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Jacques Baud, ex-membre des renseignements suisses, chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies et chef de la lutte contre la prolifération des armes légères à l’OTAN. Auteur dernièrement de “OPÉRATION Z”, et “Vaincre le terrorisme djihadiste”, aux éditions Max Milo.
Il est seul face aux trois magistrats, trois hommes en veste et cravate assis devant deux drapeaux, l’un français, l’autre européen, eux-mêmes assistés d’un rapporteur femme et d’une collègue. Face à eux, un Noir costaud, coupé ras, s’exprime dans un Français assez châtié.
Par Pierre Boisguilbert ♦ Personne ne connaissait Rima Abdul-Malak. C’était mieux pour elle. Personne ne connaissait l’identité du ministre de la Culture. On pouvait même se demander si un ministre de la Culture pour un pays qui n’a pas de culture, comme l’a déclaré l’actuel président, restait bien nécessaire. En fait c’est indispensable. Le ministre de la Culture est un ministre de la Censure, chargé de faire respecter les bonnes mœurs médiatiques.
Le chancelier Olaf Scholz subit une lourde défaite à Berlin, fief de la gauche, dimanche 12 février. La campagne s'est faite sur des enjeux locaux, mais l'effet a lieu au niveau national. Olaf Scholz est critiqué, notamment sur la question de l'aide militaire à l'Ukraine.
Le scandale des “grooming gangs” fait encore de nombreuses victimes, selon une enquête exclusive de GB News, alors que des milliers de victimes historiques et actuelles se sont adressées à une organisation caritative qui soutient les victimes depuis 2020.
Ce diffuseur a vu une copie exclusive du rapport annuel de la Fondation Maggie Oliver (TMOF), qui révèle qu’elle travaille actuellement sur plus de 50 cas d’exploitation sexuelle d’enfants localisés dans un groupe.
L’organisme de bienfaisance a également soutenu plus de 1 000 victimes de sévices et d’exploitation sexuels d’enfants grâce à ses services de défense juridique et de soutien émotionnel depuis 2020.
Après trois heures de rappels au règlement et de suspensions de séance, le Parlement a adopté, ce jeudi 9 février, la proposition de loi portée par le député PS Philippe Brun visant à renationaliser EDF et à rendre son capital incessible. Applaudi par toute la presse de gauche, il marque pour Philippe Brun « une rupture avec vingt ans de dérives libérales ». Une phrase sur laquelle devraient méditer les députés LR et RN qui ont voté le texte main dans la main avec l’extrême gauche. EDF n’est finalement, pour l’opposition, qu’un pion de plus pour affirmer son existence au sein d’une Assemblée nationale devenue en moins de six mois la nouvelle ZAD de la nation.
On ne se souvient plus que l’invité d’honneur du Salon du Livre de Paris en 2018 était la Russie. Pour la circonstance, Le Monde du 16 mars 2018 dressait le portrait de l’écrivain Zakhar Prilepine, ancien militant national-bolchevik qui venait de côtoyer les combattants indépendantistes du Donbass. Un tel article serait-il encore possible aujourd’hui ? Cette question fondamentale empêche la planète de tourner. Ce n’est pas la seule. L’orchestre de Moscou peut-il jouer à l’Opéra de Lyon ? Le champion serbe de tennis, Novak Djokovic, doit-il renier son père filmé dans les allées du tournoi de l’Open d’Australie avec des supporteurs brandissant un drapeau russe à l’effigie de Vladimir Poutine ? Le Comité international olympique doit-il exclure les sportifs bélarussiens et russes des prochaines compétitions ? S’il s’agissait d’une autre nationalité, un tollé intergalactique envahirait les rédactions de désinformation et secouerait les belles âmes occidentales. Elles ne font que reprendre et développer des propos officiels qui établissent une incontestable ségrégation. Après l’apartheid vaccinal, voici la russophobie élevée au rang de politique d’État !