sur toutes ces questions. On aurait dit que cela n’était pas leur affaire ! Trop de ceux qui auraient dû parler se sont tus. On traite de questions qui touchent à la vie et à la mort et ils n’auraient rien à dire ? D’accord ou pas d’accord, il faut que ces gens s’expriment. Il est nocif de donner l’impression qu’il n’y a pas à débattre, que tout va de soi. [...]

    Que doivent voter les « cathos » dans tout cela ?

    Ils n’ont qu’à suivre leur conscience !

    Il n’y a pas de sujets non négociables pour eux ?

    Il est évident que si un candidat affirme qu’il est pour l’euthanasie, je n’ai pas besoin de dire, une fois de plus, que c’est non négociable, tout homme de bon sens le sait. Mais la vie politique est par définition l’art de se mettre d’accord."

    Michel Janva

  • Lundi 24 mars : l’Action française sur Radio-Courtoisie

    « L’Action française, les royalistes et les langues du royaume »

    Prochaine émission à Radio Courtoisie (95,6 Mhz) : Le français en partage dirigée par Albert SALON, docteur d’Etat ès lettres, ancien Ambassadeur, prix Jean Ferré 2008 des auditeurs de Radio Courtoisie, Président d’Avenir de la langue française ; avec l’assistance de Mme Lydie CASSARIN-GRAND

    Lundi 24 mars 2014 : « L’Action française, les royalistes et les langues du royaume »

    avec MM. Olivier PERCEVAL, Secrétaire général de l’Action française, François MARCILHAC, essayiste et directeur éditorial de L’AF 2000, Philippe MESNARD, rédacteur à L’AF 2000, et Joël BROQUET, président du Carrefour des Acteurs sociaux, ancien président de l’Agence de la Langue française créée par Philippe de Saint Robert.

    Lundi 24 mars 2014 de 10h45 à 11h45 ; puis rediffusions la même semaine : lundi 24 à 14h, mardi 25 à 6h, samedi 29 mars à 10h45.

  • 160 enfants à naître sauvés de l’avortement

    Les militants pro-vie américains ne lâchent rien. Au quinzième jour de la campagne de Carême lancée par les 40 Days for Life, 160 enfants à naître ont  été sauvés de l’avortement grâce à la présence paisible et priante des vigiles devant 253 avortoirs, grâce aux “conseillers de trottoirs” qui proposent aux mamans qui envisagent des solutions concrètes, grâce aux jeûneurs, et grâce, aussi, aux “prières de l’arrière”. En outre, déjà 102 messes ont été ou seront célébrées pendant cette Sainte Quarantaine aux intentions des 40 Days for Life, la plus grande partie en France, mais aussi en Belgique, au Brésil, à Jérusalem et en la basilique Saint-Pierre… 

    Michel Janva

  • Chrétienté-Solidarité fait peau neuve

    Découvrez ici le nouveau site de l'association de défense des chrétiens persécutés, présidée par Bernard Antony.CS-croix-noire-centreMichel Janva

  • Miss Pennsylvanie 2014, l’enfant du viol qui rend grâce à Dieu de l’avoir gardée en vie !

    Miss Pennsylvania 2014 a été reçu cum laude à l’université de Pittsburg mais ce n’est pas l’information du jour.
    Valérie Gatto, née en 1989, est une chrétienne pratiquante qui a étonné l’Amérique en disant « Dieu est la raison de ma présence au monde ».  La reine de beauté a dit qu’elle était une enfant née d’un viol et le jour de son couronnement, elle a tout de suite pensé à remercier Dieu de l’avoir gardée en vie.
    La jeune fille n’a jamais fait mystère du drame à l’origine de sa conception. Sa mère, qui à l’époque avait 19 ans, a été agressée et violée en sortant de son travail. L’homme, armé d’un couteau, menaçait de la tuer quand la lumière de la rue s’est allumée et le violeur, affolé, s’est enfui laissant la jeune femme libre.

    « Je pense à cette lumière comme l’ange protecteur de ma mère et de moi-même »,  dit la miss.

    Sa mère pensait la confier à l’adoption mais finalement elle a décidé de la garder avec l’aide de sa famille qui lui a promis toute l’aide : « Si Dieu permet une chose, Il te donne la force pour aller de l’avant », disait la grand-mère de Valérie à sa mère.
    L’enfant grandit dans une maison pleine d’amour où elle fut éduquée dans l’espérance et la foi. «  J’ai grandi dans une communauté chrétienne et j’ai vu ma mère aider les plus nécessiteux ». Durant des années, la mère de Valérie s’est occupée des plus pauvres de la paroisse, et enseigna à sa fille « que peu importe le peu que tu as, le plus important est de donner ce que tu as reçu ».

    « Savoir comment j’avais été conçue ne m’a pas empêché de grandir »,  a déclaré Miss Pennsylvanie devant la presse médusée. « Au contraire, cela m’a rendu plus forte : voir le sacrifice de ma mère et de ma famille m’a fait comprendre que peu importe ce qui a pu se passer mais qu’au contraire les limites et les difficultés te renforcent. J’ai appris à tirer parti de chaque obstacle ».

    Durant le concours de miss, la jeune fille s’est souvenue de sa mère qui lui disait qu’elle était la lumière de sa vie : «  J’ai senti le besoin d’être une lumière dans l’obscurité. Dès le moment de ma conception, la lumière a toujours été associée à l’obscurité : mon histoire est dure mais elle aide beaucoup de personnes ».

    Valérie travaille actuellement dans le marketing et est volontaire dans un centre pour enfants nécessiteux qui travaille aussi pour les femmes ayant subi des violences.

    http://medias-presse.info/miss-pennsylvanie-2014-lenfant-du-viol-qui-rend-grace-a-dieu-de-lavoir-gardee-en-vie/7470